Écourter la peine. Szp8Écourter la peine. 4kdkÉcourter la peine. 4kdk
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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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« Isidore, ma douce Isidore… »

Pourquoi suis-je séparé de toi ? Enfermer derrière ses barreaux t’elle un criminel, pourchasser par le peuple m’ayant élever ? Et qui sont ces hommes venus t’enlever à moi ? J’ai tellement de questions en tête, mais personne ne veut m’aider à comprendre. Suis-je enfermé pour t’avoir protégé de ses malandrins ? Où suis-je écarté par ton père ? Cet homme ignoble refusant notre amour, cherchant à s’enrichir plutôt qu’à contempler sa fille grandir ! Je n’en peu plus de cette attente, chaque seconde passée loin de toi est une souffrance. Aphrodite, pourquoi joues-tu ainsi avec le cœur des hommes ?!

« À quoi bon vivre, si c’est pour être séparer de toi, ma douce Isidore… »

Je n’avais plus vu mon amour depuis deux jours, depuis ce jour funeste ou tu m’as été enlevé. Mon esprit est torturé depuis se temps. Et mon confinement n’aide pas à comprendre ma situation. J’étais enfermé dans les prisons de Thèbes, les mêmes que mon père à passer sa vie à construire. Le destin se jouait de moi et possédait un humour plutôt incongru. Je posais ma tête contre les barreaux de ma geôle afin que les gardes me remarquent enfin.

« Garde ! Frère ! Expliquer moi la raison de ma détention ! Je n’en peux plus d’être privé de ma douce Isidore ! »

Ils ne me répondaient pas, ils ne me répondaient jamais. La garde restait fidèle à son poste et ignorant mes supplications. Ainsi allais se finir ma vie ? À jamais enfermer et écarter de l’être aimé ? Je me retournais dans ma cellule, contemplant une fois de plus le peu d’espace de ma nouvelle demeure. Un lit, un seau ainsi qu’une table, mes seules possessions sont une amphore remplie d’eau et un verre en terre cuite. Ainsi se résumais ma situation. Personne n’était venu me rendre visite, ni ma famille, ni mes amies. Je ne savais d’ailleurs toujours pas ce qu’il était arrivé à ma chérie. Est-elle en vie ? Est-elle en sécurité ? Qu’on fait les ravisseurs ? Tend de question se bouscule dans ma tête.

Je suis retourné me coucher, ma seule occupation de la journée. Je scrutais le plafond de ma prison, le regard vite, le cœur rempli de désespoir. La journée passait lentement, les minutes défilaient et les questions se multipliaient. Et puis soudainement, un bruit, inhabituel, un claquement sur le sol. Je me redressais à la recherche de la source du bruit. Une pierre, un simple caillou jeter dans ma prison et je remarquais un bout de papier était accrocher à celui-ci. Je me levais prestement et ramassais l’objet, un message de ma douce ? Je devais me dépêcher à le lire. Je dépliais le papier fébrilement et découvrais le message suivant.

Écourter la peine. 1403185462073320000

Isidore est saine et sauf ! J’ai passé le reste de la journée à lire ses mots. Mais qui est donc mon sauveur? Qui sans Thèbes risquerait sa liberté pour moi ? Est-il digne de confiance ? Je ne le saurais que ce soir, quand il viendra me chercher.

Une fois la nuit tombée, je restais caché sous ma couverture attendant mon sauveur. Les minutes devinrent des heures et aucun signe de mon destinataire. S’agissait-il d’un jeu sadique organisé par les ravisseurs d’Isidore ? Ou les gardes se moquaient-ils de moi ? L’attente se changeait en mélancolie. Je me relevais pour poser ma tête contre les barreaux de ma cellule, la vie n’avait plus aucun sens… Isidore…

