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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Elle a bien essayé de rétablir le contact, mais en dépit de ses efforts, Nina reste muette, distante, ou évasive. Là où elle se sentait probablement obligée de lui répondre même quand elle n’en voyait pas la nécessité, elle reste muette à présent. Elles marchent toutes les deux dans la rue, son sans-coeur la précède, avançant rapidement, apparemment concentrée. Peut-être essaie-t-elle de reprendre la totale maîtrise de ses pouvoirs avant d’y retourner.

-On pourrait peut-être aller chasser si tu veux, après le rendez-vous.

L’intéressée tourne vaguement la tête, marmonne quelque chose puis… continue.

-Enfin, il va quand même bien falloir qu’on se parle, pour travailler !

Elles arrivent finalement devant le Marques, et Nina choisit se moment pour arrêter leur marche. Elle regarde autour d’elles pour voir s’il n’y a personne à proximité.

-Oui, nous ferons notre « travail ». Et nous jouerons la comédie, comme tu sais très bien le faire.

Elle se pince les lèvres, encore une preuve de son manque d’emprise.

-Mais ne compte pas sur moi pour faire semblant aujourd’hui en coulisses.
-Semblant de quoi ?

Odile a parlé trop fort, Nina la fusille du regard. Elle baisse d’un ton.

-Semblant que nous sommes ce que nous prétendons être aux yeux du monde, entre nous. Je n’en ai pas envie.

Le simili ouvre la bouche pour se défendre et lui rappeler que…

-Arrête avec ça. Maintenant que tu y es, je sais que tu resteras. Je te connais trop bien, tu ne me laisserais pas tomber comme ça.

C’est presque comme un défi, il serait tellement tentant d’y répondre en prenant aussitôt la direction de la station Shinra. Mais…

Mais elle a promis, de faire tout, ou du moins presque tout, pour que ce plan destiné à blanchir Nina réussisse.

Et même si c’était la seule raison pour elle au départ, elle peut à présent se confesser à elle-même, que cette histoire l’intrigue et que, cette discussion fugace avec ce Rufus Shinra a quelque peu suscité sa curiosité. Elle repense à ses derniers mots qui l’avaient laissée interdite. Etait-ce une phrase dite au hasard, une simple formalité administrative ou… y avait-il quelque chose d’autre à comprendre ?

-Qu’est ce qu’il y a ?
-Rien.

Elle n’est pas capable d’aussi bien jouer la comédie avec Nina, que ce soit dans les termes ou dans les expressions. C’est tout simplement plus complexe, elle la connait mieux que quiconque, et elle a elle-même l’habitude de devoir improviser.

Le sans-coeur n’y croit pas trop, et elle le fait sentir dans cette façon de tenir son regard avec insistance.

-Bon. Allons-y dans ce cas.

*******************************

-Elise, tu as un moment s’il te plait ? Dans les coulisses, s’il te plait.

Sans trop comprendre pourquoi elle est prise à part, Odile jette un regard interrogatif vers Nina. Cette dernière hausse les épaules, l’air indifférent, mais ne peut pas s’empêcher de fixer la scène avec insistance jusqu’à ce qu’ils disparaissent derrière les rideaux.

Une fois en coulisse, Curtis semble enjoué.

-Oh Elise. Ca te dirait de te faire un pourboire facile ?
-Euh… Je ne sais pas, de quoi s’agit-il ?

Elle ne veut certainement pas accepter sans connaître les tenants et les aboutissants. Et à vrai dire, si elle accepte ce sera certainement plus pour ne pas attirer les soupçons que pour l’argent. Cela n’a jamais été une question d’argent. Mais quel genre de jeune femme humaine normale acceptant de travailler à ce genre de poste refuserait un pourboire sans en connaître le fond ?

-Monsieur Hick, je crois savoir que tu le connais.
-Oui mais…

Elle fronce les sourcils.

-Comment êtes-vous au courant ?

Curtis semble incrédule voire presque agacé.

-Quelle importance ? Il me l’a juste dit lorsqu’il m’a parlé de toi.
-Il vous a…parlé de moi ?

Elle jette un oeil vers la salle, cherchant ledit homme du regard. Elle le trouve enfin, surprise, elle ne l’avait pas remarqué.

C’est l’homme qu’elle et Nina ont rencontré entre autre dans l’appartement de Pavani. Elle se souvient l’avoir trouvé plutôt réservé en comparaison avec le banquier. Il a des actions dans l’éclaireurs et il est plus âgé que ses amis, c’est ce dont elle se souvient.

