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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Lenore haletait au sol, tout à fait tremblante. Elle n’entendait pas les ordres du garde Shinra qui essayait de la bouger, de la redresser de force pour qu’elle s’éloigne du tarmac. Il finit par l’empoigner plus fort pour la bouger, et la douleur causée par sa poigne sur le bras de la mercenaire la sortit de sa torpeur, alors que le son était toujours étouffé dans ses oreilles battant au rythme de l’afflux du sang de son cœur emballée. Il se prit un coup de coude par réflexe vers le visage, heureusement protégé par son casque. Il recula d’un pas et pris son fusil, la maintenant en joue. Elle leva les bras, reprenant ses esprits, la main devant elle tremblant toujours, réclamant une minute pour réussir à se relever et s’éloigner. Ce qu’elle fît d’un pas hésitant, toujours sous la menace du fusil du SOLDAT.

Elle se laissa tomber sur le premier banc venu, une fois sortie de la gare. La traversée avait été purement horrible. Déjà qu’habituellement, il lui fallait de gros efforts de concentration pour rester enfermée dans la soute du navire stellaire le temps du voyage, mais en plus celui-ci avait été attaqué en chemin par des vaisseaux sans cœur, pas moyen ni de fuir ni de se défendre, elle avait dû subir en se rongeant les sangs, en priant pour que le pilote et les SOLDATs soient capables d’assurer leur survie. Le navire avait subi plusieurs avaries et les hurlements des sirènes, les lumières rouges tournoyantes, l’atterrissage violent, n’avaient certainement pas aidé au calme.

Elle avait bousculé tout le monde pour sortir, dès la porte de la soute ouverte, et s’était étalée de tout son long sur le sacrosaint plancher des vaches consulaires. Jusqu’à l’intervention d’un SOLDAT pour l’évacuer de la piste.

Elle prenait de longues inspirations sur son banc. C’était terminé. Il y aurait le voyage de retour à faire mais pour le moment, il valait mieux ne pas y penser. Elle était à deux doigts de finir complétement claustrophobe. Saleté de compagnie commerciale. Ils pourraient nettoyer leur espace avant de faire des remarques aux mercenaires sur la sécurité de leur monde. Un instant elle essaya de s’imaginer les conséquences d’une brèche dans le navire. Que se passait-il dans l’espace ? Elle aurait peut-être pu sortir pour donner un coup de main ? Il parait que les mouvements sont ralentit… mais surtout il n’y a pas d’air, à moins que ce soit une fausse excuse inventée par la Shinra pour vendre ses voyages exclusifs ! Sacré coup de poker si c’était le cas !




Elle secoua la tête pour la vider de ses idées saugrenues, et pour se concentrer sur ce pour quoi elle était ici. Retrouver la trace d’une ou deux princesses de cœur que les mercenaires avaient perdu. Elle observait autour d’elle le Jardin Radieux, qu’elle visitait pour la première fois. Le soleil n’était pas encore tout à fait à son zénith qu’il baignait les éclats de la ville dans une atmosphère surréaliste flagrante après la peur panique de la jeune femme.

Le fait d’embrasser ce décor du regard suffit à l’apaiser. S’il n’y avait pas eu le vol et le chant des oiseaux, elle se serait crue les pieds dans un tableau. Le calme et l’harmonie transpiraient dans le moindre détail, chaque pierre, chaque branchage avait dû être sciemment réfléchi avant d’être disposé pour ne pas jurer sur l’environnement immédiat. Se pouvait-il que la nature se soit à ce point pliée à la volonté d’êtres humains ?

Les couleurs se rehaussaient les unes les autres, des toits pourpres, des fenêtres or, des murs ivoire, des arbres d’émeraudes, des fontaines d’aigue marine. Même la population faisait partie intégrante du tableau, dans leur foisonnement de diversité, d’extravagance, de formes mouvantes. L’endroit avait quelque chose de familier tout en étant exotique, unique. Elle se surprit à y trouver quelques ressemblances avec la capitale de son monde de Grimm, dans son ambiance paisible et colorée, chaleureuse et accueillante. La musique montait doucement dans les allées pour arriver à ses oreilles alors que les navires Shinra avaient tous finis par décoller avec leur raffut de tonnerre au démarrage des propulseurs. Elle leva les yeux sur le château qui trônait dans les hauteurs de la ville, de nombreuses hautes tours entouraient un dôme, joyaux surplombant avec fierté cet écrin d’architecture qu’était la ville.




