" C'était moins une... "
Il s'en est fallu de peu, le sprint d'une vie en vérité, pour que Nazik échappe à la catastrophe qui a ravagée tout le quatrième quartier. Un tremblement de terre incendiaire, quelque chose comme ça ? Tout s'est brisé et embrasé en une vague de destruction absolue, ne laissant qu'un court instant pour détaler loin du cataclysme. Tout est normal, aussi normal que ça peut durant la Bataille Royale... soudain, un volcan entre en éruption juste là. En même temps, c'était prévisible et même, si on ose le dire, attendu. L'élu a fui le quatrième quartier parce que Roxas y était et qu'entre nous, c'est mauvais signe. Sauf que le seul quartier qui lui est encore inconnu, c'est le cinquième et que depuis le troisième, pour y arriver... pas le choix, faut passer par le quatrième. Ajouter à ça qu'un grecque courrait après un babouin qui lui-même courrait après Nazik ?
Oui, c'est le bazar. Le bordel même. Au moins, pour l'instant, le coalisé se sait au cinquième quartier et peut espérer avoir semer ce singe complètement cassé de la tête qui fait du kung-fu en lâchant des hurlement simiesques.
Bizarrement, c'est... calme... comme ça peut l'être pendant une bataille royale, bien sûr. La majeure partie du quartier est recouvert par une serre si colorée, si architecturé, qu'on jure voir une cathédrale. La forme s'en inspire en tout cas. Les lumières et façades chatoyantes côtoient une petite voie d'eau enlaçant la serre d'un circuit serein, les plantes s'y trouvent comme si rien ne se passait. Bien évidement, en bruit de fond, les incessants combats ne cessent pas et l'on distingue, ici ou là, quelques traces de combats. Des morceaux de serres sont fissurés, voir brisés, offrant plus de passage que normalement prévu. Quelques structures sont éraflés, quelques lumières défaites ou clignotent en fin de vie.
Malgré tout, si l'on compare aux autres quartiers... ce n'est ni infesté de sans-cœurs, ni incendié, ni retourné, ni envahi de combats touts les trois pas. Nazik ose même y marcher. Hélas. Forcer de se raviser lorsqu'un point rouge se ballade au sol jusqu'à son pied et entame d'y grimper, il faut se remettre à courir. Sans attendre, l'élu de la clef longe la façade principale du bâtiment pour se mettre à couvert d'un mur coloré en concret, peu certain que du verre bloquerait une balle de fusil de précision. A sa grande surprise, il n'est pas le seul à s'y réfugier, d'autres concurrents y étant présent aussi.
Tout de suite, forcément, ça part en vrille.
L'homme, fier est fort, une balafre en biais sur un beau visage mûr met en jouge Nazik de son épée et tire ! D'instinct, le coalisé se jette d'un bond sur le côté et se met à courir. Du coin de l'oeil, là où devrait se trouver la garde de l'arme, l'élu de la clef reconnait le chargeur si caractéristique d'un revolver. Il y a eu un tir. Il y en a deux, et trois, et quatre. D'accélération ou, au contraire, en s'arrêtant net, le jeune homme parvient à les esquiver. La cinquième balle menace de partir, furieux de panique, le coalisé jette sa clef sans finesse mais avec puissance de manière prévisible.
Des lueurs violettes foncés, jusqu'au noir ici ou là, l'auréole désormais alors qu'il se rue à la poursuite de son arme.
Le conçurent, de son épée-flingue, pare la keyblade qui vrille en l'air face à la parade. Déjà là, Nazik lève le bras pour rattraper son arme, l'abat de suite pour une exécution. Semble-t-il sans effort, bel et bien stoïque, le sobre conçurent stoppe net l'attaque en opposant simplement sa drôle d'arme en opposition. Le jeune homme tique, grimace et offre un rictus révulsé... même en frappant de toutes ses forces et en s'aidant d'une deuxième main pour forcer, la "gunblade" ne bouge tout simplement pas. Un sourire sadique et satisfait déforme la face de Nazik lorsque celui-ci semble gagner un peu de terrain au bras de fer ! Une joie qui s'efface aussi tôt pour laisser place à une peur palpable.