-Oui, il souhaiterait que tu t’occupes de lui personnellement ce soir.
-M’occuper ?
-Eh bien oui, faire ton travail habituel mais sans ta soeur.
-Pourquoi sans ma soeur ?

Elle ne comprend pas, c’est sans doute évident pour Curtis qui commence à s’énerver mais ça ne l’est pas pour elle.

-Je n’en sais rien moi. Peut-être qu’elle le met mal à l’aise.

Bon. Elle ne peut pas se permettre de refuser sans s’attirer les foudres de son supérieur, et ça n’a l’air de rien en tant que telle alors… pourquoi pas ?

La soirée se passe, tout à fait normalement. L’heure de la fin de service et du rendez-vous se rapproche, elle remarque que Nina regarde régulièrement au bar pour inspecter l’horloge. Elle n’a pas spécialement réagi quand Odile lui a dit qu’elles travailleraient séparément ce soir.

-Elise ?
-Quoi ?
-Tu peux venir ?

Encore ? A nouveau ils se retrouvent en coulisse. Il devient difficile pour elle de cacher son manque d’entrain.

-Monsieur Hick est monté. Il souhaite que tu lui apportes personnellement une bouteille de champagne.
-J’y suis obligée ?

Curtis fronce les sourcils, ça ne doit pas lui arriver souvent de voir ses employés se faire prier.

-Eh bien je… Enfin je ne crois pas mais….
-Mais quoi ?
-Il a dit que si tu trainais trop, il parlerait des conduits d’aération au Battle Royale J’ai pas compris de quoi il parlait mais…

L’univers s’effondre autour d’elle. Tout semble compromis. Si lui sait, alors, qui d’autre ? Il semble prétendre le contraire dans sa menace, mais, comment peut-elle être sûre d’un homme qui n’hésite pas à la faire tourner en rond toute une soirée, pour à la fin , la menacer froidement. Sans réfléchir et sans répondre, elle se dirige vers le bar.

-Et attends, qu’est-ce que tu fais…?

Curtis lui attrape le bras, pas violemment, mais suffisamment sérieusement pour la retenir dans les coulisses.  Elle se tourne vers lui, comme apeurée.

-Je… j’aimerais parler à N… à Alix.
-Non, non, vas y tout de suite, tu n’as pas le temps. Attends, je t’envoie un mec avec pour que tu n’aies pas de problème.
-Mais…
-Elise, c’est juste une bouteille de champagne hein ?

Curtis a l’air sincère, un peu rustre mais sincère, il ne semble pas être dans le plan. Mais elle ne peut pas risquer de mettre le feu au poudre en insistant pour aller voir sa soeur. Non. Il faut qu’elle règle cela toute seule. Quitte à…

En quittant les lieux, elle croise le regard de Nina. Celle-ci l’interroge du regard mais Odile a à peine le temps de lui répondre, l’air dépité.

Avec un homme dont elle ne connait pas le nom, elle monte dans l’ascenseur. Un instant, elle pense à prévenir Nina et le numéro que le Président lui a donné et qu’elle a mémorisé mais… elle a laissé son gummiphone au sans-coeur pour qu’elle les dissimume. Elles avaient pensé que ce serait moins dangereux.

Elle se sent fébrile, sur les nerfs, prête à essayer de s’enfuir en courant, mais ce serait condamner Nina, inévitablement. Et au mieux, si elle s’en tire, ce serait en ayant trahi sa nature, et qu’arriverait-il alors ? Elle lui en voudrait pour le restant de leurs vies.

La porte s’ouvre, c’est Hick qui vient ouvrir. Il sourit largement, il a l’air plutôt confiant.

-Vous pouvez y aller, nous n’avons plus besoin de vous.

L’homme quitte les lieux. Hick tire la porte vers lui et ouvre le chemin à Odile.

-Je suis ravi  que vous ayez accepté mon marché,  Elise.

Elle s’avance dans la chambre, c’est une suite, peut-être pas à la hauteur de celle de Pavani, évidemment. Elle s’approche d’une table ronde et y dépose la bouteille.

-Vous n’avez qu’à nous servir deux verres.

Il s’installe dans un des deux grands canapés installés devant un feu ouvert.

-Puis rejoignez-moi.

