Le faucheur est à vos portes Szp8Le faucheur est à vos portes 4kdkLe faucheur est à vos portes 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

more_horiz

Death




Identité



  • Nom  : Death

  • Prénom : Inconnu

  • Titre  : Le faucheur

  • Âge : Inconnu

  • Camp : La Coalition Noire

  • Monde d'Origine : Fantasia - Monde du Feu

  • Race  : Humaine

  • Grade désiré : Celui que vaut ma fiche





Histoire | Devenir Death


Que pensez-vous de la mort ? Est-elle magnifique… Ou simplement horrible ?

Enfin, il serait présomptueux de ma part d’oser me prendre pour la mort elle-même, je suis juste son… Héraut, oui voilà, je suis le héraut de la mort. J’ai pris le nom de Death il y a peu, après une rencontre inopinée avec un démon répondant au nom de Namtar et comme dans les histoires d’antan, il me proposa de conclure un pacte avec lui. Rien de bien compliqué, il me promit force et pouvoir, et en échange, j’accepte d’obéir à ses ordres et à l’occasion, qu’il occupe mon corps. Mais, pour que vous compreniez bien ce que je raconte, je vais vous narrer une histoire, celle de l’homme derrière le masque.

Je suis originaire de New-York dans le Monde du Feu, et pour être plus précis, je suis un enfant du Bronx. Ça sonne bien, mais je n’avais rien de spécial, je n’étais pas le petit caïd du quartier et je n’étais pas non plus très populaire, tout dans ma vie était simple, même ma famille l’était. Mon père était un vendeur de voitures d’occasion et ma mère servait le déjeuner dans le restaurant du coin de la rue, mais d’après eux, ils n’avaient besoin de rien de plus, ils étaient heureux baignant dans leur médiocrité. Et comme vous en douter, j’aspirais à bien plus que ça, je voulais quitter ce quartier pourri, devenir l’homme le plus riche et le plus important de tout Manhattan ! Et une fois que j’aurais atteint mon but, je serais juché au sommet de mon penthouse, et je regarderais tous ces cafards grouillant à mes pieds en me demandant comment je pourrais m’en débarrasser facilement ! Mais j’avais de la route à faire avant d’arriver là-haut…

Pendant les dix-huit premières années de ma vie, j’ai suivi la marche, j’obéissais aux ordres et aux recommandations de la société. J’allais à l’école et m’arrangeais pour que mes parents soient fiers de moi, je ramenais de belles notes, je ne touchais pas à la drogue ni à l’alcool, je travaillais même avec mon père pendant les vacances, histoire d’avoir des économies pour plus tard, bref, un gentil petit garçon en somme. Je faisais croire que je suivais la même voie que mes pairs. Mais durant ces années de bonnes conduites, je préparais mon plan, celui qui me permettrait de décoller vers la stratosphère, et laisser cette misère derrière moi. Mais j’avais un problème… Les munnies manquaient dans mon entreprise, et quel est le meilleur moyen à New-York pour augmenter son capital ? La bourse pardi ! Je pouvais facilement doubler, voir tripler ma mise de départ si je la jouais intelligemment. Mais le problème restait le même, je restais un enfant du Bronx sans un sou en poches. Allais-je encore perdre des années à faire le même travaille que mon père pour économiser des clopinettes ? Non, je ne resterais pas un traîne-misère tout au long de ma vie, je devais trouver un mec assez con pour investir dans mes projets.

Et dans mon quartier, il n’y avait qu’une seule espèce de con qui allongeait la monnaie : les albanais. Je ne vais pas vous faire un dessin, il ne s’agit pas vraiment des meilleurs amis à ce faire dans la vie, pour preuve, ils mouillent dans les affaires les moins ragoutantes de la ville mais, heureusement pour moi, ils semblent disposer d’assez de fond à investir. Et chose extraordinaire, il est extrêmement simple de rentrer en contact avec eux, tu trouves un numéro, t’appelle et il te donne un rendez-vous sur un banc du zoo. Et chose encore plus extraordinaire, ils viennent au rendez-vous ! J’ai eu mon premier contact avec les grands de se monde devant la fosse au lion, il se prénommait Bezan, un homme simple à vrai dire, il vivait pour deux choses : l’argent et le sang, vous allez comprendre pourquoi en temps voulu. Je lui ai exposé mon plan, mes futurs investissements et comment je comptais faire croître notre… Son argent, et lui ? Il n’en avait strictement rien à foutre, tout ce qu’il comprenait, c’était que j’allais lui rapporter gros et qu’il n’aurait même pas à étrangler un inconnu devant ça bourgeoise. Il a donné sans sourciller, mais a très clairement fait comprendre que si je ne ramenais pas le pactole assez vite à son goût, il aurait tout le loisir de me faire découvrir différentes formes de torture. Il me laissait avec le magot, libre de mes actions, mais je restais immobile, je ne réalisais pas que la source de mes désirs se trouvait au creux de ma main.

