![Capturons dans les bois pendant que les cartes sont là [Partie 3 et Finale] Szp8](https://zupimages.net/up/21/40/szp8.png)
![Capturons dans les bois pendant que les cartes sont là [Partie 3 et Finale] 4kdk](https://zupimages.net/up/21/40/4kdk.png)
Je courais encore et toujours à travers ce qui ressemblait à une forêt, Milady m’avait d’ailleurs parlé d’une forêt de lotus dans laquelle Alice se cachait, alors il serait fort probable que je la retrouve autour de moi. Cependant j’avais alors un nouveau problème… Derrière moi j’avais des soldats qui me rechercher, et devant moi des soldats qui recherchaient Alice. Alice qui était elle-même quelque part dans ce monde. Ainsi il ne me restait plus qu’à la rechercher en étant encerclé, ou une autre solution plus simple et moins affligeante. Elle pourrait même apporter un peu de tristesse à ces pauvres soldats… Je décidais de mettre mon plan en action.
Je sautais sur quelques branches pour monter sur les sommets, puis je regardais en bas, j’avais une bonne vision pour voir que les soldats en forme de cartes continuaient à courir pour me chercher, sauf qu’en amplifiant le nombre de personnes dans la zone de recherche ils auraient plus de chance de débusquer Alice, et alors je pourrais facilement, enfin façon de parler, leur enlever, et alors apporter le triste nouvelle à la Reine. Bien sur la Reine n’allait pas connaître la tristesse mais les autres allaient connaître la tristesse de l’échec impardonnable qui mène à la mort…
J’attendais alors que les événements se passe, en partie parce que je surveillais la sortie, mais aussi parce que cela m’évitait de chercher moi-même avec un danger constant. Enfin un danger, plutôt un risque à éviter, la présence des cartes, enfin des gardes, risquait de me gênait d’avantage alors qu’Alice aurait eu l’occasion de s’échapper. Autant les laisser faire tandis que je m’occuperais des gardes, une formalité en soi. Mais pendant que je réfléchissais à mon plan d’action je m’approchais de mon but, ou plutôt il s’approchait de moi. Une petit troupe de quatre soldat encerclés une petite fille blonde en robe bleue et avec un tablier blanc. Ma cible venait d’arriver…
Je sautais alors depuis ma branche pour descendre lentement et juste devant ce petit groupe. Qui s’arrêta de surprise devant moi qui venait d’arriver. Je ne leur laissais pas le temps de parler pour me précipiter vers eux. Puis je plongeais mes mains sur le sol comme pour faire la roue, mais j’arrêtais mon corps pour faire le poirier. C’est alors que je tournais sur moi-même pour effectuer un balayage sur les premiers soldats qui se trouvaient devant avec mes pieds. Puis je remettais en place debout, devant deux gardes qui pointait leurs armes sur moi tandis que les deux autres tentaient de se relever.
Je me ruais alors sur le premier, et lui donnais un coup à l’endroit où devait se trouver son estomac, il se contracta sous le choc et tandis ses mains, qui avaient lâchées son arme, sur son ventre. Puis je lui donnais une claque pour le laisser choir sur le côté. Je me retournais vers l’autre, tandis que les deux cartes tombées précédemment s’approcher de moi. Je sautais alors pour que mes jambes arrivent au niveau de leurs têtes et donnais un coup de zone aérien pour les toucher tous ensemble. Ils s’écroulèrent par terre, le château de carte s’écroulait…
Je me retournais alors vers la jeune fille qui avait joint ses mains devant son visage en attitude défensive, elle me craignait et elle avait raison. Mais je ne trouvais pas de moyen en tête pour la transporter sans encombres de sa part, les gardes et moi-même n’avions pas de cordes et je me voyais mal la porter. Aussi je l’attrapais par la main pour la serrer dans mes bras, comme pour la réconforter. Elle se laissait faire, la petite naïve, avant qu’elle puisse dire un mot je lui donnais un coup fort dans le cou, ainsi elle allait tomber dans les pommes, ou plutôt dans mes bras…