Elle n’a pas encore trouvé d’échappatoire, elle n’a pas de plan, alors elle s’exécute, ou du moins partiellement, elle ne sert qu’un verre. Elle serait incapable d’ingurgiter quoi que ce soit.

Elle arrive près de l’homme et lui tend son verre. Il tapote le coussin près de lui.

-Je préfère rester debout si ça ne vous dérange pas.
-J’insiste.

Bon. Très bien. Elle s’assied, mais à une distance raisonnable de l’homme. Il a dû être séduisant il fut un temps, mais le temps l’a bien rattrapé, ses cheveux gris mi-longs sont coiffés en arrière et gominés, son visage est marqué par les rides et les taches. Il sourit, il la nargue.

-Comment est-ce de travailler ici ?
-Je pense que nous pouvons nous abstenir de faire semblant.
-Très bien.

Il se rapproche un peu, un frisson désagréable la parcourt de bas en haut.

-Je sais qui est votre soeur. Et je finirai par découvrir qui vous êtes vous.
-Comment l’avez-vous découvert…?
-Il se trouve que.

Il boit un coup de champagne et ricane légèrement.

-Mon ami Pavani est un homme prudent. Le genre qui vérifie absolument tout. Et après que vous êtes parties hier soir, il m’a demandé de vérifier votre identité. Je n’ai pas eu à chercher longtemps avant de trouver ces images de l’émission de ce « Larry ». Ridicule cette émission d’ailleurs, si on m’avait demandé mon avis je…

Il comprend que cela n’a pas d’importance et s’interrompt.

-Et donc, vous l’avez dit à votre ami.

Il souffle du nez, amusé et repose son verre, amusé.

-Dit que votre soeur travaille pour la Shinra ? Non, bien sûr que non.
-Et pourquoi ?

Bien sûr, elle n’est pas idiote, elle a bien remarqué ses attentions, cette façon de la regarder et de se rapprocher d’elle sans l’once d’un poil de subtilité.

-Oh bien sûr, cela joue. Si vous me donnez satisfaction, cela jouera favorablement pour le sort de votre soeur. Mais, ce n’est pas tout. Je suis un homme d’affaire, voyez-vous, je ne réfléchis également avec mon cerveau.

Elle était pétrie par l’effroi, incapable de réagir, elle n’avait rien pour se défendre, et quand bien même, si elle tentait de l’éliminer, il était presque certain que Nina et elle y perdaient la vie.

-Que voulez-vous..?
-Je pense que mon soutien à cette entreprise pourrait me valoir les valeurs de Rufus Shinra, lui-même. Des faveurs que je n’aurais pas pu avoir pas d’autres moyens.
-Et Pavani ?
-C’est mon ami mais… les affaires sont les affaires, et la plupart du temps, ce genre de considérations n’entrent pas en compte quand il s’agit de faire un bilan comptable.
-Vous voudriez que nous vous mettions en contact avec Rufus Shinra.

Il frappe ses mains l’une contre l’autre.

-C’est cela. Et que vous lui disiez que je peux l’aider s’il souhaite mettre Pavani à terre. Contre quelques royalties et une aide de sa part dans mes affaires.

Odile se relève.

-Je… je peux lui en parler.

Hick lui retient la main. C’est la deuxième fois qu’un homme essaie de la retenir ce soir. Elle lui envoie un regard méprisant.

-Lâchez-moi.
-Vous avez oublié la première partie du marché.
-Je n’ai rien oublié du tout, je ne suis pas d’accord.
-Vous avez tout intérêt à vous montrer coopérative. Et je me sentirai plus à l’aise à faire affaire avec vous si…
-Si quoi ?
-Si nous avons nous-mêmes des affaires intimes.
-Vous… vous ne pensez pas sérieusement que cela va jouer en votre faveur auprès du Président ?

Il avance sa main le long de son bras. Elle regarde ses doigts progresser et parcourir sa peau avec répugnance, horreur. Elle essaie de s’écarter mais il l’attrape avec l’autre main. Elle pourrait faire apparaître un portail, disparaitre en quelques secondes dedans, mais encore une fois, quelles conséquences cela aurait-il ? Elle ne parvient pas à réfléchir.

Il l’attire vers lui et presse son corps contre le sien, l’odeur d’alcool et de transpiration lui montent au nez lui donnant envie de vomir. Sa petite taille situe sa tête au niveau de sa poitrine, elle est presque forcée de respirer toutes les relents qui émanent de son torse. Puis ses mains commencent à se promener dans son dos, baladeuses et malsaines. Elle commence à se débattre violemment, mais l’homme a de la poigne, et elle encore quelques doutes. Sa magie… oserait-elle s’en servir contre lui ?