Maintenant que l’argent n’était plus un problème, j’allais pouvoir entamer la deuxième étape de mon plan : l’enrichissement ! Après avoir déposé ma mise de départ sur mon compte en banque, j’ai pus rentrer chez moi, ouvrir mon ordinateur et commencer mon escalade dans le milieu des finances. La marche était simple au début, j’allais investir dans les sociétés à risque et revendre avant que tout se casse la gueule. Vous allez dire que je jouais à un jeu dangereux, que je pouvais tous perdre en un instant… Et vous avez entièrement raison, mais durant mes échanges avec la bourse Wall Street, je ne m’étais jamais senti aussi vivant. Après une semaine de travail acharné, j’avais réussi à doubler la mise, j’étais trop lent… Le taux d’intérêt de Bezan était bien trop élevé, je m’étais fait avoir comme bleu… Comment étais-je sensé devenir riche si je devais donné la moitié de mes bénéfices à cette enflure ?

Pendant un mois, je m’étais crevé à la tâche, et pourquoi ? Devenir riche ? Non, bien sûr ! Uniquement pour respecter les délais d’un Albanais cupide. Il se plaisait dans cette situation, il débarquait devant ma porte tous les samedis, avec un sourire d’huissier et le regard d’un enfant de quatre ans s’apprêtant à recevoir une sucette. Je ne pouvais plus supporter cela, de voir se rat venir prendre mes bénéfices pour un soi-disant remboursement ! J’ai compté, et ma dette était remboursée ! Mais il me gardait sous son joug, il avait bien compris que je ne saurais pas me défendre fasse à lui, alors j’ai pris la décision la plus idiote de toute ma vie, j’ai eu l’audace de me croire plus fort. Avec le reste de mon argent, j’ai loué les services de deux gardes du corps, et emménagé dans le penthouse de mes rêves : situé au sommet d’un immeuble et virtuellement inviolable. Il n’y avait qu’une seule porte d’entrée, et pour plus de sécurités, mes deux mastodontes restaient sur le seuil, et si jamais ils ne suffisaient pas, vingt centimètres d’acier me séparais d’un éventuel agresseur. Maintenant qu’un semblant de sécurité était installé, les affaires allaient reprendre de plus belle !

Mes petites activités n’étaient pas passées inaperçues, à force de m’enrichir, j’avais attiré l’attention de certains coursiers de Wall Street. Ils se demandaient comment un junior arrivais à prévoir les fluctuations du marché, et surtout, pourquoi celui-ci ne travaillait pas encore pour eux ! Ça à permis de rencontrer un dirigeant des hauteurs : Carl Van Geld. Il était à la tête d’une des plus grandes entreprises de New-York, un homme dans la fleur de l’âge, il avait lutté toute sa vie pour en arriver là. C’était devenu mon modèle et comble de l’ironie, il était aussi originaire du Bronx, et tous comme moi, il n’avait qu’une seule motivation : l’argent. J’ai commencé à travailler avec lui pour deux raisons, la première étant que, il me proposait un intéressant salaire et je pouvais toujours jouer avec la bourse, et la seconde… Il était au courant de mes anciennes relations et il m’assurait une véritable protection, c’était inespéré, car il faut avouer, même dans mon bel appartement, je ne me sentais pas à l’aise, j’avais l’impression d’être épié sans cesse… Il m’arrivait même d’entendre des voix…

Je continuais mon escalade sociale sous l’aile de Carl, il me gardait au bien au chaud, peut-être avait-il peur de perdre la poule aux œufs d’or ? En tout cas, c’était la plus belle période de ma vie, plus aucune porte ne m’était fermée, partout ou j’allais, on connaissait mon nom, j’étais devenu quelqu’un. J’avais droit à de jolies courbettes et je pouvais nourrir chacune de mes envies, aussi bien matérielles que féminine si vous voyez se que je veux dire. Et combien de temps a duré l’apogée de ma réussite ? Seulement quatre mois, et pourquoi si peu ? La réponse tiens en un nom : Bezan. Il n’avait pas accepté la rupture de notre contrat, dans son esprit tordu, ses “ employés “ ne démissionnaient pas de leur poste, ils étaient plutôt délocalisés à vie… Il m’avait passé un message, il voulait que je comprenne que je n’étais à l’abri nul part, et qu’il serait simple de s’attaquer à moi, comment ?  C’était une journée normale de ma nouvelle vie, j’étais au bureau en train de parler à Carl et un colis à mon nom était arrivé. Le contenu ? Les mains de mes deux gardes du corps.