Je repartais ainsi avec ma charmante princesse dans les bras, elle ne bougeait plus et je dois dire que j’espérais qu’elle ne se réveillerait pas, ou plutôt seulement après avoir été mis dans son nouveau logement de fonction. Je n’avais pas tué les cartes, elles allaient probablement souffrir de cette tristesse en apprenant la nouvelle à la Reine et les autres cartes comprendraient alors, peut-être, la tristesse qui frappe leurs confrères, et dans cette tristesse verront la vérité de leur monde : mourir dans la tristesse…
Ven 28 Jan 2011 - 21:21Je sautais sur quelques branches pour monter sur les sommets, puis je regardais en bas, j’avais une bonne vision pour voir que les soldats en forme de cartes continuaient à courir pour me chercher, sauf qu’en amplifiant le nombre de personnes dans la zone de recherche ils auraient plus de chance de débusquer Alice, et alors je pourrais facilement, enfin façon de parler, leur enlever, et alors apporter le triste nouvelle à la Reine. Bien sur la Reine n’allait pas connaître la tristesse mais les autres allaient connaître la tristesse de l’échec impardonnable qui mène à la mort…
J’attendais alors que les événements se passe, en partie parce que je surveillais la sortie, mais aussi parce que cela m’évitait de chercher moi-même avec un danger constant. Enfin un danger, plutôt un risque à éviter, la présence des cartes, enfin des gardes, risquait de me gênait d’avantage alors qu’Alice aurait eu l’occasion de s’échapper. Autant les laisser faire tandis que je m’occuperais des gardes, une formalité en soi. Mais pendant que je réfléchissais à mon plan d’action je m’approchais de mon but, ou plutôt il s’approchait de moi. Une petit troupe de quatre soldat encerclés une petite fille blonde en robe bleue et avec un tablier blanc. Ma cible venait d’arriver…
Je sautais alors depuis ma branche pour descendre lentement et juste devant ce petit groupe. Qui s’arrêta de surprise devant moi qui venait d’arriver. Je ne leur laissais pas le temps de parler pour me précipiter vers eux. Puis je plongeais mes mains sur le sol comme pour faire la roue, mais j’arrêtais mon corps pour faire le poirier. C’est alors que je tournais sur moi-même pour effectuer un balayage sur les premiers soldats qui se trouvaient devant avec mes pieds. Puis je remettais en place debout, devant deux gardes qui pointait leurs armes sur moi tandis que les deux autres tentaient de se relever.
Je me ruais alors sur le premier, et lui donnais un coup à l’endroit où devait se trouver son estomac, il se contracta sous le choc et tandis ses mains, qui avaient lâchées son arme, sur son ventre. Puis je lui donnais une claque pour le laisser choir sur le côté. Je me retournais vers l’autre, tandis que les deux cartes tombées précédemment s’approcher de moi. Je sautais alors pour que mes jambes arrivent au niveau de leurs têtes et donnais un coup de zone aérien pour les toucher tous ensemble. Ils s’écroulèrent par terre, le château de carte s’écroulait…
Je me retournais alors vers la jeune fille qui avait joint ses mains devant son visage en attitude défensive, elle me craignait et elle avait raison. Mais je ne trouvais pas de moyen en tête pour la transporter sans encombres de sa part, les gardes et moi-même n’avions pas de cordes et je me voyais mal la porter. Aussi je l’attrapais par la main pour la serrer dans mes bras, comme pour la réconforter. Elle se laissait faire, la petite naïve, avant qu’elle puisse dire un mot je lui donnais un coup fort dans le cou, ainsi elle allait tomber dans les pommes, ou plutôt dans mes bras…
Je repartais ainsi avec ma charmante princesse dans les bras, elle ne bougeait plus et je dois dire que j’espérais qu’elle ne se réveillerait pas, ou plutôt seulement après avoir été mis dans son nouveau logement de fonction. Je n’avais pas tué les cartes, elles allaient probablement souffrir de cette tristesse en apprenant la nouvelle à la Reine et les autres cartes comprendraient alors, peut-être, la tristesse qui frappe leurs confrères, et dans cette tristesse verront la vérité de leur monde : mourir dans la tristesse…