Elle avait la trentaine, les cheveux bruns bouclés… et nos geôles avaient évidement dépossédés la pauvresse de tous ses atouts. Son âge se dévoilait sans son maquillage et on apercevait les viennoiseries en trop dans cette tunique de jute un peu trop petite pour cette boulangère. Ça la boudinait, c’était repoussant… mais pourtant, j’étais là en train de la détailler, un sourire sans signification aux lèvres. Son visage prenait des traits improbables sous la peur et c’était loin de l’arranger… mais pourtant, je la trouvais mignonne comme ça. J’aurais juré voir une petite chienne que l’on frapperait pour lui faire supplier les caresses.
« Bonsoir… » Lui dis-je poliment avant de prendre un ton plus chaleureux. « …on a pas vraiment de chance, hein ? » Je conclus d’un sourire méprisant et moqueur.
Sans explication, je m’avança vers elle et la frappa au ventre de mon sceptre. Un coup d’estoc vif et bref… puis le crystal jaune à l’extrémité s’électrise ! Rien qu’en la touchant juste, la boulangère hurlait déjà… et elle se tordait encore de douleurs quelques secondes après. On lui avait attaché les poignets et les bras, lui donnant une allure grotesque…
« Je n’avais jamais vu de chenille danser ! »
Je lui disais ça… pas pour rire, c’était sur le ton cinglant d’une insulte ! J’avais prononcé ces mots de la même manière que je lui aurais craché dessus… et d’ailleurs, c’est ce que je fis juste après.
Juste pour rire… j’ai remis un petit coup de sceptre. Je n’ai pas pu m’en empêcher…
« Allez ma petite boulangère… tu vends du pain moins cher que la taxe sur le pain… alors fais-moi plaisir et sors-moi des bobards toute la nuit. Je viens juste d’avoir son sceptre. »
« Je vais tout vous… aaaaaaah ! »
Ma prisonnière rampa à la hâte pour fuir le sceptre que j’approchais d’elle… mais non, pas cette fois. Malgré qu’elle se soit cognée le crâne contre le mur elle soupira, soulagée, sauvée…
« Dis moi tout mais regardes par terre. »
« Très bien… »
Je l’électrisai… de longues secondes. Quand ce fut terminée, elle n’en pouvait plus et semblait souffrir le martyr.
« Appelle-moi Madame. »
« Désolée… madame. Je voulais juste aider les gens, le pain est trop cher pour eux sinon et… »
« Malgré tout tu as enfreint la loi. Je veux une raison de ne pas te tuer. »
« J’ai ! » Cria-t-elle, paniquée. « Les rebelles me livrent le pain dans la ruelle où il y a la poste désaffectée. C’est là qu’ils iront cacher le pain. Ca se passera mercredi… »
« Merci… mais je n’aime pas ce petit ton ! »
J’ai enfoncé le sceptre dans son sceptre, jusqu’à lui en faire mal alors qu’aucun éclair ne s’en échappait. Tandis qu’elle me suppliait avec un ton aigue et faible que je ne supportais pas, j’ai giflée cette fille. Elle dit la vérité, c’est sûr… elle est déjà brisée, ce n’est pas une héroïne.
Je ne sais pas comment lui faire faire des éclairs… j’enfonce le plus possible, je vois déjà la douleur dans ses yeux et dans ses affreux gémissements qui m’agacent au plus haut point. Un déclic… je sais le bâton à deux mains et je le secoue nerveusement. Des éclairs bleus jaillissent de toute part, frappant les murs et illuminant les cachots ! Paniquée, j’enlève le sceptre voyant que son contrôle m’échappe… et bam !
Je me relève, les vêtements à moitiés brûlées et les cheveux qui partent dans tous les sens, raides… c’était horrible, j’avais l’impression de brûler de l’intérieur.
C’était bref… alors ca va, je m’en sors même si… woah… j’ai cru mourir tant la douleur était atroce. La boulangère respirait encore… les yeux perdues dans le vide, à demi-consciente… respirant brutalement et sèchement, comme une chienne. Franchement, à la voir… la langue sortit de sa bouche et même en train de baver, le visage vide de toute expression, je ne peux pas dire qu’elle va bien.
Je m’approche d’elle sans me lever, sentant toutes les brûles de mon corps… et je lui caresse les cheveux, tendrement. Mon visage s’adoucit, j’aime la voir si tranquille… « Ça va ? » Et elle me répond même d’un petit hochement de tête.