J’étais sous le choc, j’étais persuadé d’avoir échappé à se tarer, mais à l’instant, mon monde entier venait de s’écrouler. Pour la première fois depuis le début des mes affaires, j’avais peur, pas une simple frayeur passagère non, j’étais pris de terreur, ma vie était en danger, et personne ne pouvais me protéger. Je n’avais pas montré le contenu du paquet à Carl, j’avais tellement été surpris que j’ai refermé automatiquement la boîte et rejoins le plus vite possible ma forteresse, même si mes mastodontes étaient morts, Bezan ne pourra pas défoncer ma porte. Je m’étais enfermé dans l’appartement pendant deux semaines entières, je ne répondais à aucun appel et je n’ouvrais pas la porte aux visiteurs, enfin, il n’y avait qu’une seule personne qui c’était déplacer pour moi : Carl. Il tentait vainement de me faire sortir de ma réclusion, mais il ne comprenait pas… Si jamais je sortais, il me ferait la peau ! Je devais rester ici, en sécurité derrière ma porte, et je n’étais pas seul, la voix était là…

Et puis un jour, ce qu’y devais arriver, arriva… L’Albanais toquais à ma porte. Il était venu avec des amis à lui, il avait surement décidé que le règne de terreur était fini et que maintenant, je devais régler l’addition. Je me souviens encore, il criait de l’autre côté de la porte, il me conseillait d’ouvrir, comme ça, se serais plus rapide, il avait un horaire très chargé et ne voulait pas perdre de temps avec moi. Et puis soudain, un bruit de foreuse se fit entendre : aigu et envahissant. Je ne pouvais plus réfléchir, chaque centimètre de mon appartement était submergé du bruit perçant, mais dans tout ce chaos, il me restait un choix à faire… Je pouvais décider comment mourir. Je m’étais dirigé vers le balcon, escalader le muret de sécurité et regardé vers le bas, c’était un comble, j’avais rêvé de cet instant… J’observais les habitants de New-York et je me disais, que les meilleurs moyens que j’avais des les écraser actuellement était de leur tomber dessus. Il me suffisait d’avancer d’un pas et tout était fini, le bruit de la perceuse, mes affaires avec Carl, mes ambitions… J’avais commencé à lever mon pied vers le vide quand quelqu’un m’attirait en arrière.

Ils étaient finalement entrés chez moi, la porte n’avait finalement pas tenu aussi longtemps que je l’espérais. J’ai été trainé vers le salon et jeté sur le canapé, les deux acolytes me tenaient en respect pendant que mon hôte m’expliquait la suite des évènements : il allait me tuer. C’était simple à comprendre, j’avais une dette envers lui, car, d’après lui, si j’avais accès à un si bel appartement et tant de richesses, c’était grâce à lui, il avait donné l’argent pour démarrer mon entreprise, et si je n’étais pas assez redevable pour lui donner sa part du gâteau, je ne méritais pas de vivre. Il a sorti un poignard de sa veste, j’eus un bref sursaut, mais j’étais fermement tenu, Bezan est arrivé, et a doucement enfoncé la lame dans mon torse, je sentais le froid de la lame s’insinuer en moi, la douleur était atroce, je n’ai pu contenir un cri au grand plaisir de mon bourreau. Il me regardait souffrir avec un léger sourire, pour ensuite retirer la lame de mon corps, ma dernière action fut de baisser mon regard pour regarder la plaie béante et suite à ça, mon âme quittait ce corps ensanglanté et remué de spasme. Voilà comment c’était achevé la vie de l’homme que j’étais, mais celle de Death allait commencer.

Je n’avais pas atteint les portes des enfers, encore moi celles du paradis. Mon âme était bloquée entre les deux, il m’était impossible de me mouvoir, comme si quelque chose voulait me diriger même dans la mort, et là, j’ai entendu la voix de mon sauveur : Namtar. Il s’agissait d’un démon et il désirait s’entretenir avec moi, il disait avoir suivit mon ancienne vie et avoir remarqué un certain potentiel, il se ventait même d’être la petite voix dans ma tête, celle qui m’avait guidé dans chacun de mes choix. Il était aussi navré de ma récente mort, mais sans elle, il n’aurait pas pu s’entretenir avec moi, j’ai d’ailleurs cru qu’il était responsable de cette exécution, mais à la suite de notre discutions, je ne prêtais plus attention à ce détail. Il avait un problème, le monde des vivants lui était interdit depuis le départ de Chernabog, et il avait encore des affaires à régler, et il avait un pacte à me proposer : je retrouverais mon corps, mais je devrais accomplir certaine tâche en son nom. J’étais perspicace au début, comment moi, un simple humain pouvait aider un démon ? Mais il me rassura sur ce dernier point, je ne retrouverais pas simplement mon enveloppe charnelle, il allait insuffler un peu de son pouvoir en moi, et à partir de ce moment, il me promit une bien plus grande puissance que celle à laquelle j’aspirais dans ma vie. J’allais devenir l’allié du faucheur… Je ne pouvais rêver mieux.

Il m’expliquait comment notre pacte allais se dérouler, j’allais revenir du royaume des morts, mais je serais à jamais lier avec lui. Je pourrais faire ce que je veux de ma nouvelle vie, mais a n’importe quels moments, dans n’importe qu’elle monde, je devrais répondre à son appel et accomplir le moindre de ses désirs. Et si jamais un jour, j’avais un problème, il me promettait de venir en mon aide… En occupant mon corps pour déchainer sa fureur. Cet ainsi que Death naquit, j’étais impatient de renaître et de pouvoir découvrir mon nouveau corps. Avant de nous quitter, il ma fait part de sa première demande, il voulait tester ma nouvelle affiliation et il m’envoya tuer deux personnes appartenant à mon passé : Bezan et Carl… Je ne pouvais rêver meilleur prologue à mon histoire.