Un groupe de touriste brisa sa contemplation, abusant des exclamations et du peu de vocabulaire qu’ils possédaient. Ils se dirigeaient vers la ville et elle s’incrusta dans leur sillage, histoire de faciliter sa discrétion et ses recherches. Pour ne pas qu’ils s’inquiètent d’être suivis par un être étrange et ténébreux, elle rabaissa la capuche de sa cape, libérant ses cheveux fins et roux, ouvrant en grand ses yeux émeraudes d’un air mijaurée. Elle affichait un léger sourire discret en hochant régulièrement la tête aux commentaires de ses voisins. Ce n’était pas la peine de passer pour un malandrin.

Elle les suivit ainsi une partie de leur route à travers les nombreux magasins. Tous les corps de métiers, semblait y avoir installé les meilleurs de leurs artisans, exposant des ouvrages de qualité exceptionnelle. De grands écrans relataient les informations et des extraits de spectacles, astucieusement intégré au décor. Les rues étaient animées de numéros de tous types, représentation de cirques, chants, danses, théâtre, peintres. Lenore aurait pu aimer vivre ici. Mais elle savait bien que sous les vernis attrayants, le quotidien avait souvent un gout différent. Elle bifurqua lorsque le groupe partit pour une visite du Moulin Rouge, établissement réputé mais qui pour le moment ne l’intéressait pas.

Son estomac se rappela à son bon souvenir en un braillement sourd, lui aussi devait se remettre de ses émotions à l’heure du déjeuner. Lenore choisit le plus grand libraire du centre-ville, pensant y avoir le plus de chance de croiser Belle. Elle s’offrit un sandwich consistant en une galette enroulée sur elle-même et ses ingrédients, original et délicieux. Elle se promit de le faire rajouter à la carte du Centurio, puis choisit un banc donnant sur la façade du magasin. Elle comptait attendre le passage de la princesse de cœur avide de littérature en priant pour qu’elle n’ait pas accès à une autre bibliothèque ailleurs, ou qu’elle soit belle et bien localisée dans ce monde…

Le doute s’infiltra soudain dans son esprit. Elle devait vérifier cette hypothèse avant de perdre des jours de surveillance bêtement. Elle se levait quand un charivari déboula dans la rue, manquant de l’entrainer avec ses saltimbanques dans une danse à travers la ville pour annoncer le prochain spectacle de leur troupe. Deux ou trois pirouettes en maintenant sa jupe des mains pour éviter qu’elle ne tourne et blesse qui que ce soit dans ce chahut, une ample révérence, et la voilà qui s’extirpe en riant aux éclats pour atteindre et pousser la porte du libraire. Oui, décidément, elle aurait aimé cette ville.




Elle souriait et saluait le propriétaire du magasin, petit vieillard maigre aux cheveux poivre et sel indisciplinés, de petites lunettes pincés sur un nez à l’arête saillante, qui rangeait quelques livres avec un air tout à fait calme et aimable. Elle parcourait silencieusement les nombreuses étagères sans toucher les livres, en penchant parfois la tête pour lire les titres à la verticale. L’un en particulier la fît sourire et elle l’extrayait avec délicatesse : Un recueil de contes transmis au royaume de Grimm. Il serait amusant de confronter la réalité à l’imaginaire populaire. Elle serrait contre elle le livre, comme le chérissant, trésor de savoir, mimant la parfaite petite bibliothécaire, tout en approchant du propriétaire du magasin.


« Je crois que je n’ai jamais vu autant de livres dans la même pièce, je vous envie tellement de vivre ici ! On dirait la bibliothèque d’un château. Pour un peu, je ne serais même pas surprise de voir une princesse au coin de l’étagère ! Mais vous çà dois vous arriver souvent j’imagine bien qu’ils viennent de loin ici. Je ne reviens toujours pas d’être dans ce magasin, on m’avais parlé de cet endroit mais c’est encore mieux que ce qu’on m’avait décrit.» Dit-elle en reposant le livre sur le comptoir avec un air des plus innocents possibles.

« Et bien, certes oui, j’apprécie grandement ma chance, mademoiselle. Je vous remercie du compliment, mais je suis loin d’égaler la variété de la bibliothèque de l’Académie ni même certaines pièces du Sommet des Arts, hélas ! Bien qu’il soit vrai que quelques-uns de nos plus grands orateurs viennent se fournir parfois chez moi. »

« Votre notoriété dépasse encore ce que j’imaginais ! Et je suis ici moi-même, à l’endroit où les plus célèbres esprits éclairés viennent nourrir leur curiosité ! Oh veuillez pardonner mes élans mais je n’en reviens pas… pour un peu, je me prendrais presque pour Belle, la princesse de cœur… c’est un peu bête mais c’est mon idole. »

Elle baissa la voix sur la fin en se forçant à rougir, sur le ton de la confidence. Il suffisait d’être sur la fin de son souffle et de bloquer sa respiration pour un peu d’effet théâtrale efficace.


