Que caches-tu ?
La jeune femme était assise sur un des fauteuils dans son salon, ses jambes étaient croisées, puis décroisées. Elle répétait ce mouvement en continu, tout en se relavant de temps à autre en faisant les cent pas dans la pièce.
Alors qu'elle allait s'assoir une dernière fois, elle entendit Kuckunniwi aboyer dans le couloir et lorsqu'elle ouvrit la porte coulissante, Pamela aperçu les trois mogs qui revinrent fièrement dans la maison.
Pamela caressa la tête du dernier mog qui lui indiqua où demeurait le Consul Nikoleis. Alors, qu'elle franchissait la porte d'entrée pour le retrouver, elle entendit les trois petites créatures se battre. Mais avant de refermer la porte, elle se retourna une dernière fois.
Cupcake, Profiterole et Kouignamann s'arrêtèrent immédiatement mais continuèrent de virevolter partout dans l'entrée de la maison, espérant ainsi revoir très rapidement la jeune femme pour avoir un câlin de sa part.
La sorcière était arrivée à la maison indiquée par le mog et s'avança jusqu'à la porte où elle frappa. Et attendit qu'on vienne lui ouvrir.
Le Consul invita la jolie rouquine à entrer dans sa maison et plus particulièrement dans le salon, où il lui proposa de s'installer.
Nikoleis s'excusa un instant puis s'éclipsa le temps de préparer et apporter la boisson de la jeune femme qui resta seule dans la pièce et en profita pour regarder d'un peu plus cette maison et ce qu'il y avait ici.
Pamela regarda les étagères, dans une bibliothèque. Il y avait tout un tas de livres, des romans comme des magazines et même quelques manuels d'utilisation. Elle n'y prêta pas vraiment attention, mais continua de fouiller du regard ce qu'il y avait.
Sur une petite commode, plusieurs petites choses toutes sans intérêt -aux yeux de la jeune femme- trônaient ici et là. Mais elle se retourna en entendant son collègue revenir dans la pièce.
Il l'invita à s'assoir et lui tendis la tasse dans lequel il y avait le thé demandé un peu plus tôt. Pamela l'approcha de ses lèvres et en sentit toutes les senteurs. De la verveine avec une touche de sucre.
Prenant chacun une gorgée dans le plus grands des calmes, c'est Nikoleis qui fini par briser le silence.
Pamela reposa sa tasse dans la soucoupe, qu'elle tenue tout de même sur ses cuisses.
La jeune femme voyait bien dans le regard du Consul qu'il n'avait rien fait de mal. Elle ne pouvait pas deviner ses pensées, mais elle voyait bien qu'il se sentait mal à l'idée d'être soupçonné de trahison envers un autre groupuscule.
Nikoleis remercia la jeune femme de sa franchise et de son soutien. Puis ils finirent par se séparer dans cette maison.
À présent la sorcière retourna vers la sienne où trois petites créatures attendaient d'avoir un câlin en guise de récompense pour leur travail en ce jour.
Alors qu'elle allait s'assoir une dernière fois, elle entendit Kuckunniwi aboyer dans le couloir et lorsqu'elle ouvrit la porte coulissante, Pamela aperçu les trois mogs qui revinrent fièrement dans la maison.
- Je l'ai trouvé ! Kupo ! Cria Kouignamann.
- On l'a trouvé... Kupo...
- Peu importe qui l'a trouvé, dites moi où il est.
- Vers la ville, la dernière maison sur la gauche. Celle avec un portail rouge. Kupo !
- Merci toi !
- On l'a trouvé... Kupo...
- Peu importe qui l'a trouvé, dites moi où il est.
- Vers la ville, la dernière maison sur la gauche. Celle avec un portail rouge. Kupo !
- Merci toi !
Pamela caressa la tête du dernier mog qui lui indiqua où demeurait le Consul Nikoleis. Alors, qu'elle franchissait la porte d'entrée pour le retrouver, elle entendit les trois petites créatures se battre. Mais avant de refermer la porte, elle se retourna une dernière fois.
- Vous aurez le droit à un câlin tous les trois quand je reviendrai... À condition d'être sage !
Cupcake, Profiterole et Kouignamann s'arrêtèrent immédiatement mais continuèrent de virevolter partout dans l'entrée de la maison, espérant ainsi revoir très rapidement la jeune femme pour avoir un câlin de sa part.
La sorcière était arrivée à la maison indiquée par le mog et s'avança jusqu'à la porte où elle frappa. Et attendit qu'on vienne lui ouvrir.
- Bonj... Pamela ?
- Bonjour Nikoleis.
- Que faites-vous ici ?
- Je venais prendre de vos nouvelles.
- Bonjour Nikoleis.
- Que faites-vous ici ?
- Je venais prendre de vos nouvelles.
Le Consul invita la jolie rouquine à entrer dans sa maison et plus particulièrement dans le salon, où il lui proposa de s'installer.