Soudain, un bruit sourd. Le corps d’un garde s’écroule devant la porte de ma cellule, effrayé,  je fis un pas en arrière. Une ombre gigantesque de dessinait sur le mur, qui pouvait avoir fait ça ? Mon sauveur ? L’ombre s’abaissait au niveau du garde, je vis d’immenses pattes d’animal fouiller le corps inerte du garde pour en sortir des clés. L’ombre rétrécie pour laisser place au corps de mon libérateur, il n’était pas humain, il s’agissait d’un ours vêtu de noir et de blanc. Il m’observa à travers les barreaux, ses yeux jaunes ne se détachèrent pas de ma silhouette pendant qu’il ouvrait la porte. Il s’approcha de moi et dans un murmure s’adressait à moi.

«
- Sériphos je présume ?
- Ou… Oui ?
- Je me présente, Chen Stormstout. Je suis l’auteur de la lettre.
- Avez-vous… Tué le garde ?
- Tué ? Hahahah ! Pas du tout, il est juste assommé. Je ne suis pas un tueur de sans froid savez-vous.
- Mais, vous n’êtes pas d’ici. Je ne vous ai jamais vue.
- Il n’empêche qu’Aphrodite m’a envoyer vous sauvez et vous ramenez à Isidore.
- Est-elle ici ? Je veux la voir !
- Chut, calmez-vous, un de mes frères consuls est en train de la ramener en ce moment même.
- Où l’amenez-vous ?
- Nous allons partir vers le Jardin Radieux, vous serrez en sécurités là-bas. Maintenant, il faut faire vite, la relève ne devrait pas tarder et le vaisseau ne nous attendra pas indéfiniment.
- Je vous suis.
»

L’homme ours est passé devant et se dirigeait vers la salle des gardes, il courait vite malgré sa taille et son poids. Une fois arrivés, quatre gardes étaient allongés au sol, inconscient, la porte était défoncée, avait-il fait ça ? Il s’abaissait pour ramasser un bâton, il le rangea dans son dos et posa son regard sur moi.

« Prenez une arme, on ne sait jamais. Et je ne pourrais pas vous protéger continuellement. »

Il jeta un regard rapide dehors. Il se retourna à nouveau de vers moi et me fit signe se m’abaisser, une fois exécuté, il s’engouffra dehors, j’empoignais une épée et le suivis vers l’extérieur. La sensation de l’air sur mon visage était libératrice, j’ouvris les yeux et la nuit était belle, une nuit de pleine lune. Mon sauveur c’était caché dans l’ombre d’une maison, je me suis empressé de le rejoindre. J’observais son regard, il semblait inquiet, j’avais trop peur de lui demander quoi que ce soit. Il n’arrêtait de regarder dans une direction, attendait-il quelque chose ? Il s’est retourné vers moi et m’a attrapé par les épaules.

« Faites moi confiance. »

Il me serait contre lui et me retint de son bras et sauta pour atteindre le toit de la bâtisse. Une minute après, des gardes passaient à côté de notre cachette. Il me fit signe de le suivre et nous avons commencé à sauter de toit en toit vers une direction toujours inconnue. D’un coup, une alarme retentis.

«
- Maintenant, la garde est à nos trousses !
- La relève est arrivée plus tôt que prévue. Mais ne vous inquiéter pas, on est bientôt arrivé.
»

Nous sommes descendus et nous avons commencé à courir vers la direction indiquée par l’ours. Mais manque de chance, une patrouille est sortie d’un coin de rue. J’ai regardé mon compagnon, il avait déjà sorti son bâton et me hurla.

« CONTINUE D’AVANCER ! JE TE REJOIND ! »

D’un coup, il chargea la patrouille en donnant un coup circulaire. Avant mon passage, trois des gardes étaient hors combat et l’animal était en duel avec le capitaine de la patrouille. Je freinais ma course pour observer le combat. L’ours évitait avec aisance chacun des coups du capitaine, il attendait le bon moment pour frapper. Mais il ne faisait pas attention, un garde c’était relever et levais son épée dans le dos de mon nouveau compagnon. Je courais aussi vite que possible pour parer le coup, et j’arrivais de justesse. Chen et moi entamions un duel dos à dos contre les gardes, nous rendions chacun des coups à nos adversaires, mais je n’étais pas assez entrainé pour rivaliser avec le garde, je résistais comme je pouvais. D’un coup, Chen me plaqua en seul et fit une attaque circulaire étourdissant les deux gardes.

