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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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    Samuel n'avait pas encore reçut de mission, il fallait qu'on lui trouve quelque chose qui lui permette à la fois de montrer son intégrité et ses capacités. Alors, en attendant, cet homme attendant dans le hall du sénat, ne sachant absolument pas quoi faire pour tuer le temps. Soufflant du nez et faisant les cent pas, il n'y avait aucun moyen de savoir combien de temps cela allait prendre. Puis, lassé de bouger simplement pour soulever la poussière à chacun de ses pas, Jetstream s'adossait contre le mur observant un cadre à l'autre bout de la pièce. De ce qu'il était possible de voir à cette distance, cela ressemblait fortement à une vieille carte. Un homme passait par là, Sam en profita pour l'interpeller.

    « Hey, c'est quoi la carte là-bas ? »

    « Hum ? Ah ça, c'est un truc qu'on a trouvé il y a longtemps, un genre de carte au trésor. »

    « Je vois, il y avait quoi à l'emplacement de la croix ? Un gros coffre rempli de pièces d'or ? »

    « On ne l'a jamais su. En réalité, il nous a fallu des semaines entières, même des mois pour la restaurer et comprendre ce que c'était. Au final, une maison a été construite sur l'emplacement désigné peu avant notre découverte. »

    « Et après ? »

    « Après rien, les habitants n'ont jamais voulu nous laisser chercher. En même temps, c'est certainement sous terre et ils ne veulent pas qu'on rase leur domicile. »

    « Vous n'avez jamais insisté, jamais proposé d'argent en retour ? »

    « Jamais, puis on n'est pas sûr de trouver quelque chose, le Consulat n'a pas envie de donner un coup d'épée dans l'eau. S'ils acceptaient on pourrait chercher, mais on fait en sorte de ne pas trop piocher dans la caisse. »

    Samuel resta songeur quelques instants, regardant dans le vide tandis que l'autre homme s'apprêtait à repartir.

    « Attends, je peux l'emprunter ? »

    « De quoi, la carte ? Il y a une copie dans le tiroir du chevet sous l'originale, on ne veut pas l'abîmer, c'est déjà un trésor en soit. »

    « D'acc, ça m'ira. »

    Le sabreur alla donc chercher le papier ranger là où on le lui a indiqué. C'était effectivement en meilleur état que le modèle de base. Cela allait lui être doublement utile, d'abord pour savoir où se trouve la-dite maison et ensuite parce qu'il ne connaissait pas encore très bien la ville. Une belle occasion de découvrir plus en profondeur le Jardin Radieux, monde qu'il n'a finalement que très peu foulé.

    Arrivant dehors, l'épéiste était obligé de plissé les yeux. Les beaux jours arrivant, la lumière était très forte comparé au Hall Charmant. Après quelques secondes d'adaptation, il fallait déjà savoir où il se trouvait par rapport au schéma qu'il tenait dans sa main.

    « Donc moi je suis là et... la maison doit être... Par ici. »

    Il relevait la tête et semblait sûr de lui, donc sans attendre, il se mit à marcher. Lors de sa balade, il put constater que certaines personnes le regardaient étrangement. Ici, il n'avait pas la réputation forgée par les quelques batailles qu'il avait menées. Samuel connaissait la raison de cette attention à son sujet ; son apparence. Certains devaient se dire qu'il était tout droit issu de Terminator avec son armure imposante. Ce qu'ils ne savent pas encore, c'est que cet équipement est encore plus handicapant qu'il ne devrait l'être. Plus tard, des améliorations seront faites et l'épéiste retrouvera sa condition d'antan.

    Trop absorbé dans ses pensées, Sam en oublia presque de se référer au plan de la ville pour savoir ou aller. Après un arrêt de deux secondes, il pouvait continuer en étant sur la bonne voie. Première à droite, deuxième à gauche, tout droit sur une centaine de mètre et enfin, à droite. Sauf que non, la première chose que le consul a vu, c'est une impasse, il ne pouvait pas passer par là.

    « Merde, c'est vrai que le plan n'est pas à jour... »

    Demi-tour pour lui donc et il fit le tour du pâté de maison pour retrouver le chemin initial qui devrait, en toute logique, le mener à destination. Une fois la chose faite, il est finalement arrivé devant le domicile. Des riches, ça se voyait au premier coup d'oeil, c'est une maison de riches. Ils affichaient des dorures sur toutes les portes et fenêtres, du marbre pour les escaliers devant la porte, des sculptures de très mauvais goûts. Cette maison aurait pu être un chef-d'oeuvre, mais à vouloir en faire trop, c'est devenu une parodie. La Consulat n'aurait pas grand-chose à perdre à la faire raser... À part peut-être la sympathie des habitants du coin.

    Jetstream décida de rester au niveau de la barrière quelques minutes. Il fallait la jouer fine pour espérer obtenir quelque chose que personne n'a réussi à avoir. Il n'y a pas trente-six façons de savoir comment ça va se passer, le mieux est encore d'y aller et d'aviser le moment venu. Il passa la barrière et continua jusqu'à la porte d'entrée pour finalement sonner. Une dizaine de secondes plus tard, personne n'ouvrit la porte, mais quelqu'un se mit à crier.

    « Dégagez de ma propriété, je n'achète rien, je ne suis pas intéressé ! »

    Samuel n'allait pas partir aussi facilement alors il sonna de nouveau, patientant encore. Cette fois-ci, quelqu'un est bien venu ouvrir. À peine assez large pour que l'on puisse voir la moitié de son visage.

    « Qu'est-ce que vous me voulez ? »

    « Je suis du Consulat, j'imagine que vous savez pourq- »

    « Encore vous ? Non, mais si vous continuez, je vais porter plainte moi ! »

    « Euh... Porter plainte ? A qui exactement ? »

    « Foutez-moi la paix, je n'ai rien à vous donner. »

    « Bon, on va commencer par se calmer et me laisser en placer une. »

    Le consul bloqua la porte avec son pied au moment où l'habitant s'apprêtait à la lui claquer au nez.

    « Je ne vais pas faire raser votre maison, si ça ne tenait qu'à moi, je l'aurais déjà fait, mais ce n'est pas le cas. Je veux seulement savoir si vous avez une cave. »

    « Une cave ? »

    « Oui, ça ou un sous-sol. »

    « Hum, oui, y avait déjà une partie sous terre avant qu'on achète et qu'on construise par-dessus. »

    « Je peux y jeter un œil ? »

    « Certainement pas ! »

    « Ne jouez pas à l'enfant, ça ne vous coûte rien de me laisser entrer et après ça, je ferais en sorte qu'on vous laisse tranquille. »

    « Donc ça sera la dernière fois qu'un consul sonne à ma porte ? Bon, eh bien, je vous montre le chemin. »

    « Merci bien. »

    La première étape était franchie. Sam savait qu'il y avait un sous-sol, sur le dos de la carte, le dessin ressemblait à une pièce, c'est comme ça qu'il l'a déduit. L'intérieur était à l'image de l'extérieur, rien que puisse envier le consul au final, lui qui a eu l'habitude de ne pas avoir de toit. Après un couloir long de plus de dix mètres et un escalier très raide, les voilà dans le sous-sol sombre. Une seule ampoule éclairait le lieu et c'était loin d'être suffisant.

    « Maintenant que vous êtes ici, vous espérez trouver quoi au juste ? »

    « Aucune idée. »

    « Vous me faites perdre mon temps. »

    « Je ne vous empêche pas de vaquer à vos occupations, tirez-vous si rester avec moi vous emmerde. »

    « Je ne tolère pas qu'on me parle ainsi sous mon toit ! »

    « Et moi, j'en ai marre qu'on me prenne pour une merde, tu comprends ça ? »

    Jetstream posait sa main gauche sur la poignée de son épée comme pour appuyer ses propos. Il n'avait pas l'intention de la dégainer et si c'était le cas, ce serait de l'autre main. Enfin, le regard qu'il jetait à l'occupant semblait l'avoir bien calmé, mais il restait là. Le sabreur tapait du pied à l'endroit où devrait se situer la chose indiquée par la croix sur le revers du plan. Ca ne sonnait pas creux, donc il a essayé de taper un peu les murs, idem. S'il y avait quelque chose, du béton avait été coulé par-dessus. Il n'y avait aucun moyen de savoir où cela pourrait se trouver. Soupirant, Sam se frotta le menton, songeur puis leva les yeux en l'air, dépité d'être autant largué.

    « C'est quoi ça ? »

    « De ? »

    « Les traces sur le plafond là, vous avez pas une lampe torche qu'on y voit mieux ? »

    « Si, juste là, tenez. »

    En effet, il y avait des traces inscrites sur le plafond et c'était visiblement de la main de l'homme. Le consul avait bien du mal à savoir ce que c'était censé représenter. Tout ce qu'il se disait, c'est qu'une pioche devrait faire l'affaire pour dégager le tout.

    « Dites-moi, c'est épais entre là et le sol de rez-de-chaussé ? »

    « Trois mètres, pourquoi ? »

    Samuel n'allait pas lui dire tout de suite qu'il pensait défoncer une partie du plafond, mais ça le titillait. À la place, il restait là à fixer le dessin gravé dans la pierre.

    « Vous voyez quoi vous ? Je trouve que ça ressemble à de la vapeur. »

    « D'ici, je verrais plutôt des vagues. »

    « Des vagues, j'ai déjà vu un truc comme ça, je crois. »

    Ca paraissait stupide, mais il avait une idée. Il y avait, selon lui, une probabilité très élevée d'échec, mais qui ne tente rien n'a rien.

    « Vous avez de l'eau ? »

    « De l'eau, pour en mettre dessus ? Bah jetez un sort. »

    « Je ne suis pas mage, prenez-moi pour un con aussi. »

    « Ah bon, tous les consuls ne sont pas mages ? »

    « Non, pas tous. »

    L'habitant est donc parti chercher un verre d'eau et est revenu très vite. Il était pressé que Samuel parte et il le sentait bien. Ce dernier attrapait donc le récipient, reculait de deux pas pour asperger le plafond avec le contenu. Malheureusement, il ne s'est rien produit.

    « Eh merde ! »

    « Ah ah, c'est dommage hein, bon maintenant faudrait penser à y aller. »

    S'avouant vaincu sur ce coup, Jetstream s'apprêtait à suivre l'homme lorsqu'un gros boum a fait écho dans la pièce. Un coffre venait de tomber comme par magie. Un sentiment de satisfaction pouvait se lire sur le visage du consul.

    « Oui, en effet, je vais y aller. » disait-il en attrapant l'objet.

    « Ah non, c'est ma maison, ce truc m'appartient ! »

    « Non, je ne crois pas. Vous ne savez même pas ce que c'est, c'était là avant votre aménagement et sans moi, vous ne l'auriez jamais trouvé. »

    « Ah si, j'exige que vous me le laissiez. »

    « Ca t'arrive de la boucler ? »

    Il le poussa légèrement pour pouvoir passer et monter les escaliers alors que l'occupant le suivait de près. Il s'agitait dans tous les sens, gueulait comme un véritable putois, mais ça n'arrêtait pas l'épéiste.

    « Vous aurez une compensation et on vous foutra la paix, maintenant, laissez-moi. »

    Et sans écouter ce qu'il pouvait bien vociférer, il retourna en direction de sommet des arts. Sur la route, il pouvait voir qu'un mécanisme l'empêchait de l'ouvrir. Il s'en fichait, il n'était pas de nature très curieuse, tout ce qu'il avait voulu, c'est apporter quelque chose pour le consulat, il allait donc laisser à ses frères le soin d'ouvrir le coffret. Il était amplement comblé par sa journée et s'il le fallait, il s'en occuperait plus tard.
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    Exploit accompli.

    C'est un bon rp, mais je vais en venir rapidement à ma frustration le concernant.

    Assez tôt, on apprend que les Consuls ont abandonné l'idée d'obtenir le trésor se trouvant là.

    Là, Sam y va... Discute cinq secondes avec le bonhomme, et là le mec le laisse en entrer parce que Sam lui promet que les consuls l'emmerderont plus.

    Plus tôt tu avais dit que ce bonhomme avait refusé parce que "« Après rien, les habitants n'ont jamais voulu nous laisser chercher. En même temps, c'est certainement sous terre et ils ne veulent pas qu'on rase leur domicile. »

    Donc visiblement, les consuls avaient quand même expliqué pourquoi ils voulaient avoir accès à la cave du bonhomme, donc ce dernier était au courant qu'il y avait un trésor.

    Alors est-ce que ça paraît logique, que Sam arrive à convaincre ce mec en cinq secondes ?

    Si, comme je l'ai compris, le bonhomme savait qu'il y avait un trésor, n'aurait-il pas accepté qu'à la condition de recevoir une partie du trésor ?

    Sinon le rp est bien, et finalement je sais que mon objection n'est pas très importante. Il est très probable que tu n'aies pas trouvé important de rendre cet aspect-là plus cohérent.
    Donc je comprends tout à fait le délire.

    Bon je commence à mieux comprendre le caractère de ton perso. Il semble un peu violent, ici, vite agacé.

    Donc exploit... facile.

    11 xp, 110 munnies et 2 PS en dex.



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