Le Prix de la Tyrannie. Szp8Le Prix de la Tyrannie. 4kdkLe Prix de la Tyrannie. 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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« Messieurs les Gardes Noirs… » Lâcha-je d’une voix douce et mélodieuse, un rictus satisfait et méprisant tracé sur la face… jusqu’à croiser Marvin, conservant la même expression mais fermant subtilement mon visage malgré moi. « …Marvin, il me faut des gars. »

« Arrête de faire le beau, tafiolle… »

Mon épée-clef et mes connaissances sur les Ténèbres… ça m’a toujours donné une certaine valeur bien au-delà du combat… et c’est bien pire maintenant que la Princesse est morte. Décidément, j’ai bien choisi mon camp et avec le faucheur, je sais pouvoir m’assurer une bonne place sans trop de problème. Disons que pour l’heure, mes ambitions sont mises de côtés et je cherche simplement à me trouver un poste… avec un peu d’action oui… mais pas trop non plus, c’est peut-être ma convalescence qui parle mais la paresse m’envahit peu à peu. J’ai toujours voulu dominer, gagner et obtenir du pouvoir mais pourquoi faire au final ? Ma philosophie est d’être pragmatique et terre-à-terre, voyant la vie non pas comme elle pourrait être, non plus comme elle devrait être mais simplement tel qu’elle est. A mes yeux, la loi du plus fort et la seule qui vaille… même la lumière ne peut espérer propager ses valeurs qu’en les imposant par la force à… nous autres, les égoïstes sans cœurs. Donc voilà, bien ou mal, on cherche tous la capacité de mettre en œuvre ses projets… moi, je veux vivre comme un prince.
A l’heure actuel Marvin -plus ou moins chef de la garde noire depuis la promotion de Death- et les vétérans du corps d’armées ne m’aiment pas. D’un côté, je fais peur de base par mes compétences magiques mais d’avoir aidé à capturer Tian-Long, ça a quand même bien calmé les gardes noirs… et de l’autre, pour ces guerriers, je reste d’une faiblesse physique ahurissante. Entre crainte et mépris, il n’y a que peu de place pour le respect. Mon allure de jeune premier n’aide pas, autant ça m’arrange pour l’effet de surprise, on doute souvent de ma sauvagerie… mais au quotidien à la Coalition Noire, c’est plutôt un handicap d’être aussi belle gueule.

« Marvin, ne perdons pas de temps, tu finiras de toute façon par me laisser des gardes noirs… »

« Ouais… mais si je peux te faire chier un peu avant, je n’hésiterais pas mon pote ! »

Le tuer… ça me traverse assez régulièrement l’esprit mais si je fais ça… va falloir que je récupère son taff et ça, j’ai quand même bien la flemme.

« Mouais… puisque c’est ça, je te laisse récupérer l’impôt… »

« … Ah sérieux ? C’est toi qui t’y colle ?! » Marvin changea un instant et moi avec, il semblait oublier d’un coup toute sa rancœur… moi, j’étais surpris au point de ne plus vraiment le défier du regard, on s’est détendu d’un coup lui et moi. Puis on est revenu à la normale mais… on ressemblait bien plus à des adolescents qu’à des êtres censés inspirer la terreur. « Ah bah dans ce cas, c’est avec plaisir… fais ton choix parmi mes gardes… je t’en laisse une trentaine. »

