L'empereur du micro Szp8L'empereur du micro 4kdkL'empereur du micro 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

more_horiz
Apprendre à écrire c’est bien. Mais c’est douloureux. J’ai les doigts en compote ce matin. Alors j’ai décidé de faire une pause dans mon apprentissage, au moins pour la journée…enfin ce soir, je recopierais ces sept lettres encore jusqu’à ne plus avoir besoin de les regarder pour les dessiner correctement. En attendant, je vais aller demander une nouvelle mission. Il me faut de quoi payer cette inscription ! Je n’aime pas avoir de dettes et même si pour l’instant, ils ne m’ont rien demandé, quand ça sera le cas, je ne veux pas devoir les faire attendre. Ils me proposent l’éducation. C’est tellement important que je ne veux pas les embêter. Alors j’y suis retournée.

Je dois m’occuper d’un chanteur. Aristide Barclay… Je ne connais pas. En même temps, je n’ai pas vraiment pris le loisir d’écouter les chansons d’hommes qui se produisent. J’ai entendu des artistes de rue, des poètes déclamer leurs vers avec ferveur et même quelques pièces se jouer mais…pas Aristide Barclay. Cela sera donc une découverte !

Je hoche la tête alors que les consignes me sont expliquées. Je dois régir. Très bien. Je ne sais pas ce que ça veut dire mais avec les explications suivantes, je comprends que je dois juste l’aider et l’assister. Je grimace un peu avec la suite. Céder à ses caprices ? Je retiens un soupir, ça n’est que pour la journée. J’ai fait des choses plus embêtantes non ? Nettoyer les écuries de la garde c’était difficile. Les chevaux étaient adorables mais pas les soldats en patrouille. Et le crottin ça ne sent pas très bon et c’est lourd, la paille aussi c’est lourd. Aristide Barclay, c’est facile à côté! Il est consul alors il ne doit pas être si compliqué que ça ? J’espère. Sinon répondre à ses besoins…régir comme ils disent, sera éreintant. J’ai besoin d’énergie après le concert pour écrire !

Je salue l’homme qui m’a confié la mission et quitte les lieux, partant à la recherche de la salle de spectacle. Il doit déjà être là bas et m’attendre.
Après quelques indications d’un passant, j’arrive à bon port. C’est une sorte d'entrepôt...je n'imaginais pas ça comme ça mais c’est bien là. Le nom sur mon papier correspond à ce que je vois sur l’établissement. Ça n’est pas écrit exactement de la même façon mais certaines des lettres que j’ai apprises sont là, au même endroit que sur le papier. ‘Salle de concert, établissement de spectacle, le Point Éphémère’. Beaucoup de e, les a sont aux bons emplacements, les c aussi. Oh, et idem pour le b et les deux d ! Je souris de toutes mes dents après ces longues minutes d’analyses. Deux personnes dans la rue me regardent étrangement. Je rougis et file sans attendre à l’intérieur.

Mes yeux s’écarquillent. C’est joli ! Et grand. Très grand. De l’extérieur je n’avais pas fait attention mais vu le nombre de gens que je vous déambuler en portant des choses, c’est immense. Je m’approche de l’accueil et tends mon papier en souriant. Une jeune femme le prend, le lis et soupire. Je fronce les sourcils, inquiète quant à sa réaction.

« Il n’est pas encore arrivé. Il est toujours en retard… Il sait que les préparatifs prennent du temps et il se permet de ne pas être là ! Mais bien sur, ça ne sera pas de sa faute si tout n’est pas parfait ! Ca n’est jamais de sa faute. Jamais. Et ils n’est jamais satisfait ! Toujours un peu trop de… »

Elle s’arrête et me regarde. Je dois avoir une expression étrange parce que la sienne s’adoucit. Elle me sourit et désigne une chaise en se redressant, toussotant doucement.

« Veuillez l’attendre ici. Désolée…pour…mon emportement. »

Je lui fais un petit sourire qui se veut à moitié d’excuse et de remerciement avant d’aller m’assoir sur la chaise. Elle me souffle un ‘bon courage’ une fois que je suis retournée et je hoche la tête.

