Pièges en Forêt Trouble Szp8Pièges en Forêt Trouble 4kdkPièges en Forêt Trouble 4kdk
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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le garde qui m'accompagne s'arrête quand je me fige... on était à deux doigts de marcher sur une corde tendue à l’extrême qui relie deux troncs d'arbres. Ça me parait bizarre puisque ça ne semble mener à aucun piège... mais soit, le garde se recule un peu et moi, autant que possible avant de trancher la corde d'un coup d'épée. Rien ne se passe et si c'est curieux, on continue avec prudence. Pas assez il faut croire puisque juste après la corde bien trop visible, il y a un petit fil transparent. En marchant dessus, on le défait et il se met à pleuvoir des boulots de canons depuis la cime des arbres ! Sans réfléchir, le garde et moi on continue notre route en courant... lui tombe dans un trou alors que moi, je me retrouve suspendu en l'air la tête en bas, une corde ayant enlacée mes pieds. Pas le choix, je me relève d'une impulsion de l'abdomen et tranche la corde qui me retient, chutant lourdement au sol... je me suis déboité l'épaule mais heureusement, c'est celle de mon bras sans main. Ça fait un mal de chien bordel ! Au moins, ça ne m'handicape pas pour aider mon collègue et lui tendre une main, qu'il se saisit... je le hisse vers moi... mais putain d'armure ! Je tombe avec lui au lieu de l'aider. Pas rancunier, le garde me remboite l'épaule avec grand plaisir, me fait la courte échelle et je lui tend une autre main, l'aidant à se hisser... mais lui s'attendant à ce que je lâche prise, ne gagne qu'un peu de hauteur pour remonter de lui-même. Suite à ça, on continue la route... pour que quelques pas plus tard, le garde se prenne le pied dans un piège à ours. La mâchoire de fer s'étant refermé sur son armure déformé, cela l'immobilise sans pour autant l'handicapé mais... vu sa tête, ça a du bien faire mal. Ce qu'on a pas vu, c'est qu'un petit fil était relié à la mâchoire et une fois celle-ci refermé, un filet rempli de porc-épic nous ait tombé dessus ! Les rongeurs ont vite fui après nous avoir lacéré et me servant de mon épée comme pied-de-biche, j'ai pu ouvrir la hachoir pour libérer le garde. De ma seule main, j'ai force comme un malade pour ouvrir le piège et une fois arrivé, ça m'a surpris alors j'ai reculé en arrière de quelques pas... pour être à mon tour prisonnier d'un filet. Très vite, mon collègue est venu me délivrer en tranchant ma cage de corde.
Un ombre se rue alors vers nous et déclenche un piège provoquant la chute de couteaux sur nous trois... on s'enfuit aussi vite que possible ! L'ombre se fait simplement transpercé par le piège. Dans notre fuite, on a déchiré une corde et un rocher se met à rouler vers nous ! On l'esquive, encore une fois, en partant chacun de notre côté et le sol se dérobe sous mon pied !

Déséquilibré vers l'avant, je m'échappe d'une impulsion de mon pied encore à terre pour sauter en arrière, atterrissant sur le dos... et j'en ai le souffle coupé... j'ai besoin d'une bonne minute pour m'en relever. Je marche comme un pépé jusqu'à mon épée, jetant un regard à mon collègue aussi fatigué et blasé que moi, prisonnier d'un filet. Tâchant d'évacuer ma douleur en soufflant de mécontentement, je marche péniblement vers lui pour le libérer et... bordel, c'est trop haut. Je saute, une fois mais il manque à peine un centimètre. Je recommence... malgré mon dos cassé, je fléchis les jambes et saute aussi haut que possible, m'allongeant autant que je peux pour finalement le libérer de son filet. Ce con me tombe dessus avec tout le poids de son armure et... mon dos... que j'ai sentit craquer lors du saut, là, me fait affreusement mal.

" On fait une pause... "

" Oh mon dieu... "

Je me tords de douleur au sol, bien content de faire une pause même si je n'aurais de toute façon pas eu le choix et... mon dos est en train de me tuer, c'est pas possible. J'arrive à peine à respirer et ça fait un mal de chien ! Sauf que là, pas question de me remboiter le dos ou un truc du genre. Bon, je ne lui en veux pas, je ne peux pas de toute façon mais c'est pas de sa faute s'il m'est tombé dessus. Puis on va dire qu'avec sa chute dans le trou après avoir cru que j'étais superman, ça fait un à un.

" Tu veux un coup de main... ? "

" Non ! Tu me touches pas ! " Ai-je crié, sans colère mais de douleur et de panique.