Surkesh se demande parfois comment ça se passe à la Lumière, au Sanctum ou au Consulat… là-bas, quand on se voit confier de la main d’œuvre… est-ce que ces gens-là peuvent avoir des subalternes et ne pas s’attendre à un coup de poignard ? Genre… un groupe où on se fait confiance et tout… où on ne se méfie pas les uns des autres, où on bosse en équipe et non en concurrence… ça doit être aussi reposant qu’ennuyeux. D’ailleurs, c’est bien parce que je dois récupérer l’impôt, que c’est une corvée et que Death y tient particulièrement que Marvin s’est montré aussi coopératif. Au fond, je sais que Marvin n’a rien cédé… le Faucheur lui a simplement ordonner de me laisser des gars… mais à la Coalition Noire, on adore faire croire qu’on ne reçoit pas d’ordres. Très simplement, j’ai choisis des gardes baraqués ou balafrés, vingt avec des armes de corps à corps et dix avec des armes à feux. Avant de partir pour ma mission, j’ai regardé Marvin avec l’envie de découdre et ce mec, qui a quand même du vécu, n’a pas eu besoin de m’entendre pour comprendre, me répondant du tac au tac avec… un profond désintérêt à mon égard. Ça m’a vexé, frustré et empli de fierté mal placé mais je n’ai répondu, puisqu’il avait raison.

« T’es pas en état, là… et ne crois pas que ta magie m’effraie… si tu veux chercher la merde, attends au moins de pouvoir la sentir sans t’évanouir. Par contre, dès que tu vas mieux… »

A ce moment-là, je sors de la caserne… suivis par une trentaine de gardes noirs. Un long et ample manteau à capuche noir me dissimule, me faisant paraitre d’ombres alors que mon visage est flou par l’obscurité, mes yeux jaunes ressortant comme jamais. Ma démarche saccadée se noyait dans un océan de tissus sombres… et mon visage fatigué, les pupilles injectés de sang, on ne voyait rien de mon corps meurtris. Oh, on apercevait bien des mèches brunes rêches et sèches s’échapper de ma capuche… mais d’un simple regard, nul n’aurait deviner mon bras cassé. Bien évidemment, pour me remettre, je marchais très lentement et posément, très zen mais tout aussi froid… escorté par un essaim de trente tueurs. Une première dizaine m’entourait comme une cage et armés de flingues ou fusils, c’était la meilleure protection possible en cas d’attaques surprises… ils n’auront pas besoin de s’éloigner de moi, pourront accueillir le danger à plusieurs de mètres de là. Quant aux vingt autres, il papillonnait autour de moi, faisant des rondes aléatoires et fouillant les environs sur ma route.
Ce dispositif, de mon fait, me paraissait plutôt efficace et moi qui n’était pas en état de me battre… j’étais décidé à miser sur ma capacité de commandement. Et de toute façon, vous ne pensiez quand même que j’allais faire du porte à porte pour récupérer l’impôt ? On paye des gens pour ça… parce que oui, les gardes noirs ne sont pas des esclaves… c’est de la chair à canon et destiné à mourir mais en attendant, ils font ce qu’ils veulent dans la ville qu’ils… « protègent ». Après, à la Coalition Noire, à part les esclaves, les soumis et les faibles, on fait tout ce qu’on veut au peuple.

Donc, moi et mon escorte sommes arrivés au manoir pour récupérer… Le Collecteur. Ce sans-cœur consiste en un coffre monstrueux dont l’ouverture est une mâchoire menant sur un gouffre sans fond. La créature était maintenue fermée par des chaines mais au moment d’ouvrir la gueule, celle-ci avait assez de force pour créer une ouverture et ses liens de fers, déformés, lui laissant ouvrir la bouche jusqu’à moitié. D’ailleurs, les chaines ne faisaient pas que le forcer à rester, plus ou moins, la gueule fermée mais le liait aussi un chair métallique tiré par deux chevaux noirs aux yeux jaunes. Un… intendant, ou autre, m’a expliqué le fonctionnement du système… et en gros, le Collecteur pourrait dévorer une maison puis en recracher les débris. Vous voyez le sort poche intérieur ? C’est le même principe mais à la place d’un sort, c’est un sans-cœur… donc mon rôle à moi, c’est juste de mettre les impôts dans le sans-cœur, un spécialiste se chargera alors de le récupérer. A côtés de ça, les chevaux n’étaient pas des sans-cœurs mais corrompus, farouches et ayant besoin d’être dominé pour avancer. Je… ne me suis pas pris la tête à ce niveau et sur les vingt gardes armées au corps à corps, j’en ai dépêché deux pour gérer le dispositif de collecte d’impôts. Avant qu’on ne parte du manoir, j’ai réuni tout le monde devant la grande grille et… bon, je me suis vite mis à avancer parce que le regard du T-Rex me mettait mal à l’aise. On a traversé la forêt et les deux gardes en charge du convoi commençaient à être à l’aise même si à les voir, gérer les chevaux n’étaient pas une mince affaire. Entre la lisière de la forêt et la frontière de la citée, j’ai mis tout le monde en assemblé devant moi pour faire un p’tit briefing… et mince, suffisait que quelqu’un m’attaque à ce moment… pourquoi je n’ai pas demandé à tout le monde d’être dos à la ville ? Le danger ne peut venir que de là-bas après tout ! Et malgré tout, j’ai laissé comme ça pour pas passer pour un branquignole devant ceux qui feraient un rapport à Marvin… mais ils ont tous bien vu que le dinosaure gardien du manoir me mettait mal à l’aise.

