Zeniro, le fuyard du désert.  Szp8Zeniro, le fuyard du désert.  4kdkZeniro, le fuyard du désert.  4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Zeniro



Identité

  • Nom : Xynortil

  • Prénom : Zeniro

  • Titre  :  On verra avec le temps ^^

  • Age :  23 ans

  • Camp : Lumière

  • Monde d'Origine :Agrabha

  • Race  : Waranverbin

  • Grade désiré : Bleusaille, vu que j’aimerais faire évoluer mon personnage.

  • Voix : Takumi (FE fate)

  • Thème :A new beginning




Physionomie


Je venais jeter un morceau de bois dans le feu déjà crépitant avec force, sa douce lumière venait éclairer la cavité terreuse dans laquelle j'avais réussie à me réfugier. Mon regard ambré brillait d’une lueur d’incompréhension et de tristesse alors qu’une larme venait rouler sur ma joue.

La goutte salée fit son chemin sur cette peau à l’allure douce et la carnation très particulière, divisée en deux couleurs distinctes, l’une verte formant la forme caractéristique d’un papillon ou d’un trèfle à quatre feuilles, elle prenait également une grande partie de mon corps fin et élancé. La deuxième d’un jaune pâle rappelant le sable de ma terre natale, prenant place sur une petite portion de mon visage, de mes mains et pattes.

Ce visage aux traits doux et portant encore quelques traces d’enfance était encadré d’une longue et soyeuse chevelure d’un blond doré. Coiffé en arrière, deux petites tresses suivaient la ligne de mes longues oreilles pointues et amovibles selon mon humeur, faisant souvent cliqueter les nombreuses boucles d’oreilles qui les décoraient.

Deux longues cornes trônaient sur cet océan lisse et doré tel deux rochers salvateurs, d’un brun rappelant celui des jeunes troncs d’arbres, ces dernières suivaient la courbure de mon crâne avant de remonter vers les cieux dans un début de torsade qui laissait entrevoir une pousse bien plus imposante aux fils des années. Leurs bases portaient trois plus petites pointes qui se chevauchaient pour former un bouclier naturel.

Le bois éclata, laissant échapper quelques morceaux de charbons qui tombèrent sur mon haut de cuir. D’un geste las de la main, j'avais finis par m’en débarrasser tachant la protection de mon torse. Ce dernier était finement sculpté par les nombreux entraînements et exercices que j’avais reçus. Un foulard rappelant le rouge d’un coucher de soleil encadrait mon bassin, tombant sur un pantalon beige en toile fine et pour autant robuste.

Un bruit me fit redresser la tête, ils étaient proches, je ne pouvais rester plus longtemps sur place. Éteignant le feu avec le sable environnant, j’avais fuis, empoignant mon arme au passage avant de m’enfoncer dans la galerie. Cette arme était la prunelle de mes yeux, une épée qui au premier abord semblait simple, un manche en bois noir sur lequel reposait un pommeau finement sculpté et doré. La lame large à la base s’affinait sur toute sa longueur. Mais ce qui faisait sa spécificité étaient les quatre cavités dans laquelle flottait tranquillement quatre orbes bleus.

Je forçais le pas, mes pattes soulevaient le sable à chacune de mes enjambées. Puissantes, robuste et élancées, elles se terminaient par trois doigts griffus qui n’avaient aucun mal à s’accrocher aux parois abruptes des galeries. Ma longue queue caudale se balançait dans le rythme effréné de ma course, balancier indispensable pour moi.

Un sifflement me fit baisser les oreilles alors qu’une flèche se plantait dans le sol. Ils m’avaient rattrapé. Une douleur avait éclos brusquement quand une autre flèche vint percer la peau de mon bras gauche. Le liquide carmin avait longuement coulé pour atteindre mes protections en tissus sombres, les imbibant. Je baissais la tête et accélérais avec comme seul espoir de survivre à cette chasse.

Question vis-à-vis du Physique :

Je ne suis qu’un jeune soldat au sein de ma race, néanmoins je dispose de quelques aptitudes assez spécifiques. De part ma finesse et la légèreté de mon corps, je fais preuve d’une vitesse, agilité et dextérité non négligeable. Je maîtrise assez bien mon épée bien que mes techniques soit très décousues et approximatives. Je possède une force supérieure à celle d’un humain lambda et ma taille (2m15) peut me donner certains avantages comme inconvénients, un être de petite taille saura parfaitement éviter mes coups et me forcer a me baisser, m’obligeant à baisser ma garde pour de potentiels ennemis.

Niveau style de combat, je suis du genre à esquiver les attaques pour laisser mon adversaire s’épuiser avant de venir frapper avec rapidité.

