La vallée des gnous était vide et sillencieuse. Un léger vent soulevait le sable en formant des nuages brunâtres et crasseux. Aucun animaux ne se trouvaient dans les environs, pas une mouche, pas un insecte, pas un lion ni une hiène. Le décors étaient pauvres et crasseux, composés de rochers, d'os abandonnés par les hiennes passées au parravant et de morceaux de viande non terminés de divers animaux des savanes.
La porte des ténêbres de Marluxia s'ouvrit, rejetant le soufle des plaines situées face au manoir dans la petite vallée, emportant beaucoup de sable, le jetant sur les murs et formant des minis tornades qui s'éffacent après quelques deconde de vie.
Marluxia en sortit. Il marchat quelques pas sans se rendre compte de rien, mais la hauteur de sa vue dinit par le trair. Ses très courtes pattes d'oiseau lui firent peur, ainsi que ses ailes absolument inélégantes. Mais le plus étrange fut son long cou et son bec ridicullement courbé. Il battit des ailes quelques fois pour avancer, en se demandant ce qu'il se passait, puis sentit une drole de sensation. Il était attiré par les restes de viandes presque moisis qui trainaient dans un coin de la vallée.
*Que se passe-t-il ? Que suis-je devenus ?*
Il eu beau essayer de s'en empêcher, il finit par s'envoler et se précipiter dessus pour arracher, gober et avaler les morceaux pourtant si morbides. Il finit par se rendre compte de ce qu'il était devenus. Un vautour. Pitoyable et sarcastique création de dieu, un vautour.
L'instant où il s'en rendit compte il réalisat un bon en arrière, surprit par une pareille transformation. Il s'attendait à devenir un animal fort et puissant, un lion, un aigle, un tigre, mais pas un vautour !
Il s'envolat de quelques mètres, perturbé. Il se mit à battre des ailes comme si il avait toujours sut le faire, d'une manière plus naturelle qu'un vrai vautour. Mais une fois en l'air, il aperçut quelques sans-coeurs au loin. Il fit alors apparaitres sa faux, pret à se battre, mais elle tombat et vint s'écraser sur le sol dans un nuage de poussière. Marluxia pisaut vers le sol dans le but d'aller la rechercher. Après plusieurs essais, il finit par réussir à l'attraper. Mais els sans-coeurs n'étaient déjà plus là.
Il semblat à cet instant pour Marluxia qu'il ne s'abituerais jamais à rester un vautour tous au long du voyage en ce monde.
Jeu 29 Nov 2007 - 10:31La porte des ténêbres de Marluxia s'ouvrit, rejetant le soufle des plaines situées face au manoir dans la petite vallée, emportant beaucoup de sable, le jetant sur les murs et formant des minis tornades qui s'éffacent après quelques deconde de vie.
Marluxia en sortit. Il marchat quelques pas sans se rendre compte de rien, mais la hauteur de sa vue dinit par le trair. Ses très courtes pattes d'oiseau lui firent peur, ainsi que ses ailes absolument inélégantes. Mais le plus étrange fut son long cou et son bec ridicullement courbé. Il battit des ailes quelques fois pour avancer, en se demandant ce qu'il se passait, puis sentit une drole de sensation. Il était attiré par les restes de viandes presque moisis qui trainaient dans un coin de la vallée.
*Que se passe-t-il ? Que suis-je devenus ?*
Il eu beau essayer de s'en empêcher, il finit par s'envoler et se précipiter dessus pour arracher, gober et avaler les morceaux pourtant si morbides. Il finit par se rendre compte de ce qu'il était devenus. Un vautour. Pitoyable et sarcastique création de dieu, un vautour.
L'instant où il s'en rendit compte il réalisat un bon en arrière, surprit par une pareille transformation. Il s'attendait à devenir un animal fort et puissant, un lion, un aigle, un tigre, mais pas un vautour !
Il s'envolat de quelques mètres, perturbé. Il se mit à battre des ailes comme si il avait toujours sut le faire, d'une manière plus naturelle qu'un vrai vautour. Mais une fois en l'air, il aperçut quelques sans-coeurs au loin. Il fit alors apparaitres sa faux, pret à se battre, mais elle tombat et vint s'écraser sur le sol dans un nuage de poussière. Marluxia pisaut vers le sol dans le but d'aller la rechercher. Après plusieurs essais, il finit par réussir à l'attraper. Mais els sans-coeurs n'étaient déjà plus là.
Il semblat à cet instant pour Marluxia qu'il ne s'abituerais jamais à rester un vautour tous au long du voyage en ce monde.