« Alors, on va récupérez l’impôt. » Introduis-je tout en exhibant un paquet de dizaines de fiches que j’ai jeté à mes pieds… et si j’ai fait ça, c’est uniquement parce que, en tout objectivité… je suis une petite merde prétentieuse et j’adore ça. « Ça, ce sont les barèmes… selon la situation sociale, le métier, le nombre d’enfants, la capacité financière et d’autres critères, on ne réclame pas la même somme. Que les soldats chargés de récupérer l’impôt se partage les fiches d’impositions… pour les deux qui s’occupent du convoi et les flingueurs, y a pas besoin. » Et alors que les gardes commençaient timidement à se pencher devant moi pour ramasser les feuilles, je me suis rappelé à quel point j’aimais dominer les autres. Stoïque d’apparence, mais intérieurement en train de me fendre la poire, j’ai continué sans un geste mon briefing pendant que les fiches étaient récupérées. « J’ai regardé les fiches, très rapidement et les sommes demandés peuvent être… irréalistes. L’idée, c’est que vous obteniez autant de munies que possible… mais vous risquez d’en croisez qui refuseront de payer ou ne pourront juste pas. S’il s’agit d’un simple refus, ne tuez pas la personne, on est pas là pour ça… bon, on note son nom, son adresse et une brève description… mais on se contente de récupérer les munies, les punitions sont pour plus tard. »

« Et s’ils n’ont pas assez de munies ? »

Bonne question… mais je lui ai répondu sèchement et sans respect avec une agressivité tout à fait gratuite. Alors oui, je suis plutôt de bonne humeur… mais qu’on n’oublie pas que je ressors d’un combat contre un dragon et… je suis pas de si bonne humeur que ça, en fait. Faut bien comprendre que ça m’amuse, moi

« Je peux finir ?! »

« Pardon… »

« Et s’ils n’ont pas assez de munies… c’est pas grave, on ne leur en veut pas. Je ne doute pas que de nombreuses personnes n’auront pas les munies nécessaires et préfèreraient les avoir… à ce moment-là, vous compensez en matériaux et objets de valeurs. Bijoux, tout ce qui est de l’argenterie, la ferraille, les couverts… ne me récupérez pas des assiettes non plus… mais bon, si un livre de sort traine, prenez-le, une statue ? Pareille et prenez toutes les décorations de valeurs… les tissus, les fringues… tout ce qui peut servir ou se revendre. Et si vraiment vous n’arrivez pas à réunir la somme demandée avec tout ça… arrachez-donc les câbles et tuyauteries, le cuivre sert autant qu’il se revend. Attention, c'est vraiment le dernier recours ça... même si c'est le plus lucratif... des gens sans eau courante, ni chauffage, ni électricité, ça n'a jamais été productif. Petit détail... si des gens payent toute la somme sans faire chier... de là à être sympa, faut pas déconner... mais ne les brutalisez pas. Si le peuple est systématiquement puni même dans la soumission, il n'y trouvera plus d'intérêt... et si on tombe sur un cas à part, je m'en occuperais. »