Niveau magie, je connais les bases avec une affinité à la magie blanche mais rien d’extraordinaire, un sort de soin très mineur et de quoi jeter quelques boules de feu de la taille d’une balle de tennis.




Psychologie


Quoi ? Je dois de parler de mon caractère ? … Vous est sûr, je ne suis pas bien intéressant en réalité. D’accord si vous avez du temps à perdre avec moi …

Par quoi commencer ? On me dit souvent que je suis quelqu’un de doux et gentil, prêt à venir en aide à ceux qui en ont le plus besoin, je peux paraître même naïf par moment, voyant du bon en chaque être même les pires, je ne crois pas qu’on puisse être foncièrement mauvais.

Malgré cela il met difficile de me mêler avec mes pairs, je ne comprends pas le monde qui m’entoure, les gestes, les manières, les us et coutumes. Le monde de la capitale m’effraie, cette opulence, ces bruits, toutes ses richesses affichées au grand jour, pour moi qui viens d’un monde où la pauvreté est reine, cette grandeur est étouffante et je me renferme souvent sur moi-même, baissant le regard dès qu'on pose le sien sur mon être, je ne parle pas bien fort, ne prend que rarement l'initiative de commencer une discussion, de peur de déranger.

Cependant je suis loin d’être un lâche, je n’ai pas peur de prendre les devants quand il s'agit de protéger quelqu'un ou quelque chose auquel je tiens. Je suis prêt à faire tout les sacrifices pour aider les autres sans rien demander en retour.

Si j'arrive à nouer des liens, on découvre que je suis quelqu'un de souriant et parfois un peu taquin sans pour autant devenir lourd et envahissant. J'accorde ma confiance à ceux que j'en juge digne et je suis d'une loyauté sans faille pour ces derniers.



Race


Le Waranverbin est une race assez particulière du monde d’Agrabha.
Cette dernière vit cachée dans les galeries souterraines naturelles du désert. Vivant grâce aux nappes phréatiques, la chasse, une activité minière et une agriculture difficile.

Les waranverbins sont des êtres humanoïdes aux attributs draconiques, pattes, queue, cornes et possiblement des ailes membraneuses. Leurs couleurs de peau est très variée pouvant aller du pastel a la plus sombre, avec une large gamme de marques corporelles tigré, moucheté, tacheté ou encore des formes géométriques. Leurs yeux qui peuvent être hétérochrome, pupilles fendue, ronde ou sans pupilles. Leurs cheveux sont pareils à ceux des Humains.

Leur taille varie entre 2m et 3m, leur poids est assez léger car ils possèdent une ossature rappelant celle des oiseaux. Il y a quelques différences physiques entre les mâles et les femelles.

Mâle : Possède entre 3 à 4 paires de cornes, Une queue moyennement longue soit la moitié de leur taille, des piques sur les épaules.

Femelle : Possède entre 1 à 2 paires de cornes, une queue plus longue que la moyenne,un peu plus que leur taille, absence de piques sur les épaules.

Il est cependant possible qu’un mâle est les attributs d’une femelle et vice-versa.

Une autre spécificité de cette race est leur arme : Dès que la femelle est enceinte, le mâle entreprend la création d’une arme blanche, épée, dague, lance ou bien marteau ou masse. L’arme est faite selon l’imagination du parent.


À la naissance, l’enfant se retrouve lié par magie à cette arme, il ne peut brandir que cette dernière pour chasser, se battre et se défendre. Avec le temps le lien entre l’arme et son propriétaire se renforce et certains sont même capable de “communiquer” entre eux. Si l’arme se retrouve ébréchée ou mal entretenue, le propriétaire ressentira une douleur mentale, Un arme cassée peut amener à la folie car le lien entre eux est brisé.

Les Waranverbins est un peuple vivant sous une monarchie, Il y a donc un roi et une reine, des aristocrates/bourgeois, un conseils qui met en place les décrets et lois vues avec le roi, une garde personnelle pour le couple royal, un corps d’armée puis vint les marchands, exploitants de ressources, les paysans et les civils.

Le couple royal, le conseil, les bourgeois ainsi que le corps d’armée et les marchands vivent dans la grande capitale : Narlandia. Cette dernière est ensuite entourée par de petites bourgades puis des petits villages pauvres.

Les waranverbins sortent peu de leurs galeries durant la journée, ils préfèrent attendre la nuit tomber. Ils sont accueillants envers les personnes perdues dans le désert ou en manques de nourritures et eau.




