La famille au grand complet. Szp8La famille au grand complet. 4kdkLa famille au grand complet. 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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A peine arrivé ici, sans avoir eu le temps de me présenter ou quoi, je me suis fait accosté par un mec qui se fait appeler « Death ». Il a vite compris le pourquoi de ma venu et a très bien insisté sur mon physique original, il m'a demandé vite fait mon prénom et n'a ensuite pas arrêter de parler. M'expliquer la rébellion, ce que fous la princesse je sais plus qui, qui il est, ma mission, une histoire de chambre aussi. J'ai cru qu'il s'arrêterait pas ! Il aurait pu juste me filer la mission, me donner l'adresse, m'expliquer en deux trois mots et fin de l'histoire.. Qu'est-ce que j'en ai à foutre que Haytruc sois le chef de la rébellion, ou que la princesse fasse la belle dans son château. Le pire dans tout ça, c'est que j'avais vraiment l'impression qu'il me prenait de haut, je savais pas si je devais continuer à le laisser parler, ou si je devais lui éclater la tête contre le sol. En fait, j'ai arrêté d'hésiter quand il a parlé de personnes à tuer, je me suis senti beaucoup plus intéressé par ce genre de choses que par le reste.
Enfin bref, quand il a enfin terminé son discours, j'ai récupéré l'adresse et suis parti aussitôt foutre le bordel là-bas.
Une maison près de la gare ? Heureusement que j'ai fait la visite des lieux avant de tomber sur Death. Je sais juste où se trouve la gare, le clocher et le manoir. Pour ce qui est du reste... On verra plus tard.
Enfin bref, un massacre donc ! Ne tardons pas, nous ne pouvons faire attendre ces braves gens !
Je suis alors parti en direction de la fameuse gare, rien de bien étonnant sur le chemin, personne dans les rues, tout le monde restait enfermé ''à l'abri''. Je me serais bien arrêté deux/trois fois pour faire un petit coucou, mais bon.. J'étais pas ici pour ça.. Sur le retour à la limite !
Je continuai mon chemin, sans jamais rien croisé, des gardes de temps en temps qui s'écartaient légèrement quand ils me voyaient et qui murmuraient quelques mots à mon sujet, mais c'est tout. Arrivé dans la bonne rue, je me suis arrêté. Il fallait que je réfléchisse, est-ce que j'entrais d'un seul coup en défonçant la porte, ou est-ce que je déboulais du toit en atterrissant direct dans le salon ? Est-ce que je les tue à petit feu, genre avec un brasier.. Ou je les massacre un par un sans qu'ils aient le temps de comprendre ce qu'il se passe ?


« Boh, et puis merde! Allons-y les amis. J'arrive! »

J'arrivai face à la maison, tentai de toquer à la porte sans la casser quand une voix s'éleva de l'intérieur :

« Qui c'est ?.. »

C'était une voix plutôt grave, un homme donc ! Sûrement la personne en question !

« Le facteur, crétin ! »

Je lançai alors mon poing contre la porte, qui explosa en plusieurs morceaux. Je découvris alors deux personnes, l'une d'entre elles était une petite fille d'environ 12 ans, et l'autre un gamin de 17/18 ans. Je compris alors que le père dont je devais m'occuper était parti quelques temps, sûrement pour aider la rébellion..

« Votre papa n'est pas là ? »

Ils étaient horrifiés, ils devaient se douter à ma réponse que j'étais de la coalition, mais je doute qu'ils s'attendaient à un.. truc.. comme moi.
Voulant une réponse au plus vite, je continuai de parler seul. Pendant que eux, immobiles, me contemplaient avec haine, dégoût et désespoir.


«Si vous répondez pas, je vais devoir vous faire parler.. Toi par exemple ! »

Je m'approchai du gamin, et lui pris le bras qui failli se casser dans ma main. Il hurla avant de me balancer :

« Je ne te dirais rien ! crève !! » Il me cracha à la figure.

Je le lâchai, et lui répondit :

« Si tu ne veux pas parler, c'est ta sœur que je vais commencer par démembrer, petit malin. »

« Laissez-la tranquille ! Cette histoire ne la regarde pas ! »

La petite fille pleurait alors que je m'approchais d'elle, elle regardait son frère en espérant une quelconque aide, mais ce dernier était toujours figé par la peur, en regardant toujours au même endroit où je me trouvais auparavant.
Je me mis alors, à mon tour, à contempler l'impuissance humaine. Pétrifié par la peur, il ne pouvait se résoudre à risquer sa vie pour sa petite sœur, alors qu'il eut le courage de me tenir tête pour retarder la mort de son père.. Je pensais qu'il aurait eu plus de cran.. Ces idiots sont tous les-mêmes, de grands airs, mais quand il faut agir en héros il n'y a personne, même si la situation est désespérée.
Je ne pris pas plus de temps, j'attrapai les deux bras de la jeune fille, la fixai quelques instants.. et mon corps se mit à chauffer. La chaleur se diffusa dans la pièce très vite bien que j'étais incapable de la sentir. Le garçon suintait dû à la chaleur, mais aussi à la peur. Les bras de la fillette commençait à fumer alors qu'elle hurlait encore à l'aide en se débattant le plus possible. J'allais bientôt mettre fin à ses souffrances, je serrai ses membres et tirai dans des sens opposés avec un timing parfait pour que les deux bras lâchent en même temps. La petite fille alors démunie de ses membres s'évanouit sous la douleur. J'allais la laisser là un petit peu. Je cautérisai la plaie avec mon corps encore brûlant avant de m'avancer vers le garçon.


