Le bar de la place de la Guillotine était bien animé en ce moment. Tout le monde buvait des alcools au nom parfois glauque telle le vin-corbeau ou la liqueur des yeux, discutait joyeusement, rirait…bref, faisait la fête pour oublier ses jours difficile. Pourtant, une personne semblait ne pas avoir le cœur à faire la fête, assis dans une table éloignée : c’était le maire de la ville d'Halloween qui attendait Malvac. Il regardait sa montre avec impatience, regardant autour de lui lorsque le maitre des cauchemars apparue derrière son dos, le surprenant :
« Bonjours, Monsieur le Maire, vous vouliez me voir ?»dit-il
« Oui, répond l’élu de la ville d’une voix peu rassuré et, en se raclant la gorge, continua,je voudrais parler de votre récente occupation de laboratoire de docteur Finkelstein, nous sommes un peu inquiets au sujet de vos expérience du aux explosions entendue, il y a peu de temps »
Pendant ce temps, Malvac s’assis devant le maire qui continua de parler et commanda une liqueur de pomme pourrit.
« De plus, si le précédent propriétaire revient, vous serez surement obligé de quitter les lieux et…. »
« Vous avez peur de moi ? » coupa-t-il.
« Pardon ? » surpris par sa réaction.
« Je répète, Avez-vous peur de moi ? »
Le petit homme le regarda d’un l’air inquiet.
« Mais…non, nous somme juste inquiet, c’est tout. Vous débarquer un peu de nulle part et vous vous installez dans le laboratoire sans notre avis, on a laissé passer cela avant qu’il y est ces explosions qui retentisse dans toute la ville.»
Un serveur mort-vivant, trainant les pieds, arriva avec un petit verre, le posa
sur la table et Dr. Cauchemars (Malvac si vous préférer) le bu d’un trait puis attendis un moment en fixant le maire ce qui l’intimidais un peu, quand un squelette borgne nommé Bonejangles monta sur une scène un peu plus loin de là où ils étaient assis. La scène était faite dans un bois vermoulu verdâtre craquant à chaque pas du squelette. Il prit la parole :
«Comme nous somme tout réunis et bien joyeux, je vais vous raconter une histoire épique, un conte de fée tragique sur l’amour, la passion, et le meurtre de sang-froid. »
Il fit un pas sur le côté faisant tomber l’œil contenu dans son orbite gauche vers celui de droite. On peut entendre une voix dire alors qu’un silence se fit entendre :
« Ça va être captivant. »
La musique se lança et Bonejangles se mit à chanter :
Pendant la chanson, Malvac sorti de son silence :
« Je comprendre vos inquiétude et si je peux vous rassurer, les explosions, qui était sans danger pour la ville au passage, que vous avez entendus on permit la création d’un appareil capable de repousser les sans-cœurs, enfin seulement les plus faibles pour l’instant »
A cette annonce, le maire fut bouche bée.
« Je vois à votre tête d’ahuri que vous serez très intéressé d’obtenir cette invention une fois qu’elle sera fini n’est-pas ? »
« En effet. »
« Alors, j’espère pouvoir compter sur votre soutien et aussi sur ceux de vos concitoyens si vous souhaitez l’obtenir et également avoir l’exclusivité sur d’autre appareils de ma conception»
Le petit homme fit un petit signe de la tête, toujours sur le choc de l’annonce.
« Je vous ferai parvenir une liste sur deux-trois chose qui me manque pour peaufiner le répulsif et après on verra ensemble pour le reste »
Mais avant qu’il se lève, le Maire, sortant de sa stupeur, lui demanda :
«Vous pourrez me montrer votre machine s’il vous plaît et après j’aviserais. »
« Bien entendu, venez quand vous pourrez. »
Malvac se leva, laissant le maire seul à sa table, et sorti de bar en se frottant les mains.
« Bien, je crois que le soucis du mécène semble être réglée pour le moment et ce maire a l’air d’être un parfait pantin. Excellent, on ne pouvait pas rêver mieux comme situation. »
Il entendit néanmoins le refrain final de la chanson de Bonejangles chanter en chœur par les clients du bar :
Le maitre des cauchemars se mit à rire en écoutant le refrain qu’il trouva bien amusant tenu compte de leur situation et sur la route du laboratoire, il se mit à la chantonner à sa façon :
Jeu 13 Fév 2014 - 23:15« Bonjours, Monsieur le Maire, vous vouliez me voir ?»dit-il
« Oui, répond l’élu de la ville d’une voix peu rassuré et, en se raclant la gorge, continua,je voudrais parler de votre récente occupation de laboratoire de docteur Finkelstein, nous sommes un peu inquiets au sujet de vos expérience du aux explosions entendue, il y a peu de temps »
Pendant ce temps, Malvac s’assis devant le maire qui continua de parler et commanda une liqueur de pomme pourrit.