« Belle est une personne charmante, vous faites un excellent choix, s’il y en a bien une à idolâtrer, c’est celle-ci. Sa soif de savoir est immense et j’apprécie toujours de discuter avec cette jeune femme à chacun de ses passages. »

Il souriait ménageant l’effet de sa déclaration, s’attendant presque à l’hystérie de la fan inconditionnelle.

Lenore n’allait pas le décevoir puisqu’il entrait facilement dans son jeu. Elle porta les mains à sa bouche en une inspiration rapide.


« Vous voulez dire que …. Madame Belle… ici ? Oh j’en perds mes mots…Vous pensez… enfin c’est idiot. Je n’espérais pas pouvoir réellement la croiser. Elle est dans ce monde ? Elle… vient parfois ici ? Je n’en reviens pas ! Je donnerais n’importe quoi pour obtenir un autographe. Oh promettez-moi de lui demander de signer ce livre, s’il vous plait… Je donnerais tout ce que j’ai, pitié. »

Elle se mit à supplier, trépignant sur place. Elle s’amusait beaucoup et le propriétaire s’amusait de sa jeunesse.


« Je ne vous demanderais rien de plus jeune fille, allons. Il se trouve que la Princesse doit venir prendre une commande dans la journée, comme presque chaque jour en fait. Malheureusement, son escorte ne vous laissera pas l’approcher. Ce sera avec un très grand plaisir que je lui demanderais de signer ce livre pour vous, si vous le souhaitez, et si vous en avez la patience. »

« OUI ! Oh oui ! Merci merci et encore milles fois merci ! Vous n’avez pas idée du plaisir que dis-je ! De l’honneur ! Que vous me faite là monsieur. »

Elle commençait à en faire trop, il était temps de mettre fin à la mascarade avant de se tirer une balle dans le pied.


« Je reviendrais ce soir ? Je ne peux attendre malheureusement, ma famille doit déjà s’impatienter. Ils ne vont pas en revenir quand je vais leur expliquer ! Je vous promets de revenir avant votre fermeture ! Gardez moi précieusement ce livre, je vous en conjure. »

Elle le remerciait, les mains en prière, tout en s’éclipsant à l’extérieur du magasin, d’un air pressé, laissant le vieil homme fier de sa générosité et de sa bonne action à venir.




Lenore s’éloigna un peu, sortant du champ de vision potentiel du libraire, tout en gardant un œil sur l’entrée, rassurée par la présence en ce monde de la princesse qu’elle devait retrouver. Cependant ceci ne suffisait pas. Il pouvait très bien mentir pour usurper sa réputation, ou se faire gruger par une prétendue Belle différente de l’originale qui profiterait de son statut. Dommage qu’il n’y ait aucune rousse parmi les princesses de cœur, pensait-elle. De plus il fallait également vérifier l’information concernant Alice. Ce dernier point s’avérait bien plus difficile, car contrairement à Belle, la boulimique des livres, Alice n’avait à la connaissance de Lenore aucun violon d’Ingres.

Les heures passèrent, avec son cortège d’artistes de rues, ses passants, ces tranches de vies loin des combats politiques, des massacres de la Coalition et des apparitions de sans cœur. Une vie rêvée qui lui était étrangère. Un souvenir de sa vie passée. Le soleil commença à décliner, peignant de plus de vermeils et d’écarlates les surfaces immaculées du décor quand le cortège de gardes passa au magasin, ceinturant une jeune femme, presque invisible dans le lot des armures. Lenore ne percevait que des bribes de présence, un mollet nu sous un bord de jupe simple, une mèche de cheveux bruns, un bras fin tenant contre elle déjà trois livres épais. Le garde en tête, ouvrit la porte de la librairie pour enfin la laisser passer la première, en bon gentilhomme, ce qui permit à la mercenaire de confirmer son identité. Elle correspondait à la description qui lui avait été faite.