J’attends sur ma chaise, gigotant, me balançant d’une fesse sur l’autre, massant mes doigts, dessinant des lettres avec mon pied. Il n’a pas l’air décidé à arriver tout de suite alors je me concentre. Le b et le g sont deux lettres difficiles. Il faut bien faire la boucle en haut, en bas. Le c est simple. Je l’aime bien. Le d est joli, comme le a mais avec une barre plus longue. J’aime le f. Une grande boucle en haut et une plus petite en bas. Il est comme la fusion du b et du g. Je suis tirée de mes rêveries poétiques sur l’écriture par un homme qui grogne à l’accueil, parlant vivement avec la réceptionniste qui m’a dit d’attendre. Je tends l’oreille, je n’ai pas à faire beaucoup d’efforts, il parle assez fort.

« Vous n’avez pas encore fini ? Qu’est-ce qui vous prend si longtemps ? A chaque fois c’est pareil. Si ça continue je ne viendrais plus chanter ici. Les conditions deviennent de plus en plus exécrables. Avant, il suffisait de dire son nom et on nous guidait vers une scène propre et prête ! Les répétitions pouvaient commencer ! Mais non, maintenant il faut attendre ! Et où est mon régisseur ?! J’espère qu’ils ne m’ont pas collé encore un incapable ! »

Elle lui répond et désigne ma chaise. Je me relève d’un bond et m’approche en souriant, faisant attention à ma posture, me tenant bien droite et tendant ma main au consul qui ne la prend pas et me regarde des pieds à la tête. Je sens bien qu’il me juge et qu’il n’a pas l’air de vraiment apprécier ce qu’il voit. Mon sourire tombe et mon regard se durcit. Je n’en ai pas l’air mais je suis capable. Et je vais le lui montrer.
Il s’impatiente et tape du pied, sans prendre ma main toujours tendue vers lui. Il croise les bras et hausse un sourcil.

« On ne t’a pas appris à te présenter ? »

Mes yeux s’écarquillent et je tapote mes poches jusqu’à trouver la bonne et en sortir un papier. J’ai gardé celui où j’avais écrit mon nom hier. Je lui montre et souris d’une manière engageante. Il me regarde avec encore plus d’insistance et finalement soupire en levant les yeux au ciel.

« Nan mais ils croient quoi là bas ? Que si tu ne me réponds pas, ça se passera bien ? Ils t’ont donné la consigne de ne pas me parler c’est ça ?! Que tu ne parles pas ne m’empêchera pas de te faire travailler ! Suis-moi ! Ils vont m’entendre quand j’aurais fini ma tournée…ils vont m’entendre au consulat. »

Je range ma feuille avec précipitation et le suis en petite foulée. Il marche très vite. On rentre dans la salle où il va chanter ce soir et il se met à désigner des nombreuses choses en parlant vite.

« Assure toi que la scène soit propre, je veux de l’eau dans ma loge. Et des fleurs. Qui sentent bon. Pas de ces insipides que l’on trouve partout et qui ne sentent rien. Et de l’eau pétillante. Ca aide ma gorge à se mettre en condition pour le show. Vérifie que les éclairages et les machines à fumer fonctionnent avec les techniciens. Pose de nouveaux marquages au sol et suis cette fiche. Elle explique quels effets je veux et quand. La dernière fois, ils ont fait n’importe quoi alors j’ai du encore une fois prendre sur moi et leur rédiger ces consignes ! Assure-toi que tout soit fait correctement. Vérifie aussi le fonctionnement du rideau. Je n’ai pas pu faire de rappel au dernier concert ici car il ne s’est pas fermé… à croire que ce sont des amateurs…Et ils se vantent d’être une grande salle de la capitale ! Nan mais je vous jure… Frappe avant d’entrer dans ma loge. Et va chercher mon costume au pressing. »

Je prends la feuille qu’il me tend et essaye d’incruster chacun de ses ordres dans ma mémoire, priant un peu pour qu’ils soient aussi écrits sur la feuille, quelqu’un pourra sans doute me la lire. Je relève les yeux vers lui et il me foudroie du regard.

