« Mesdames et messieurs ! Vous n'en croirez pas vos yeux ! » Déclare haut et fort au travers de son porte-voix le poète qui, de tout consulat, est le plus ma foi ! La foule se retourne alors, aux abois et tourne le dos à la grande estrade de bois. Voilà qu'Arthur, beau et fabuleux, débarque en chevauchant un lion au pelage de feu ! Des danseuses orientales lui ouvrent la voie, chaude comme le soleil d'Arabie à midi et leurs corps en émois ! Oh que oui ! Ce n'est pas un pauvre blondinet débraillé que l'on aperçoit... mais un noble sultan rougeoyant drapé des plus beaux vêtements par ce magnifique temps ! Si le ciel est gris, le mot soleil rayonne dans l'éther et réchauffe l'air, pas une paire d'yeux qui ne soit déjà ravis ! Des oiseaux par centaines envahissent les lieux, volent en transe et dansent pour une magnifique escorte royale. Puis de dizaines de fauves multicolores l'on entend les râles ou le rugissement fort. Arthur est fier et orgueilleux, se la joue comme pour faire des envieux ! « Mais soyez surpris car oui ! Dans un mois précis, tout ou presque vous sera permis ! » Une armée de musiciens mitraille soudain la plèbe à coup de trompettes et tambours, l'excitation monte dans les tours, les danseuses sont pleines d'amours ! Le cortège continue sa route alors que simplement, Arthur et son escorte sépare la foule comme moïse sépare l'océan ! « Je vais vous posez... une énigme et... même si vous avez la réponse... vous n'oserez jamais la dire ! Voici l'énigme ! »
Arthur s'élance alors, indolent et nonchalant, du peuple doucement méprisant, sans aucun sérieux pour rejoindre l'estrade en son milieu.
« Dans mon harem se groupe, comme un bouquet débordant d’une coupe sur un banquet, tout ce que cherche ou rêve, le jeune ou l'usé. Et son ennui sans trêve, est celui d'un cœur blasé ! Et si tous ces corps sans âmes, me plaisent un jour... hélas ! J’ai centaines de femmes mais pas d’amour ! La gloire et la richesse, j’ai tout ici : au cœur d'Arabie. En raccourci ? Le fric, le chic, le charmant et l’étrange. J'ai de tout en quantité puisque ma passion, c'est la déraison ! Ni la vierge de Grèce, comme de marbre vivant ; ni la fauve négresse toujours rêvant ; ni la vive Française à l’air vainqueur ; ni la plaintive Anglaise... n’ont pris mon cœur ! Mais moi j'ai volé les leurs !
...
Qui suis-je ?! »
La foule s'étonne et se questionne mais la réponse ne vient pas alors d'une exclamation, la sentence s'abat !
« Je suis... Aramand de Beaumont ! D'Agrabah feu le saint-patron ! Sultan de renom ! Dieu de la déraison et débordant de passion ! Et puisqu'Apollon m'a donné son accord, nous fêterons ma mort dans nos citées d'ors ! Car oui ! Dans un mois très précisément, jour pour jour... le soleil ne se lèvera pas au Jardin Radieux... oh c'est affreux... car la nuit, tout les chats sont gris, donc tout les excès seront permis ! »
Arthur, en plein délire, se fiche complètement de la foule et parle comme un fou jouerait de la lyre. Ses peintures, oiseaux, danseuses et musiciens perdent tout autant la raison, sans violence pourtant, juste en faisant la fête comme des dingues !
