Il me reste… Regardons le carnet… Quatre heures et dix armures à forger !
- Claph !!! Claph’outi ! Diable de pompon…
Les pattes serrées, j’arrive sur le chemin de ronde que j’arpente en laissant un œil sombrer vers la grande forge. Il s’agit du coeur de l’endroit et il est totalement éteint. Il y a une petite flammèche, toute triste, dans un bassin de cinq mètres de large.
- Claph’outiiiiiiiiiiiiiii !!!
Hop, je me repose mes petites ailes et je virevolte du chemin jusqu’au bac à refroidissement au plus bas. Il est vide ! Rah ! Il n’y a pas de temps à perdre, ce n’est pas avec du vide que je vais refroidir les plaques de mate.
- Il est où, le tuyau…
Robinet et pas de tuyai, quel est cette histoire ! Mince, il y a déjà le sol qui gronde. Ulthane ?! Il n’est pas encore neuf heures à moins que nous soyons mardi !
- Kupo, kupo, kupopo…
On abandonne le carnet et direction l’armurerie, l’autre idiot était à cet endroit la veille. Il a une chance de l’avoir.