De jour comme de nuit, la Citée du Crépuscule est plongée dans l'obscurité… depuis combien d'années ? Trop pour compter. Jack avait ce désir lancinant revenant incessamment ; celui de devenir une ombre pour se fondre dans le décor obscur. De disparaitre dans l'encre des silhouettes flous des bâtiments comme des gens, de se faufiler entre les lampadaires de la ville pour disparaitre complètement. Qu'on ne le voit plus, qu'on ne l'entende plus, qu'on ne le regarde et ne l'écoute plus. Cette envie impérieuse, ce besoin irrégulier, d'échapper à l'oeil des gardes noirs qui ne sont jamais contre une inter, ceux qui font le piquet ou leurs rondes à s'ennuyer des heures. Jack les voyait, comme tout citoyen, tourner et se démanger de trouver une intervention à faire. L'ennui, de là vient le zèle des gardes noirs qui sautent sur la première occasion pour s'occuper… qu'ils doivent être cruel ou injuste n'est qu'un détail après ça. Vous le sentez puis le comprenez, lorsque l'un d'eux pose sur vous ses yeux doucement nerveux : ils attendent impatiemment un faux pas. Un mot de trop. Une raison ou un prétèxte pour justifier de toutes ses heures où ils ne servent à rien, sinon à être là, au cas où.
Blafard et livide comme un mort, Jack était terrifié. Pétrifié à la couleur calcaire. Pourtant, ce ne fut pas la garde noire qui l'inquiétait… pas plus que d'habitude en tout cas. Et ce ne fut pas la sinistre intendante non plus qui fit trembler ses mains au point d'en faire vibrer sa cigarette.
Ce fut l'effroi seul d'avoir rencontrer le macabre Boss de la Coalition Noire qui hantait Jack et l'agitait. Des visions de morts en pagailles l'envahissaient. Lui qui désirait disparaitre, s'effacer et ne plus être ni vu, ni entendu… venait justement de l'être par l'être le plus puissant de la Coalition Noire. Après des années à se faire discret comme à passer entre les gouttes, à faire son travail bien comme il faut sans zèle ni heures supplémentaires… voilà que Mort avait posé les yeux sur lui, bien décidé à le faire travailler. Et pour quel mission en plus ?! La pire de toutes ! S'il fallait tuer quelqu'un ? Collecter l'impôt ? Offrir une séance de torture ? Ca aurait été simple ; Jack aurait réussi sa mission ou non. Or, là, le Faucheur exigeait de lui… un spectacle et… ca avait cette subtilité que… ça devait lui plaire. Le Chien Noir se sentait comme le bouffon d'un horrible roi, tremblant et nerveux au moment d'essayer, désespérément, de le faire rire pour garder sa tête bien rivé sur ses épaules.
Mort eut posé ses yeux sur Jack… et en bien comme en mal, le Chien Noir ne pouvait plus espéré être oublier. D'espéré, il comprenait que soit sa mission serait une réussite et ainsi, une autre suivrait. Soit il échouerait et en paierait le prix.
Tremblant, apeuré par son chef mais rageur du destin qui décida de le lier à lui, Jack jeta sa clope à moitié entamée au sol, la laissant encore fumante dans le cimetière de mégot à ses pieds. Pour s'en rallumer une autre dans la foulée et partir en direction de la Place des Fêtes où se déroulait les tournois de Struggles. Et ca faisait si longtemps, bon sang. Désormais, la place était connue pour ses discours machiavéliques et exécutions en tout genre. Là-bas, toute une équipe de sous-fifres attendait Jack… et s'ils ne voulaient pas obéir ?! Sans parler de cette créature en cage qu'il faudra surveiller et… plus ou moins maitriser. Jack avait le trac, assez peureux de devoir rencontrer touts ceux qui seraient les serviteurs du régisseurs que Death fit de lui. Ca ne pouvait pas foirer. Et si la créature s'échappait ? Et si parmis son équipe, il y avait esclaves ou prisonniers qui viendraient tout saboter ? Rien ne devait être laissé au hasard, ça ne pouvait pas foirer.
