Fin de journée, t’sais et j’suis là dans ma chambre à être trop crevé d’avoir rien branlé aujourd’hui. J’ai du bouger une fois ou deux, la première pour bouffer et l’autre pour aider vite fait a déglinguer des sans-coeurs dans le couloir là. Du reste, j’ai fait mes pompes, mes tractions, et… j’ai glandé devant la télé. J’ai même pris deux douches, la première pour être propre et la deuxième parce que j’me faisais chier.
Là, j’étais devant la télé a bouffer un bol de miel pops en regardant vaguement la pub. J’réfléchissais en fait. J’suis sûr que t’aurais aimé savoir à quoi, mais là c’était trop perso j’pouvais pas te raconter. Les pubs partent, y’a la météo de Janna… Ouais, m’étonnerait qu’y s’mette a flotter dans ma chambre, hein.
« Vous vous demandez sûrement pourquoi je suis habillée comme cela ! « On s'en bat l'oeil ! »
J’pencher la tête sur le côté, et j’lève un sourcil. Qu’est-ce qu’ils nous inventent encore ces cons là ? Ça suffit pas de foutre son zen partout, maintenant ils font des sketches. C’est d’un nul…
« Chers citoyens des mondes libres ! Vous n'êtes plus libres ! Je suis le Lord Business et je viens de la Salle d'Arcade ! Cet endroit que vous assiégez, que vous essayez de réguler et dont vous convoitez l'ensemble des médailles ! À mon tour ! Je vous assiège, vous et tous vos mondes ! Et mon armée ?! Huhum... »
Là j’commence à me demander si le gars est sérieux. J’pose mes céréales sur le côté, sur la table de chevet à côté de mon lit et j’me concentre un peu plus. Donc le gars là, moche, il prend en otage… tout le monde et tout les mondes ? A-hin. Je hausse les épaules, suffit qu’au pire, on monte une équipe, qu’on aille le trouver, et qu’on le défonce ? Problème réglé, c’qui prendrait deux semaines a n’importe quel groupe, ça nous prendrait deux minutes à notre squad.
L’interruption de programmes s’achève, et… la télé revient pas. On reste sur un « on revient bientôt » j’sais pas trop quoi, et c’est la première fois que je vois ça. C’est p’tête du sérieux et pas une mise en scène ? Ouais ?
T’sais quoi, j’verrais demain. J’passe aux chiottes pisser un coup, puis j’me défroque et me glisse sous ma couette. Ça devrait en parler à la salle d’audience, je laisserais traîner mes oreilles. J’me tourne face contre le mur, j’ferme les yeux en attendant qu’on m’emporte… Faut que je retourne prendre des nouvelles d’Adonia demain, aussi.
Pis… normalement à cette heure là, le château se calme, il s’endort ouais. J’dis pas, de temps en temps t’entends quelques gardes gueuler, soit parce qu’ils sont bourrés, soit parce que y’a des sans coeurs qui viennent foutre la merde, mais là ça dure. Ça dure genre, vraiment trop longtemps à tel point qu’ça en devient louche.
J’me relève et j’vais à la fenêtre de ma chambre, une de celles qui donne direct sur la cour, et j’vois des cons de gardes en train de se foutre sur la gueule. T’en a deux là, les épées croisées en train de forcer comme des malades. J’leur dirai bien d’arrêter mais c’est beaucoup plus drôle de les laisser se faire engueuler par le Général Primate. Pis finalement, t’as un mec qui arrive et qui les flingue, les mecs deviennent tout gris. Ils arrêtent de se battre et regardent celui qui leur a tiré dessus. J’crois qu’ils s’engueulent.
Le mec tente de s’expliquer, et bim, y’a un bouclier qui traverse tout le couloir et qui le shoote en pleine tête. Lui aussi il perd ses couleurs, en même temps de tomber dans les vapes. Donc… c’est du sérieux, j’imagine ? Je soupire. C’est déjà la merde de partout, y’avait franchement pas besoin d’en rajouter. Ca durait combien de temps cette merde déjà ?