- Vous désirez quelque chose ? À manger ? À boire ?
- Un thé, si ça ne vous ennui pas. Merci.
- Un thé, si ça ne vous ennui pas. Merci.
Nikoleis s'excusa un instant puis s'éclipsa le temps de préparer et apporter la boisson de la jeune femme qui resta seule dans la pièce et en profita pour regarder d'un peu plus cette maison et ce qu'il y avait ici.
Pamela regarda les étagères, dans une bibliothèque. Il y avait tout un tas de livres, des romans comme des magazines et même quelques manuels d'utilisation. Elle n'y prêta pas vraiment attention, mais continua de fouiller du regard ce qu'il y avait.
Sur une petite commode, plusieurs petites choses toutes sans intérêt -aux yeux de la jeune femme- trônaient ici et là. Mais elle se retourna en entendant son collègue revenir dans la pièce.
- Vous cherchez quelque chose ?
- Ho non. Rien. Je regardais c'est tout. Désolée.
- Vous êtes toute excusée. Je vous ai fais attendre.
- Ho non. Rien. Je regardais c'est tout. Désolée.
- Vous êtes toute excusée. Je vous ai fais attendre.
Il l'invita à s'assoir et lui tendis la tasse dans lequel il y avait le thé demandé un peu plus tôt. Pamela l'approcha de ses lèvres et en sentit toutes les senteurs. De la verveine avec une touche de sucre.
- Le miel ne vous dérange pas ?
- Du tout. C'est meilleur comme ça.
- Du tout. C'est meilleur comme ça.
Prenant chacun une gorgée dans le plus grands des calmes, c'est Nikoleis qui fini par briser le silence.
- Pardon d'être aussi direct. Mais pourquoi votre venue ici ?
Pamela reposa sa tasse dans la soucoupe, qu'elle tenue tout de même sur ses cuisses.
- Je vous l'ai dis. Je vous lais discuter.
- Pour ça, on peut se retrouver au quartier général du Consulat.
- C'est vrai. Bon, je vais être franche. Vous n'êtes pas sans savoir que notre porte-parole a été enlevé par la Lumière.
- Oui. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fait ça.
- Personne au Consulat ne comprend leur geste. Mais il y a quelque chose qui nous embête un peu.
- Quoi donc ?
- Vous avez beaucoup contribué à l'élaboration des Gummiphones et la Lumière en est équipée...
- Où voulez-vous en venir ? Vous m'accusez d'avoir trahi le Consulat ?
- Non ! Jamais je ne ferai ça. Mais ce n'est pas moi qui me pose la question.
- Je n'y suis pour rien, je vous jure.
- Je vous crois. Mais y aurait-il eu une anomalie ou un défaut dans les gummiphones de la Lumière pour qu'elle ait pu agir de cette manière ? Enlever quelqu'un, ce n'est pas rien, mais un porte-parole, c'est encore pire.
- Non. Je ne crois pas. Enfin, pas à ma connaissance.
- Pour ça, on peut se retrouver au quartier général du Consulat.
- C'est vrai. Bon, je vais être franche. Vous n'êtes pas sans savoir que notre porte-parole a été enlevé par la Lumière.
- Oui. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fait ça.
- Personne au Consulat ne comprend leur geste. Mais il y a quelque chose qui nous embête un peu.
- Quoi donc ?
- Vous avez beaucoup contribué à l'élaboration des Gummiphones et la Lumière en est équipée...
- Où voulez-vous en venir ? Vous m'accusez d'avoir trahi le Consulat ?
- Non ! Jamais je ne ferai ça. Mais ce n'est pas moi qui me pose la question.
- Je n'y suis pour rien, je vous jure.
- Je vous crois. Mais y aurait-il eu une anomalie ou un défaut dans les gummiphones de la Lumière pour qu'elle ait pu agir de cette manière ? Enlever quelqu'un, ce n'est pas rien, mais un porte-parole, c'est encore pire.
- Non. Je ne crois pas. Enfin, pas à ma connaissance.
La jeune femme voyait bien dans le regard du Consul qu'il n'avait rien fait de mal. Elle ne pouvait pas deviner ses pensées, mais elle voyait bien qu'il se sentait mal à l'idée d'être soupçonné de trahison envers un autre groupuscule.
- Tous vos travaux sur les gummiphones, vous les avez toujours ?
- Oui. Pourquoi ?
- Faites-les parvenir au Quartier Général. Je ne remet pas en cause votre parole. Mais il vaudrait mieux convaincre tout le reste du Consulat.
- Oui. Pourquoi ?
- Faites-les parvenir au Quartier Général. Je ne remet pas en cause votre parole. Mais il vaudrait mieux convaincre tout le reste du Consulat.
Nikoleis remercia la jeune femme de sa franchise et de son soutien. Puis ils finirent par se séparer dans cette maison.
À présent la sorcière retourna vers la sienne où trois petites créatures attendaient d'avoir un câlin en guise de récompense pour leur travail en ce jour.