« Tu es pitoyable, incapable de réagir devant la torture de ta sœur, tu aides la rébellion mais n'a pas le cran de réagir lorsqu'un de tes ennemis est face à toi. Tu n'es rien, dans un monde où tout est si grand, seuls les forts s'en tireront indemnes.. L'espoir que vous avez tous aujourd'hui, celui de vivre dans un monde plus beau, où les ténèbres ne sont qu'un mauvais souvenir, celui de vivre en paix, sans conflit, en harmonie. Cet espoir est factice, une illusion que vous vous êtes créé pour résister à notre oppression et supporter la douleur que la vie vous inflige... Maintenant, tu vas mourir. Et ton père te suivra bientôt, comme toute la rébellion ! »

Il sanglotait de plus belle, je m'apprêtai alors à le faire taire quand une voix s'éleva dehors:

"La porte de ma maison est ouverte! Les enfants!"

Un homme surgit, armé et accompagné de deux autres personnes pas beaucoup plus grandes que lui. Leurs visages se figèrent en m'apercevant, bouche bée, ils me pointèrent tous les trois de leurs fusils pendant que le marmot derrière moi implorait son père de me tuer. Ce dernier vit alors le sang sur les murs et le corps de sa chère petite fille inerte au sol allongée près de ses deux bras.

"Je ne pense pas qu'elle so.."

Pas le temps de finir ma phrase, le père se mit à hurler en semant les deux autres personnes de tirer. Les malheureux me tirèrent alors dessus à une vitesse respectable. Je feint alors de m'écrouler sur le sol, comme mort alors qu'ils continuaient de tirer. En fermant les yeux, on aurait pu croire qu'il ne s'agissait que d'une pluie lourde s'écrasant sur le bitume, une pluie qui s'arrêta net quand un des hommes gémit.

"Mon fils!!"

Une personne s'écroula près de moi tandis que les balles reçues me picotaient encore. Il devait sûrement s'agir du gamin, puisque le père cria de désespoir en hurlant le prénom de son défunt fils.
Mon corps se remit alors à chauffer, diffusant une nouvelle fois une chaleur insupportable dans toute la pièce, le métal de mon corps en devenait légèrement orange. Je me redressai, contemplai le petit à terre et constatai que son corps était criblé de balles. Elles avaient rebondies sur mon corps pendant que j'étais allongé, et avaient pénétrés dans le corps du garçon malgré leur forme inappropriée.
Je souris et pris l'homme dans mes mains, qui continuait de crier de désespoir plus que de douleur. Je pris sa tête dans une main et le corps du garçon dans l'autre, j'allongeai le frère et la sœur l'un à côté de l'autre. L'atmosphère était pesante, je ne m'amusais plus.. Le crâne du père commençait à fumer, je le lâchai quand je reçu un coup sur la tête. Je pliai le genou et me redressai en me retournant, un des deux hommes de tout à l'heure m'avait frappé avec son arme, l'autre était parti, encore un lâche. Je bombai le torse, tentant de l'intimider, mais il se rua sur moi prêt à en découdre. Je joignis alors mes mains, les plaçai au-dessus de ma tête et le frappai violemment sur la tête. Rien aurait pû être alors aussi plaisant que de sentir son crâne se briser sous mes mains, sa tête avait creusée un trou dans le sol tant l'impact avait été fort.
En retirant mes mains, il ne restait que le corps du défunt. Sa tête n'était plus que cendre, cette dernière avait brûlé sous la chaleur de mon corps. Je n'en pouvais plus, la chaleur de mon corps retomba, et la fatigue se fit sentir. Le père était toujours aux côtés de ses enfants, pleurant leurs morts, s'excusant de toutes les fois où il n'aurait pas du agir comme il l'avait fait. Et blablabla.. Je voulais rentrer maintenant, je pris les jambes du père avec ma main droite, le torse de ce dernier avec ma main gauche et séparai les deux morceaux d'un geste rapide. Je me hâtai alors vers le mur pendant que le sang coulait encore pour inscrire avec le reste du corps: "L'ESPOIR N'EST PAS TOLÉRÉ"