« Qu’est-ce que tu fais encore là ?! »

Je fais demi-tour prestement et me mets en action. Je vais faire ce qui me semble le plus important d’abord. Les fleurs et le costumes. Les techniciens sont encore en train de mettre tout ce qu’il faut en place sur la scène alors je ne peux pas leurs demander de tout ranger maintenant. Je sors de la salle en trottinant, je ne pense pas que marcher soit une option suffisante aujourd’hui. Il est déjà quasiment midi. J’espère que le pressing ne ferme pas pour la pause déjeuné… Je m’arrête d’un coup. Je ne sais même pas où il est ! Je regarde la liste sans la comprendre et vois un ticket attaché. Je l’attrape et tourne sur moi-même avant de jeter mon dévolu sur une personne âgée. Elles sont plus enclines à renseigner les gens. Je lui tends mon ticket et après quelques efforts sur sa mémoire, me désigne l’emplacement du pressing. Les épaules s’affaissent, il est loin. Je n’ai plus le temps de trottiner alors je cours et le récupère sans souci juste avant qu’ils ne ferment les portes pour partir manger. Je soupire de soulagement et sens un fleuriste à proximité. Je choisis des fleurs qui me semblent belles et qui, je m’en suis assurée, sentent bon. J’arrive au comptoir et me rends compte qu’il ne m’a donné aucun argent, sortant mes propres deniers pour le bouquet. Je reviens en marchant vite pour ne pas abimer les fleurs ni froisser le costume.

J’ai la main sur la poignée de la loge, porte presque entrebâillée quand je me souviens de la consigne. Je lâche la poignée et frappe. Je frappe plus fort quand je n’entends pas de réponse et finis par donner du poing pour finir par obtenir une réaction. La porte s’ouvre d’un coup sec et c’est les cheveux défaits et le visage un peu marqué que je découvre mon chanteur. Il baille et je retiens un grognement. Il n’aimerait pas ça.

« Quoi ? »

Je lui tends son costume et les fleurs. Il le regarde sans les prendre mais se décale de la porte pour me laisser entrer.

« Pose le costume sur le portant et met les fleurs dans un vase. »

Je m’exécute pour les vêtements mais ne trouve pas de vase. Je garde le bouquet en main et ressors à la recherche du vase. Il est retourné s’allonger sur le canapé de sa loge.
Une ouvreuse finit par m’en dégotter un et je retourne dans la petite pièce après l’avoir rempli d’eau. J’entre, dispose les fleurs et m’apprête à repartir quand j’entends un grognement.

« Ferme la porte quand tu pars. Et frappe avant de rentrer ! »

Je lève les yeux au ciel, assez contente qu’il ne puisse pas me voir et ferme la porte avec douceur. Montrer mon énervement n’est pas une très bonne idée. Je reprends ma liste mentale et débarrasse la scène des boites et autres petits déchets qui trainent, passant un coup de balai. Je donne la feuille aux techniciens et ils me montrent un peu comment cela fonctionne, comment tenir le projecteur pour éclairer la scène, régler l’intensité, choisir quelles couleurs diffuser. Je reste ébahie devant la machine à fumée. C’est tellement impressionnant ! Ils appuient sur un bouton et le sol se couvre de brume. C’est presque magique. Mais ça sent un peu mauvais. Je les remercie d’une grande courbette m’attaque aux rideaux. Un homme me montre les commandes, me prouve qu’ils glissent bien, de chaque côté, qu’ils sont en bon état. Je regarde de sa position sur le côté, cachée de la scène puis d’une place d’un spectateur. C’est joli de le voir tout fermer, cacher la scène, puis repartir dans son logement. C’est un univers que je ne connaissais pas du tout. Je sors de ma rêverie et le remercie aussi, partant en quête de scotch pour refaire les marquages de la scène. Il a fait un plan alors c’est assez facile.

Je retourne dans la loge pour lui signaler que tout est prêt. Cette fois il m’entend la première fois et n’a pas l’air de sortir de la sieste. Il lit des feuilles avec des traits et des dessins. Il me les tend d’un geste brusque.