Namtar renvoya mon âme dans le monde des vivants, je naviguais tel un fantôme dans les rues de New-York afin de retrouver mon corps. Une fois arrivé dans mon ancienne forteresse, je retrouvais Bezan et ses acolytes, ils étaient occupés à fouiller la zone, espéraient-ils trouver quelque chose ? Mais je m’en moquais, je m’approchais doucement de mon corps et subitement, des volutes de fumée mauve ont entouré mon cadavre pour le recouvrir entièrement, j’ai ensuite senti une force invisible me pousser dans le phénomène. Quelque instant plus tard, j’ouvrais à nouveau les yeux, j’avais récupéré une enveloppe charnelle, j’ai levé les bras et remarquer que ma peau à changer de couleur, elle était maintenait terne et grise, mon bras était aussi étrangement musclé, Namtar ne m’avait pas mené en bateau. J’ai tourné mon regard vers la gauche, un des hommes de main de Bezan me regardait, tétanisé, comme s’il venait de voir la mort, je me suis levé et dirigé vers lui, il n’osait pas bouger, ni crier. J’ai d’abord posé ma main sur sa joue, pour ensuite attraper l’arrière de son crâne et lui briser la nuque, ce geste m’était venu naturellement et me semblait tellement simple, le corps tomba lourdement sur le sol et attira l’attention de Bezan. Il ne semblait pas en croire ses yeux non plus, il prit peur et essaya de s’enfuir, je lui emboitai le pas et remarqua un poids sur mes hanches, il y avait des armes accrochées à ma ceinture, il s’agissait de faux semblable à des kamas. Une fois mes armes en mains, je courais en direction de Bezan, je n’avais eu aucun mal à le rattraper dans les couloirs, et une fois arrivé à sa hauteur, je plongeais mes lames dans son dos, la vengeance avait été tellement simple. J’ai remarqué le dernier acolyte à la porte de mon appartement, il était aussi effrayé que le premier, j’ai regardé le corps de l’albanais à mes pieds, il avait une arme à feu dans sa veste, je l’ai empoigné et tirer trois balles en sa direction… J’avais rempli la moitié de mon contrat.

C’était impressionnant, je n’étais ressuscité que depuis quelques minutes que j’avais déjà commis un meurtre, tous ses gestes m’étaient venues naturellement, et c’était si simple, je ne reconnaissais pas mon corps. En me dirigeant vers les bureaux de Carl, je m’étais aperçu dans une vitrine, et de mon visage, je ne reconnaissais que mes yeux, ils étaient retranchés derrière un masque de mort, il m’était impossible de l’enlever, je serais donc contrait à garder cette expression figée semblable à un crâne. Je me moquais de l’image que je reflétais, dans le meilleur des cas, j’insufflerais la terreur dans l’esprit de mes ennemis, et maintenant, dans ce corps et avec ses pouvoirs, je ne me vois pas continué mon ancienne vie, il faudrait me trouver de nouvelles occupations. Je suis arrivé au pied de la tour Van Geld en début de soirée, les employés avaient déjà quitté les bureaux et il ne restait que les quelques gardes de nuit, j’étais rentré discrètement, je ne voulais pas voir arriver la police sur les lieux d’un futur crime. J’étais arrivé dans le bureau personnel de Carl et naturellement, il n’était pas ici. Je me suis installé dans son fauteuil, enfin, sur son trône pour l’attendre, demain matin, il aura une belle surprise. Je l’avais attendu toute la nuit et j’ai découvert une chose intéressante avec mes armes, je pouvais les assembler ensemble pour en faire une énorme faux, je me suis positionné devant la porte d’entrée pour l’accueillir à ma façon, ma nouvelle façon. Dés qu’il a poussé la porte, je l’ai attrapé pour le jeter face contre terre et avant qu’il ne se rendre compte de quelque chose, je lui ai planté ma faux directement dans le dos, pour ensuite le relever, toujours empaler au bout de mon arme pour le dresser au milieu de son bureau. Il m’a regardé droit dans les yeux, un mince filet de sang coulant de sa bouche et murmurait « Pourquoi »… Je ne pris même pas la peine de lui répondre, j’attendais simplement qu’il rende son dernier souffle et que je sois la dernière image à marquer son esprit. À quoi ça servait ? À deux choses : d’abord, cet homme était mon modèle, et sa mort soulignait la fin de mon ancienne vie, et la seconde ? Il s’agissait de la volonté de Namtar, et je ne voulais pas le décevoir.