Histoire


Je suis le deuxième enfant d’une famille de paysans, mon grand frère Selvira, j’en n’ai que très peu de souvenirs, étant partie quand j’avais 6 ans. Je me souviens de lui que grâce aux très rares illustrations que ma familles avait pu s’offrir.

J’ai aidé mes parents avec les quelques cultures qu’ils avaient, nous étions pauvres mais l’amour que nous nous portions nous aidait à surmonter les difficultés de la vie. Cependant quand je fus dans l’année de mes 20 ans, mon père tomba malade et nous dûmes utiliser toutes nos économies pour le soigner. J’ai eu beaucoup de temps pour réfléchir à comment les aider pendant que je labourais la terre devant notre maison. Mon choix fit pleurer ma mère et soupirer mon père.

- En es tu sur mon fils ? S'écriait ma mère alors que les larmes couler sur ses joues.
- Rien ne me fera changer d’avis … Et puis-je vous enverrai de l’argent, cela vous aidera. Lui dis-je alors que je l’aidais à s’asseoir.

Mon père était resté silencieux mais alors que j’étais en train de rassembler le peu d’affaires que je possédais, il me tendit un long paquet.

- Je l’avais forgée avant ta naissance, je voulais attendre le bon moment pour te la donner … Elle te revient de droit maintenant … Tu es devenu un homme Zeniro.

Sa voix était tremblante dû à l’émotion qui l’habitait, mon père avait toujours prit sur lui, pour paraître fort devant tous les soucis qui nous tombaient dessus et de le voir ainsi me serra le cœur.

Après de long adieux, j’ai finalement pris la route pour rejoindre la Capitale. Il m’aura fallu trois jours pour enfin voir les hautes tours de pierres du château. On me fouilla longuement au poste de contrôle avant que je ne puisse enfin mettre les pattes dans Narlandia. L’ambiance me mis de suite mal à l’aise, c’était beaucoup plus vivant et bruyant que dans mon petit village. On me bouscula plusieurs fois et je du demander mon chemin autant de fois avant de trouver la caserne.

Remontant mon sac sur mon épaule, je me présentai au garde qui m’indiqua d’un mouvement nonchalant de la tête la direction pour m’enregistrer. La salle était déjà remplie de jeunes et d’hommes, Je remarque que beaucoup sont comme moi, de simple paysans venu pour aider leurs familles. Certains semblaient effrayés, d’autres restaient silencieux et fixait un point. Une main se posa sur son épaule et le fit sursauter.

- Ahahah du calme ! Tu es tout tendu !

La voix était moqueuse mais sans méchanceté, Je me retourne et tombe nez à nez avec un autre garçon, il devait avoir le même âge que moi, un peu plus grand. Ses yeux d’un bleu saphir pétillaient de malice et trois imposantes cornes torsadées trônaient sur ses courts cheveux noirs.

- Alors toi aussi tu viens t’engager!
- Heu oui … comme nous tous ici je suppose …
- Ahahaha oui c’est vrai! Je suis Marlonne et toi?
- … Zeniro …
- Et bien Zeniro, ravie de faire ta connaissance!

Marlonne me laissa alors qu’un homme en armure entrait à son tour dans la pièce.

- Bien ! Monsieur si vous est ici, c’est pour rejoindre notre glorieuse armée mais avant ça la route sera longue. Vous avez tout apprendre ! Je vous le dis tout de suite, peu d’entre vous seront encore là a la fin de la formation. Seul les plus fort, endurant et au mental aussi solide que l’acier sauront faire face aux épreuves qui vous attendent. Alors si y en a qui le veulent, vous pouvez encore partir, nous ne vous jugerons pas … Personne ? Très bien. Bienvenue en enfer messieurs. Je suis le Général Lionzal et je serais votre pire cauchemar pour toute la durée de votre entraînement. MAINTENANT METTEZ-VOUS AU GARDE À VOUS ET PLUS VITE QUE ÇA!!

Sursautant, je me mis maladroitement en place. Déglutissant, je ne pouvais plus faire marche arrière.


Durant trois longues années, j’ai subi avec mes camarades ce long entraînement. Je voyais les plus faibles partir petit à petit, réduisant nos rang et le moral a chaque départ, mais cela ne m'empêchais pas d’aider dès que je le pouvais. Marlonne et moi devinrent très vite ami, il était toujours là quand on avait besoin de lui, il remontait le moral avec des mots encourageants.

Je faisais mon possible pour ne pas montrer de faiblesse, les exercices et entraînements m’avait forgé un corps athlétique sans pour autant retirer ma souplesse et dextérité naturelle. Finalement à la fin de notre troisième année, notre calvaire prit fin et sur la centaine d’hommes qui étaient venus au départ, nous n'étions plus qu’une vingtaine.