« Allons-y ! »

Nous recommencions notre course et soudainement, la délivrance. Le vaisseau était posé et nous attendait. L’équipage nous invitait à monter et à prendre un verre. Chen vint en face de moi et nous discutions durant tout le trajet, et il ma d’ailleurs fait boire de la bière pour nous remettre de nos émotions.

Voilà mon amour, voilà comment le Consulat m’a sauvé de Thèbes et permit de nous rassembler. J’espère que tu liras cette histoire à ton arrivé dans les Jardin Radieux, et que nous pourrions remercier ensemble nos sauveurs.
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Mission accomplie.

A peine commence-je à lire que j'ai deux critiques à faire.

La toute première pour les dix premières secondes du texte.

" Enfermer derrière ses barreaux t’elle un criminel, pourchasser par le peuple m’ayant élever ?"

Quatre fautes d'orthographe en une. C'est pas super joli. Hélas ça ne s'améliore pas.

Pour é ou er, n'oublie jamais de remplacer par vendre ou vendu...

ses, c'est un possessif. "ces", ça c'est le déterminant démonstratif.

tel et pas t'elle.

Le deuxième problème est tout aussi flagrant.

Il me fait penser à ta fiche de Death. Tu es passé d'un narrateur à un autre. Ici tu as changé de temps d'un paragraphe à un autre.

De ça :
" Suis-je enfermé pour t’avoir protégé de ses malandrins ? suis-je écarté par ton père ? Cet homme ignoble refusant notre amour, cherchant à s’enrichir plutôt qu’à contempler sa fille grandir ! Je n’en peu plus de cette attente"

A ça :

"J’étais enfermé dans les prisons de Thèbes, les mêmes que mon père à passer sa vie à construire."

A la rigueur, je peux comprendre le contraire. Quand tu es au passé et qu'à certains moments, pour la beauté du texte, tu te mets à écrire au présent (à la première personne du singulier, en particulier). Mais du présent au passé, non c'est juste pas possible. C'est dommage, je suis sûr qu'au présent, ça aurait donné mieux.

Sois attentif, vraiment. L'orthographe, ici c'est vraiment pas ça.

Bon.

La lettre est la bienvenue, je dois dire. La mise en page est sympa, l'effet chiffonnage est cool.

Bon, je suis assez mitigé, voir déçu de la suite. Ca commençait bien et mal à la fois. Tu mets une bonne ambiance. En fait c'est l'ambiance qui sauve ta mission, vraiment. Elle ne s'essouffle pas mais... disons que tu as commis quelques fautes.

Je voulais de l'action, des muscles ou en tout cas quelque chose qui fait vrai ! Et quand je vois Seriphos dire que sept mecs en tout et pour tout ont été mis KO par Chen sans qu'il le voit... bon...

Il n'y a que deux moments de véritable action. Quand ils s'enfuient et quand ils combattent.

Autant la fuite ça va, autant le combat m'a pas convaincu une seconde... pas une ^^.

Il n'est absolument pas précis. T'aurais dit "Ils s'échangent des coups et à la fin, Chen a gagné " que ça aurait été pareil.

Non je suis déçu. Je m'attendais pas tellement à une mission géniale, c'est pas ça. Ce qui me déçoit, c'est le combat. Dans ta mission contre Shen long, je t'ai reproché certaines choses mais j'ai salué ta description du combat... que je n'ai pas retrouvée ici.

Donc...

Mission normale.

20 xp, 200 munnies et 3 PS. 2 Ps en vitesse et 1 en force.
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