Suite à tous ses évènements, j’avais quitté le Monde du Feu, plus rien ne m’attachait à ses lieux, j’avais accompli les désirs de Namtar en liquidant Bezan et Carl, mais je n’avais plus aucune nouvelle de mon nouvel allié, j’étais libre de mes mouvements. Maintenant que j’étais un nouvel homme, il fallait que je m’entraine, que j’apprenne à contrôler mon nouveau corps. Par le passé, je me plaisais dans une situation et je m’enlisais dans une routine, je ne dois plus commettre cette erreur, mais je ne perds pas de vue la promesse que je me suis faite dans mon ancienne vie : atteindre les sommets. Et où mes talents seraient appréciés ? J’avais entendu parler de plusieurs groupes au delà de mon monde, certains partageaient ma vision, par contre, certains étaient animé pour des raisons idiotes ou obsolètes. Celui qui reteint mon attention fut la Coalition Noir, dirigée par une certaine Princesse Ariez, je me voyais en elle : avide de pouvoir et une des grandes dirigeantes de ses mondes, il serait intéressant de m’entretenir avec elle. Maintenant, il ne me reste plus qu’à la trouver, je suis arrivé à la Cité du Crépuscule ce matin et je compte bien intégrer cet Coalition, préparer vous, la mort est à vos portes et compte vous surprendre.





Physionomie | Début d'enquête


Extrait d’un rapport de la NYPD : dossier N°4837.


Enquête sur le meurtre de Carl Van Geld, retrouvé mort dans les bureaux de son entreprise, Le corps a été découverts par la femme de ménage le matin du 10 novembre à 8 :30 am, arrivé de la police sur la place estimé à 8:45 am. Les lieux ont été sécurisés avant l’arrivé des médecins légistes. Ci-dessous, le rapport d’autopsie supervisé par le docteur Luc Koekelberg.

La mort du sujet est estimée de une à deux heures avant la découverte du corps, la victime ne présente qu’une seule blessure située au milieu du torse. La plaie a été assénée à l’aide d’un objet tranchant mesurant approximativement un mètre de long et faisant une épaisseur de quatre centimètres, l’angle de pénétration de la lame indique que celle-ci devait être courbée, les armes correspondant à ce profil peut-être une rapière de grand format ou encore une faux. L’agresseur doit être doué d’une grande force, le coup a été direct et à transpercer le corps de part en part, tranchant les organes internes. La victime s’est ensuite vidée de son sang, compte tenu des éclaboussures, le corps devait être suspendu durant l’exécution, pour ensuite être jeté au sol. Carl Van Geld ne montre aucun signe de défense, il est possible qu’il ait été attaqué par surprise. Nous avons trouvé des blessures semblables sur le corps d’un homme retrouvé mort la vieille, possibilité de lien entre les deux affaires.

Les vidéos de surveillance de l’immeuble ont été traitées, cela a permis d’établir un profil très précis de l’agresseur. Utilisé les données suivantes pour établir un avis de recherche :

- Origine caucasienne. Attention, la peau de l’individu est de couleur grise.
- Taille et corpulence moyenne.
- Physique de culturiste.
- Cheveux long jusqu’au épaule, de couleur noire.
- L’individu porte un masque de couleur os (utilisé les images de la vidéo pour le portrait-robot)
- Vêtements : écharpe de couleur mauve, se déplace torse nu, brassard en cuir noir, ceinture imposante entourant le bas-ventre de l’individu, pantalon de type large (Présence de nombreuses protections : genouillère, protège-tibia), chaussure de chantier.
- Signes distinctifs : masque de couleur os, cicatrise sur le torse, tatouage type tribal de couleur émeraude présent sur l’épaule droite.

Les armes utilisées pour le meurtre ont aussi été identifiées, comme le suggérait le docteur Koelkelberg, il s’agissait de faux, l’agresseur à été aperçu avec une paire attaché à la ceinture. Un enregistrement des bureaux de Van Geld nous montre très clairement que l’individu possède une faux de taille plus conséquente. L’individu possédait aussi un pistolet rangé dans son pantalon, aucune balle n’a été tirée et ne permet pas de faire le lien avec d’autre affaire.

Je tiens à retenir l’attention sur quelques points important de l’affaire :

- L’individu est agile : il a pénétré l’édifice sans déclencher d’alarme ou alerter les gardes en faction, de plus, personne ne la vue quitté les lieux du crime et ne la revu depuis ce jour. La précision de mon rapport est uniquement due à la caméra présente dans le bureau de mr Van Geld, extérieur au système due sécurité de l’immeuble.
- Il semble animé d’une force prodigieuse : les vidéos montrent le suspect manier avec grande aisance une arme lourde de plusieurs dizaines de kilos, nous pouvons aussi observer qu’il na eu aucun mal à soulever le corps de la victime.
- Point positif : il ne semble posséder aucun pouvoir magique, les images que nous possédons affirment l’utilisation exclusive d’arme blanche et d’arme a feu. L’absence totale d’équipement de protection permet la conclusion suivante : la cible est sans défense en cas d’attaque distante.

Je demande la mise en examen de ce dossier et la mise en circulation d’un avis de recherche, cet individu est dangereux et doit être arrêté le plus rapidement possible.