« Puisqu'il vaut mieux en rire qu'en pleurer, nous allons carrément festoyer ! Et ca sera l'occasion, pour chacun d'entre nous, de se déchainer ! De se moquer ! De railler le mal qui nous opprime pour ses sorts conjurer ! Quel méchant ou vilain mécréant peut y résister ?! Le ridicule ne tue pas... sauf pour ces salopards-là ! Et nous serons tous de beaux salauds cette jour de nuit-là ! Ca sera une nuit de fou ! Un sombre jour où nous ferons les sots ! Nous rirons à la face des méchants et en ce jour sans soleil, nous leur ferons grincer des dents ! Et pour cette fois... nous rendrons honneur, plus particulièrement, à Armand ! Si vous n'êtes pas content... et bien soit, serrez et grincez les dents ! »
C'est alors qu'on commence, à distinguer, que les musiciens sont déguisés en figure bien connu allant de Megamind à Xehanort en passant par Ariez et Kefka avec même quelques Roxas et d'autres membres de l'organisation XII ! C'est de très mauvais gout... mais justement, c'est l'intérêt d'être fou !
« Attendez que je vous annonce notre liste de V.I.P ! » Armand... heu... Arthur, non, c'est bien Arthur ! Je crois ? Bref ! Le blond en tenue de Sultan, pour ne pas vous embrouillez, sort de ses atouts, dans un geste théâtrale et prétentieux, un parchemin ridiculement long ! Ca lui prend bien une minute pour tout sortir ! « Death, alias le Faucheur... le Boucher de Grimm et accessoirement, Boss de l'impitoyable Coalition Noire ! Le Dieu des Enfers lui-même, Hadès ! Luxord, ancien membre de l'organisation XIII, tenancier d'un bordel en vogue alias le Joueur du Destin ! Enfin, le plus avare et vénal de tous, celui qui possède plus de monopole que j'ai de femmes... Rufus Shinra ! Alias... le Playboy Milliardaire ! J'ai même entendu dire que Megamind, Ariez, Konstantine Angel, Kanye West et Xehanort passerait faire un tour... que vous dire de plus ?! »
Puis il jette le papier, ne l'ayant même pas lu et laisse des volatiles répandre des pétales noirs sur sa foule ! Difficile de dire comment les gens réagissent... mais les caméramans et les journalistes, nottament de l'éclaireur ? Eux, ils deviennent fous ! Des questions fusent de partout alors que s'élèvent une armée de micros... qu'un homme assez classe pour s'habiller en sultan ignore simplement.
« Il y aura des spectacles, des ateliers, alcools et buffets à volonté, des jeux, des carnavals, des concerts et on se déguisera tous en méchants pour l'occasion ! Y en aura pour les vieux comme pour les jeunes ! N'ayez pas peur cependant, ce n'est pas Halloween... ca ne sera ni mieux, ni pire, juste différent... mais hey, les enfants ! Y aura quand même des bonbons pour vous pourrir les dents !
On ne va pas se faire peur... mais cette fête-là ? Elle fera un malheur. Le Consulat vous offre... dans un mois très précisément... la Journuit des Méchants ! »
Lun 9 Oct 2017 - 22:24Arthur s'élance alors, indolent et nonchalant, du peuple doucement méprisant, sans aucun sérieux pour rejoindre l'estrade en son milieu.
« Dans mon harem se groupe, comme un bouquet débordant d’une coupe sur un banquet, tout ce que cherche ou rêve, le jeune ou l'usé. Et son ennui sans trêve, est celui d'un cœur blasé ! Et si tous ces corps sans âmes, me plaisent un jour... hélas ! J’ai centaines de femmes mais pas d’amour ! La gloire et la richesse, j’ai tout ici : au cœur d'Arabie. En raccourci ? Le fric, le chic, le charmant et l’étrange. J'ai de tout en quantité puisque ma passion, c'est la déraison ! Ni la vierge de Grèce, comme de marbre vivant ; ni la fauve négresse toujours rêvant ; ni la vive Française à l’air vainqueur ; ni la plaintive Anglaise... n’ont pris mon cœur ! Mais moi j'ai volé les leurs !
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Qui suis-je ?! »
La foule s'étonne et se questionne mais la réponse ne vient pas alors d'une exclamation, la sentence s'abat !
« Je suis... Aramand de Beaumont ! D'Agrabah feu le saint-patron ! Sultan de renom ! Dieu de la déraison et débordant de passion ! Et puisqu'Apollon m'a donné son accord, nous fêterons ma mort dans nos citées d'ors ! Car oui ! Dans un mois très précisément, jour pour jour... le soleil ne se lèvera pas au Jardin Radieux... oh c'est affreux... car la nuit, tout les chats sont gris, donc tout les excès seront permis ! »
Arthur, en plein délire, se fiche complètement de la foule et parle comme un fou jouerait de la lyre. Ses peintures, oiseaux, danseuses et musiciens perdent tout autant la raison, sans violence pourtant, juste en faisant la fête comme des dingues !
« Puisqu'il vaut mieux en rire qu'en pleurer, nous allons carrément festoyer ! Et ca sera l'occasion, pour chacun d'entre nous, de se déchainer ! De se moquer ! De railler le mal qui nous opprime pour ses sorts conjurer ! Quel méchant ou vilain mécréant peut y résister ?! Le ridicule ne tue pas... sauf pour ces salopards-là ! Et nous serons tous de beaux salauds cette jour de nuit-là ! Ca sera une nuit de fou ! Un sombre jour où nous ferons les sots ! Nous rirons à la face des méchants et en ce jour sans soleil, nous leur ferons grincer des dents ! Et pour cette fois... nous rendrons honneur, plus particulièrement, à Armand ! Si vous n'êtes pas content... et bien soit, serrez et grincez les dents ! »
C'est alors qu'on commence, à distinguer, que les musiciens sont déguisés en figure bien connu allant de Megamind à Xehanort en passant par Ariez et Kefka avec même quelques Roxas et d'autres membres de l'organisation XII ! C'est de très mauvais gout... mais justement, c'est l'intérêt d'être fou !
« Attendez que je vous annonce notre liste de V.I.P ! » Armand... heu... Arthur, non, c'est bien Arthur ! Je crois ? Bref ! Le blond en tenue de Sultan, pour ne pas vous embrouillez, sort de ses atouts, dans un geste théâtrale et prétentieux, un parchemin ridiculement long ! Ca lui prend bien une minute pour tout sortir ! « Death, alias le Faucheur... le Boucher de Grimm et accessoirement, Boss de l'impitoyable Coalition Noire ! Le Dieu des Enfers lui-même, Hadès ! Luxord, ancien membre de l'organisation XIII, tenancier d'un bordel en vogue alias le Joueur du Destin ! Enfin, le plus avare et vénal de tous, celui qui possède plus de monopole que j'ai de femmes... Rufus Shinra ! Alias... le Playboy Milliardaire ! J'ai même entendu dire que Megamind, Ariez, Konstantine Angel, Kanye West et Xehanort passerait faire un tour... que vous dire de plus ?! »
Puis il jette le papier, ne l'ayant même pas lu et laisse des volatiles répandre des pétales noirs sur sa foule ! Difficile de dire comment les gens réagissent... mais les caméramans et les journalistes, nottament de l'éclaireur ? Eux, ils deviennent fous ! Des questions fusent de partout alors que s'élèvent une armée de micros... qu'un homme assez classe pour s'habiller en sultan ignore simplement.
« Il y aura des spectacles, des ateliers, alcools et buffets à volonté, des jeux, des carnavals, des concerts et on se déguisera tous en méchants pour l'occasion ! Y en aura pour les vieux comme pour les jeunes ! N'ayez pas peur cependant, ce n'est pas Halloween... ca ne sera ni mieux, ni pire, juste différent... mais hey, les enfants ! Y aura quand même des bonbons pour vous pourrir les dents !
On ne va pas se faire peur... mais cette fête-là ? Elle fera un malheur. Le Consulat vous offre... dans un mois très précisément... la Journuit des Méchants ! »