Henry marchait de long en large dans la chambre qu'il partageait avec Septimus au Centurio, les poings serrés, une lettre froissée dans l'un deux. La femme qui les avait libéré au Pays des Merveilles l'avait enfin contacté pour le petit service qu'il lui avait promis. Et quel service !
Le jeune homme était heureux que le maître de la keyblade ne soit pas là. Ce dernier espionnait leur monde pour les mercenaires. Ce qui lui laissait le champ libre. Personne ne lui poserait de question, chaque mercenaire savait qu'il n'appartenait pas au groupe, qu'il allait et venait à sa guise. Et malheureusement, pour une fois, cela allait le desservir.
Cette femme diabolique. Elle voulait qu'il pose une bombe au sein même de Port Royal. Mais le chasseur ne pouvait pas. Il avait beau détester le Centurio, et tout ce qu'il représentait, tout ce qui le liait à son ami. Il ne pouvait tout simplement pas détruire, tuer des innocents comme ça. Il souhaitait être un héros, non un assassin, un vulgaire criminel à la solde d'une quelconque organisation malfaisante.
Que faire ? S'il n'agissait pas, le blond serait en danger. Il ne pouvait pas revenir sur sa parole. Le colosse, au bord du désespoir, s'assit sur son lit, la tête dans les mains. Revenir sur sa promesse. Ça ne lui était jamais arrivé. Le brun était quelqu'un de droit, qui se battait pour les plus faibles, et qui n'avait qu'une parole. Quoi qu'il fasse, il se renierait en partie. Mais pouvait-on se renier, qu'en partie ? Non. Il nierait tout ce qu'il était, tout ce qu'il pouvait devenir, tout ce qu'il voulait être.
Que faire ? Vers qui pouvait-il se tourner ? Septimus ne devait rien savoir de cette histoire. Dee, bien qu'il ne l'avait jamais aimé Henry le savait de bons conseils, était mort. Les mercenaires n'étaient pas des personnes de confiance, et il n'en connaissait pas vraiment. Les pirates ne pensaient qu'à l'or et leur personne. La lumière n'était composée que de triples buses comme ce Nikoleis – s'il adoptait le point de vue de son ami. Il était seul, et devrait décider seul de la marche à suivre, de sa conduite prochaine.
Ven 21 Fév 2014 - 15:39Le jeune homme était heureux que le maître de la keyblade ne soit pas là. Ce dernier espionnait leur monde pour les mercenaires. Ce qui lui laissait le champ libre. Personne ne lui poserait de question, chaque mercenaire savait qu'il n'appartenait pas au groupe, qu'il allait et venait à sa guise. Et malheureusement, pour une fois, cela allait le desservir.
Cette femme diabolique. Elle voulait qu'il pose une bombe au sein même de Port Royal. Mais le chasseur ne pouvait pas. Il avait beau détester le Centurio, et tout ce qu'il représentait, tout ce qui le liait à son ami. Il ne pouvait tout simplement pas détruire, tuer des innocents comme ça. Il souhaitait être un héros, non un assassin, un vulgaire criminel à la solde d'une quelconque organisation malfaisante.
Que faire ? S'il n'agissait pas, le blond serait en danger. Il ne pouvait pas revenir sur sa parole. Le colosse, au bord du désespoir, s'assit sur son lit, la tête dans les mains. Revenir sur sa promesse. Ça ne lui était jamais arrivé. Le brun était quelqu'un de droit, qui se battait pour les plus faibles, et qui n'avait qu'une parole. Quoi qu'il fasse, il se renierait en partie. Mais pouvait-on se renier, qu'en partie ? Non. Il nierait tout ce qu'il était, tout ce qu'il pouvait devenir, tout ce qu'il voulait être.
Que faire ? Vers qui pouvait-il se tourner ? Septimus ne devait rien savoir de cette histoire. Dee, bien qu'il ne l'avait jamais aimé Henry le savait de bons conseils, était mort. Les mercenaires n'étaient pas des personnes de confiance, et il n'en connaissait pas vraiment. Les pirates ne pensaient qu'à l'or et leur personne. La lumière n'était composée que de triples buses comme ce Nikoleis – s'il adoptait le point de vue de son ami. Il était seul, et devrait décider seul de la marche à suivre, de sa conduite prochaine.