Finalement, si la douleur ne s'en allait pas, mon dos a arrêté d'être une planche inamovible, j'ai retrouvé ma respiration et j'ai pu continuer, raide comme un papy assiégé de rhumatisme. Le rythme a bien ralentit et le déclenchement des pièges avec. Finalement, ce n'était pas si terrible que ça... c'est atrocement douloureux mais on continue, déclenchant minutieusement les pièges. Or, cette fois-ci, on évite de faire les idiots et on réfléchit bien à ce qui pourrait se passer. Un soldat sans-cœur, par contre, sort de nulle et nous fonce dessus sans réfléchir ! Cette fois-ci, on ne s'agite pas pour ne pas déclencher de piège mais lui en déclenche un et tombe dans un trou... on regarde, curieux, pour voir qu'il s'est empalé sur des pieux. On continue la route, sur les nerfs... on regarde partout, à l'affût du moindre piège... et devinez quoi ? Faut croire qu'on a enfin fini ! Je ne cache mon soulagement quand le garde évoque l'idée, mon corps entier se détend et la douleur elle-même semble s'apaiser à ce moment là.
L'instant d'après, je trébuche sur une corde à ras du sol pour embrasser un tapis d'orties... et par réflexes de retirement, je me relève d'une impulsion de la main pour reculer. Je trébuche encore une fois sur la corde mais le garde me retient de m'éclater le dos encore une fois.

On... se demande un instant si la corde est juste là pour nous faire trébucher ou si c'est un piège en soit ou si c'est comme l'autre fois un leurre pour un vrai piège. Par sécurité, on coupe la corde et... rien ne se passe, fort heureusement pour nous. On contourne les orties alors que ma peau me démange et me brûle à la fois, occupant tout mon esprit, au point où je ne vois le piège à ours qu'au dernier moment ! J'arrive à en dégager le pied au dernier moment et mon collègue m'appelle au secours. Je le vois... retenant un fil du bout de la main... ce fil qui mène à une poulie avant de retenir un filet rempli de boulet de canon. La solution apparait d'elle-même mais le garde hésite quand même un peu... avant de se jeter à l'eau, il lâche la corde et se met à courir comme un dératé ! La peur donne des ailes et il s'en sort sans que rien ne le frappe... mais alors qu'on continue la route, un tonneau dévale vers nous sans raison ! On esquive facilement le tonneau puisque l'ayant vu venir et on se regarde, perplexe.

" J'ai rien déclenché. "

" Moi non plus. "

Le tonneau continue sa route jusqu'à un arbre contre lequel il se fracasse et libère... des araignées grosses comme mon poing. Le garde prend peur et moi... j'ai pas peur en soit mais pour être aussi grosse, ça doit être des mygales ou un truc du genre. J'aurais bien dit au garde de pas courir mais il ne m'a pas attendu et à voir les bestioles s'agiter, je file à toute vitesse aussi. On s'arrête quand on s'aperçoit être arrivé à la lisière de la forêt, elle-même posée sur une falaise, qui donne directement sur la lagon aux sirènes. Enfin, on aurait bien aimé s'arrêter mais un tonneau tombe et la seconde après qu'il se soit brisé, on se rend compte que c'est une flaque d'huile sous nos pieds ! J'arrive à patiner sur place alors que mon collègue tombe et glisse vers la chute, se sauvant in-extremis en enfonçant son épée dans la terre. Petit à petit, je négocie avec mes pieds pour patiner jusqu'en dehors de l'huile, mes pieds glissant toujours un peu. Je réfléchis deux minutes et me barre sans un mot. Forcément, il se met à croire que je l'abandonne et... sa tête a quelque chose de drôle mais je reviens avec une branche touffue pour balayer un peu l'huile. Quand le sol est plus ou moins sec, il prend le risque de se relever et prenant une attention toute particulière à ne pas tomber, continue la mission avec moi.

Finalement, après avoir encore désarmé une dizaine de pièges, on se rend compte qu'on a fini avec notre zone. Grosso modo, le commandement divise l'île en X parties pour mieux la quadriller.

La zone centrale que forme les montagnes de ce monde, épargnés par les pièges à cause du relief et des enfants perdus qui en font leur principal terrain de jeu. La zone nord-ouest dans la quelle se trouve notamment le camp des indiens et un morceau de forêt qui est leur territoire... avec, de l'autre côté de la baie dans laquelle se jette la cascade des montagnes, le lagon aux sirènes encerclés de forêt escarpés. Puis, toute la zone sud de l'autre côté des montagnes, relativement plate et dans la direction où regarde l'île du crâne.

Les Indiens se sont occupés d'eux-mêmes de la zone nord-ouest puisque c'est plus ou moins chez eux et qu'ils ont bien remarqués que les pirates étaient inactifs en ce moment. La zone sud est couverte par le plus grand nombre de gardes, puisque c'est la plus vaste et celle où se tiendrait le campement des pirates. Personnellement, la zone qui me concerne moi et mon collègue, c'est la zone nord-est.

Zone nord-est qui a elle-même été délimité en trois parties : la zone sud, juste en-dessous du lagon sirènes, vaste et plane ; la zone ouest, la moins vaste mais la plus escarpée ; la zone nord dans laquelle je me trouve actuellement, situé au sommet des falaises. Quand à la zone est de la zone nord-est, c'est tout simplement l'océan. Évidement, on était pas que deux mais chacun avec une zone dans une zone de la zone à couvrir et le minimum était de deux, au cas où un garde -ou un de ceux qui aide- tomberait dans une piège. Moi et mon collègue, on avait enfin fini ! Bon, sans doute restait-il un ou deux pièges qui traine encore mais la grande majorité a été soit désarmé, soit déclenché. Pour ma part, j'étais cassé et épuisé, n'ayant en tête que l'envie suprême de m'allonger... mais m'asseoir serait déjà le paradis. Vous pourriez me mettre la plus belle de toutes les femmes que je n'en ferais rien tellement j'en peux plus ! Mon collègue s'en sortait mieux, c'était un garde et très résistant mais on rentrait en s'aidant à marcher, bras-dessus bras-dessous sur les épaules.

" Bon travail mec ! "

" Toi aussi ! Vivement qu'on se pose. "

" Carrément. Vorys, c'est ça ? "

" Ouep. Toi c'est comment déjà ? "

" Eric... franchement, je prends un verre dès que c'est possible après une journée pareille... "

Le soleil tombait, toute la garde du Pays Imaginaire était en mission déminage depuis le petit matin... et alors que cela devait approcher de la fin, une série d'explosion retentit, toute l'île avait dû l'entendre. Eric en paru aussi énervé que paniqué mais pas moi, calme comme un simili, qui observe simplement les fumées noirs s'échapper depuis la zone sud.

" On fait quoi ? "

" On continue la mission... et la notre, c'est de retourner à la baie faire notre rapport. On se dépêche Vorys ! "
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BOUH !

C'est moi qui vais te noter ! Du coup, on passe directement à l'appréciation du jury !

Bon alors déjà, je pense que c'est la première fois que je te note en tout cas avec la "Surkesh Fam' ". Je crois que je t'ai déjà noté avec d'autres personnages, mais je saurai pas te dire lesquels. ^^" J'arrête de raconter ma vie et on y va !

Déjà, le premier truc qui m'a marqué ici, c'est que t'aurais pu appeler le PNJ Pierre Richard tellement il vous arrive de couilles dans ce RP. Le déminage, c'est pas forcément déclencher tout les pièges les gars, suffit de les désamorcer ! Enfin... voilà. Le Pays Imaginaire n'est pas un terrain facile, il reste plutôt sauvage et tu nous en as donné une interpretation qui laisse à penser qu'il faut pas envoyer des mongolos là-bas. Les pièges sont présents, et peuvent être redoutables ! Après... j'ai quand même trouvé que tu tartinais le truc bien copieusement. Ce que je me dis, c'est que c'est la Saint Patrick, donc on est tentés de rajouter de la difficulté, c'est plus intéressant. Malheureusement, dans ce cas-ci, ça a vraiment alourdi la lecture : il se passe ça, puis ça, on a mal mais d'un coup on fait une connerie t y'a ça, c'est chiant, et y'a ça.... Tu vois ce que je veux dire ? ^^

Sinon à côté de ça, c'était quand même sympa. Y'avait quelques petites répétitions pas très belles, des fautes d'inattention, mais rien de très très grave. Je pense que le point sur la lourdeur du texte est le plus important. C'est beaucoup trop dans l'action, et trop bref pour qu'on ait le temps de tout piger. Le temps de se faire le film on est déjà dans l'action suivante. Te précipites pas ^^ Pareil, c'est le Pays Imaginaire, on le connait tous par coeur depuis le temps mais, y'a pas vraiment de description ou de ressenti. Je sais que t'es un simili mais y'a des limites. Un simili peut trouver des trucs chouettes. Il s'en fout, mais il le trouve chouette, ne serait-ce que grâce à une association de souvenirs ou quoi ^^

Sinon, le tout restait cohérent, donc c'est quand même un méga bon point.

Avancé : 30 xp, 300 (900) munnies, 3 PS : 2 en défense, 1 en psychisme.
T'emmerdes pas avec tes PS et ta fiche, je préviens un admin dans la foulée !
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