On m’avait rattaché au peloton de surveillance avec Marlonne. Pendant deux semaines, nous avons arpentaient les rues de la Capitale, cherchant les membres d’un groupe de réfractaires. Ces derniers n’étaient pas en accords avec les agissements qu’avait eus la Coalition Noire dans leur monde. Secrètement, j’étais du même avis mais je ne pouvais en parler à personne, même pas à Marlonne qui lui portait la Coalition en héros.

Un soir alors que je finissais une patrouille, je fus abordé par les fameux membres, ils avaient su que j’étais d’accord avec leur vision des choses. Ils ne m’on jamais dit comment ils l’avaient deviné mais peu de temps après, j’avais rejoint leurs rangs en tant que taupe dans l’armée. Discrètement, je leur donner les tours de gardes et chemins qui aller être empruntés durant la nuit.

Malheureusement, tout sauta le jour où Marlonne me surprit en pleine transaction. Un combat eut lieux, il ne comprenait pas pourquoi je les avaient trahis et j’avais beau lui expliquer, il refusait de me croire. Il réussit à faire sauter mon épée de mes mains et me tint en joue contre le sol, je voyais dans son regard qu’il était à la fois triste mais aussi dans une colère noire. Il leva son arme, prêt à me porter le coup final quand je réussi à esquiver d’un bond sur le côté. J'avais réussi à ramasser mon arme grâce à ma queue et tout se passa très vite. Usant de ma souplesse, j’avais sauter contre un mur avant de me tourner durant ma descente, ma lame siffla dans l’air avant d’entamer le visage de Marlonne, le privant de son œil droit.

Horrifié par ce que je venais de faire, j’ai fuis comme un lâche, laissant ce qui fut mon meilleur ami se vider de son sang pendant qu’il proférait la menace de me retrouver et de me tuer. J’ai couru vers la sortie de la ville, je devais quitter la capitale, quitter ce monde pour rejoindre l’ennemi de la Coalition. M’engouffrant dans la galerie qui donnait accès à la surface, j’entendais les cris de la garnison qui me pourchasser.

Sans aucune vergogne je défit ma lourde armure de métal qui tomba au sol, je n’avais plus qu’une maigre protection de cuir mais au moins je pouvais courir plus vite et moins me fatiguer. Rapidement je mis de la distance et après une course de plusieurs heures, je dû m'arrêter pour reprendre mon souffle et un peu d’énergie.

C’est devant un feu de fortune que je me repasser la scène en boucle, pleurant la perte de mon meilleur ami, je ne put continuer à me lamenter sur mon sort, J’entendais de nouveau le bruit des armures au loin, ils m’avaient rattrapé. Le feu fut éteint et je repris ma course, cependant une flèche réussie à m’atteindre au bras.

Je ne sais pas comment j’avais fais, mais j’avais réussi à rejoindre la surface, Agrabah n’était pas loin. Bandant mon bras avec un tissu de fortune, je m'étais mis en marche. Le soleil me brûlait le corps, je voyais ça comme un début de punition pour ce que j’avais fait. J'avais mis plusieurs heures pour atteindre Agrabah et la station Shin-ra. Payant pour rejoindre Costa Del Sol, je savais que je pourrais ensuite prendre une autre correspondance pour atteindre le monde que je voulais. Remerciant mentalement les membres du groupe qui m'avait renseignés sur la chose et finalement c’est une fois dans le vaisseau que je pu me laisser aller dans l’inconscience.

Je ne savais pas combien de temps avait duré le voyage mais a mon réveil, nous étions arrivés à Costa Del Sol. Descendant du vaisseau je fus accueillis par une ville respirant la bonne humeur. Le soleil était bien plus doux qu'à Agrabah. Mais je n’étais pas là pour en profiter, ma correspondance partait dans quelques minutes et il me restait tout juste ce qu’il fallait pour payer le ticket.

Je ne pouvais plus reculer de toute façon...




Questions diverses



1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Il aura un peu de mal à comprendre ce qui lui arrive mais il en est capable ^^

2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
Un Gecko léopard.

3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Sans faille s’il vous fait entièrement confiance. Pour lui prendre soin de ses camarades est aussi important que son propre bien-être.

4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Il n'est pas très difficile pour Zeniro de ce faire des amis, c'est une bonne patte, il essaiera toujours de rendre les gens autour de lui heureux ou du moins bien quand il est avec eux.
Au niveau de ses relations amicales, il ne lui reste plus grand chose après sa fuite. Quelques membres du groupe réfractaire, mais ce qu'il espère le plus est de réussir a retrouver l'amitié qu'il avait avec Marlonne.