Commissaire Yarrick





Psychologie | Le choix de Namtar


Namtar retournait dans son plan avec le sourire aux lèvres, il venait d’observer son nouvel acolyte en action et il ne pouvait rêver meilleur dénouement à son affaire. Death avait satisfait les premiers termes du pacte, et en un temps record, a peine revenu d’entre les morts qu’il tuait sans vergogne ses anciens bourreaux. Le démon avait choisi judicieusement, le gringalet du Bronx ne rêvait que d’une chose, pouvoir écraser son prochain, et avec un corps fraichement corrompu, il comblait ses plus noirs désirs. Mais le maudit restait perplexe, Death, car c’est le nom qu’il s’était donné, n’avait fait que quatre victimes lors de sa première sortie, pour quelles raisons ? Il faudrait continué à l’observer, histoire d’éviter qu’il ne tourne mal. Une fois arrivé en enfer, Namtar remarqua que quelqu’un l’attendait devant ses appartements.

«
- Asmoday, que viens-tu donc faire ici ? Tu ne devrais pas être en train d’ouvrir un culte à ton nom ?
- Mes adorateurs attendront, ils sont très doués pour ça. Parle-moi de ta nouvelle recrue.
- L’humain ? Il n’est rien, juste le caprice d’un vieux démon…
- Un caprice à qui tu donnes une partie de tes pouvoirs ? Ne me prend pas pour Gabriel, tu a trouvé un moyen d’intégrer à nouveau le plan physique ?
- Tu sais bien que sans Chernabog, c’est impossible…
- La mort arrive toujours à ses fins, dit-moi ce que tu comptes faire.
- Rentre…
»

Asmoday était curieux, bien trop curieux, mais je préférais lui raconter mes plans, autant le conserver comme allié, on ne sait jamais. Je l’ai invité à rentrer et à s’asseoir, et j’ai commencé à lui expliquer mon plan et sa finalité, et il ne put qu’applaudir ma ruse.

«
- Tu m’étonneras toujours Atmar, mais se n’est pas un peu dangereux ?
- Il suffit de bien choisir l’hôte.
- Et si ton hôte va voir un prêtre, voir un membre de la lumière ? Tu y à pensé ?
- J’ai pensé à tous, il est bien trop heureux de posséder mon don pour s’en séparer.
- Alors, parle-moi de ton poulain.
- Il est magnifique, il a déjà commis quatre meurtres à mon nom, et je n’ai eu qu’à lui demander de le faire, il ne sait pas poser de question.
- Une âme damnée donc.
- Pas du tout, c’était une âme pure avant mon arrivé, mais il avait déjà les graines de la discordes semées dans sont esprit, et de bien belle qualité.
- Ah oui ? Lesquelles ?
- L’orgueil en premier lieu, toujours à se venter de ça réussite devant qui voulait l’entendre. Il passait aussi son temps à s’enrichir, sa soif de richesse était intarissable et finalement, l’envie, il en voulait toujours plus.
- Ça fait un score de trois, je ne vois rien d’exceptionnel.
- Et après notre rencontre, je lui en ai offert un quatrième : la colère, il ne le sait pas encore mais je suis pressé de le voir en action.
- Je suis aussi curieux que toi, tu crois vraiment que ça va marcher ?
- J’en suis certain…
»

Je n’avais pas tout dit à Asmoday, Death était bien plus complexe que ça, une personne insolente et hautaine, ses pensées me faisaient bien rire… Maintenant qu’il avait la force d’écraser les cafards, allait-il le faire ? Je ne sais pas, l’humain est tellement imprévisible, mais ce que je sais, dés que le lien sera assez fort entre nous, je prendrais possession de son corps ! Il y a tellement longtemps que je n’ai pas fauché quelques âmes fraîches que je ne me souviens pas de l’odeur du sang sur ma lame. Allé petit pantins, rend honneur à ton nouveau dieu.





Questions diverses



1) Il est possible de flirter avec moi, mais la finalité ne plait pas toujours.
2) Cerbère. Simplement qu’une personne morte doit le rester, je garderais les portes des enfers pour attraper les éventuels resquilleurs.
3) Death ne respecte qu’une chose : le pouvoir, et donc par extensions, les gens de pouvoir. À moins qu’une de ses personnes l’empêche d’atteindre son objectif…
4) Actuellement, Death ne possède pas de réels amis, Namtar se sert très probablement de lui pour un objectif secret. Et quant à Dust, il suit Death à la trace et lui vient en aide quand bon lui semble.
5) « La mort est proche, juste au bout de ma faux »
6) L’un des mes points faibles principal reste le français en général. J’ai du mal avec l’orthographe et la conjugaison, il m’arrive d’avoir du mal à ponctuer mes phrases. Aussi, il me faut du temps pour écrire mes RP et j’ai des difficultés à faire des belles descriptions.
7) Pourquoi Death ? Simplement que j’avais envie de faire un personnage « méchant », qui ne vit que pour gagner de plus en plus de pouvoir quelque soit le moyen utilisé pour y parvenir. J’ai été inspiré par le héros du jeu Darksiders pour le caractère arrogant et son style de combat, héros que j’apprécie beaucoup, malgré la gentillesse qu’il fait preuve à travers son aventure.