Pas le temps d’y réfléchir, y’a un coup de feu qui résonne dans le couloir, suivi de trois autres. Y’a des cris, et ça… je crois que c’est une explosion qui vient de l’autre côté. OK. J’entre-ouvre ma porte et j’me mets contre le mur en attendant que quelqu’un passe. J’l’entends ce petit connard, il marche dans ma direction. J’suis pas sûr qu’il sache à qui c’est c’t’appart. J’me tiens prêt. Il est genre a quatre pas, il avance quand même lentement, j’me demande s’il a flingué tout l’étage. Il finit par pousser la porte, et j’vois un flingue passer devant moi, tenu à bout de bras. J’le laisse un peu rentrer, j’mets ma main sur son poignet, j’le lui tord, il tire et finit par lâcher son arme. J’y met une gauche, deux gauche, j’y passe le bras dans le dos et j’le plaque contre le mur. De là, j’y choppe l’arrière de la tête, par les cheveux et j’y écrase la face dans le mur p’tète bien cinq fois avant de le laisser tomber au sol. J’y remet un coup de latte pour la forme et pour avoir tenté d’me buter et il perd ses couleurs. Nice ! J’récupère le mec, et j’le balance par la fenêtre, pas de ça chez moi.
J’prends son arme aussi, j’regarde combien il a de balles. Il en reste sept, ça peut me permettre de tenir. J’fous tout ça dans ma poche et j’referme la porte avant de me laisser tomber sur mon lit. La cohésion de la Lumière, c’est d’la merde. Une petite guerre civile et ça vole en éclat, j’me demande combien la coalition prendrait pour une info pareille.
J’prends mon gummiphone, GummiNow est en ébullition. Et forcément… comme ça sonne un peu compète, D.Va à pas pu s’empêcher de l’ouvrir. Ça me fait sourire, ça. Elle prend vraiment des risques pour rien. Faut quand même que je demande aux potes si ça va. J’envoie un message genre « Yo ! Tu t’en sors ? » à Jecht, et un autre à D.Va justement.
En fonction de c’qu’on me répond, j’saurai plus ou moins où aller. En attendant… J’vais rester là, on verra bien. Juste un truc… histoire qu’on soit sûr. J’me pose à la fenêtre, et j’gueule un bon coup histoire qu’on m’entende.
Ici Roxas ! Le premier… que j’surprend a venir foutre la merde dans mon couloir, non seulement je l’démonte mais j’garde sa sale tronche en mémoire et j’lui nique sa mère pour de vrai une fois le jeu fini. Pigé ?
S’y sont pas trop cons… Y devraient éviter de v’nir m’faire chier.
Lun 1 Fév 2021 - 21:25Là, j’étais devant la télé a bouffer un bol de miel pops en regardant vaguement la pub. J’réfléchissais en fait. J’suis sûr que t’aurais aimé savoir à quoi, mais là c’était trop perso j’pouvais pas te raconter. Les pubs partent, y’a la météo de Janna… Ouais, m’étonnerait qu’y s’mette a flotter dans ma chambre, hein.
« Vous vous demandez sûrement pourquoi je suis habillée comme cela ! « On s'en bat l'oeil ! »
J’pencher la tête sur le côté, et j’lève un sourcil. Qu’est-ce qu’ils nous inventent encore ces cons là ? Ça suffit pas de foutre son zen partout, maintenant ils font des sketches. C’est d’un nul…
« Chers citoyens des mondes libres ! Vous n'êtes plus libres ! Je suis le Lord Business et je viens de la Salle d'Arcade ! Cet endroit que vous assiégez, que vous essayez de réguler et dont vous convoitez l'ensemble des médailles ! À mon tour ! Je vous assiège, vous et tous vos mondes ! Et mon armée ?! Huhum... »
Là j’commence à me demander si le gars est sérieux. J’pose mes céréales sur le côté, sur la table de chevet à côté de mon lit et j’me concentre un peu plus. Donc le gars là, moche, il prend en otage… tout le monde et tout les mondes ? A-hin. Je hausse les épaules, suffit qu’au pire, on monte une équipe, qu’on aille le trouver, et qu’on le défonce ? Problème réglé, c’qui prendrait deux semaines a n’importe quel groupe, ça nous prendrait deux minutes à notre squad.
L’interruption de programmes s’achève, et… la télé revient pas. On reste sur un « on revient bientôt » j’sais pas trop quoi, et c’est la première fois que je vois ça. C’est p’tête du sérieux et pas une mise en scène ? Ouais ?