Ainsi, nous étions trois sur le convoi… moi assit sur le sommet du coffre, subissant sa gueule qui s’ouvre puis se ferme puis s’ouvre sans discontinuer… comme un bateau subit l’océan qui le malmène.  Au moment de m’asseoir sur la sans-cœur, celui-ci a eu un sursaut et une réaction très agressive, me forçant d’abords à rester debout à ses côtés… avant que je demande à un garde de frapper la bête, fixant ses yeux jaunes. Juste après, le coffre s’est calmé et si ça ne bougeait encore pas mal, le monstre était suffisamment calme pour que je supporte ses maigres secousses… quelque part, ça me massait presque. Deux gardes s’occupaient chacun d’un cheval corrompu, maintenant sa domination et les dirigeant… dix-huit autres, eux aussi taillés pour le corps à corps, s’occupaient de faire le porte à porte nécessaire à la collecte d’impôt. Dans mon cas, j’étais plutôt à l’aise et je flânais sur le sans-cœur… mais très vite, après plusieurs quartiers, je suis passé de dix-huit à dix-sept percepteurs. Parce que le coffre sans-cœur, lui, il s’en fout… ne fait pas de différences entre des munies, des objets… et une main. Ce n’est pas que je discrimine les infirmes et après quelques bandages, le garde était prêt à continuer… mais le sans-cœur semblait en vouloir plus, faisait une fixette sur le garde en question. Le congédiant, ça n’a pas calmé le Collecteur qui semblait avoir… la dalle et cherchait plus qu’activement à croquer tout le monde… je vous avoue que même moi, j’ai arrêté de faire le malin en posant pied à terre. Déchainé, comme pris de crises d’épilepsies, le monstre cherchait à se défaire de ses chaines… et les chevaux ont commencés à s’agiter mais on était loin d’avoir fini la collecte.
Alors, j’ai fixé le sans-cœur dans ses yeux… et comme précédemment, je lui ai bien montré qui donnait les ordres. Simplement, j’ai pointé du doigt les cheveux, ordonnant qu’on les exécute… je doute que la créature ait compris les mots… mais elle m’a vu pointer du doigt deux créatures et pour qu’elles meurent dans la foulée. Le Collecteur n’est pas une ombre ou un cabot et aussi bestial qu’il paraisse, son niveau induit une certaine compréhension des choses… juste assez intelligent pour comprendre que je pouvais mettre fin à son existence… mais pas assez pour comprendre sa valeur à nos yeux et ce que ça nous couterait de le tuer : tout l’impôt déjà collecté.

On a eu l’habitude, avec Ariez, de sans-cœurs parfaitement dressé et obéissant au doigt et à l’œil… mais depuis sa mort, je me rends compte que dominer les créatures des ténèbres n’est pas chose aisé. Mon choix est fait et les cheveux sont morts… mais ça m’a couté deux créatures pour en dominer une, du travail d’amateur. Pour le reste, on a procédé comme convenu et c’était plutôt… moi j’ai bien aimé, c’était tranquille et zen, ça change… mais à raconter, c’est très répétitif. Réclamer l’argent, l’obtenir ou piller, puis on recommence encore et encore jusqu'à avoir fait toutes les maisons.

A la fin de la collecte, nous sommes tous revenu au manoir... on avait commencé au lever du soleil noir et on terminait à son coucher. Un maitre des sans-cœurs a forcé le Collecteur a recraché toutes les richesses de la journée... et apercevant une main, je souriais du dégout de l'invocateur devant cette main.

« Ah, c'était à l'un des gardes noirs ça ! »

C'était au début de la collecte que le sans-cœur l'avait mangé et au soir... elle restait parfaitement conservé, c'est plutôt pratique. J'avais compris que l'invocateur, de par ses compétences, pouvaient se permettre de m'envoyer chier... et du coup, j'ai cherché du regard le premier à me faire l'effet d'un esclave. Un jeune garçon en haillon... son sort m'indifférait totalement et c'est toujours le cas aujourd'hui.

