Pourquoi lutter contre la mort, quand celle-ci peut régler tous nos soucis, pu de maux pour nous maudire, plus besoin de lutter contre notre propre désespoir.
Une journée sombre et sinistre pour la cité du crépuscule, une journée que les rebelles n'oublieraient surement pas dans toutes leurs vies. Marchant dans les ruelles sombres, je me rendais dans le lieu de ma mission. Un pas dans une flaque, un autre sur le sol humide, la pluie était au rendez-vous. Coulant à flot comme bientôt les larmes de mes victimes, le temps avait rapidement changée, laissant un orage effrayant et des nuages noirs dominés la cité.
Mon regard froid rester droit devant moi, montrant ma détermination mélangée à ma part d'obscurité me faire avancer. Mes pensées étaient plongées dans des souvenirs de guerre et de souffrance, qu'aucune personne pour moi n'avait encore connu à ce jour, mon âme de guerrier toujours présente laisser mes mains fermement fermer. Une âme qui bouillonnait d'action et de changement, ce monde avait besoin d'être guidé et les rebelles n'avaient pas lieu d'être, il était temps de représenter mon groupe pour de bon dans ce monde. La terreur ne se trouvait pas encore dans le cœur de tout le monde on dirait et mes confrères plus haut placer que moi, se devaient encore de les arrêter. Comment des faiblards comme eux avaient-ils encore le courage de se battre ? Pourquoi je n'étais pas envoyé pour les exterminés, mes confrères pensaient-ils que j'étais si faible que ça ? Je me trouvais insulté de ne pas pouvoir m'en débarrasser pour de bons. Depuis le départ d'Arachné, tout avait changé ici. Il était temps de remettre les choses en place. Seul la peur et le sang pouvaient remédier à ça.
Les villageois me regardèrent comme un monstre, ce n'était pas plus mal, car au moins cela avait compris la leçon et puis même les monstres ont compris que seul la domination compte. Pour cela, nous devons faire la guerre contre cette rébellion, nous devrions tous les exterminés juste au dernier pour qu'enfin, nous soyons vus comme des dieux. La guerre éternelle était la seule solution, pu de rébellion, les faibles se soumette aux forts pour le devenir et survivre. Il n'y a que ça qui compte à mes yeux.
Arrivant juste devant les cachots de la ville, un grand couloir rond en guise d'égout, la sortie se trouvait être une grande évacuation d'eau. Rentrant dedans sans peur, je m'enfonçais dans l'ombre certains avant qu'on ne puisse même pu apercevoir ma silhouette... Une odeur macabre encore, la seule odeur que je peux reconnaître à des kilomètres, c'est bien celle de la mort, on pouvait sentir plus la sensation de sang que déchets. Des bougies sur le côté en guise de lampadaire pour éclairer les lieux rendaient l'endroit encore plus effrayants pour les faibles, ce n'est pas ici qu'on verrait des enfants se balader, ça c'était sûr. Un endroit parfait pour les prisonniers, à l'intérieur au centre d'une partie qui semblait les cachots, on pouvait voir beaucoup plus lumière, car cette fois des torches entourées la salle. Un allié, ou plutôt un collaborateur à la coalition tenait sa torche dans sa main en ce tenant à quelques mètres de moi, face à face, je marchais dans sa direction. J'avais compris, qu'il m'attendait, arrivant à sa hauteur, l'homme dit.
- Fuû ?
Faisant un signe de la tête, il se retourna et marcha en direction des cellules pour dire en commençant à partir.
- Suivais-moi...
Pas la peine de dire un seul mot, une vermine de son genre ne m'intéresser pas, malgré qu'il soit des nôtres, il était faible donc interdit d'entendre ma voix. Le suivant pendant quelques instants, il s'arrêta devant les cellules pour accrocher sa torche et mur et partir, aillant reçu des instructions précises de la princesse surement. Les clés de l'espoir ce trouvant accrocher en dessous de la torche, un petit trousseau de clés pour deux grandes cellules contenant chacune cinq et six prisonniers de toutes sortes. Des pères, des mères et même des enfants totalement couverts de cicatrices et de bleus montrant correctement le travail de mes collègues. Tous réagissaient à ma venue, certains se levèrent brusquement pour courir, d'autres trop épuiser se contentaient de tourner leurs regards vers ma personne. Quand d'un seul coup, un jeune adolescent ayant à peu près seize ans, attrapa les barrots pour crier avec espoir.
- Monsieur !! Vous êtes venues nous sortir de là hein !? Monsieur !
Mon regard ce pencha sur lui et je ne pus m'empêcher de m'avancer vers lui me tenant juste à un mètre de lui de l'autre côté des barrots et observer son regard, il avait encore de l'espoir ? Comment c'était possible ! Pourtant les autres semblaient avoir abandonné, mais lui pensais que j'allais le sauver. Plutôt mourir embrocher par une centaine de lames qu'aider cet enfant. Ma réponse n'avait donc que pour but de briser tout espoir.
- Silence, je ne t'autorise même pas à parler avant ta mort... Sauf si tu veux mourir le premier...
L'enfant compris directement ce qu'il allait arriver, tout comme les autres furent choquer et tremblaient de peur. Tombant à genou, il ce mit à pleurer pour osé encore parler.
- Pourquoi ?! Pourquoi dois ton tous mourir comme ça ! Vous avez tué tous mes amis ! Et maintenant nous ! POURQUUUUUUUOOIII ?!!!