Enfin… on peut se demander si elle va vraiment s’en remettre. Personnellement, je m’en fous… mais le chef de la brigade scientifique va m’entendre pour avoir faillit me tuer!
Mer 20 Aoû 2014 - 16:10« Bonsoir… » Lui dis-je poliment avant de prendre un ton plus chaleureux. « …on a pas vraiment de chance, hein ? » Je conclus d’un sourire méprisant et moqueur.
Sans explication, je m’avança vers elle et la frappa au ventre de mon sceptre. Un coup d’estoc vif et bref… puis le crystal jaune à l’extrémité s’électrise ! Rien qu’en la touchant juste, la boulangère hurlait déjà… et elle se tordait encore de douleurs quelques secondes après. On lui avait attaché les poignets et les bras, lui donnant une allure grotesque…
« Je n’avais jamais vu de chenille danser ! »
Je lui disais ça… pas pour rire, c’était sur le ton cinglant d’une insulte ! J’avais prononcé ces mots de la même manière que je lui aurais craché dessus… et d’ailleurs, c’est ce que je fis juste après.
Juste pour rire… j’ai remis un petit coup de sceptre. Je n’ai pas pu m’en empêcher…
« Allez ma petite boulangère… tu vends du pain moins cher que la taxe sur le pain… alors fais-moi plaisir et sors-moi des bobards toute la nuit. Je viens juste d’avoir son sceptre. »
« Je vais tout vous… aaaaaaah ! »
Ma prisonnière rampa à la hâte pour fuir le sceptre que j’approchais d’elle… mais non, pas cette fois. Malgré qu’elle se soit cognée le crâne contre le mur elle soupira, soulagée, sauvée…
« Dis moi tout mais regardes par terre. »
« Très bien… »
Je l’électrisai… de longues secondes. Quand ce fut terminée, elle n’en pouvait plus et semblait souffrir le martyr.
« Appelle-moi Madame. »
« Désolée… madame. Je voulais juste aider les gens, le pain est trop cher pour eux sinon et… »
« Malgré tout tu as enfreint la loi. Je veux une raison de ne pas te tuer. »
« J’ai ! » Cria-t-elle, paniquée. « Les rebelles me livrent le pain dans la ruelle où il y a la poste désaffectée. C’est là qu’ils iront cacher le pain. Ca se passera mercredi… »
« Merci… mais je n’aime pas ce petit ton ! »
J’ai enfoncé le sceptre dans son sceptre, jusqu’à lui en faire mal alors qu’aucun éclair ne s’en échappait. Tandis qu’elle me suppliait avec un ton aigue et faible que je ne supportais pas, j’ai giflée cette fille. Elle dit la vérité, c’est sûr… elle est déjà brisée, ce n’est pas une héroïne.
Je ne sais pas comment lui faire faire des éclairs… j’enfonce le plus possible, je vois déjà la douleur dans ses yeux et dans ses affreux gémissements qui m’agacent au plus haut point. Un déclic… je sais le bâton à deux mains et je le secoue nerveusement. Des éclairs bleus jaillissent de toute part, frappant les murs et illuminant les cachots ! Paniquée, j’enlève le sceptre voyant que son contrôle m’échappe… et bam !
Je me relève, les vêtements à moitiés brûlées et les cheveux qui partent dans tous les sens, raides… c’était horrible, j’avais l’impression de brûler de l’intérieur.
C’était bref… alors ca va, je m’en sors même si… woah… j’ai cru mourir tant la douleur était atroce. La boulangère respirait encore… les yeux perdues dans le vide, à demi-consciente… respirant brutalement et sèchement, comme une chienne. Franchement, à la voir… la langue sortit de sa bouche et même en train de baver, le visage vide de toute expression, je ne peux pas dire qu’elle va bien.
Je m’approche d’elle sans me lever, sentant toutes les brûles de mon corps… et je lui caresse les cheveux, tendrement. Mon visage s’adoucit, j’aime la voir si tranquille… « Ça va ? » Et elle me répond même d’un petit hochement de tête.
Enfin… on peut se demander si elle va vraiment s’en remettre. Personnellement, je m’en fous… mais le chef de la brigade scientifique va m’entendre pour avoir faillit me tuer!