Un homme marcha sur le chemin, puis s’arrêta devant les ruines. Il avait l’apparence d’un vieillard avec ses rides sur son visage et sa barbe frissonnante et ses cheveux, long et raide, avait pour couleur un mélange de gris et de blanc sans qu’un des couleurs ne prenne le dessus. Il avait pour l’habit une sorte de tunique usée, recouvrant toute sa peau, de couleur marron-vert. Il se tenait avec un vieux bâton de bois sur lequel y sont dessiné des formes étranges et indescriptibles. Il ne semblait nullement gêné par l’atmosphère de poussière des lieux et les sans-cœurs se tenait éloigné de cette lui comme si quelque chose les terrifiés en lui.

L’homme balaya de son regard impassible ces lieux désolé, ou plus âme ne vit, quand une mystérieuse créature apparut devant lui, sortant de nulle part. Son apparence était celle d’une masse gélatineuse violette qui change d’apparence sans cesse jusqu'à prendre une forme humanoïde. Elle s’agenouilla devant le vieillard et dans une voix surnaturelle parla :

« Je suis là Maitre, Vous vouliez me voir ?
- Oui, donne-moi des nouvelles des mondes. »

L’étrange créature se leva avant de répondre, elle gigotait sans cesse :

« La guerre semble imminente: les Lumières sont affaibli avec la mort du Sage et la Coalition noire s’apprête à conquérir plusieurs mondes. Les autres groupes ne bougent pas trop mais doivent surement ajusté leurs pions dans l’ombre.
- Que de mauvaises nouvelles en quelque sorte,  dit l’homme d’une voix presque triste.
- Pas forcément Maitre, les Lumières voient le retour de Sora et de Rikus et je pense que Kairi ne devrait pas tarder à réapparaitre. Même si la Coalition a vu ses rangs s’agrandis également.
- C’est vrai, c’est plutôt rassurant. Et concernant Malvac, l’illusion est-elle toujours en place ?
- Vous voulez parler des faux souvenirs implantés en lui ? »

L’homme âgé acquiesça.

« Oui, malheureusement. »

Le vieillard grimaça à l’écoute de cette nouvelle puis enchaina :

« Il faut que je détruise ce que j’ai crée, qu’il voit enfin la vérité et qu’il arrête de souffrir inutilement de ma faute.
- Mais l’être des cauchemars ne risque pas de continuer dans la voie que vous lui avez fermée autrefois ? Et puis, c’est de sa faute s’il souffre actuellement, demanda L’humanoïde gélatineux intrigué.
- Certes, répliqua L’homme de dos à son serviteur, mais avec ce qu’il a vu sur cette voie, Malvac ne prendra pas le risque d’y retourner. Ces horreurs qui a put observer l’on probablement et surement dissuadé de retenter l’expérience. Je ne sais pas ce qui m’a pris de lui ferai subit cette torture. Enfin, c’est du passé, maintenant, il faut que je répare mes erreurs en lui révélant tout.
- Et comment compter vous lui dire la vérité, ces faux souvenir ont véritablement pris le dessus et l’être des cauchemars y croient dure comme du fer.
- Je pense savoir comment m’y prendre, Et d’une manière plus autoritaire et faisant face a la créature, retourne donc surveillez les mondes et prévient moi si il y a des changements importants entre les groupes et garde un œil attentif sur Malvac.
- Oui Maitre, au revoir. »

La masse gélatineuse humanoïde se déforma puis disparut dans le néant. Le vieillard resta quelque minute sur place à observer la désolation dans ce monde autrefois vivant et habité par un homme puissant. Quand un bout de papier volant attira son attention, et se posa devant lui. C’était un reste d’une couverture de livre : cette couverture était d’un couleur ébène foncé presque noir ou on pouvait lire seulement le nom de l’auteur écrit en lettres jaune dorées. Il se ne put retenir un petit rire en lisant le nom puis marmonnât :

« Si vous étiez encore vivant, Yen Sid, vous aurait été d’une grande utilité pour m’aider dans ma tache car vous saviez qui je suis et vous sauriez ce que Malvac a fait autrefois. »

Le vieil homme se retourna et se mit à siffler, quand un attelage des plus étranges arriva : c’était une sorte de coquillage comme chariot tiré par des créatures humanoïdes extrêmement maigre avec une peau grise avec comme visage un unique trou noir au niveau de la bouche. Il se mit dans le chariot-coquillage qui parti dés qu’il fut dessus et se dirigea vers les ténèbres.
Le calme était revenu sur l’étoile morte et les sans-cœurs repris leurs droits sur ce monde dévasté. Le bout de couverture est resté sur le sol, les lettres d’or du nom de l’auteur face au ciel.

On peut le lire,
Un nom tristement célèbre,
Auteur d’un livre impie,
Ce nom…
Abdul al-Hazred, l’arabe dément