5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
Même si la peur s’empare de moi, je ne reculerais pas!

6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points forts et points faibles?
Mon seul point fort je pense que c’est mon imagination. Sinon j’ai pas mal de points faibles comme l’orthographe, la construction de mes phrases, mes phrases plates sans vraiment d’âme et surtout le fait que je mélange mes temps, je dois vraiment travailler ça!

7) Pourquoi incarner ce personnage ? Et pourquoi pas ? Non en vrai j'avais un dessin qui traîner dans mes dossiers et je me suis juste demandé s'il avait pas sa place dans le merveilleux univers de KH. Jamais eu trop de mal a incruster mes perso/races dans un univers.


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Salut ! Commençons, si tu veux bien !

Alors le physique m’a plu assez vite. On est dans un style très différent de ce que je viens de lire, c’est beaucoup plus classique (ce qui n’est pas un mal). Les descriptions prennent leur temps, sont fort étoffées. Tu vas dans le détail, tu fais ça vraiment sérieusement. Le style est même assez poétique. Tu fais beaucoup de comparaisons qui sont intéressantes, assez mignonnes. Les cheveux blonds sont un océan. Les cornes sont des rochers. La peau est un papillon. La couleur de la peau est le sable de son pays natal. Bref, y a une réelle intention nostalgique, métaphorique, qui me plait beaucoup.
Pour le coup, j’avoue que tu es pile de ce que j’attends d’une description physique. Non seulement tu décris tout ton personnage au sein du rp. Tu décris d’autres choses, notamment et surtout le feu de bois, la fuite. Mais en plus de ça, tu nous introduis vraiment le récit. Le lecteur ne comprend pas ce qu’elle fuit, ce qu’elle est, ce que sont ces orbes sur son épée. Bref. Tu mets du mystère.

Quelques petites « fautes » :

Une queue caudale : Caudale veut dire « relatif à la queue », donc… queue caudale, c’est un pléonasme. Une queue, c’est forcément caudal. L’adjectif en devient superflu. Souvent on dit « appendice caudal ».
Si ta chevelure est un océan, pourquoi les cornes sont-elles des rochers salvateurs ? Un rocher c’est pas salvateur dans l’océan. A mon sens, tu aurais dû préférer « île salvatrice ».

Le caractère, je vais commencer par une critique :


« Quoi ? Je dois de parler de mon caractère ? … Vous est sûr, je ne suis pas bien intéressant en réalité. »

Vous est sûr, c’est un peu dommage. Une relecture aurait pu facilement éviter cette faute. C’est « Vous êtes sûr ? ». J’en profite pour signaler qu’il y a en effet des fautes dans ton texte. Souvent grammaticales, parfois de relecture. C’est pas choquant, c’est très lisible, mais oui. A la lumière, tu auras l’occasion d’avoir des commentaires parfois centrés sur l’orthographe (notamment avec moi).

Sinon le caractère, je l’ai trouvé chouette =) Objectivement moins travaillé et intéressant que le physique mais voilà, ça se laisse lire. Ton style est mignon.

Passons à l’histoire :

Alors c’est du bon boulot. L’histoire est sympa, le contexte est clair, l’idée est bonne. J’ai, en gros, plutôt bien aimé tout ça. Non vraiment c’est chouette. Après y a deux choses qui m’ont un peu gêné.

Au début, quand tu parles d’une race souterraine dans Agrabah, franchement j’étais content. Mais j’avoue que quand tu as parlé de capitale… visiblement assez big… J’ai trouvé ça justement un peu trop énorme. A partir du moment où on n’en a jamais parlé avant sur le forum, une race visiblement très importante me semble un peu disproportionnée dans le monde d’Agrabah. Après à nouveau j’aime bien le reste de l’idée, je l’aurais juste préférée un peu plus réduite.

Et sinon l’autre petite chose, vraiment plus petite, c’est… ce moment où tu dis que les gardes (et globalement le roi) sont fidèles à la Coalition noire à Agrabah. C’est pas mal, en vrai. Tu intègres bien ton peuple dans la logique KH mais voilà, ça souligne la bizarrerie du fait que nous n’ayons jamais parlé de ce peuple avant à la Coalition noire, tu vois ?

Enfin bon, passons ! J’ai bien aimé cette fiche ! Je souligne le fait que tu es la première personne à préciser quelle est la voix de ton personnage ^^ Et ça m’a fait rire !
Bon il n’y a pas de suspens pour ton grade ^^
Je te donne Bleusaille !

Fiche validée et toutes conneries du style.
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