« Donne les partitions aux musiciens. Des accords ont changé. Qu’ils répètent. Dans 30minutes, je les rejoints. »

Je quitte la loge encore une fois. J’ai chaud et je transpire à force de courir partout. Je ne suis plus vraiment sure que nettoyer les écuries soient plus fatiguant. Je secoue la tête et accélère, allant à l’accueil. Elle me désigne les musiciens et je leur donne les partitions en souriant grandement. Ils y jettent à peine un œil avant de grogner.

« Il a encore changé la musique ! Il croit que c’est facile de se souvenir de tout ça en répétant seulement deux heures avant le spectacle ? Je vais arrêter de le suivre s’il continue comme ça… »

Je m’incline pour m’excuser et les laisse rejoindre la scène. Je regarde la liste qu’il m’avait donnée, des techniciens forts sympathiques m’ont aidée à cocher ce qui avait été déjà fait. Elle est complète. Je soupire de soulagement et vais m’assoir sur un siège pour regarder les musiciens répéter. Je ne sais pas comment ils font avec toutes ces cordes et ces touches mais ils arrivent à faire des sons vraiment très beaux. Peut-être que je pourrais essayer la musique ?

Je vois Mr Barclay monter sur scène et commencer à donner des consignes sans saluer les musiciens. Il se met à chanter et je comprends pourquoi les gens viennent le voir et acceptent de jouer sa musique malgré sa personnalité. C’est émouvant. Je me sens toute remuée par les émotions qu’il dégage mais bien vite cela cesse et il corrige les musiciens. Cela se produit de nombreuses fois pendant les répétitions mais enfin il semble satisfait. Rien ne l’indique dans son comportement ni dans le ton de sa voix mais il consent à leur laisser avoir une pause avant le show. Il retourne à sa loge et je le suis pour vérifier que tout aille bien.
Une fois arrivé il se tourne vers moi et désigne la table. Je la regarde avec son joli bouquet sans comprendre.

« Il ne manque pas quelque chose ? »

Je fronce les sourcils en faisant ‘non’ de la tête. Les fleurs, le costume… tout est là.

« De l’eau ! Je t’ai demandé de l’eau ! Et elle n’est pas là ! Si c’est toujours le cas quand je suis changé tu peux dire adieu à la validation de ta mission ! »

Il se retourne sans autre cérémonie, attrape son costume et disparait dans une petite pièce, me laissant là, hébétée, la bouche ouverte au milieu de la loge. Je finis par me secouer en entendant le bruit de l’eau de la douche. Il est hors de question que tout mon travaille soit considéré comme nul pour une bouteille d’eau ! Je file au bar de l’établissement, demandant de l’eau. Le barman m’en sert un verre et se détourne. Je le retiens en grognant, mimant les bulles et imitant le chanteur pas content. Il finit par exploser de rire et me donne une bouteille d’eau pétillante. Je sors de ma poche quelques munnies pour payer mais il m’en empêche.

« C’est sur sa note, ne t’inquiète pas. Bois ton verre. »

Je lui fais un grand sourire et avale la boisson d’un trait, retournant rapidement dans la loge, posant la bouteille à côté des fleurs. Il sort de la salle de bain quelques instants plus tard et regarde la bouteille, hochant presque imperceptiblement la tête.

« Le concert va commencer, tu restes ici. Personne ne doit entrer dans la loge. Quand cela sera terminé, tu devras faire patienter mes fans à la porte et les laisser rentrer au compte goutte. Pas plus de quinze personnes en tout. Une fois que je serais parti, tu pourras en faire autant. »

Je hoche la tête et le vois quitter la loge pour aller se rendre sur scène. Je me mords la lèvre. J’avais naïvement pensé que je serais libérée de mes fonctions pour assister au spectacle mais…visiblement, non. Je sors de la loge et ferme la porte, restant devant, refoulant quelques personnes pendant le concert, ouvrant la porte au retour de l’artiste et devant jouer de toute ma prestance pour repousser ses fans impatient de le voir.
Après de longues, très longues minutes, il ouvre la porte, leur faisant un sourire charmeur qui les mets toutes en émois, poussant des petits soupirs de joie. J’écarquille les yeux devant le changement de personnage. Il parle avec douceur, leur prend la main, rit, les taquine. Après avoir rencontré les quinze fans ‘chanceux’, la porte de la loge se ferme pour ne plus s’ouvrir. Je dois consoler les malheureux qui n’ont pas eu la chance d’entrer et les diriger vers la sortie. Je finis par revenir dans la loge, frapper encore et encore mais sans obtenir de réponse. J’essaye de rentrer mais la porte est close. Je retourne à l’accueil et une ouvreuse me reconnait.

