Nom : Chen Prénom : Stormstout Titre : Maître brasseur Âge : 32 ans Camp : Le consulat Monde d'Origine : La terre des dragons Race : Pandaren Grade désiré : Celui que je mérite. |
Physique
Un pandaren, avez-vous déjà entendu parler de ma noble race ? Cela m’étonnerait beaucoup, les gens sont toujours surpris en me voyant, je me demande d’ailleurs pourquoi… N’avez vous jamais vu un panda géant bipède !? Qui plus est habillé ? Je vous concède que mes lointains cousins nudistes se prélassent à longueur de journée dans des enclos pour amuser le public, moyennant salaire bien entendu. Il faut bien nourrir sa famille. Enfin, je m’égare.
Comme dit auparavant, je suis un pandaren, on peut m’apparenter à un panda géant. Enfin, j’en ai les couleurs : le noir et le blanc pour les quelques incultes perdus dans la jungle profonde. J'ai aussi cette fourrure si soyeuse, nettoyée chaque jour, j’ai de l’éducation derrière. Du haut de mes 2 mètres 15 et avec ma corpulence assez prononcée, on comptera seulement 170 kg ! Dit comme ça, il est vrai que je parais impressionnant. Mais bon... Je ne suis pas un grizzli et n'allez pas penser pour autant que je ne sais pas me défendre.
Que dire de plus sur moi ? Mes beaux yeux d’un jaune orangé ? Ou bien mes magnifiques canines ? Non, allons à l’essentiel, à ce que l’on voit directement et qui en étonne plus d’un : mes vêtements ! J’ai une certaine éthique, jamais de cuir, j’aurais du mal à dormir à l’idée que mon oncle Pô me serve de gilet, ce qui ne me laisse pas trop de choix. Une armure de fer dites-vous ? J’ai conservé une certaine agilité avec l’âge, je ne tiens pas à la gâcher en portant cette soi-disant protection. Nous en venons donc au tissu, agréable tissu qui laisse une incroyable liberté de mouvement, et laisse ma fourrure respirer.
Ne cherchant pas la reconnaissance, et n’ayant pas les fonds nécessaires, cela dû à mon statut de moine, je conserve avec moi mon gilet et mon pantalon de lin noir. Je dois dire que cette couleur me colle à la peau. A part une ceinture en lin toujours, et d’un rouge sombre, je ne me permets pas trop de fantaisie. Et bien entendu, mon Zùlì, un chapeau en bambou. Point de vue pratique, c’est assez léger, ça ne gêne pas et garde mon crane bien au frais. Et je garde le meilleur pour la fin : mon fidèle ami à travers toutes mes aventures, et mésaventure d’ailleurs, mon bâton.
Ce bâton est presque aussi vieux que moi, je m'en souviens… à la fin de ma formation, ma famille était venue assister au rite final de passation. C'était une simple formalité à l’époque, un duel face au notre maître. Mon style de combat était un peu inattendu, mélangeant bières, un de mes doux hobbys et le maniement du bâton appris durant ces douze années passées au monastère. Je vivais alors la crise d’adolescence, je voulais dépasser tous mes camarades et en faire plus qu’eux. Heureusement, ce jour-là, mon maître ne manqua pas de me faire remarquer que j’étais trop arrogant. J’appris alors la dernière leçon de cette longue formation, à coup de bâton si je puis dire ! Mon maître me fit don du bâton ayant causé ma défaite pour me rappeler cette dernière leçon : l’humilité. Et depuis, nous somme inséparables, il ne manque jamais de m’aider quand la marche se fait longue ou que quelqu’un cherche à croiser le fer.
Caractère
Question vis-à-vis du caractère :
Jovial, bon vivant, comique, modeste, sage, protecteur
Je suis comme tous les pandarens du monastère, voyons ! Cependant je suis aussi un excentrique préférant le voyage, la découverte des autres royaumes et des autres mondes. Ce qui d’ailleurs m'a valu le titre de fou dans la vallée, allez comprendre pourquoi.