Dernière édition par Death le Dim 3 Aoû 2014 - 12:18, édité 2 fois
more_horiz
Alors...

L'histoire, l'histoire, l'histoire... Je suis mitigé.

Je vais la commenter sous un modèle que j'aime encore bien, surtout pour ce genre de fiche où il y a autant de choses que j'aime que de choses que je déplore...

Ce qu'il y a de très mauvais/mauvais/bien/très bien... Et en bonus, ce que j'aurais bien aimé.

Parce que oui, il y a du mauvais et même du très mauvais...

Ce que j'ai trouvé très mauvais, c'est dans la fin... ce moment où on dirait que t'as décidé de plus faire attention à ton orthographe. En fait c'est dingue... La première moitié de l'histoire, voir les trois-quarts, c'est soigné (vraiment)... Et puis t'as décidé de laisser tomber, et y a... trop de fautes. Parfois, c'est juste des problèmes de distraction, je précise, des problèmes qui auraient pu être corrigés si tu t'étais davantage relu. Alors attention, je continue à croire que depuis que tu es arrivé, ton orthographe est bien meilleure, tu fais beaucoup plus attention. Y a un net progrès mais ici, ma main à couper que t'as un peu relâché ta concentration sur la fin. Et je trouve ça très mauvais.

Quelques exemples :

"Il m’expliquait comment notre pacte allais se dérouler, j’allais revenir" Sachant que juste après, tu conjuges bien le verbe "aller", je ne saisis pas comment t'as pu mettre un -s pour une 3ème p.sg.
"Je n’avais pas atteint les portes des enfers, encore moi celles du paradis." Encore moi, je crois qu'il est inutile de préciser que ça saute aux yeux. Je te l'ai déjà dit, les erreurs de conjugaison, d'orthographe, ça passe... Mais les erreurs d'inattention, ça me saute à la gorge, puisqu'il suffit de se relire pour les supprimer. Alors oui on en fait tous, mais une fiche de présentation, ça se soigne.

"Quelque instant plus tard, j’ouvrais à nouveau les yeux, j’avais récupéré une enveloppe charnelle, j’ai levé les bras et remarquer (là faut que tu m'expliques. Un coup, tu utilises un bon passé composé, et juste ensuite tu mets un -er au lieu d'un participe passé à "remarquer") que ma peau à changer de couleur, elle était maintenait terne et grise, mon bras était aussi étrangement musclé, Namtar ne m’avait pas mené en bateau. "

Donc je vais me contenter de deux conseils.

1) Le passé composé à la voix active est un temps très simple dans sa construction... Sa seule difficulté, c'est de savoir quel est le participe passé du verbe que tu veux conjuguer. Une fois que tu connais ce participe passé, c'est super simple.

C'est toujours : Sujet + le verbe "avoir" conjugué au présent + le participe passé du verbe.

" Ma peau a changé de couleur"

2) à ou a ? Très simple. Dès que le "a" que tu veux utiliser est une forme du verbe "avoir", c'est "a". Sinon, c'est "à".

"Ma peau a changé de couleur", " Je vais à Bruxelles"

Par contre !

Passons...

Ce qu'il y a de mauvais...

... Attends, j'ai oublié...

Voilà.

J'ai remarqué une "technique" que tu utilises genre tout le temps.

"il n’y avait qu’une seule espèce de con qui allongeait la monnaie : les albanais."
"il se prénommait Bezan, un homme simple à vrai dire, il vivait pour deux choses : l’argent et le sang"
"j’allais pouvoir entamer la deuxième étape de mon plan : l’enrichissement !"
"j’ai loué les services de deux gardes du corps, et emménagé dans le penthouse de mes rêves : situé au sommet d’un immeuble et virtuellement inviolable."
"Ça à permis de rencontrer un dirigeant des hauteurs : Carl Van Geld."
"il n’avait qu’une seule motivation : l’argent."
"La réponse tiens en un nom : Bezan."
"il n’y avait qu’une seule personne qui c’était déplacer pour moi : Carl."
"Et puis soudain, un bruit de foreuse se fit entendre : aigu et envahissant. "
"mon hôte m’expliquait la suite des évènements : il allait me tuer. "
"j’ai entendu la voix de mon sauveur : Namtar."
" il avait un pacte à me proposer : je retrouverais mon corps (...)"
" il m’envoya tuer deux personnes appartenant à mon passé : Bezan et Carl…"

Et y en a encore trois après. Si tu te demandes pourquoi je les ai quasi tous copié/collés, c'est pour te montrer à quel point y a un excès des deux points... à quel point je les ai ressentis en lisant ton texte.

Tu veux expliquer un truc, tu utilises systématiquement les deux points et c'est super lourd. A la rigueur, l'utiliser une ou deux fois dans un texte, c'est envisageable, mais vraiment dans les moments où tu n'as que cette méthode pour expliquer un truc. Mais la plupart des phrases que j'ai citées, une virgule ou une périphrase pouvaient suffire. Les deux points, c'est pas très beau, ça fait pas des phrases très littéraires... et je dirais même que ça fait un peu bande-annonce un peu nulle de film.