T’sais quoi, j’verrais demain. J’passe aux chiottes pisser un coup, puis j’me défroque et me glisse sous ma couette. Ça devrait en parler à la salle d’audience, je laisserais traîner mes oreilles. J’me tourne face contre le mur, j’ferme les yeux en attendant qu’on m’emporte… Faut que je retourne prendre des nouvelles d’Adonia demain, aussi.
Pis… normalement à cette heure là, le château se calme, il s’endort ouais. J’dis pas, de temps en temps t’entends quelques gardes gueuler, soit parce qu’ils sont bourrés, soit parce que y’a des sans coeurs qui viennent foutre la merde, mais là ça dure. Ça dure genre, vraiment trop longtemps à tel point qu’ça en devient louche.
J’me relève et j’vais à la fenêtre de ma chambre, une de celles qui donne direct sur la cour, et j’vois des cons de gardes en train de se foutre sur la gueule. T’en a deux là, les épées croisées en train de forcer comme des malades. J’leur dirai bien d’arrêter mais c’est beaucoup plus drôle de les laisser se faire engueuler par le Général Primate. Pis finalement, t’as un mec qui arrive et qui les flingue, les mecs deviennent tout gris. Ils arrêtent de se battre et regardent celui qui leur a tiré dessus. J’crois qu’ils s’engueulent.
Le mec tente de s’expliquer, et bim, y’a un bouclier qui traverse tout le couloir et qui le shoote en pleine tête. Lui aussi il perd ses couleurs, en même temps de tomber dans les vapes. Donc… c’est du sérieux, j’imagine ? Je soupire. C’est déjà la merde de partout, y’avait franchement pas besoin d’en rajouter. Ca durait combien de temps cette merde déjà ?
Pas le temps d’y réfléchir, y’a un coup de feu qui résonne dans le couloir, suivi de trois autres. Y’a des cris, et ça… je crois que c’est une explosion qui vient de l’autre côté. OK. J’entre-ouvre ma porte et j’me mets contre le mur en attendant que quelqu’un passe. J’l’entends ce petit connard, il marche dans ma direction. J’suis pas sûr qu’il sache à qui c’est c’t’appart. J’me tiens prêt. Il est genre a quatre pas, il avance quand même lentement, j’me demande s’il a flingué tout l’étage. Il finit par pousser la porte, et j’vois un flingue passer devant moi, tenu à bout de bras. J’le laisse un peu rentrer, j’mets ma main sur son poignet, j’le lui tord, il tire et finit par lâcher son arme. J’y met une gauche, deux gauche, j’y passe le bras dans le dos et j’le plaque contre le mur. De là, j’y choppe l’arrière de la tête, par les cheveux et j’y écrase la face dans le mur p’tète bien cinq fois avant de le laisser tomber au sol. J’y remet un coup de latte pour la forme et pour avoir tenté d’me buter et il perd ses couleurs. Nice ! J’récupère le mec, et j’le balance par la fenêtre, pas de ça chez moi.
J’prends son arme aussi, j’regarde combien il a de balles. Il en reste sept, ça peut me permettre de tenir. J’fous tout ça dans ma poche et j’referme la porte avant de me laisser tomber sur mon lit. La cohésion de la Lumière, c’est d’la merde. Une petite guerre civile et ça vole en éclat, j’me demande combien la coalition prendrait pour une info pareille.
J’prends mon gummiphone, GummiNow est en ébullition. Et forcément… comme ça sonne un peu compète, D.Va à pas pu s’empêcher de l’ouvrir. Ça me fait sourire, ça. Elle prend vraiment des risques pour rien. Faut quand même que je demande aux potes si ça va. J’envoie un message genre « Yo ! Tu t’en sors ? » à Jecht, et un autre à D.Va justement.
En fonction de c’qu’on me répond, j’saurai plus ou moins où aller. En attendant… J’vais rester là, on verra bien. Juste un truc… histoire qu’on soit sûr. J’me pose à la fenêtre, et j’gueule un bon coup histoire qu’on m’entende.
Ici Roxas ! Le premier… que j’surprend a venir foutre la merde dans mon couloir, non seulement je l’démonte mais j’garde sa sale tronche en mémoire et j’lui nique sa mère pour de vrai une fois le jeu fini. Pigé ?
S’y sont pas trop cons… Y devraient éviter de v’nir m’faire chier.