Agrabah, l'une des villes les plus touristiques et surtout des plus heureuses, enfin cela était vrai quand le sultan était encore sur le trône et que sa fille bien-aimée ne soit enfermée dans les cachots. Tout le monde le disait, la princesse était la plus belle femme du pays. Pas très haute, avec de long cheveux noirs, des petits yeux marrons emplis de douceur et de malice et sa peau halée, elle faisait rêver plus d'un homme. On la connaissait aussi pour son caractère assez fort, elle aimait avoir raison et détestait plus que tout que l'on se mèle de ses affaires. Seul Aladdin avait réussi à faire fondre son cœur qu'on disait imprenable tant elle avait refusé de prétendants.
Dans les cachots du palais, on pouvait entendre le sultan consoler sa fille qui pleurait depuis qu'elle avait été enfermé. Elle ne supportait pas l'idée de ne plus revoir l'homme qu'elle aimait tant, Aladdin. Elle était désespérée et ne savait pas comment toute cette histoire allait se finir. Elle voulait fermer les yeux et oublier tout ce qui venait de se passer mais à chaque fois qu'elle les fermait elle revoyait des moments de leur passé commun. Elle ferma lentement ses yeux de fatigue et se rappela de sa première rencontre avec Aladdin.
Elle avait enfin réussi à quitter le palais incognito, dans sa cape, elle mit sa capuche pour se cacher et ne pas trop attirer l'attention des citoyens d'Agrabah. Elle admirait le marché jusqu'à ce qu'elle tombe sur un petit garçon qui semblait avoir faim. Elle s'approcha d'un étalage de fruit, prit une pomme et lui tendit. Le petit la prit avec joie, la remercia et parti, alors qu'elle allait partir comme si de rien n'était, le marchand lui attrapa le bras violemment et la força à le regarder tout en lui criant dessus que la pomme n'allait pas se payer toute seule. C'est à ce moment-là qu'un jeune homme décida d'intervenir afin de lui sauver la mise. Ce jeune homme, était Aladdin vous l'auriez deviné. Elle était tombé sous le charme d'Aladdin dès le premier regard bien qu'elle ne l'admettrait jamais à personne. Il avait inventé qu'elle était sa sœur et qu'elle n'avait pas toute sa tête, elle ne lui en a pas voulu pour autant. Elle l'avait suivi jusqu'au toit où il vivait, et là, son côté tendre et sensible la fit totalement craquer.
Rouvrant les yeux, elle secoua la tête et essuya doucement ses larmes en faisant un léger sourire à son père qui la regardait impuissant. Il voulait tant pouvoir faire plus malheureusement, dans les conditions actuelles il ne pouvait rien, il ne savait comment allait devenir les choses.
Jasmine regarda autour d'elle dans l'espoir de trouver de quoi faire passer un message. Elle voulait prévenir quelqu'un, elle le devait afin de pouvoir sortir d'ici et d'enfin pouvoir reprendre le pouvoir. Elle le devait pour son peuple, elle ne savait pas comment le gérait Armand, et elle ne voulait pas le savoir. Le fait qu'il est tué Aladdin lui suffisait amplement pour ne pas le laisser régner sur le peuple d'Agrabah. Elle ferma les yeux et de nouvelles images du passé lui revinrent.
Elle s'était cachée de Jafar dans la ville d'Agrabah, derrière un étalage du marché. Elle venait de voir Jafar parlere avec une inconnue qui pourtant ne lui inspirait pas confiance. Ils avaient parlé d'une certaine serrure et d'elle. Elle parti discrètement afin de ne pas se faire avoir par le vizir, malheureusement pour elle, il la découvrit dans une rue un peu plus loin.
Elle ne pouvait plus s'échapper à part si quelqu'un lui venait en aide, elle espérait secrètement qu'Aladdin surgirait tout d'un coup afin de la sauver.
- Jasmine ! Ecoute moi, je t'en prie. Ne sois pas si triste, je suis sûr qu'on viendra nous sauver.
Rouvrant les yeux à la voix de son père, elle leva son regard triste vers lui, et soupira. Mais elle savait qu'il n'avait pas tord, il ne fallait pas perdre espoir. Leurs amis se rendraient compte de tout ce qui c'était passé et viendrait à leur secours, ce n'était plus qu'une question de temps.
Dans les cachots du palais, on pouvait entendre le sultan consoler sa fille qui pleurait depuis qu'elle avait été enfermé. Elle ne supportait pas l'idée de ne plus revoir l'homme qu'elle aimait tant, Aladdin. Elle était désespérée et ne savait pas comment toute cette histoire allait se finir. Elle voulait fermer les yeux et oublier tout ce qui venait de se passer mais à chaque fois qu'elle les fermait elle revoyait des moments de leur passé commun. Elle ferma lentement ses yeux de fatigue et se rappela de sa première rencontre avec Aladdin.
Elle avait enfin réussi à quitter le palais incognito, dans sa cape, elle mit sa capuche pour se cacher et ne pas trop attirer l'attention des citoyens d'Agrabah. Elle admirait le marché jusqu'à ce qu'elle tombe sur un petit garçon qui semblait avoir faim. Elle s'approcha d'un étalage de fruit, prit une pomme et lui tendit. Le petit la prit avec joie, la remercia et parti, alors qu'elle allait partir comme si de rien n'était, le marchand lui attrapa le bras violemment et la força à le regarder tout en lui criant dessus que la pomme n'allait pas se payer toute seule. C'est à ce moment-là qu'un jeune homme décida d'intervenir afin de lui sauver la mise. Ce jeune homme, était Aladdin vous l'auriez deviné. Elle était tombé sous le charme d'Aladdin dès le premier regard bien qu'elle ne l'admettrait jamais à personne. Il avait inventé qu'elle était sa sœur et qu'elle n'avait pas toute sa tête, elle ne lui en a pas voulu pour autant. Elle l'avait suivi jusqu'au toit où il vivait, et là, son côté tendre et sensible la fit totalement craquer.
Rouvrant les yeux, elle secoua la tête et essuya doucement ses larmes en faisant un léger sourire à son père qui la regardait impuissant. Il voulait tant pouvoir faire plus malheureusement, dans les conditions actuelles il ne pouvait rien, il ne savait comment allait devenir les choses.
Jasmine regarda autour d'elle dans l'espoir de trouver de quoi faire passer un message. Elle voulait prévenir quelqu'un, elle le devait afin de pouvoir sortir d'ici et d'enfin pouvoir reprendre le pouvoir. Elle le devait pour son peuple, elle ne savait pas comment le gérait Armand, et elle ne voulait pas le savoir. Le fait qu'il est tué Aladdin lui suffisait amplement pour ne pas le laisser régner sur le peuple d'Agrabah. Elle ferma les yeux et de nouvelles images du passé lui revinrent.
Elle s'était cachée de Jafar dans la ville d'Agrabah, derrière un étalage du marché. Elle venait de voir Jafar parlere avec une inconnue qui pourtant ne lui inspirait pas confiance. Ils avaient parlé d'une certaine serrure et d'elle. Elle parti discrètement afin de ne pas se faire avoir par le vizir, malheureusement pour elle, il la découvrit dans une rue un peu plus loin.
Elle ne pouvait plus s'échapper à part si quelqu'un lui venait en aide, elle espérait secrètement qu'Aladdin surgirait tout d'un coup afin de la sauver.
- Jasmine ! Ecoute moi, je t'en prie. Ne sois pas si triste, je suis sûr qu'on viendra nous sauver.
Rouvrant les yeux à la voix de son père, elle leva son regard triste vers lui, et soupira. Mais elle savait qu'il n'avait pas tord, il ne fallait pas perdre espoir. Leurs amis se rendraient compte de tout ce qui c'était passé et viendrait à leur secours, ce n'était plus qu'une question de temps.