Un bruit mécanique, une décharge dans ses oreilles. Comme une explosion mais étouffée. L’homme se tend de tout son long, puis il s’effondre au sol. Incapable de comprendre ce qui se passe en cet instant, encore sur le coup de la stupeur, elle tremble. Elle fixe le corps, et le sang qui coule sur le tapis au niveau de la tête. Cette différence de taille lui a probablement sauvé la vie. Elle parvient enfin à lever les yeux sur la personne qui se tient au fond de la pièce.

C’est elle. Mais elle n’a pas forme humaine. Elle est noire, ses plumes volent autour d’elle et s’évaporent, ses yeux sont jaunes et lumineux, elle n’est pas tout à fait elle-même, son côté sauvage est ressort, mais c’est bien elle, tenant un pistolet dans la main. 

Elle se jette dans ses bras ténébreux. Maladroits, ils se referment sur son corps humain puis redeviennent eux-mêmes presque normaux, et le noir disparait. Odile plonge sa tête contre l’épaule de sa soeur. Elle ne peut pas pleurer et pourtant, elle ne se sent pas la force de tenir debout, elle a besoin de son soutien.

-Comment as-tu su ?
-Je… je n’ai eu qu’à voir ton expression. J’ai su que quelque chose n’allait pas.
-Et comment nous as-tu trouvés ?
-J’ai demandé à l’homme qui est monté avec toi le numéro de la chambre, je me suis cachée pour prendre un portail. Ah, et… j’ai pris son silencieux à l’un des hommes en bas.
-Ni…na. Il est mort.

Elle s’écarte du sans-coeur et attend sa réaction.

-On a fait ce qu’on devait faire.
-Oui. Il avait compris qui tu étais.
-Il en avait parlé à quelqu’un ?
-A priori non, il espérait pouvoir… négocier avec Rufus Shinra.

Nina semble à nouveau partie, prise dans ses réflexions. Odile se baisse sur le cadavre.

-Qu’est-ce qu’on va faire ?
-Fais apparaître un portail.
Le simili se prend la main dans la tête, une douleur immense la tétanise. Elle tremble encore.

-C’est pas grave.

Le sans-coeur se met alors à invoquer un portail ténébreux et hisse le corps dedans, non sans peine, puisant dans toutes ses forces pour réussir à le déplacer. Puis, avant qu’il ne se referme, elle roule le tapis maculé de sang, et le jette lui aussi. Quelques secondes plus tard, elle pose la main sur l’épaule d’Odile.

-Odile.
-Quoi ?
-Regarde, il n’y a plus rien.

Odile lève les yeux. L’appartement est vide. Evidemment, une simple enquête pourrait prouver qu’il y a eu un meurtre ici. Ils comprendraient que le tapis a disparu mais…

-Il faut qu’on aille au rendez-vous avec Pavani.
-Non. Je… je ne peux pas. On devrait s’en aller.
-Il le faut Odile, c’est pour ça qu’on a fait tout ça.
-Mais…
-Demain, je me ferai passer pour Hick et je quitterai l’hôtel. Personne ne comprendra.
-Et la détonation ?
-Une bouteille de champagne, puis… avec un peu de chance, la taille de la suite et le silencieux auront dissimulé le bruit.

Nina prend sa main et l’aide à se relever. Elle remet ses cheveux en place et caresse son visage. C’est automatique, elle ne fait que mimer les humains, mais cela rassure le simili.

-Allons-y, c’est l’heure.

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Abadidon

J'ai l'impression qu'on a passé la seconde, ça commence à CHIER DES BULLES.

Commençons !

Déjà y'a une ambiance ! Y'avait tout (sauf un truc), mais y'avait tout ! La situation de base qu'était pourrie, l'élément déclencheur type "je sais, tu sais, il sait lui ?" ce genre de trucs. On se tend, on se détend, on est soulagés même ! J'imaginais bien la scène, peut-être moins celle où ça devient physique d'ailleurs, mais le reste je l'imaginais bien, en reprenant le paysage que je m'étais fabriqué la dernière fois que vous étiez venues ici et tout. L'atmosphère, je crois que quand ça s'alourdit, ma respiration s'est un peu ralentie aussi, j'sais pas si tu vois ce que je veux dire. Mais, c'était...