J'avais terminé, du moins c'est ce que je pensais. En sortant, une dizaine de personnes se ruaient vers moi, j'étais trop fatigué pour pouvoir les affronter. Je partis dans une autre direction alors que le métal de mon corps était encore jaune, on pouvait facilement me repérer. Je courais le plus vite possible, malheureusement j'étais bien trop lourd. Ils me rattrapèrent très vite et je n'avais plus d'autres solutions que me battre.
Très vite, ils se mirent en cercle autour de moi, de manière à ce que je ne puisse rien faire lorsqu'ils m'attaqueraient. Je n'avais plus assez de force pour chauffer mon corps une nouvelle fois.. J'allais devoir me battre.
Le chef je suppose hurla de m'attaquer, cependant personne ne bougeait, ils étaient hésitant. Pourtant ils savaient que j'étais épuisé, je n'aurais pas pris la fuite sinon. Cependant, je profitai de ce moment d'hésitation pour me jeter bras ouverts sur trois personnes. Deux d'entres elles furent plaquées sur le sol suffoquant sous le poids de mes bras. J'étais alors hors du cercle, et, pris de panique, 7 d'entre les 8 se ruèrent sur moi. Ne pouvant parer tous les coups, je m'en pris trois ou quatre légers au visage. Ils s'arrêtèrent. Maintenant c'était mon tour, j'attrapai le premier qui me passai sous la main, et m'en servi pour taper son collègue et le propulser contre un mur, je lançai alors celui que j'avais dans les mains en l'air. Il ratterrit sur le sol dans un bruit des plus écœurant. Il n'en restait plus que six avec le chef. Ce dernier avait d'ailleurs disparu, tu parles d'un chef.
Les cinq derniers commençaient à s'agiter, ils se lancèrent sur moi en même temps, et dans un ultime effort, je profitai de cette attaque pour lancer un brasier ++ accompagné d'un bon coup de poing de réception, quatre d'entre eux moururent très vite, le dernier se fit écraser peu de temps après par mon pied lorsque je repartis en direction du manoir, ma première mission venait d'être accompli.
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Tudum… Voici l’heure de ton premier commentaire, et j’ai l’immense honneur de m’atteler à la tâche !

En premier lieu, sache que le but des commentaires n’est pas de te couler ou de t’aduler, mais surtout de mettre le doigt sur certaines choses afin de t’aider à avancer et à faire ton nid sur notre forum. Bon, aussi cela sert à améliorer ton personnage comme dans tout les rpg et à faire de ton monstre en armure une véritable bête faisant trembler les plus hauts remparts du Château Disney.

Alors, commençons !

Déjà, j’ai aimé… J’ai vraiment aimé ta mission. Surtout que, c’est un peu la mission d’introduction pour tous les coalisés. Et comme à chaque fois, chaque membre me montrer un truc nouveau et je jubile devant les idées que tu as eues. D’ailleurs, je comprends ce que tu disais sur la CB quand tu disais avoir du mal à écrire et à faire ton personnage. Certaines idées peuvent être fortes, comme la mort de la gamine, et ne sont pas vraiment évidente à mettre sur le papier. Cependant, un truc que j’ai particulièrement apprécié ici, c’est l’impression que ton personnage ne le fait pas par envie ou par obligation. Il s’agit de sa nature.

Peut-être que je dis cela en repensant au monde d’origine, mais j’ai eu l’impression que ce que tu faisais était naturel. Terrifier le grand frère en torturant sa soeur, cherchant à le provoquer en l’intimidant… Je ne sais pas, ça me semblait tellement naturel !

Malheureusement, j’ai un bémol à signaler, c’est une erreur que nous avons tous fait. Et moi le premier ! C’est une surévaluation des statistiques.

Sur notre forum, nous avons tous notre feuille de personnage indiquant nos force/magie/defense et elle indique ce que nous sommes capable de faire. Ici, je ne dirais rien sur ta défense. Tu es à trente et c’est un niveau plus qu’acceptable pour ton endurance, tu résistes plutôt bien aux coups et les dégâts que tu subis sont bien représentés. Je parlerais plutôt de ta force. Tu as quinze, et quand tu regardes ce sujet (je te suggères de jeter un coup d’oeil, c’est très intéressant), il y a une représentation de statistique :

« Si le personnage a 10 en Force/Magie/Psychisme/Dextérité, il pourra casser/détruire/soulever/détruire (etc…) un bâton solide. (C’est le seuil d’acceptabilité, si vous voulez. C’est à partir de 10 que vous êtes arrivés au niveau « Pas mal ! »).

Si le personnage a 20 en Force/Magie/Psychisme/Dextérité, il pourra casser/détruire/soulever/détruire (etc…) une bûche. »

Tu es entre les deux ici, et tu comprends où je veux en venir. Casser un bras, mettre une violente droite, ou détruire une porte… C’est largement faisable. Cependant, démembré une fillette ou prendre un rebelle pour taper sur un autre, il te faudrait un peu plus que ça ! Pour le rappel, on faisait ça au moyen-âge avec quatre chevaux. Ça donne une idée de la force nécessaire pour y arriver. Enfin ! Je te dis cela pour t’aider dans tes prochains rp sur le forum, ce n’est pas vraiment une critique mais plutôt un avertissement.

Enfin voilà! Je pense avoir dit ce que je pensais de ta première mission… Et je me répète, pour une entrée dans la matière chez nous, je suis vraiment heureux d’avoir eu ce texte à lire ! J’attends la suite avec impatience ! Ah aussi, rapport au titre de ton rp... Un titre ne fini jamais par un point ^^

Mission accomplie !

Normal : 22 points d'expérience + 200 munnies + 3 PS (Deux en Vitesse et un en force !)
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