Lenore remit sa capuche, profitant de l’allongement des ombres en cette journée déclinante pour suivre discrètement le groupe armé qui ramenait la princesse chez elle. Elle ne put suivre que jusque l’entrée du quartier résidentiel réservé aux consuls et elle dut se résoudre à se hisser sur les toits pour gagner avec difficulté une vue au-delà du muret assurant l’intimité des plus importants membres du Consulat. Elle devait faire vite afin de ne pas perdre de vue le groupe qui s’éloignait déjà.

Elle choisit une ruelle discrète qui lui permettrait d’atteindre un premier toit, défaisant le foulard à sa ceinture, pour récupérer la corde qu’il cachait. Elle extirpa la dague dissimulée dans la doublure de sa botte pour la nouer à un bout de corde. L’arme s’accrocherait plus facilement à une anfractuosité ou un relief se dit-elle. Elle jeta le tout vers l’armature qui chapotait la cheminée la plus accessible et au bout de deux ou trois tentatives, elle finit par parvenir à se hisser en haut. Elle récupéra son matériel, replaçant chaque morceau à sa place, tout en scrutant le quartier résidentiel en contrebas à la recherche de ses clients.

Déjà les gardes avançaient en formation plus relâchée autour de Belle, l’abandonnant enfin devant une demeure au loin. Lenore remonta la rue du regard jusqu’à parvenir à voir un numéro sur le portail de la maison la plus proche de sa position. En comptant elle put deviner l’adresse de la Princesse au numéro 32. Elle estimait avoir assez d’information quand un autre cortège similaire au premier se dessina au détour de la même rue. Lenore levait un sourcil, cherchant à distinguer la personne escortée. Un crâne blond clair semblait sautiller de temps à autre, puis la jeune adolescente s’extirpa entre l’espacement de deux gardes, au grand dam de ceux-ci qui lui coururent après. Elle semblait avoir repérer quelque chose dans un jardin, mais le boucan des armures en hâte l’avait fait fuir. Lenore souriait, elle pouvait facilement deviner l’exaspération palpable des hommes d’armes qui étaient chargés de la protection de ce que la mercenaire devinait être Alice, à la description de Frantz. L’un des soldats dut discuter longuement pour convaincre la jeune femme de ne pas pénétrer dans le jardin sans autorisation. Ils la raccompagnèrent jusqu’à la même demeure que Belle et l’y abandonnèrent. L’observatrice crut même voir quelques épaules s’affaissées de soulagement à la journée terminée. La jeune princesse devait leur causer bien du tracas et il était bon de le savoir en cas de besoin.




Lenore avait bien assez d’informations et la soirée avançait vite. Elle décida d’abandonner là les princesses, inaccessibles dans leur quartier sécurisé. Elle tourna le dos à cette ville en pleine effervescence où les spectacles de la nuit rivaliseraient assurément avec ceux de la journée. Elle fît un détour pour ne pas repasser devant la librairie où l’attendait peut être un livre de contes paraphé par une princesse.

C’est le cœur lourd qu’elle se dirigea vers la gare Shinra. Elle se força à regagner le ventre de ce monstre technologique fragile qui devait la ramener à Port- Royal en priant pour que le voyage se fasse dans le calme. Elle n’avait plus qu’une hâte, c’était de regagner le Centurio, se faire payer sa mission, et peut être même jouer juste assez de ses charmes pour se faire offrir un verre. Elle ne comptait pas débourser le moindre denier pour quelques jours… enfin le moins possible.

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Alors Alors Alors....je dois avouer que je suis totalement à fond sur ce que tu viens de nous pondre comme mission Smile.

Plutôt que de faire un gros pavé en une seule fois pour relater cette importante mission de renseignement tu nous l’as fait en deux parties bien distinctes. Et ça c'est déjà très bien !

Je vais d’ailleurs donner ici mon appréciation de tes deux postes séparément


Deux pour le Prix d'une

On commence avec un bon début qui, comme toujours, donne le ton sur l'ambiance générale qui t'entoure (tu arrives d'ailleurs à toujours m'émouvoir sur ta façon de si bien retranscrire ce genre de chose ^^). Et, contrairement à la plupart d'entre nous, tu ne commences pas pars un truc du genre "je suis en mission, je vais faire ma mission, halala que ma mission est bien". Non toi tu commences par poser un petit cadre avant la mission, pour expliquer un petit peu comment tu l’obtient. Parce que oui ! Les Mercos ne sont pas non plus des pompes à frics (bon ok on est des gros radins, mais on a quand même une vie à coté). Et je trouve ça sympas de temps en temps un petit moment de vie extérieur des missions/exploit pour annoncer le début de l’aventure…bref j’ai bien aimé ce petit début Smile
S’ensuit une jolie petite visite des locaux (continue comme ça ! faut que tout le forum soit au courant que notre Q.G c’est le plus Badas ^^) puis la prise de la mission…et la fameuse conversation avec Fred !
J’ai aussi aimé ce petit moment parce qu’on voit que tu t’es renseigné auprés des autres membres et que tu as fait ta petite enquête avant d’écrire tout ça, pour ensuite mettre en place la découverte de l’univers dans lequel Lenore se trouve. En bonne petite nouvelle qu’elle est, elle a encore tant de chose à apprendre. Et c’est vraiment bien ça, on voit que tu bosse bien en détail sur ce que va vivre ton perso Smile