C'était bien. Il manquait juste un truc comme je disais, ça aurait peut-être été de parler de la musique. Forte, qui te pète le crâne, puis là-haut, étouffée par les murs et les étages machin. Je pense que si t'en avais parlé, ça aurait rajouté au côté étouffant de la scène, tu vois ou pas ? Là, y'avait du suspens et tout, on avait une bonne retranscription de ce qu'elle pouvait avoir en tête, mais ouais... ici j'aurais aimé être vraiment écrasé par l'environnement. J'suis p'tête pas clair ?

Mais ça reste bien ! C'est même dommage que ce soit une mini série, parce que ça aurait mérité plus Very Happy Il se passe plein de trucs, je vais avoir du mal à parler de tout, t'es prévenue.

Les dialogues sont bons, pour une fois que j'en parle. Y'a p'tête une phrase qui m'a fait tiquer, c'est celle là "je pense que nous pouvons arrêter de faire semblant". C'est logique et ballzy de la part d'El... d'Odile, mais je sais pas, quand je l'ai lu j'ai eu un sursaut de retour à la réalité ? Ah par contre compte pas sur moi pour te dire ce qui va pas, j'pense pas que ce soit une question de "va pas", c'est p'tête parce que c'était brut à un moment où je m'y attendais pas. Tu montes toute une scène pour casser le suspens d'un coup ? J'en sais rien, juste ça m'a fait tiquer Very Happy

Le reste des dialogues sont plutôt cools, sinon. Comme je t'ai dit, y'a juste une phrase qui m'a fait bizarre, mais j'suis retourné dedans assez rapidement.

Note : bonne utilisation du BR, forcément qu'à un moment ça peut desservir.

Ah si aussi petite remarque. Souvent, on a une idée plus ou moins précise de ce qu'on va faire. Genre on se dit "dans ce RP y'aura ça" c'est p'tête aussi même c'qui motive à écrire. Donc en général ce passage là est bien, et ça peut arriver que y'ait moins de soin apporté à l'intro ou à l'outro du coup. Mais là, j'ai découpé ça en quatre chapitres... y'en a pas un en dessous des autres. T'as réussi à rester constante sur toute la durée, a susciter l'intérêt du lecteur (moi, du coup) du début à la fin. C'est p'tête le cas, mais en tout cas j'ai pas eu l'impression que y'ait eu une partie bâclée. C'est plutôt bien, et surtout pas souvent. J'parle pas de toi, mais en général. Ouais, voilà, tout était intéressant.

Aussi : la relation Odile et Nina. Plus incompréhensible, tu meurs. C'pas une critique négative cela dit. Ça vient sûrement de mon manque d'émotions en général, mais... j'arrive pas à vraiment comprendre. Elle passe l'aprem à la detester... et quand elle est dans la merde, elle vient l'aider ? C'est pas illogique, mais je comprends pas forcément tout le processus. Et c'est délicat parce qu'on parle d'un sans coeur et d'un simili. Alors... ok, Odile a X années, j'sais pas c'qu'elle branle de son temps libre mais voilà, peut y avoir un début d'explication à un moment. Autant le Cygne, je te conseillerais quand même de faire attention. Moi, je m'en fous hein, mais on sait jamais dès fois qu'on vienne frapper à ta porte... plutôt, j'me dis que c'est mieux si c'est moi qui fait la remarque... Un sans-coeur n'a pas des émotions, il a des instincts... ok. Mais oublie quand même pas qu'entre les deux, la ligne est fine ! J'te dis pas de la déshumaniser hein.

En bref, c'était bien.

Rien à dire ^^ Faci...

Nan, c'est pas la coa ici. On va faire une vraie conclusion. C'qui se passe dans ce RP ouvre et ferme plein de portes, de possibilités. J'ai hâte de voir ce que ça va donner au RP prochain. Est-ce qu'on va s'enfoncer dans la galère, est-ce qu'au contraire on va réussir à remonter un peu la tête hors de l'eau ? Bonne question ! La suite au prochain épisode, dans deux heures !

Très facile : 7xp, 70 munnies, 1 PS en Dex + 1 en Dex.
Qu'est-ce que c'est que ça ? OH MON DIEU, NE SERAIT-CE... C'EST IMPOSSIBLE ?

Avant de partir, tu gagnes... une tenue.... de guêpe .... ?
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