« Hey, petit... ramasse cette main et mets la dans la glace puis va rendre ça à Marvin, il le rendra à l’intéressé. » Lui sifflais-je avant de regarder l'invocateur, déjà partit avec le Collecteur et laissant la place à un intendant. Celui-ci compta, fit des calculs, des estimations et pleins de truc de comptable avant de finalement me dire que... le compte est bon. En munies, j'avais étonnement tout ce que je devais récupérer et bien plus en matières premières ou objets. Ça m'a fait tiqué et j'ai relu mes fiches... avant de zieuter celle du comptable... nos barèmes n'avaient rien à voir, les miens étant beaucoup plus excessif.
Ce devait être Death, soucieux de voir à quel point je pouvais faire payer les habitants, probablement.
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Ainsi, Surkesh revient à la Coalition Noire après sa longue absence ! En vrai, j’suis content de revoir ta petite bouille dans nos rangs.

Déjà, j’ai quelques remarques à faire sur ton rp ! Et comme j’aime bien finir par le positif, je vais d’abord commencer sur le négatif et par ordre d’importance. En premier lieu, un truc que j’ai déjà dit mille fois. Dans un titre, il ne faut pas mettre de point à la fin ! Un titre, c’est un titre, par une phrase ! C’est une erreur typographique, c’est comme omettre de mettre une majuscule au début de tes phrases où même pire… Inverser les guillemets français et anglais. Bref, il s’agit d’un truc typographique, tu le retiens une fois et c’est bon.

Ensuite ! Ici, il s’agit d’une erreur toute bête, c’est simplement fait que Death est toujours considéré comme Intendant de la Garde Noire. Et ce, jusqu’à ce que je nomme une autre personne Intendant. Cela n’est écrit qu’à un seul endroit, dans le sujet des missions ! Et honnêtement, je ne peux pas te blâmer d’avoir eu la flemme de lire le sujet des missions en dehors de ce qui t’intéressait. Ici, c’est juste pour l’information.

Bah, en final, je n’ai pas grand chose à te critiquer de plus. Le déroulement du rp, comment cela est amené et ainsi de suite, c’est vraiment cool. Utiliser la mort de Tian-Lang comme excuse pour faire une mission corvée, c’est plutôt sympa de donner une continuité à ton personnage.

Le point le plus positif que je puisse te faire, c’est simplement que nous avons droit à du toi dans toute sa splendeur. Ce que je veux dire par là, c’est simplement que tu nous sors une mission dans laquelle ça déborde de détail pour faire avancer un groupe où simplement d’idée de mission pour la suite. Genre, j’ai pas demander à ce que tu m’inventes un sans-coeur pour faire ta mission. J’aurais été content avec un Surkesh tenant un sac d’or estampillé d’un dollar, sauf que non, tu nous invente un truc cool pour faire la même chose. Une sorte de coffre-fort assez classe ! Voilà, ça me donne un truc que je pourrais utiliser plus tard, et c’est bien pour moi.

Une semi-critique, c’est aussi le nombre de gardes que tu prends avec toi. Personnellement, c’est toujours un truc que je trouve drôle. Quand je décide de prendre des pnj avec moi, je fais toujours un ratio par rapport à la taille de l’armée ainsi qu’à la nomination utilisé pour la quantité d’individus. Déjà, dans le jargon militaire, une unité de trente soldats, on nomme ça un peloton et est diriger par un Lieutenant ! Pourquoi je parle de tout cela, car simplement que le nombre de Garde Noire est estimé à 120 / 150 hommes. Pour une mission de taxe, tu pars avec presque un cinquième de la Garde Noire. En réfléchissant dans ce sens, tu amputes pour une après-midi une bonne force de la Coalition Noire. En cas de problème, pensons rp, c’est vraiment une horreur si nous nous faisons attaquer à ce moment !

Bref, un bien long paragraphe pour donner l’envie de réfléchir au nombre de pnj que l’on prend avec soi ! Après, je le redis, j’ai beaucoup aimé ta mission et j’attends de voir la suite.

Mission accomplie !

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