Les sourcils froncés sans extravagance, l'ennemi a simplement positionné le canon de son arme droit au but. C'est à dire, le crâne de l'insolent ténèbreux.
Celui-ci lâche prise, cesse de forcer et s'écarte pour laisser passer la cinquième balle. En face, l'ennemi repositionne machinalement son canon, sans faire un pas, sans bouger autre chose que son bras armé. En joug, Nazik a les yeux qui luisent comme une bête acculée et à deux mains sur sa clef, de toute sa puissance sur des appuis ancrés sur les pavés, il frappe pour dévier le projectile. Et le fait avec la rage désespéré d'un mort en sursis.
Ca a marché... l'épée-pistolet, légèrement décalé, n'a réussi qu'à frôler son oreille pour y laisser un son horrible, sourd et strident à la fois.
Six balles, il n'en a plus et doit recharger, génial ! Le jeune homme en profite pour se replier d'un bond en arrière, une paume ouverte pour y condenser les ombres environnantes, l'autre qui fait tournoyer sa clef d'habiles mouvements du poignet. Quelque chose ne va pas. L'ennemi ne cesse pas de viser de son arme, malgré qu'il soit censé être à court de munitions. Des flammes naissent à la pointe de sa lame, en une sphère et mimant le recul d'une arme, le brasier part !
Forcer d'interrompre son incantation, Nazik fuit d'une roulade qui lui rapelle les quelques éclats de verres et de bois enfoncés dans son corps.
" Prends ça beau gosse ! " Un gigantesque shuriken tranche l'air en tournoyant comme une scie vers le manieur d'épée-pistolet et force celui-ci à la parade. Visiblement, d'où que ça vienne, ça l'intérèsse plus que Nazik de nouveau en fuite !
Dim 28 Fév 2021 - 13:11Il s'en est fallu de peu, le sprint d'une vie en vérité, pour que Nazik échappe à la catastrophe qui a ravagée tout le quatrième quartier. Un tremblement de terre incendiaire, quelque chose comme ça ? Tout s'est brisé et embrasé en une vague de destruction absolue, ne laissant qu'un court instant pour détaler loin du cataclysme. Tout est normal, aussi normal que ça peut durant la Bataille Royale... soudain, un volcan entre en éruption juste là. En même temps, c'était prévisible et même, si on ose le dire, attendu. L'élu a fui le quatrième quartier parce que Roxas y était et qu'entre nous, c'est mauvais signe. Sauf que le seul quartier qui lui est encore inconnu, c'est le cinquième et que depuis le troisième, pour y arriver... pas le choix, faut passer par le quatrième. Ajouter à ça qu'un grecque courrait après un babouin qui lui-même courrait après Nazik ?
Oui, c'est le bazar. Le bordel même. Au moins, pour l'instant, le coalisé se sait au cinquième quartier et peut espérer avoir semer ce singe complètement cassé de la tête qui fait du kung-fu en lâchant des hurlement simiesques.
Bizarrement, c'est... calme... comme ça peut l'être pendant une bataille royale, bien sûr. La majeure partie du quartier est recouvert par une serre si colorée, si architecturé, qu'on jure voir une cathédrale. La forme s'en inspire en tout cas. Les lumières et façades chatoyantes côtoient une petite voie d'eau enlaçant la serre d'un circuit serein, les plantes s'y trouvent comme si rien ne se passait. Bien évidement, en bruit de fond, les incessants combats ne cessent pas et l'on distingue, ici ou là, quelques traces de combats. Des morceaux de serres sont fissurés, voir brisés, offrant plus de passage que normalement prévu. Quelques structures sont éraflés, quelques lumières défaites ou clignotent en fin de vie.