Il s'écria de folie à la venu de sa dernière heure, mais aucun sentiment ce dessina sur mon visage et mon regard ne faiblissait pas une seule fois, froid je représentais la mort à leurs yeux et bien plus que ça. Tournant le dos à sa folie et tous les autres, je repartis en disant haut et fort pour que les gardiens entendent.
- Qu'ont les attachent l'un à l'autre et qu'ont les escortent jusqu'à la place....
Sortant des égouts avec les prisonniers entourés des gardiens, je ne me précipitais pas, car j'avais tout mon temps. Je voulais qu'ils baignent dans leurs désespoirs et qui connaissent la véritable souffrance, ainsi naîtra la terreur peut-être aux yeux des rebelles, peut-être que je ne pouvais pas leur faire une guerre physique, mais au moins en faire une psychologique. Les habitants de leurs fenêtres regardèrent le spectacle, ce mouvement de peur qui marchait en direction de la place, ils sortirent de leurs maisons intrigués et suivirent le groupe en silence, restant à quelques mètres de notre groupe.
Arrivant sur la place, les prisonniers furent mis au centre et alignés entouraient par la population et surveiller par les gardiens, je me trouvais devant eux, le regard vers la population, dos aux prisonniers pour dire.
- On dirait bien que la dernière fois ça n'a pas suffit ? On dirait qu'encore certains ne baignent pas dans la terreur que nous vous offrons, nous la coalition.
Pointant du doigt les prisonniers en me retournant d'un coup, je l'ai visé en guise de spectacle pour le peuple.
- Ces gens là... Ont élever, aimer et protéger des gens qui menacent la domination de la princesse... Comment ont-ils osés ? Après ce que j'avais dit la dernière fois, il nous menace comme étant des ennemis de la coalition et mon ordre venant tout droit des confrères et la princesse sont... de les tuer sans exceptions.
Les gens tremblèrent de peur autour, certains connaissent bien les prisonniers et même par delà ce moment aucun ne ce rebella. Stupide créature faible et sans courage, j'allais leur offrir ce précieux cadeau qui est le salue de leurs âmes Tournant autour des prisonniers, je cherchais lequel tuer en premier et ce fut une femme que j'attrapas par le cou, le bras autour de sa nuque, un seul geste et c'était fini.
- Vous voyez ce qu'apporte la rébellion ? Moi je ne vois qu'un divertissement pour moi sincère, mais pour vous faibles humains, vous y voyez la peur.
Les gens sans attendre ce moment était fixé sur la jeune femme et moi-même, quand d'un geste direct et précis, mon mouvement lui brisa la nuque. Des femmes et des enfants pleurèrent tout comme la plupart des détenus, mais ce n'était pas fini, la peur et le spectacle n'étaient pas assez efficace. M'avançant dans la foule, j'attrapai un gros plein de soupe pour lui donner un coup de pied dans l'arrière train et le forcer à se tenir devant tout le monde. Attrapant la dague d'un des gardiens, je fis ça rapidement et sans même regarder personne, avant d'attraper la main de ce gros lard et de lui mettre dans la main. D'une voix sinistre et montant mon regard vers lui pour l'effrayer, je chuchotas lentement pour que seul les prisonniers, les gardes et lui-même entende.
- Tues les tous ou je te tuerais dans les pires souffrances que même l'enfer ignore encore.
L'homme trembla, ses yeux tombèrent sur la lame qu'il fixa avec un regard pire qu'apeurer, avant de dire en bégayant.
- Non..non...non, je ne peux pas ..pas..pas...faire ça monsieur.
Alors; délicatement, je posais ma main sur la sienne toute en touchant la garde de la dague et dire lentement.
- Alors... tu..
Il me coupa la parole en criant aussi fort que possible, plonger dans la folie.
- D'accorddd !!!
S'approchant lentement vers du premier prisonnier, pour croiser son regard avant de la baisser immédiatement par honte. Brandissant la dague bien haut vers le ciel laissant la pluie couler sur son visage et tout son corps avant de crier comme un guerrier tout en laissant un grondement de tonnerre retentir. La dague descendit et transperça le premier prisonnier. Les gens autour n'acceptaient pas de voir cela et les plus vieux cachaient le visage des plus jeunes, les pleurent étaient aussi bruyants que la pluie et donner un gout de désespoir à l'endroit qui semblait si beau. Réalisant dans sa tête pendant quelques secondes, ce qu'il venait de faire, l'homme ce plongea dans une folie meurtrière et massacra tous les prisonniers jusqu'à l'épuisement. Un bain de sang, assez pour faiblir surement quelques rebelles plus tard, arrivant derrière l'homme, il n'était plus d'aucune utilité et attrapant sa nuque, je l'étouffas avant de le jeter violemment au sol. Me tournant vers mon public, les mains remplies de sang, je dis en pointant la foule du doigt.
- Si vous ne voulez pas finir comme lui où cet homme, alors un choix s'offre à vous... soit vous vous soumettez vraiment à la princesse, soit vous mourrez de la même façon que tout ce petit groupe... Chaque rebelle doit maintenant être dénoncée ou tuer, quiconque sera vu avec un rebelle ou tiendra des informations secrètes sur eux, sera considère telle qu'eux... Toute personne aillant discuter et qui restera silencieux en présence d'information sur eux seront exécutées et avant d'être torturées dans d'atroces souffrances. Ceux qui les dénoncerons, seront bien vus par la princesse et assurons la vie aux siens.
Commençant à partir vers la ruelle sombre avant de s'arrêter devant elle, il dit juste avant de quitter ce monde.
- La prochaine fois, les exécutions ne seront pas aussi belles à voir que maintenant.