« De plus, si le précédent propriétaire revient, vous serez surement obligé de quitter les lieux et…. »
« Vous avez peur de moi ? » coupa-t-il.
« Pardon ? » surpris par sa réaction.
« Je répète, Avez-vous peur de moi ? »
Le petit homme le regarda d’un l’air inquiet.
« Mais…non, nous somme juste inquiet, c’est tout. Vous débarquer un peu de nulle part et vous vous installez dans le laboratoire sans notre avis, on a laissé passer cela avant qu’il y est ces explosions qui retentisse dans toute la ville.»
Un serveur mort-vivant, trainant les pieds, arriva avec un petit verre, le posa
sur la table et Dr. Cauchemars (Malvac si vous préférer) le bu d’un trait puis attendis un moment en fixant le maire ce qui l’intimidais un peu, quand un squelette borgne nommé Bonejangles monta sur une scène un peu plus loin de là où ils étaient assis. La scène était faite dans un bois vermoulu verdâtre craquant à chaque pas du squelette. Il prit la parole :
«Comme nous somme tout réunis et bien joyeux, je vais vous raconter une histoire épique, un conte de fée tragique sur l’amour, la passion, et le meurtre de sang-froid. »
Il fit un pas sur le côté faisant tomber l’œil contenu dans son orbite gauche vers celui de droite. On peut entendre une voix dire alors qu’un silence se fit entendre :
« Ça va être captivant. »
La musique se lança et Bonejangles se mit à chanter :
Pendant la chanson, Malvac sorti de son silence :
« Je comprendre vos inquiétude et si je peux vous rassurer, les explosions, qui était sans danger pour la ville au passage, que vous avez entendus on permit la création d’un appareil capable de repousser les sans-cœurs, enfin seulement les plus faibles pour l’instant »
A cette annonce, le maire fut bouche bée.
« Je vois à votre tête d’ahuri que vous serez très intéressé d’obtenir cette invention une fois qu’elle sera fini n’est-pas ? »
« En effet. »
« Alors, j’espère pouvoir compter sur votre soutien et aussi sur ceux de vos concitoyens si vous souhaitez l’obtenir et également avoir l’exclusivité sur d’autre appareils de ma conception»
Le petit homme fit un petit signe de la tête, toujours sur le choc de l’annonce.
« Je vous ferai parvenir une liste sur deux-trois chose qui me manque pour peaufiner le répulsif et après on verra ensemble pour le reste »
Mais avant qu’il se lève, le Maire, sortant de sa stupeur, lui demanda :
«Vous pourrez me montrer votre machine s’il vous plaît et après j’aviserais. »
« Bien entendu, venez quand vous pourrez. »
Malvac se leva, laissant le maire seul à sa table, et sorti de bar en se frottant les mains.
« Bien, je crois que le soucis du mécène semble être réglée pour le moment et ce maire a l’air d’être un parfait pantin. Excellent, on ne pouvait pas rêver mieux comme situation. »
Il entendit néanmoins le refrain final de la chanson de Bonejangles chanter en chœur par les clients du bar :
Mourir, on va y passer,
Mais la déprime, c'est dépassé,
On peut se cacher et tenter de prier,
Mais quand le glas va sonner, on va trépasser.
Mais la déprime, c'est dépassé,
On peut se cacher et tenter de prier,
Mais quand le glas va sonner, on va trépasser.
Le maitre des cauchemars se mit à rire en écoutant le refrain qu’il trouva bien amusant tenu compte de leur situation et sur la route du laboratoire, il se mit à la chantonner à sa façon :
Mourir, tu vas y passer,
Mais la déprime, c’est dépassé,
Tu peux te cacher et tenter de prier,
Mais quand mon rire va retentir, tu vas trépasser.
Mais la déprime, c’est dépassé,
Tu peux te cacher et tenter de prier,
Mais quand mon rire va retentir, tu vas trépasser.