Malgré tout, si l'on compare aux autres quartiers... ce n'est ni infesté de sans-cœurs, ni incendié, ni retourné, ni envahi de combats touts les trois pas. Nazik ose même y marcher. Hélas. Forcer de se raviser lorsqu'un point rouge se ballade au sol jusqu'à son pied et entame d'y grimper, il faut se remettre à courir. Sans attendre, l'élu de la clef longe la façade principale du bâtiment pour se mettre à couvert d'un mur coloré en concret, peu certain que du verre bloquerait une balle de fusil de précision. A sa grande surprise, il n'est pas le seul à s'y réfugier, d'autres concurrents y étant présent aussi.
Tout de suite, forcément, ça part en vrille.
L'homme, fier est fort, une balafre en biais sur un beau visage mûr met en jouge Nazik de son épée et tire ! D'instinct, le coalisé se jette d'un bond sur le côté et se met à courir. Du coin de l'oeil, là où devrait se trouver la garde de l'arme, l'élu de la clef reconnait le chargeur si caractéristique d'un revolver. Il y a eu un tir. Il y en a deux, et trois, et quatre. D'accélération ou, au contraire, en s'arrêtant net, le jeune homme parvient à les esquiver. La cinquième balle menace de partir, furieux de panique, le coalisé jette sa clef sans finesse mais avec puissance de manière prévisible.
Des lueurs violettes foncés, jusqu'au noir ici ou là, l'auréole désormais alors qu'il se rue à la poursuite de son arme.
Le conçurent, de son épée-flingue, pare la keyblade qui vrille en l'air face à la parade. Déjà là, Nazik lève le bras pour rattraper son arme, l'abat de suite pour une exécution. Semble-t-il sans effort, bel et bien stoïque, le sobre conçurent stoppe net l'attaque en opposant simplement sa drôle d'arme en opposition. Le jeune homme tique, grimace et offre un rictus révulsé... même en frappant de toutes ses forces et en s'aidant d'une deuxième main pour forcer, la "gunblade" ne bouge tout simplement pas. Un sourire sadique et satisfait déforme la face de Nazik lorsque celui-ci semble gagner un peu de terrain au bras de fer ! Une joie qui s'efface aussi tôt pour laisser place à une peur palpable.
Les sourcils froncés sans extravagance, l'ennemi a simplement positionné le canon de son arme droit au but. C'est à dire, le crâne de l'insolent ténèbreux.
Celui-ci lâche prise, cesse de forcer et s'écarte pour laisser passer la cinquième balle. En face, l'ennemi repositionne machinalement son canon, sans faire un pas, sans bouger autre chose que son bras armé. En joug, Nazik a les yeux qui luisent comme une bête acculée et à deux mains sur sa clef, de toute sa puissance sur des appuis ancrés sur les pavés, il frappe pour dévier le projectile. Et le fait avec la rage désespéré d'un mort en sursis.
Ca a marché... l'épée-pistolet, légèrement décalé, n'a réussi qu'à frôler son oreille pour y laisser un son horrible, sourd et strident à la fois.
Six balles, il n'en a plus et doit recharger, génial ! Le jeune homme en profite pour se replier d'un bond en arrière, une paume ouverte pour y condenser les ombres environnantes, l'autre qui fait tournoyer sa clef d'habiles mouvements du poignet. Quelque chose ne va pas. L'ennemi ne cesse pas de viser de son arme, malgré qu'il soit censé être à court de munitions. Des flammes naissent à la pointe de sa lame, en une sphère et mimant le recul d'une arme, le brasier part !
Forcer d'interrompre son incantation, Nazik fuit d'une roulade qui lui rapelle les quelques éclats de verres et de bois enfoncés dans son corps.
" Prends ça beau gosse ! " Un gigantesque shuriken tranche l'air en tournoyant comme une scie vers le manieur d'épée-pistolet et force celui-ci à la parade. Visiblement, d'où que ça vienne, ça l'intérèsse plus que Nazik de nouveau en fuite !