Dans mon film il y a : De l'action ! *Tonnerre, explosion et bruitage*

J'ai entendu la voix de mon sauveur : Namtar ! *Musique de X-Ray dog et choeurs bien religieux*

Ce qu'il y a de bien... c'est tout simplement le scénario. La narration a été un tout petit peu gâchée par tous ces deux points qui cassent un peu l'effet de tout ce que tu dis. Mais l'histoire en elle-même a le mérite d'être... complètement déconnectée de ce que je peux lire d'habitude. Aucune magie jusqu'à sa résurrection, aucune allusion (je pense) à ce qu'il se passe dans les autres mondes, aux sans-coeurs. Ca aurait pu être dommage que tu n'aies pas un grand rapport avec KH ou le forum, que tu n'aies pas vraiment intégré ton perso dans tout ce délire... mais non en fait. On est tellement dans l'histoire d'un seul monde, d'un mec qui a sa vie compliquée qui n'a strictement rien à voir avec les ténèbres ou la lumière (jusqu'à sa mort, donc).

J'ai trouvé le passé de ton personnage assez original puisqu'il est de base un mec banal qui a juste beaucoup trop d'ambition et un certain talent avec l'argent.

Ce qu'il y a de très bien, c'est ce qu'il n'y a pas dans ta fiche. C'est curieux dit comme ça mais c'est très appréciable que tu saches quand t'arrêter. L'histoire se finit quasi directement après qu'il soit ressuscité.

Parce qu'il y a les fiches dont les histoires sont... de véritables et longues histoires avec plein d'exploits et de trucs qui font qu'on se dit "J'aurais pu faire un film (plus ou moins bon) sur cette histoire !"

Et puis il y a les fiches dont les histoires sont juste des introductions au rp. Et c'est ça qu'il faut, parce que c'est maintenant que ça commence.

Je donne sergent à l'histoire. Ce n'est pas une mauvaise histoire mais les maladresses sont nombreuses.

Parlons physique et parlons caractère.

Ce qu'il y a de cool, c'est que tu as changé de style pour les trois critères de ta fiche. L'histoire est personnelle, passionnelle... là où le physique est purement objectif et froid comme une enquête doit l'être. Le caractère a un style plus traditionnel, j'y reviendrai plus tard.

Tu as réussi à faire un physique bien meilleur que le reste de la fiche, ce qui est assez dur. Le seul défaut, c'est finalement que tu m'as dit comment tu allais raconter le physique, ce qui est franchement une grossière erreur ^^. N'importe qui te dira que c'est la pire idée me concernant ^^.

Néanmoins j'ai trouvé ça très très bien, impeccable. Ce n'est pas un beau texte (puisqu'il n'a aucun style à proprement parler) mais pour autant il est assez original. Quand tu m'avais dit "enquête policière" je t'avais dit que tu n'étais sans doute pas le premier y avoir pensé, mais de cette façon, je doute avoir lu d'autres cas.
C'est un sacré bon prétexte pour parler du physique ^^.

Capitaine pour le physique.

Le caractère est moins bon mais il est quand même bien.

Je me permets de faire une parenthèse ! Tu parles des enfers, tu parles de Cerbère... mais tu parles aussi de démons, d'Asmodée et de Gabriel ^^...

Bientôt c'est Ariez qui te notera et elle ne te fera pas chier pour ces détails mais faut pas tout mélanger ^^.

Il y a l'Enfer judéo-chrétien, et il y a les enfers grecs. Asmodée Gabriel et les démons, c'est la tradition judéo-chrétienne comme Satan, Lucifer, Lilith, etc... Les enfers (au pluriel et enfer en minuscule), c'est Cerbère, Hadès, etc...

(D'ailleurs à ce propos, certaines armes uniques sont habitées par l'âme d'ange ou de démon... ce qui est le cas de Murasama, Masamune et... Zanmato, qui est habitée par Asmodée)

Néanmoins, c'est une description très originale du caractère de ton personnage. J'aime beaucoup. Je trouve néanmoins que si tu as la manière, tu aurais pu être plus précis. Finalement, le dialogue est un peu court, tu ne grattes pas bien profondément et c'est regrettable.

Il y a un autre défaut, et là mais... Catastrophe, quoi ^^.

Le premier paragraphe est à la troisième personne du singulier, caméra sur Namtar... Là il y a un dialogue et... bim, on se retrouve en caméra subjective, Namtar parle en "je". T'as changé de narration entre deux dialogues, c'est plutôt flagrant et c'est plutôt dommage ^^.

J'ajouterais qu'on est pile devant ton problème en général dans le rp. Tu as du talent , tu as de l'imagination et de l'originalité, mais tu commets des tas de maladresses qui ne passent jamais inaperçus.

Lieutenant pour le Caractère.

Ca te fait un grade de lieutenant.

Fiche validée et toutes conneries du style...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum