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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Milla venait de sortir de mon bureau après avoir amené son dernier rapport de mission, douce Milla, elle franchit toujours cette porte avec de bonne nouvelle. Me dirigeant vers la fenêtre de mon bureau, j’observais la jeune femme s’en aller en direction de la ville avec son nouvel ordre de mission dans les mains. Il n’y avait rien à redire d’elle, c’était l’élément le plus efficace que j’avais à la Coalition Noire, toujours à la tâche et prête à répandre notre bonne parole au travers des mondes. Entre elle et Abigail, je n’avais clairement pas à me plaindre. Vesser, non-plus n’était pas en reste, elle gérait le Château de la Bête mieux qu’Ariez ne l’avait jamais fait. Enfin, ce serait critiqué le travail du majordome de dire cela.

Chacun avait sa place dans notre organisation, et chacun faisait un travail exemplaire. Même mon associé s’acquittait de ses tâches avec brio, nous vivions un âge d'or dans le Royaume de la Coalition Noire.

Souriant à la fenêtre, j’ouvrais l’enveloppe pour lire le déroulement de la visite à la Cité du Crépuscule. Par ailleurs, c’était une chance que la rébellion n’ait rien tentée contre la coalisée. Toutefois, nous avions été assez discrets par rapport aux activités de notre ingénieur. Même si bientôt, quand l’atelier sera construit, il sera de plus en plus difficile à garder cela secret. Abigail sera chargé de la défense de nos infrastructures, elle pourra s’occuper de cela sans aucun souci. Une heure plus tard, j’avais fini de lire les informations données par Milla. C’était une chance que la femme de Bisley voit son intégration comme une aubaine, nous n’allons pas avoir à contrainte notre ingénieur. Encore une belle journée qui s’annonce.

— Death…
Tournant le regard, je découvrais le second d’Abigail dans l’encadrement de ma porte. Oldy, Safety…? Je n’avais pas retenir son nom. D’un signe de tête, je l’invitais à rentrer dans mon bureau et à venir s’installer dans l’un des fauteuils de la pièce.

— Un message de la part de l’Intendante ?
— Elle est partie pour le Pays Imaginaire, je m’occupe de la caserne en attendant son retour.

Ne réagissant pas, je haussais un sourcil en attendant qu’il m’annonce enfin la raison de sa venue.

— Et donc…?
— L’entrepôt que nous devions nettoyer pour Bisley, nous avons un problème.

Soufflant du nez, je finis pas perdre patiente et me relevais pour lui faire face.

— Un sans-coeur se trouve à l’intérieur, quelque chose de plus important que de vulgaire ombre ou un rondouillard.
— Envoyer des Gardes Noires.
— Sauf votre respect, ce n’est plus vous plus le chef de…

J’attrapais le second d’Abigail par le col et le soulevais pour le mettre à hauteur de mon visage alors que la colère m’emplissait lentement.

— Et je suis le boss de la Coalition Noire, alors vous obéissez à mes ordres.
— Nous n’avons pas assez d’effectif pour…

Relâchant mon emprise et le laissant tomber dans mon canapé, je me retournais pour aller devant mon bureau et empoigner la hache du bourreau. Me retournant face au second de mon Intendante, je soulevais l’arme pour la poser sur mon épaule et le fixer du regard.

— Eh bien, je vais m’en occuper moi-même, si la garde en est incapable…
Il ne disait rien alors que je me dirigeais vers la porte et franchis celle-ci pour quitter le manoir. Au moins, avec Marvin, je n’avais pas ce genre de désagrément de la sorte. Il ne venait pas me faire chier dans mon bureau pour des conneries, il agissait. Malheureusement, il n’y avait personne à la hauteur de Marvin dans les rangs des Gardes Noires. Vivement qu’Abigail renforce les rangs, depuis cette attaque, j’avais la désagréable impression que les choses avaient bien changée. Peut-être que j’y suis allé un peu fort en parlant d’un âge d’or.

C’était presque une ballade de santé, j’vais du mal à croire que je pourrais traverser la Cité du Crépuscule sans la moindre escorte. Alors que j’entrais en ville, une patrouille de Garde Noire passait devant moi, le fusil à la hanche. Ils me saluèrent alors que je passais devant eux avant de continuer et monter en direction de la gare. Continuant ma ronde jusqu’à atteindre la caserne, je pouvais voir que la porte démolie lors de l’attaque des rebelles. Quoi que, les choses allaient bon train dans la ville. Continuant ma route, j’arrivais en périphérie de la ville pour découvrir une troupe de Garde Noire en rang devant une large porte verrouillé. Au moins, nous avions un bâtiment à disposition pour notre ingénieur et sa future création.

— Boss…? Qu’est-ce que vous fait ici ?!
— C’est pas parce que je dirige le groupe que je suis incapable de me battre… Ouvrez la porte et empêcher l’ombre de sortir, ce ne sera déjà pas si mal.

Quel sombre connard, j’me faisais presque honte aujourd’hui. Cependant, ce n'était pas ma faute si j’étais entouré d’incapable en comparaison du trio féminin de la Coalition Noire. Deux des gardes s’avancèrent et tirèrent sur la large poignée de fer pour me laisser une ouverture dans l’entrepôt. Et quel endroit, pas loin d’être aussi grand que le manoir dans la forêt. À la différence qu’il y avait moins de bordel dans le quartier général qu’ici et plus de cinq spots pour éclairer la totalité de l’endroit.

Toujours l’arme sur l’épaule, je m’avance dans le hangar en laissant mon regard se déposer sur ce qui se trouve à l’intérieur. Des boites de cartons, des vêtements rapiécés et quelques pièces du tram de la ville ainsi que le vestige d’un de ceux-ci. Couplé aux rails posés au sol et à la grande porte dans le fond, il n’était pas difficile de comprendre qu’il s’agissait de l’ancienne station de réparation du tram de la Cité du Crépuscule. Une aubaine d’avoir ce bâtiment et le matériel à disposition pour nos futurs projets, le monde est bien fait.

C’est à ce moment-là que le sans-coeur à fait son apparition, et l’espace d’un instant, j’ai rigolé. Il s’agissait une simple Fleur de Brume qui rôdait dans les hauteurs de l’entrepôt.

Retirant la hampe de la hache de mon épaule, posant le fer de la hache sur le sol, je craquais mes épaules un instant avant de fléchir mes jambes pour sauter dans sa direction et faire disparaitre cette ombre de merde. Attrapant la hache à deux mains, la tête sur ma gauche, je sautais et brandissais l’arme au-dessus de ma tête pour fendre le sans-coeur. Toutefois, avant que je n’arrive à sa portée, l’ombre s’échappa directement pour fondre dans d’un spot lumineux à proximité pour se changer en bouche d’ombre avec un oeil semblable à la tête d’une locomotive. Déjà élancée, la lampe se contenta de me croquer et me balancer sur le sol de l’entrepôt.

Soufflant de colère, posant mon poing sur le sol pour me relever et attraper ma hache alors que mon regard ne quittait pas le sans-coeur qui continuait de m’éclairer de son ampoule. Attrapant le bout de la hampe à deux, mains, je commençais à tourner sur moi-même quelques tours jusqu’à balancer l’arme jusqu’à l’ambre qui fut fauché directement. Détruisant le spot automatiquement alors que la Fleur de Brume cherchait déjà après un nouveau support.

La hache revenant ensuite dans mes mains, je laissais celle-ci trainer derrière moi avant de sauter pour rejoindre le toit du tram. Conservant mon regard sur l’ombre, évitant de la perdre, je reprenais la même position avant de sauter pour tenter de fendre cette saloperie d’un nouveau coup vertical. Et encore, il plongea vers un sport et la même lumière m’aveuglait. Sauf que cette fois, je tendais ma main et attrapais une poutre de la main gauche, balançant ensuite, j’arrivais à sa portée pour enchaîner les coups rapides et détruire un second spot alors que la Fleur de Brume tentait de se faire la malle. D’une glissade aérienne, je le rattrapais bien vite et lui donnais deux coups rapides avant qu’elle ne chute et se jette dans une pille de carton.

Retombant au sol à l’aide d’une roulade, je me redressais et m’avançais en direction de la pile de cartons qui s’animait un instant pour gagner deux paires de griffes et commencer à ouvrir une large gueule avant de sauter sur moi. Amenant l’arme devant moi, j’encaissais le coup et basculais sur le côté pour faire tomber le sans-coeur à la renverse. Le temps que je me retourne, une boite en carton en lieu et place du sans-coeur alors qu’un rail de trame s’animait devant moi et s’enroulait autour de moi pour me faire prisonnier, me forçant à relâcher mon arme. L’instant d’après, il sortit de la bille de chemin de fer pour retourner sur une boite de carton et s’approcher de moi.

Tombant sur les deux genoux au sol, à cause du poids de mon entrave, j’avais d’autre choix que de regarder une boite en carton s’approcher de moi. Une putain de boite en carton me maintenait en respect ! Soufflant de rage, j’ai le temps de rien faire quand sa paire de griffes vient de plonger dans mon torse. Il se jouait de moi, et là, je n'avais pas envie de rigoler avec ce putain de sans-coeur. Poussant de toutes mes forces, je parvins à mettre un pied à plat plus un second alors que mon teint virait au rouge sous l’effort. Profitant de ma position, une pression me parvint à la jambe, le carton me rongeait la jambe. Sans me faire attendre, je relâchais la pression et tombais lourdement sur la Fleur de Brume. Le poids détruit le réceptacle et l’ombre revient dans la poutre de fer pour serrer le lien avec autant de force qui me fit hurler sous la douleur.

Pour la deuxième fois, il s’évapora de la poutre et se rua cette fois-ci sur un tram et en prit possession. La carlingue changea de couleur pour virer au noir alors que deux phares me fixèrent, et finalement, les roues de métal crissèrent sur le sol pour me percuter à toute vitesse.

Crachant du sang sur le sol, je voyais la carlingue déraper au fond de la salle pour me revenir à toute vitesse. Frappant et fragilisant là la poutre une fois de plus. Dans cette situation de merde, j’avais d’abord été victime d’un putain de carton et ensuite d’un trame fous du volant. Percutant une troisième fois, je tombais lourdement au sol et mon crâne percutait la pierre. Finalement, le tram me percuta une quatrième fois et m’expédia contre une paroi de la pièce. Reprenant mon souffle, je me concentrais un instant pour oublier la douleur et regarder autour de moi, il y avait une fissure dans ma prison et je n'avais pas vraiment le choix.

Le tram se dressa une nouvelle fois devant moi avant de s’élancer à toute vitesse. À mon tour, je campais sur mes positions à attendre qu’il arrive pour sauter sur lieu et finalement faire rompre le métal de ma prison. Retrouvant ma liberté, je soufflai un instant et effectuai une roulade et esquivai une de ses charges. Mon arme était de l’autre côté de la pièce, commençant à courir et sautant par-dessus le tram, j’arrivais à attraper mon arme que j’empoignais à deux mains.

Mes muscles brûlaient, et je n’avais qu’une seule envie : détruit, ce putain de sans-coeur de merde et faire fondre le métal de ce tram.

Me dressant, attrapant l’arme par le bout de sa hampe, je restais au milieu de la pièce pour attendre qu’il me charge. Il était là, à l’autre bout de la pièce quand il s’élançait dans ma direction. J’esquivais la charge par un pas de côté et enfonçai le fer de la hache dans la carlingue pour détruire l’un de ses côtés. Donnant l’impulsion nécessaire dans mes jambes, je sautais de toute ma force pour amener la hache par-dessus ma tête et enfoncer celle-ci sur le toit du tram, faisant enfin sortir la Fleur de Brume de sa prison.

Et cette fois, t’aura le temps de rien faire, sale pute.

De retour au sol, je me ruais de toute ma vitesse alors que l’arme traînait derrière moi pour l’élancer avec force dans sa gueule de sans-coeur. Le coup fendit l’air alors que le tranchant de la hache coupa net l’ombre en deux avant qu’il ne disparaisse dans les ténèbres.

Gardant la pose un instant, je lâchais l’arme qui tomba lourdement au sol en même temps que moi. Putain de sans-coeur de merde. Il m’a fallu dix minutes pour me mettre debout, prendre l’arme et me diriger vers la sortie pour voir les gardes noires immobiles devant la porte. Putain d’abruti, Abigail aura un message de ma part, qu’il bouge un peu cul quand un tram fou comment à rouler sur leur boss.


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Je sais pas par où commencer ^^"

Y'a le même problème dans ce RP quand dans le précédent. C'est vraiment le bordel, mec ^^ Je sais pas si tu t'es speedé pour poster au plus vite, mais pour celui-ci t'aurais vraiment dû te relire. D'ailleurs, malgré la note, je vais t'inviter à le relire en te mettant dans la peau d'un mec qui n'a pas encore lu ce RP pour que tu voies de quoi je parle.

T'as un bon niveau en général hein. Tu fais quelques fautes, souvent d'inattention, bon ça arrive à tout le monde. Mais pour la Saint Patrick, soit t'as voulu faire trop vite, soit t'as bâclé, je sais pas. Relis, vraiment c'est difficile ^^ Du coup, je vais pas citer de points particuliers, je vais pas m'éterniser là dessus non plus. Une critique négative, déjà c'est chiant, puis c'est la même que sur le dernier RP, donc bon.

Pour les points positifs, j'ai quand même bien aimé la reflexion de Death. "Ouais, ok... j'ai p'tete abusé en disant que c'était l'âge d'or", un truc comme ça. Ouais c'était rigolo ! Et puis le dialogue avec le mec, même si ça a été vu et revu, même si c'est pas un dialogue de fou, je l'ai trouvé sympa.

Pour l'action avec le sans-coeur. Bon, t'as pris un des sans-coeurs qui permettent de faire les trucs les plus rigolos : la Fleur de Brume. Un tram, des spots, des rails, ouais, le machin peut se fondre dans n'importe quoi, ce qui donne des situations assez improbables ^^ Mais en général, l'action était bonne (bien que vraiment confuse par moments).

Et puis... "Et cette fois, t’aura le temps de rien faire, sale pute."

Génial.

Pour la récompense, je suis partagé. Pas pour la difficulté, mais pour l'éventuel malus. Parce qu'autant j'en ai mis un au premier, autant là ça mériterait peut-être plus. Mais... comme j'ai pas envie de te niquer ta saint patrick non plus, que je pense qu'avec la relecture de ce RP, tu verras toi même le problème et que du coup, t'as pas pu prendre mon commentaire en compte avant de poster ce RP évidemment, je vais pas t'en mettre.

Périlleux : 35 xp, 350 (1050) munnies, et 3 PS. Un en force, un en défense, un en vitesse.

Comme pour l'autre, rajoute toi tes points, j'peux pas.
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