Les dents serrés en s'approchant à pas préssé et nerveux de sa destination, Jack appréhendait cette mission comme jamais. Arachné, il l'avait rencontré aussi mais… avec elle, il n'eut qu'à subir. Rien à faire, donc ! Là… il avait des responsabilités… et ça ne l'enchantait que moyennement. Suffisait qu'un seul de ces tocards sous ses ordres fasse une bourde, qui paierait les pots cassés ? Nul n'ignore que même mort, on continue de servir le Boucher de Grimm. Même le décès n'est pas une échappatoire. Ainsi se déroule, réglé comme du papier à musique, la routine de terreur de la Coalition Noire. L'avantage, par contre, c'est que Jack comprenait que jusqu'ici, sa vie n'eut pas été si térrible. Et bon sang, ca serait quoi après ? L'idée lui vint de fuir… juste, simplement, de partir… mais pour allez où ? Et faire quoi ? Avec qui ?
La Mort elle-même n'était plus une échappatoire…
Anjanath, aussi surnommé "Gros Tas", siège en plein centre de la Place des Fêtes ; saucissonné par les barreaux de sa propre cage. De jour comme de nuit, la Coalition Noire l'affame pour ne lui donner, qu'à intervalles irréguliers, quelques prisonniers à exécuter. Tout droit venu d'Oerba, ce… béhémot… sert plus ou moins de guillotine vivante. Au moins ne laisse-t-il rien des exécutés, ni os ni viandes, sinon quelques éclats de sangs. Evidément dangereux, sujet à répandre destruction et chaos, la créature dès plus vorace n'est pas laissé sans surveillance. L'intendante Underwood l'a mis sous bonne garde, une paire de garde noire surveille chaque entrée-sortie, rue ou ruelle, qui mène à la sinistre Place des Fêtes. Jack observait, déprimé et fatigué, cette si effroyable créature… qui s'agitait pitoyablement en tentant de le dévorer. Si notre homme s'en était approché prudemment, maintenant qu'il savait à quelle distance se tenir, le prédateur paraissait juste pathétique à s'obstiner désespérément.
Dans un soupir, Jack comprit que libérer ce monstre n'était pas une option… pas pour lui, en tout cas. Elle était bien trop dangereuse, trop puissante pour être maitrisé avec ses pauvres moyens.
Pourtant, si effrayant qu'il soit, Anjanath ne faisait pas plus peur à Jack que Death et ce dernier eut son caprice, rappelant Ariez à notre homme. Le grand chef voulait… ni plus, ni moins… qu'une course d'obstacle où cette bête serait partie prenante. Il n'y avait pas à négocier, rien à expliquer. A la Coalition Noire, qu'on vous demande l'impossible ne vous dispense pas d'y arriver. Puis au final… ce monstre en cage ne peut que vous dévorez ou vous étripez. Là où Death peut ordonner à son Intendante de vous torturez des jours entiers, vous tuez… puis vous relevez en goules ou sans-cœurs et vous asservir une éternité durant.
L'oeil soucieux, Jack resta presque une heure à faire les cents pas, enchainant clope sur clope en se grattant le crâne. Les Gardes Noires purent l'entendre s'épancher de râles et grommelant, parfois, il gémissait ses pleures refoulés. L'air d'un fou ou d'un spectre en souffrance qui hantait la place. Pourtant, quand les esclaves furent arrivés jusqu'à la Place des Fêtes, Jack eut ce déclic qui lui permit d'avancer dans sa mission. La cage ne bougerait pas, la monstrueuse créature qu'elle renfermait non plus ; ce serait le centre de la course d'obstacle.
Vociférant d'aboiements ses consignes, les pauvres esclaves soumis ne bronchèrent pas, surtout avec l'oeil nerveux des Gardes Noires plutôt ennuyé de bloquer des accès. On sentait toute cette envie de leurs parts de se déchainer, l'attente d'une raison ou d'un prétèxte pour attaquer.
Très vite, les barrières Héras ont commencés à s'installer en spirale dont le centre fut la cage. Et à la toute fin, elles seront électrifiés. Des batteries de voitures, camions ou vaisseaux et quelques pinces crocodiles suffiront. Ca va déjà un premier piège… une sorte de "Docteur Maboule" géant où il ne faut surtout pas toucher les bordes. Et surtout, si la cage est fermée, la seule sortie de la spirale le sera aussi : verrouillé par un cadenas. Où est la clef… ? Accroché sur les barreaux de la cage du gros tas… à l'intérieur, évidement, que le jeu soit juste et qu'Anjanath ait une chance de vous croquez. Pour le reste, les pièges seront un peu classique, hélas. Des armes à feux seront disposés ici et là, la gâchette relié aux grilles par un fil de détente qu'il ne faudra surtout pas toucher.
Sauf qu'à chaque arme à feu -et arbalète aussi à cause du budget-, il y aura ce fameux fil qu'il ne faudra pas trop tirer sous peine de déclencher l'arme… et tout un tas d'autres fils pour embrouillez les participants.
Et puisque ça fait toujours son petit effet, Jack a envoyé une missive au Sergent Leeds du Château de la Bête, réclamant des pièges à loups au nom de Death. La mâchoire de métal qui se referme au pas malheureux d'un inconscient qui court… ca fait toujours son petit effet. Jusqu'ici, le thème récurant, c'était de ne pas courir comme un dératé sans réfléchir… mais il n'y a qu'une clef. Anjanath est trop féroce pour que de simples barrières électrifiés le retiennent mais allez… Death doit bien avoir quelques autres créatures en stock ? Après tout, si rien ne presse les concurrents, cette course d'obstacle sera bien trop facile.
Et… Jack se décida à rajouter des bidons remplis d'huiles et autres substances inflammables, prêt de torche posé à même le sol dans un équilibre précaire.
" Ca devrait être assez… juste quelques ombres, squelettes, goules ou que sais-je en plus… et la course d'obstacle sera parfaite. En espérant que cela suffise à Death… "
Jack n'était pas si rassuré… pouvait-on vraiment lui en vouloir de ne pas pouvoir dominer "Gros tas" ?! Il n'avait jamais prétendu être si puissant et si c'était quand même ce qu'on attendait de lui… autant dire que c'était dors et déjà un homme mort.
Ven 3 Aoû 2018 - 12:33Blafard et livide comme un mort, Jack était terrifié. Pétrifié à la couleur calcaire. Pourtant, ce ne fut pas la garde noire qui l'inquiétait… pas plus que d'habitude en tout cas. Et ce ne fut pas la sinistre intendante non plus qui fit trembler ses mains au point d'en faire vibrer sa cigarette.
Ce fut l'effroi seul d'avoir rencontrer le macabre Boss de la Coalition Noire qui hantait Jack et l'agitait. Des visions de morts en pagailles l'envahissaient. Lui qui désirait disparaitre, s'effacer et ne plus être ni vu, ni entendu… venait justement de l'être par l'être le plus puissant de la Coalition Noire. Après des années à se faire discret comme à passer entre les gouttes, à faire son travail bien comme il faut sans zèle ni heures supplémentaires… voilà que Mort avait posé les yeux sur lui, bien décidé à le faire travailler. Et pour quel mission en plus ?! La pire de toutes ! S'il fallait tuer quelqu'un ? Collecter l'impôt ? Offrir une séance de torture ? Ca aurait été simple ; Jack aurait réussi sa mission ou non. Or, là, le Faucheur exigeait de lui… un spectacle et… ca avait cette subtilité que… ça devait lui plaire. Le Chien Noir se sentait comme le bouffon d'un horrible roi, tremblant et nerveux au moment d'essayer, désespérément, de le faire rire pour garder sa tête bien rivé sur ses épaules.
Mort eut posé ses yeux sur Jack… et en bien comme en mal, le Chien Noir ne pouvait plus espéré être oublier. D'espéré, il comprenait que soit sa mission serait une réussite et ainsi, une autre suivrait. Soit il échouerait et en paierait le prix.
Tremblant, apeuré par son chef mais rageur du destin qui décida de le lier à lui, Jack jeta sa clope à moitié entamée au sol, la laissant encore fumante dans le cimetière de mégot à ses pieds. Pour s'en rallumer une autre dans la foulée et partir en direction de la Place des Fêtes où se déroulait les tournois de Struggles. Et ca faisait si longtemps, bon sang. Désormais, la place était connue pour ses discours machiavéliques et exécutions en tout genre. Là-bas, toute une équipe de sous-fifres attendait Jack… et s'ils ne voulaient pas obéir ?! Sans parler de cette créature en cage qu'il faudra surveiller et… plus ou moins maitriser. Jack avait le trac, assez peureux de devoir rencontrer touts ceux qui seraient les serviteurs du régisseurs que Death fit de lui. Ca ne pouvait pas foirer. Et si la créature s'échappait ? Et si parmis son équipe, il y avait esclaves ou prisonniers qui viendraient tout saboter ? Rien ne devait être laissé au hasard, ça ne pouvait pas foirer.
Les dents serrés en s'approchant à pas préssé et nerveux de sa destination, Jack appréhendait cette mission comme jamais. Arachné, il l'avait rencontré aussi mais… avec elle, il n'eut qu'à subir. Rien à faire, donc ! Là… il avait des responsabilités… et ça ne l'enchantait que moyennement. Suffisait qu'un seul de ces tocards sous ses ordres fasse une bourde, qui paierait les pots cassés ? Nul n'ignore que même mort, on continue de servir le Boucher de Grimm. Même le décès n'est pas une échappatoire. Ainsi se déroule, réglé comme du papier à musique, la routine de terreur de la Coalition Noire. L'avantage, par contre, c'est que Jack comprenait que jusqu'ici, sa vie n'eut pas été si térrible. Et bon sang, ca serait quoi après ? L'idée lui vint de fuir… juste, simplement, de partir… mais pour allez où ? Et faire quoi ? Avec qui ?
La Mort elle-même n'était plus une échappatoire…
Anjanath, aussi surnommé "Gros Tas", siège en plein centre de la Place des Fêtes ; saucissonné par les barreaux de sa propre cage. De jour comme de nuit, la Coalition Noire l'affame pour ne lui donner, qu'à intervalles irréguliers, quelques prisonniers à exécuter. Tout droit venu d'Oerba, ce… béhémot… sert plus ou moins de guillotine vivante. Au moins ne laisse-t-il rien des exécutés, ni os ni viandes, sinon quelques éclats de sangs. Evidément dangereux, sujet à répandre destruction et chaos, la créature dès plus vorace n'est pas laissé sans surveillance. L'intendante Underwood l'a mis sous bonne garde, une paire de garde noire surveille chaque entrée-sortie, rue ou ruelle, qui mène à la sinistre Place des Fêtes. Jack observait, déprimé et fatigué, cette si effroyable créature… qui s'agitait pitoyablement en tentant de le dévorer. Si notre homme s'en était approché prudemment, maintenant qu'il savait à quelle distance se tenir, le prédateur paraissait juste pathétique à s'obstiner désespérément.
Dans un soupir, Jack comprit que libérer ce monstre n'était pas une option… pas pour lui, en tout cas. Elle était bien trop dangereuse, trop puissante pour être maitrisé avec ses pauvres moyens.
Pourtant, si effrayant qu'il soit, Anjanath ne faisait pas plus peur à Jack que Death et ce dernier eut son caprice, rappelant Ariez à notre homme. Le grand chef voulait… ni plus, ni moins… qu'une course d'obstacle où cette bête serait partie prenante. Il n'y avait pas à négocier, rien à expliquer. A la Coalition Noire, qu'on vous demande l'impossible ne vous dispense pas d'y arriver. Puis au final… ce monstre en cage ne peut que vous dévorez ou vous étripez. Là où Death peut ordonner à son Intendante de vous torturez des jours entiers, vous tuez… puis vous relevez en goules ou sans-cœurs et vous asservir une éternité durant.
L'oeil soucieux, Jack resta presque une heure à faire les cents pas, enchainant clope sur clope en se grattant le crâne. Les Gardes Noires purent l'entendre s'épancher de râles et grommelant, parfois, il gémissait ses pleures refoulés. L'air d'un fou ou d'un spectre en souffrance qui hantait la place. Pourtant, quand les esclaves furent arrivés jusqu'à la Place des Fêtes, Jack eut ce déclic qui lui permit d'avancer dans sa mission. La cage ne bougerait pas, la monstrueuse créature qu'elle renfermait non plus ; ce serait le centre de la course d'obstacle.
Vociférant d'aboiements ses consignes, les pauvres esclaves soumis ne bronchèrent pas, surtout avec l'oeil nerveux des Gardes Noires plutôt ennuyé de bloquer des accès. On sentait toute cette envie de leurs parts de se déchainer, l'attente d'une raison ou d'un prétèxte pour attaquer.
Très vite, les barrières Héras ont commencés à s'installer en spirale dont le centre fut la cage. Et à la toute fin, elles seront électrifiés. Des batteries de voitures, camions ou vaisseaux et quelques pinces crocodiles suffiront. Ca va déjà un premier piège… une sorte de "Docteur Maboule" géant où il ne faut surtout pas toucher les bordes. Et surtout, si la cage est fermée, la seule sortie de la spirale le sera aussi : verrouillé par un cadenas. Où est la clef… ? Accroché sur les barreaux de la cage du gros tas… à l'intérieur, évidement, que le jeu soit juste et qu'Anjanath ait une chance de vous croquez. Pour le reste, les pièges seront un peu classique, hélas. Des armes à feux seront disposés ici et là, la gâchette relié aux grilles par un fil de détente qu'il ne faudra surtout pas toucher.
Sauf qu'à chaque arme à feu -et arbalète aussi à cause du budget-, il y aura ce fameux fil qu'il ne faudra pas trop tirer sous peine de déclencher l'arme… et tout un tas d'autres fils pour embrouillez les participants.
Et puisque ça fait toujours son petit effet, Jack a envoyé une missive au Sergent Leeds du Château de la Bête, réclamant des pièges à loups au nom de Death. La mâchoire de métal qui se referme au pas malheureux d'un inconscient qui court… ca fait toujours son petit effet. Jusqu'ici, le thème récurant, c'était de ne pas courir comme un dératé sans réfléchir… mais il n'y a qu'une clef. Anjanath est trop féroce pour que de simples barrières électrifiés le retiennent mais allez… Death doit bien avoir quelques autres créatures en stock ? Après tout, si rien ne presse les concurrents, cette course d'obstacle sera bien trop facile.
Et… Jack se décida à rajouter des bidons remplis d'huiles et autres substances inflammables, prêt de torche posé à même le sol dans un équilibre précaire.
" Ca devrait être assez… juste quelques ombres, squelettes, goules ou que sais-je en plus… et la course d'obstacle sera parfaite. En espérant que cela suffise à Death… "
Jack n'était pas si rassuré… pouvait-on vraiment lui en vouloir de ne pas pouvoir dominer "Gros tas" ?! Il n'avait jamais prétendu être si puissant et si c'était quand même ce qu'on attendait de lui… autant dire que c'était dors et déjà un homme mort.