Puis arrive la première phase d’interrogatoire, celle avec les enfants : ces adorables petites têtes blondes toujours fichus là où il ne faut pas à voir ce qu’il ne faut pas ;). C’est pas innovant, mais ça reste toujours sympas à lire….jusqu’à « Je veux toucher vos nichons ». j’ai failli recracher mon coca par le nez avec tes conneries !!!!!
Oui j’ai un humour facile ! Oui n’importe qui pourrait dire « c’est un peu prévisible ce genre de situation, on l’a vue plein de fois déjà », ça n’empêche que ça reste drôle ! Et moi j’ai bien rie ! Donc merde à ceux qu’on pas rie, c’est tous des pov’taches Smile
On a ensuite le classique « passage à tabac enfantin» (une claque pour t’apprendre le respect p’tit merdeux !) et hop les infos pleuvent ! (ce n’est pas une critique négative ! c’est tellement facile de briser un gamin de douze ans quand on fait partie d’une grosse organisation de combattants à tous faire…du coup la suite était toute logique à mon sens).


Ensuite vient ce que j’ai envie d’appeler l’interlude de génie ! Moi-même en lisant je me mettais à la place de Lenore en me demandant « Mais comment elle va faire cette Batgirl des Caraïbes pour savoir par où sont partie les princesses de cœurs ? Autant chercher une anguille dans une botte de forain comme disait mon grand-père ».
Et là tu me ponds………………………. (petit suspens pour ceux qu’on pas lue le Rp et qui viennent juste voir comment je fais une notation)…………………..Un Portrait-Robot ! Sérieusement ! un Fucking portrait-robot ! C’est juste génial ! Rien qu’à partir de là j’ai eu une banane au visage pendant toute la durée de ma lecture de ce post.

Après on en vient à l’interrogatoire avec le guichetier de la Shin-ra…..probablement celui qui m’a le moins embalé….je ne dis pas qu’il était nul. Il à été mené aussi bien que les deux autres avec une fluidité qui me permettait de garder une lecture constante de tout ce beau travail. Mais avec le premier où j’ai bien rie, le second ou j’ai jubilé, celui-ci me paraissait….  « Ordinaire »…
Attention je ne dis pas que parce qu’il était ordinaire il ne m’a pas plu, c’est juste que mon désir de lecture était en train d’atteindre un point culminant avec toutes les situations précédentes. Et tout d’un coup…POUF…retour à un truc un peu normale…..

Mais je répète qu’il n’était pas nul pour autant ! j’ai aimé le dénouement de la conversation Smile


Au final, chacune de tes conversations s’est faite sur un travail de psychologie. Tu as exploité les faiblesses de tes interlocuteurs pour obtenir ce que tu désirais…et c’était plutôt cool !



wanted : rat de bibliothèque exceptionnel

Petite élipse sympathique pour nous remettre directement dans le bain mais qui nous fait penser à une mission ordinaire de Mercenaire (je me prends en compte dedans hein). Dans le sens que tu écris ton post, tu expliques pourquoi tu es là, et tu t’en va faire ta mission sur ton fière cheval blanc en direction du soleil couchant, te disant que les lecteurs savent pourquoi tu es là et que maintenant on peut passer aux choses sérieuse.
MAIS…….Pour ceux qui se sont montré patient et/ou attentif, ils ont pu découvrir l’envers du décor avec ton précédent post et savent mieux que les pauvres pécores qui ne l’ont pas fait ce que tu fais très exactement dans le coin….Et c’est là qu’ils comprennent l’importance de faire attention à ce qui se passe dans ce monde de fou et te remercieront en te donnant chacun 10 munnies avec chacune de leurs mains Smile
Blague à part, on en apprend un peu plus sur l’aspect mentale de Lenore, ça claustrophobie est vraiment un aspect que l’on n’avait pas encore eu le loisir d’apercevoir au cours d’une aventure. Ça la rend plus humaine, plus « normale » que la plupart d’entre nous qui avons zéro défaut et qui somme tellement badass of the dead Cool. On s’attache un peu plus à ton perso de la sorte (pour moi c’est le cas ^^)


Puis on à la mini visite guidée des Jardins Radieux….rien à redire, toujours égale à toi-même avec ta manie de bien décrire comme si on y était tous, jusqu’à l’arrivé dans la bibliothèque. Qui m’a légèrement déçut sur un petit point (mais j’y reviendrais apprés). Le fait que tu trouves du premier coup la bonne bibliothèque c’était….dommage. J’aurais peut-être aimé un peu plus de travail d’investigation, histoire de rajouter un peu de difficulté à tout cela. Par exemple que Belle n’allait pas seulement dans une seule bibliothèque, mais qu’elle faisait le tour des bibliothèques pour à chaque fois ressortir avec plusieurs livres. Ça aurait eu un coté moins « Et hop j’ai fait un coup critique sur mon Dé de Chance…..qu’est-ce que je gagne monsieur le Maître du Jeu ? ». (Bon ok c’est fourbe de ma part de dire ça.)
Après, la conversation avec le vieil homme est des plus banales, mais tu nous l’as fait vivre assez bien, et puis le jeux d’acteur de Lenore est tellement amusant à lire que tu arrives à nous donner quelque chose de plaisant et de coloré. Je m’imaginais parfaitement ton perso jouant la petite fille à couette qui est sur le point de rencontrer son idole de toujours…..


Puis enfin, la Traque ! la spécialité de Lenore ! J’attendais impatiemment de voir comment tu allais procéder pour suivre Belle sans trop te faire remarquer dans la Capitale du Consulat. Et ben j’ai eu la sensation de manipuler Altaïr dans Assassin’s Creed pour un peu Smile j’étais en train d’imaginer la cape de Lenore flottant au vent sous un ciel orangé, accroupie sur le toit d’une bâtisse à observer avec ses yeux d’aigles et....Wait What ?

Là sont arrivés deux petits éléments qui m’ont un peu fait tirer une moue de déception :

1) Tu arrives à voir assez bien tes cibles au milieu d’une certaines masse de personne. Alors je sais que les Quartiers des Consuls ne sont pas loin de leurs tours, et qu’il n’y a probablement pas autant de population ici que dans le reste de la ville….Mais n’empêche….ça aurait pu être beaucoup plus dure que ça….avec une longue-vue ou quelque chose du genre ça serait passé…mais là j’ai comme une certaine réticence sur le sujet…
2) T’es quand même juste à côté du Q.G du Consulat. Je sais qu’on n’est pas en conflit avec eux (tout du moins pas aux dernière nouvelles), mais tout de même ! j’aurais aimé voir un peu de difficulté, de situations obligeant Lenore à se cacher ou à fureter pour échapper à l’attention des Soldats qui ratissent la ville de leur regard vigilant. L’obligeant à faire preuve d’ingéniosité supplémentaire pour garder sa focalisation sur les Princesses tout en cherchant à ne pas se faire repérer….ça c’est fait un peu facilement, ou du moins sans un ressentit de grand stress. Dit toi quand même que si tu t’étais fait repérer, les gardes ne t’auraient pas laissé partir sans essayer de te questionner un peu beaucoup avant.

Voila ! À part cela ce Post et le précédent se complètent agréablement entre eux. J’ai eu du plaisir à les lires comme à chaque fois Smile


Venons-en maintenant à la récompense….hum……cruel dilemme….je n’ai pas ressentie de ès grande difficulté durant cette mission. Mais il y a eu des questions personnelles, des réflexions sur le pourquoi du comment d’une telle situation, du jeu de rôle à foison de la part de ton personnage pour obtenir les informations qu’elle désirait (sauf pour le gamin, ça c’était du naturel et c’était rigolo ^^)

Du coup….j’ai quand même envie de récompenser tout cela en te notant entre une Mission normale et Avancée

Mission Normale : 20 Expérience (+5 Supplémentaire) + 200 munnies (+50 supplémentaires) + 3 PS (1 Psychisme, car pour moi tu as su faire preuve d’une grande vivacité d’esprit et 2 Dextérité car tu as quand même su t’adapter rapidement aux situations)

ET EN CADEAU !!!!!! Tu à trouver dans la soute un petit sachet de farce et attrape qu’un enfant à dû perdre lors d’un précédent voyage. Il contient
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