Je dirais que je suis une personne joviale, toujours enthousiaste à faire de nouvelle rencontre. En même temps, si j'avais voulu découvrir d’autres civilisations pour partager mon savoir et découvrir de nouveaux ingrédients pour mes bières et que j’avais été belliqueux, je n’aurais pas fait long feu dans ma quête. Mais suis-je bête, j’ai oublié de vous signaler ma principale activité, je suis ce qu’on appelle chez moi un maître brasseur. Vous pensiez que mon monastère était un lieu saint enclin à un entraînement intensif ? Nous sommes pandaren et nous aimons avant tout nous amuser et à l’occasion, boire quelques pintes autour d’un bon repas tout en racontant nos derniers exploits dans la vallée. Cela, dans la plus grande modestie bien entendu.
Il faut surtout rappeler que mes nombreux voyages ont été une constante formation pour ma personne. Au fil de ceux-ci, j’ai rencontré bon nombre de personnes que je peux désormais appeler mes amis. Nous nous sommes entraidés dans l’adversité. J’ai appris bien des fois qu’une phrase pouvait avoir plus d’impact qu’un coup porté, et qu’une bonne pinte de ma cuvée locale pouvait tout aussi bien apaiser les conflits et amener aux festivités. D’ailleurs, une de mes aventures nous a conduits à la création de la “fête des brasseurs“, mais il s’agit là d’une autre histoire.
Il y a encore une autre facette de moi-même. A travers mes voyages, j’ai souvent dû me battre. Pas par plaisir, mais car il le fallait. A chacune de mes aventures, il y a toujours eu une personne agissant par cupidité ou jalousie envers ses pairs. Dans ce genre de situation, je me pose la question : Pourquoi se battre ? Il faut protéger nos amis, nos familles et notre région. Si personne n’agit, des années de dur labeur seront réduits à néant par la simple vanité de certains hommes. Voilà pourquoi je me bats.
Histoire
Allons bon ! Je n’ai toujours pas fini de parler ! Prenez donc une pinte de ma dernière cuvée, je l’ai nommée « Douce brune», les meilleurs ingrédients de la forêt de bambou. J’ai fait un petit retour aux sources, ces derniers temps. Maintenant, vous allez connaître mon histoire. Par contre, j’ai peur qu’il nous faille plus de bières.
Comme dit précédemment, je suis originaire de la vallée des sept vents située quelque part sur les rivages de la terre des dragons. Vous risquez de ne pas connaître... Pas qu’on ne soit pas accueillants, mais surtout que vous auriez du mal à trouver l'endroit. Enfin, je ne dis pas que vous êtes idiots ! Non, mais la vallée est situé sur l’île vagabonde, vous connaissez la vieille légende ? Une tortue ancestrale, assez grande, paraît-il, pour accueillir faune, flore, montagnes ! Bon, j’exagère un peu, en une journée on en a fait le tour. Mais c'est tout de même un exploit de voir la vie prospérer sur la carapace d’une tortue. Et bien, moi et mon peuple venons de là, climat est variable, une faune pas trop agressive et surtout : les ingrédients nécessaires pour faire assez de bière pour tout le monde. Un petit coin de paradis, en somme.
Je suis donc venu au monde il y a 30 ans de cela, aîné d’une famille de quatre enfants. Mon père était brasseur et ma mère aurait eu bien du mal à s’occuper de nous pendant nos premières années. J’ai donc passé mes trois premières années à la brasserie du village, la seule de la région. Enfin quand je dis région, plutôt les six villages des alentours. Soyons bien clairs, très jeune, je rêvais de suivre la voie de mon père, mais ça, ce fut avant de choisir la voie du moine.
Pourquoi faire cela ? J’aurais eu un brillant avenir dans la brasserie de mon père. Enfin, pas autant que maintenant. Donc, avant que je fasse ce choix, il y avait un créature qui rôdait dans la forêt proche. Nos récoltes ont d'ailleurs été saccagées ! En peu de temps, les hommes du village ont organisé une battue pour traquer la bête. Déjà à cette époque, je n’obéissais pas beaucoup aux ordres de ma mère, et je me dépêchais de suivre mon père afin de le voir combattre ! Et là, ce n’est pas lui que je vis réellement combattre, mais un moine venu prêter main forte. Il était si agile, si rapide, il esquivait chaque attaque du monstre avec une telle facilité. On aurait dit qu’il appréhendait chaque attaque de son ennemi, et qu’il jouait avec. Finalement, d’un coup, d’un seul, il terrassa la bête. A ce moment, j’ai compris que ma voie était tracée et que je devais rejoindre le monastère et commencer ma formation.
Avant d’aller plus loin, je dois vous signaler un petit quelque chose : on n'a pas vraiment la même croissance que vous les humains. Un petit pandaren d’un an correspond a un bébé humain de trois ans. Eh oui, vous écoutez un vieux parler.
Et me voilà donc, entrant au monastère, la belle époque. A peine arrivé, une fête était organisée pour les novices! Ensuite, notre entraînement commença. Levés à six heures pour l’entraînement physique du matin. Ensuite, direction l’école, notre apprentissage était aussi mental. Un esprit sain dans un corps sain, ça fait un peu propagande dit comme ça. Ma jeunesse était donc rythmée pas les entraînements, les cours. Une fois la première épreuve passée, à nos dix ans, nous avions le droit de festoyer avec nos pairs. Quel grand changement dans nos vies ! J’ai pu boire les bières de mon père et enfin apprécier leurs saveurs. J’ai d’ailleurs ainsi commencé à développer mon style de combat. Même si mon maître voyait d’un mauvaise œil le fait que je boive une bonne pinte avant les entraînements.
Enfin, je vous ai déjà raconté la fin de ma formation, avec toutes mes connaissances. Qu’allais-je donc faire ? Je ne voulais pas terminer ma vie comme maître pour les futures recrues. J’aurais pu bien sûr, mais je n’avais pas vu ma famille depuis longtemps. J’ai donc décidé d’aller aider mon père à la brasserie et enfin en apprendre plus sur cet art. Enfin. Au début, j’étais surtout un coursier, j’allais d’est en ouest à la recherche de nouveaux ingrédients pour confectionner de nouveaux breuvages. C'est un peu grâce à ça que j’ai pris le goût du voyage. Être libre, voir de nouvelles têtes tous les jours et pouvoir aider mon peuple, était incroyablement plaisant. Et puis, un jour, l’île vagabonde ne me suffit plus.
Alors me voilà, Chen Stormstout, recevant le titre de maître brasseur de la part de mon père, après lui avoir fait goûter ma dernière création, conçue avec les ingrédients les plus rares de l’île. Je la nommai le “Mogun“. La région accepta le titre. Deux jours après les dégustations, tout le monde en avait un peu trop profité et il fallut alors attendre que le mal de crâne passe. Suite à tout cela, mon père voulut rendre le tablier et me donner la responsabilité de la brasserie. Mais j’avais d’autres projets, je demandai donc à Bô, mon jeune frère, de prendre cette responsabilité. Ainsi, je pouvais suivre ma voie et quitter l’île afin de trouver de nouveaux ingrédients tout en explorant le monde. Ma famille ne comprit pas cet lubie. Mon frère, n’acceptant pas que je quitte l’île, que j’abandonne la famille à nouveau, me provoqua en duel afin de me forcer à rester avec eux. Je ne me suis jamais présenté au duel, et je n'ai pu dire au revoir à ma famille.
J’eus beaucoup de chance le jour de mon départ. L’île vagabonde n'était pas si lointaine des côtes de la Terre des Dragons, et je n’eus aucun mal pour obtenir un bateau. Je suis allé voir un pêcheur, et ai échangé son embarcation contre trois tonneaux du “Mogun“. J’ai pris la mer et après une journée de navigation, je me suis retrouvé sur un monde qui m’était inconnu. Enfin pas tellement, étrangement, les premières habitations que je vis ressemblaient sensiblement à celles de mon peuple. Fort heureusement pour moi, ces habitants buvaient aussi de la bière.
Mon premier contact avec le monde extérieur s'est assez bien passé. Les fermiers isolés que j’ai rencontré avaient eu vent des légendes de l’île vagabonde et m’ont acclamé à mon arrivé. J’étais un peu gêné, je ne voulais pas être adulé, je voulais juste rencontrer de nouveaux visage. Au moment où je leur ai proposé de goûter ma bière, l’atmosphère se détendit tout de suite et on put ainsi réellement parler. Après avoir brièvement parlé de mon peuple avec eux, je leur fis part de ma grande quête. Ils furent étonnés car pour eux, il n’y avait qu’une seule façon de faire la bière. J'avais le devoir de leur prouver le contraire. Je repartis donc de chez eux en leur promettant de revenir avec une bière créée uniquement avec des ingrédients locaux mais différents des leurs. Elle serait bien sûr, toute aussi bonne à boire ! Je pris donc le chemin de la Forêt des Bambous, après qu’on me l’ait indiqué, afin de chercher les ingrédients nécessaires.
Je ne mis pas longtemps à arriver dans cette forêt. Il faut dire ce qui est, elle était énorme. Bien plus grande que les forêts de chez moi. Mon île était donc si petite ? J’ai recherché les ingrédients nécessaires. Il me fallait de l’eau en priorité. Ce ne serait pas trop difficile. J’ai remonté la rivière pour remonter à la source. L’eau sortant juste des nappes phréatiques est toujours la plus fraîche avec le meilleur apport en minéraux. Je remplis donc un tonneaux de 5O litres, ce qui suffirait pour la première cuvée. Ensuite, je fis infuser un peu de verdure pour le goût. Ne connaissant pas trop la flore de la région, j’ai donc choisi la sécurité et pris des feuilles de bambou. Ce qui n'était pas difficile au vu de l’endroit dans lequel je me trouvais. Au final, il me fallait encore de quoi faire de l'alcool, j'avais besoin de l'ingrédient qui me permettrait de fermenter. Mais que prendre dans cette forêt ? Pour ne pas perdre de temps, je choisis un aliment qui fermente assez vite : des œufs, le meilleur des choix dans le temps imparti.
J'étais donc à la recherche d’un nid. Epique comme quête je le conçois et pas très compliqué. Ce serait tout de même improbable de ne pas trouver d’oiseau dans une forêt. Mais ce à quoi je ne m'attendais pas du tout c'était d'être attaqué, pas par un animal sauvage, sinon je ne vous en parlerais pas, mais par une créature qui m’était totalement inconnue. Un être fait entièrement de ténèbres, on ne m’en avait jamais parlé. Je n’en avais jamais vu sa dans nos livres. Ses yeux, d’un blanc éclatant, me fixaient, je percevais des murmures mais incompréhensibles. Voulais-il me dire quelque chose ? Je ne le saurais jamais. Il me sauta dessus avec une telle hargne et une telle rapidité que son premier coup fit mouche. Ayant laissé mon arme chez les fermiers, je n'eus d’autre choix que de lancer mon tonneau sur cette étrange créature pour ainsi me mettre en position de combat. Le combat s'arrêta cependant là, il faut dire que recevoir un tonneau de 50 kilos sur le dos ne fait pas plaisir à tout le monde.
Je me suis ensuite dépêché de rentrer à la ferme pour demander ce qu'était cette chose, en ayant bien sûr trouvé mes œufs avant. De retour à la ferme, je me mis au travail et pendant la préparation, je demandai à mon hôte quelle était cette créature. Selon ses dires, c'était un sans-coeur, une créature de l’ombre tuant sans vergogne. Il se demanda comme j’avais pu en terrasser un à mains nues ! Il me prévint que je devais faire bien attention et ne plus jamais me séparer de mon arme. Je le remerciai de ses conseils et lui fis goûter la bières fraîchement brassée. Il la trouva si bonne qu’il me conseilla de l’amener à la cité Interdite pour la faire goûter aux brasseurs de l’empereur. J'avais donc une nouvelle destination, avec mon bâton cette fois.
Bon, le chemin n'était pas si compliqué ! Direction le nord vers la montagne du destin. Après l’escalade, je devrais traverser le village au sommet, et je redescendrais vers la cité interdite. Une broutille, si je pense à prendre assez de bières pour le voyage.
Le voyage fut malgré tout long jusqu’à la montagne. C’est grand la Terre des Dragons, et ça regorge de nouvelles chose ! Je fis une petite escale chez un apothicaire histoire d’avoir un livre sur les plantes de la région. Évitons de mourir bêtement en mangeant une baie empoisonnée. J'eus quelques problèmes de payement, mes pièces ne valaient rien ici. Je dus faire quelque petit travaux afin d’économiser des “munnies“. Ce n'était pas grand chose : aider les fermiers, chercher quelques ingrédients dans les plaines et revendre mon dernier tonneau de bière. Allais-je trouver un alambic afin de renouveler mon stock ?
Durant l’escalade de la montage, je rencontrai quelques problèmes. A chaque bivouac, je me faisais attaquer par des sans-cœurs. Ils étaient différents de celui de la Forêt des Bambous. Plus fort, différents physiquement, des gros, des petits, certains volaient, d’autres étaient armés tels des samouraïs. Mon escalade fût très éprouvante, je ne pouvais dormir la nuit sous peine de me faire tuer durant mon sommeil. A cause de la fatigue, je ne pus arriver au sommet de la montagne. Je dois mon salut à un certain Rexxar, il est apparu la quatrième nuit et me sauva d’une embuscade tendu par les sans-cœurs. Il me transporta jusqu’à son village.
Je me réveilla trois jours plus tard, dans la maison de ce cher Rexxar. Il faudrait peut-être que je parle un peu de lui. Il s’agit d’un grand homme, musclé et avec un coté un peu bestial, du a l’énorme fourrure d’ours sur son dos peut-être. Il me traita de fou pour avoir escaladé la montagne seul, il m’apprit qu’il m’aurait suffit de contourner la montagne vers l’ouest pendant quelques temps et que j’aurais trouvé un chemin sûr gardé par les hommes de l’empereur. J’avoue avoir été un peu bête sur le coup. J’ai voulu le remercier pour son aide, et fort heureusement il possédait de quoi monter un alambic, grossier je l’admets, mais juste ce qu'il fallait pour lui faire de la bières. J’utilisai les derniers ingrédients trouvés durant mon escalade. Une fois qu’il la goûta, il la trouva si forte qu’il crut que je voulais le tuer. Je l'admets, rajouter de ail de montagne dans ma recette ne fût pas la meilleur idée du moment, mais elle avait du goût !
Je suis resté quelque temps avec Rexxar, nous nous entendions bien, je lui appris même l’art du brassage pendant qu’il m’apprenait à appliquer les onguents de base sur les blessures. Il fallait bien que j'apprenne les réflexes de survie, et cette montagne regorgeait de ressources. Mais il fallait également que je continue ma quête, et j’avais préparé assez de bière à présenter à l’empereur. Rexxar et moi avons eu des adieux déchirants. Nous avons organisé une grande fête avec tout le village où nous testions les bières de chacun. D’ailleurs il y a un petit festival, la “Fête des brasseurs“, qui est né dans le village, suite à cela.
La descente fût plus rapide, en une journée c’était fait, je ne pense pas que j’aurais supporté une nuit de plus avec toutes ces créatures. Heureusement, plus je me rapprochais de la Cité interdite, moins j’en croisais. Et une fois arrivé, je fus émerveillé. Il y avait tant de décorations, toutes ces personnes vivant en harmonie dans une si grande ville, un marché regorgeant d’ingrédients et surtout, des tavernes partout ! Ah j’oubliais, avant d’entrer dans la ville, je m'étais tout de même fait encercler par les gardes de la cité. Un panda sauvage voulait soi-disant attaquer la cité, mais j’eus vite fait de me débarrasser de ces préjugés, tout les monde est plus jovial une pinte à la main.
Durant ce petit interlude, une discussion m’intéressa au plus haut point. J'appris que cela faisait un mois que des dragons attaquaient le pays. Ils étaient au nombre de trois et avaient déjà rasé plusieurs village. J'appris également que l'empereur s’était récemment allié à une sorte d’organisation appelée “Le consulat“ pour rivaliser avec la puissance de ces dragons. Si ils voulaient protéger les gens de ce pays, ils ne pouvaient avoir qu'un bon fond, mais je préférais quand même me renseigner avant. Je voulais également tout d’abord amener ma nouvelle bière devant les brasseurs de l’empereur. Elle était un peu forte, mais elle valait le détour. Et par peur de recevoir un accueil plutôt armé, j'ai préféré demander au garde une escorte jusqu’à l’empereur. Ils acceptèrent, en échange d’un autre tonneau.
La traversée de la ville fut très intéressante, il y avait tellement à voir, à acheter mais avec ma maigre bourse, pas la peine d’y penser. Mais j’avais bien mieux, j'allais pouvoir faire goûter ma création aux brasseurs de l’empereur, c’est pas rien ! Je suis arrivé par un côté du palais, l’entrée de service comme ils disaient. Je ne compris pas pourquoi mais quand les brasseurs sont arrivés et ont entendu ma proposition, ils éclatèrent de rire ! Ils ne prenaient pas au sérieux le fait qu’un panda brasse de la bière, et qui plus est, se dise maître brasseur. Ce fut vite réglé, une proposition de duel de dégustation et le tour était joué. Quelques membre du personnel furent élus en tant que jury. On comparerait une pinte de ma dernière cuvée et une de la leur et c’est parti.
Deux heures après, je quittai le palais le cœur fier, le personnel avait préféré la mienne ! Je me retrouvais cependant avec une énorme commande à respecter, j'allais devoir repousser mon enquête sur le consulat, mais peu m'importait, je voulais perfectionner ma technique.
Eh bien, cela fait quelques temps que je vous occupe avec mon histoire, il est peut-être temps que j’en vienne au fait. Je suis arrivé à la Cité des Rêves la nuit dernière, y a pas à dire, c’est quand même beau ici, rien à voir avec la terre des dragons. Je suis venu pour voir ça, mon gars, je ne vous ai pas raconté mon histoire pour rien. Comme je vous le disais, j’ai entendu parler de vous, le Consulat, et je dois dire que j’ai été assez interpellé par tout ce qu'on raconte sur vous. Vous aidez les citoyens de la terre des dragons pour faire face aux récentes attaques et surtout, vous représentez les arts. C’est bien, c’est beau je dirais même. Depuis le début de mon voyage je cherche à prouver que le travail du brasseur n’est pas une simple technique, mais un art, une passion qui doit être partagée.
Alors, seriez-vous intéressés par la venue d'un pandaren à vos cotés au Consulat ? L’art du brassage vous aurait-il convaincu ?
Questions
1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Oui mon personnage est capable d’aimer, mais il cherche toujours la bonne personne.
2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
L’esprit murmurant, il s’agit d’un des esprits vénéré par les pandarens, souvent associé au vent, il nous guide et a la force de nous guider et de nous amener plus loin.
3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Mon personnage a grandi dans un esprit de camaraderie, et est toujours à la recherche de nouveaux compagnons, il sera toujours là pour aider ses amis dans le besoin. Et durant son périple, il a rencontré Rexxar, qui lui sauva la vie.
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Mon personnage est un explorateur, il se balade de monde en monde à la recherche d’ingrédients pour créer de nouvelles bières, et au fil de ses aventures il a rencontré d’innombrables personnes. Il a toujours cherché à avoir des rapports amicaux, tant qu’on ne cherche pas à l’attaquer lui ou ses proches.
5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
“Qu’est-ce qui vaut la peine de se battre ?“
“La prochaine, c'est ma tournée!“
6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points forts et points faibles?
Un de mes points forts est mon imagination, je ne peux pas encore juger de ma qualité d’écriture. Et mon point faible… l’orthographe.
7) Pourquoi incarner ce personnage ?
Pourquoi incarner Chen ? Car il s’agit d’un des personnages que j’admire depuis longtemps, l’époque de Warcraft 3, c’est pour dire et que j’ai été beaucoup intéressé par l’histoire de celui-ci et les répercutions qu’il a eu pour plusieurs peuples du lore de Warcraft.