« Si tu le cherches, il est déjà parti à son hôtel. »

Je reste coi devant sa déclaration et finis par moi aussi quitter les lieux. Il faut croire que quand j’entendais les gens parler des ‘artistes’ ils n’avaient pas tort. Ils sont vraiment étranges. Je rentre au dortoir en trainant les pieds. Je n’ai pas la force d’écrire. Je me couche directement sans demander mon reste.
more_horiz
Mission accomplie.

Alors, mon commentaire ne sera pas fou-fou. Je n'ai que du positif à souligner dans cet rp, je l'ai trouvé très bien mené. Et mes critiques négatives sont plutôt des regrets. Mais donc il sera pas très long puisque globalement, après l'avoir lu d'une traite, je me suis dit "Ok !"

Donc j'ai quand même un regret. Mais je ne veux pas que tu le prennes comme une critique. C'est juste que moi, je me suis dit "ah ce serait bien que..." et que ça n'est pas allé dans le sens que je trouvais bien. C'est l'apprentissage de la lecture. C'est quelque chose que tu laisses présager durant le premier rp, néanmoins je ne m'attendais pas à ce que Lotis se lance dans le projet aussi tôt, et surtout toute seule; Je trouve que ce genre de rp se prête particulièrement bien au fait qu'elle ait quelqu'un pour lui apprendre. Après, c'est peut-être ce que tu envisages. Dans tous les cas, le fait qu'on soit au deuxième rp et que Lotis aille si vite pour... vouloir apprendre, moi je me suis dit que aller plus lentement aurait pu aussi être sympa.

Mais à nouveau, je ne sais pas ce que tu projettes de faire, et je suis sûr que ce sera très bien. Ne t'inquiète pas trop à propos de ça ^^.

Pour le reste, je suis très content. Quand je t'ai confié la mission, j'ai un peu flippé, je me suis dit que tu ne trouverais peut-être pas d'éléments pour faire un rp. Genre si je t'avais dit "Occupe-toi de guider les gens jusqu'à leur siège", là tu aurais eu du mal à faire aussi long et aussi riche. J'avais cette crainte pour la régie mais en me renseignant, je me suis dit "Non, si Lotis fait ça consciencieusement, elle n'aura pas de souci", et c'est ce que tu as fait donc très bien ! La seule chose, et ce n'est pas une critique, c'est que je la voyais plus agir durant le spectacle, genre amener une guitare au musicien, lui apporter les paroles d'une chanson qu'il n'aurait plus bien en mémoire, etc. Mais comme je le dis, ce n'est pas une critique puisque évidemment, ça dépend de la personne qu'elle assiste.

Le personnage de Aristide est plutôt bien fait, très réussi. Je dirais seulement qu'il est un peu prévisible ^^ c'est un peu la parodie de l'artiste. Mais en-dehors de ça, tu as su le rendre intéressant à lire.

Voilà, c'est très bien écrit. J'ai vu une faute (y en a peut-être d'autres). Oui si... Y a eu un moment où je ne sais pas, toute une phrase a été effacée ou je ne sais pas mais on passait d'une idée à une autre qui n'avait aucun rapport. Maintenant, je ne saurais te dire où, je regrette.

La faute, c'était "je les rejoints". Attention, ici, "rejoints" s'écris "rejoins". Ce n'est pas un participe passé mais un simple indicatif présent. Si tu avais écrit "je les ai rejoints", là oui, mais c'est autre chose.

Donc, mission facile : 11 xp, 110 munnies et 2 PS en dextérité.

Je t'encourage à me dire dans ta demande de mission si tu veux tes ps en telle stat. Parce que moi j'ai tendance à énormément donner en psychisme, symbiose, quand ça n'intéresse pas la personne ^^.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum