Il n'y a jamais qu'un seul camp qui perd des hommes. [Mission Normale] Szp8Il n'y a jamais qu'un seul camp qui perd des hommes. [Mission Normale] 4kdkIl n'y a jamais qu'un seul camp qui perd des hommes. [Mission Normale] 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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    Il y a de ça un bon mois, l’Empereur a ordonné la construction d’un camp dans la montagne du destin dans le but de calmer les Huns dans leurs plans d’attaque à venir. Quoi de mieux pour énerver les Huns ? Et qui en profite à votre avis ? ça semble évident vu que c’est sa mission mais on peut toujours demander. L’ex-mercenaire avait accepté ce boulot, ne demandant qu’à essayer quelque chose qu’il a imaginé depuis un moment. Bell n’a plus vraiment eu d’occasion pour se battre, même si son plaisir risque d’être gâché par des guerriers simplets comme les Huns. C’est ce qu’il regretta en pilotant son vaisseau en direction de la terre des dragons, sirotant un quelconque soda acheté à la Station Shin-Ra la plus proche, sur le compte de la Coalition bien sûr. Le monde était en vue, juste à temps pour qu’il puisse jeté sa canette dans la poubelle presque étouffée à côté de son siège.

    Après s’être fait téléporter non loin du point de rendez-vous, Bell fut impressionné de voir sa cape se faire balayer par les rafales avant de sentir la morsure du froid face à laquelle sa tenue habituelle ne servait à rien. Ramenant le pant de tissu qui lui donnait des airs de super héro pour se tenir plus au chaud, et remercie ses lunettes pour lui permettre de voir un peu dans cette neige battante. Il entreprit de marcher vers ce qui semblait être des feux de camps et devina bien vite que c’était bien la cache des Huns. Des tentes aux tissus rongés par les insectes et couvertes de peaux de bêtes pour colmater ces défauts mais le visage brutal et puant de chaque soldat lui confirmait l’histoire. S’approchant de l’un d’eux qui le regardait de haut, presque à rire de voir un gringalet ici et lui dit malgré la petite tempête qu’il était venu au nom de la Coalition. Ce simple nom lui a suffit pour entrer dans le carré VIP qu’était la tente du chef. À vrai dire, on aurait plus dit une yourte, ce qui était injuste envers les soldats si c’était vraiment pour une attaque éclaire pour dégager la voie mais bon, ce n’était pas les affaires de l’ex-mercenaire et ça ne le sera qu’avec de l’argent.

    Tfe donc toi, le type de la Coalition ? Le chef était en train de manger du jambon et parlait avec la bouche pleine. Non pas des tranches mais une cuisse de porc qu’il mordait à pleines dents.

    C’est moi oui. Et rendez-moi service en évitant de parler avec la bouche pleine, c’est répugnant, surtout pour moi. Bell voyait parfaitement les morceaux humides collés autour de la bouche ainsi que dans la barbe du chef, et le répugnait autant que ce type qui se mit en colère et à frapper la table avec son repas.

    Ne fait pas le malin avec moi ! Je pourrais te tuer d’un simple coup de poing ! Des soldats se placèrent derrière Bell, prêts à lui rabattre le claquet pour avoir insulté le chef. C’était sans compter son côté fuyard qui lui permit de sauter sur la table après le coup de porc. Fixant le boss de ces idiots dans les yeux, l’homme en bleu eu le plaisir de se souvenir des ivrognes de Port Royal qui chantaient, eux.

    Pose le moindre doigt sur moi et c’est toi qui mourras dans les jours à venir. Le chef des Huns n’en démorda pas, encore moins lorsque l’ex-mercenaire posa son pied sur sa pitance et qu’il se pencha en avant avec un sourire moqueur. Tu pourrais me tuer d’un coup de poing mais moi, avec seulement une phrase.Il en va de même pour tout ceux présent ici…ainsi que ceux dans l’autre camp. Qu’est-ce que tu préfères ? Que je sois la peste qui ravage tes hommes et toi avec ou le vent qui balaye tes ennemis pour faire plaisir à ton supérieur ?

    Entendant grogner derrière lui, le bruit de métal l’inquiéta et le força à se retourner pour pouvoir profiter de son don à reculer en vitesse. Une masse frappa la table à son tour et en explosa l’autre bout. Atterrissant derrière le chef de ces huns, le virus commença à charger de sa magie dans la main droite qu’il sorti de sa cape et dessina un demi-cercle en bondissant le haut du corps de son bouclier pour abattre la foudre sur cet brute sans cervelle. Sur le choc, le client s’éloigna du sorcier bleu qui réajusta sa capuche et son écharpe avant de retirer les lunettes de pilote qui fait sa petite fierté et les laisser sur son front.

    Quand les muscles ne servent qu’à brandir une arme avant de mourir, il vaut mieux faire confiance à celui qui fait tomber la foudre, tu ne crois pas ? Quel est ton nom en faîte….patron ?

    Le nom du chef du camp n’était pas Shan-Yu, le huns aussi connu que l’Empereur mais qu’un de ses hommes du nom de Kimay. Un éclaireur guida Bell l’heure suivante pour lui montrer où se trouvait la cible, le fameux camp de soldats de l’Empereur. Cet homme aussi sentait l’idiotie, à se demander pourquoi leur grand chef les a envoyé dans une mission aussi importante. Il fallait les voir, certains était malade, d’autre blessé voir trois amputés d’un bras ou d’une main et deux borgnes. Qu’importe ce qu’on lui disait, il avait du mal à croire que le hun qui a pu passer la muraille de Chine ait envoyé des hommes en aussi mauvais états. Plus il y pensait, plus le plan de cet homme, le leader de ces hommes devient de plus en plus claire. Un faucon avec un message fut envoyé le soir même et une réponse probable le lendemain.


    Au surlendemain, les huns miteux étaient prêt pour la bataille et à suivre le plan pensé par l’ex-mercenaire la veille après avoir eu les informations nécessaires des éclaireurs. Le camp ennemi était à l’abri des vents ascendants grâce à des rochers de belles tailles et en sécurité grâce à une crevasse sur l’autre côté. Les entrées étaient surveillées en permanence par des soldats confirmés qui sont venu en accompagnement. Des arcs, des fusées, des lances et des épées. Bref, l’attirail du soldat de la Terre des dragons. Le plan de Bell était des plus simples : Lui attaquerait le côté crevasse et rochers pour les surprendre et espérer que tout les hommes aillent protéger ces endroits. Quand le signal serait donné, les huns devraient attaquer les entrées et faire reculer l’ennemi vers le centre du camp pour les éliminer en une fois avec une invocation puissante de l’homme en bleu. Le seul problème résidait dans la tempête qui veillait depuis son arrivé, bien que diminuée le jour de l’attaque elle posera problème pour certains huns mais il insista pour que tout le monde se battent, y comprit le chef en première ligne. Lorsque l’ex-mercenaire les quitta pour aller attaquer, la lourde masse de Kimay ne le rassurait pas vraiment pour ce qui était de l’efficacité mais qui sait, peut-être que l’ennemi serait impressionné de voir un singe se battre avec un bâton planté dans un roché plus gros que son ventre.

    Alors qu’il enchaînait les sauts doubles en posant son pied contre la paroi d’un des rochers qui lui servira de perchoir, l’ex-mercenaire repensa à la lettre qu’il cachait dans la poche intérieure de sa veste. Une lettre reçue la veille au soir avec le sceau de Shan Yu et un Pour le membre de la Coalition écrit dessus. Ça aurait pu paraître idiot mais Kimay n’a même pas prit la peine de la lire avant de la remettre à l’inconnu en bleu. S’il savait…et non cher lecteur, le contenu de la missive du méchant hun du film d’animation de Disney qu’est Mulan restera secrète un moment encore. Enfin, retours à Bell qui reprend son souffle après avoir enchaîné les sauts doubles contre la parois de ce rocher. De là où il se trouvait, la crevasse de l’autre côté lui semblait être la mâchoire inférieur d’une gueule qui était prête à se refermée sur le campement de soldats, les rochers serait donc les crocs de ce titan immobile. Qui aurait cru un jour que ses crocs se refermeraient sur quelqu’un ?


    Après avoir reprit son souffle, l’ex-mercenaire commença à dessiner des cercles dans les aires mais le vent l’en empêchait d’en faire des corrects, ce qui ne lui laissait plus qu’une seule solution :

    Mes vieux amis, lumières qui ont annoncé mes batailles depuis que je prononce votre nom, levez-vous encore une fois ! Dans le froid éternel de ces montagnes, soyez son souffle ardent qui incendiera le drapeau ennemi ! Bombos, mon armée de toujours ! C’était comme un cri de guerre, ses bras croisés le long de son discours avant qu’une de ses main pointe la cible, le vent balayant sa cape et la neige qui l’entourait tandis qu’une armée fantôme semblait chevaucher de fière destriers dans un seul but, la victoire ! L’énergie que Bell avait abandonné pour une trentaine de bombos se dégageait de lui comme des pétales d’un cerisier embrasé.

    Le mot était juste car, porté par le vent, ce qui semblait être des braises se laissaient portés par le vent pour flotter là où Bell l’avait décidé pour son plan d’attaque avant de se changer en une nuée de bombos qui attirèrent de suite l’attention des soldats de l’empereur. Le Nord et le Sud était désormais en état d’alerte, les flèches tentaient de percer le vent et la neige pour abattre les flammes grimaçante dont les sorts de brasiers nettoyaient à coup d’explosions le blanc qui couvrait le sol au pieds des soldats. L’ex-mercenaire regardait ce spectacle de loin, se fiant à la position de ses monstres pour guider tout ce beau monde vers le centre du camp afin de laisser Kimay guider ses troupes et encercler les ennemis. Ses éclaireurs devaient lui signaler quand les entrées Est et Ouest étaient désert pour lancer la suite de l’attaque et terminer cette mission pour de bon. En parlant du travail, l’homme ne bleu ressorti la lettre que lui a envoyé Shan-Yu et la relit…pour finir par voir cet homme comme un fin stratège mais aussi comme un beau salopard.

    Soudain, de nouveaux cris de guerre et le son d’un cor qui retenti à travers la zone, suivit d’un assemblage sonore presque en canon, comme une réponse avant que les bruits ne se rejoignent lentement vers un même point. La seconde partie a été lancée, Kimay hurlait un cris de bataille pour se donner le courage d’écraser le crâne du seul garde resté à l’entrée Ouest et de laisser ses hommes rentrer, de même pour la voie Est. De là où il était, l’homme qui ne voit que l’azure devinait que les soldats de l’empire étaient encore sous le feu des bombos pour s’occuper directement de ces Huns, que ces derniers pouvaient facilement les encercler. Il était temps désormais de s’attaquer à la dernière partie du plan, celle demandée par Shan-Yu lui-même. Bougeant lentement les mains pour dessiner des cercles, sa voix résonna comme un chant pour quelque chose de bien plus grand.

    Le monde tourne, il tourne sans cesse et toi, tu portes le même nom que lui. Les légendes te citent comme étant celui dont la magie n’a point de rivale, si ce n’est un dieu ou un élu. Entend mon appel et, d’un unique sort, élimine ceux qui font horreur à mon regard ! Gaïa ! Les cercles qu’il dessinait dans l’air se matérialisèrent pour former des portes circulaires, une semblable se forma au-dessus de l’invokeur et, par un grand hasard, la tempête se calma soudainement et laissa voir aux guerriers la porte qui se mit à tourner lentement sur elle-même pour se déverrouiller, imitée par ses petites sœurs. Un peu surprit par cette façon d’apparaître, Bell regarda au-dessus de lui après s’être retourné vers la porte qui s’ouvrait et laisser sortir de la fumée. A cru pendant un instant y voir le monde où résident les invocations avant qu’une sphère colorée dont les pôles tournaient dans le sens inverse bloqua la vue et sorti, la porte se refermant avant de se briser en morceaux.

    Des autres cercles, des troupes mécaniques sortirent et entourèrent Gaïa qui s’envola au-dessus du champ de bataille. La vue désormais dégagée, l’invocateur pu apercevoir Kimay lever sa masse pour lui faire signe mais aussi pour motiver ses troupes, pensant que ça serait bientôt terminé. Le regard de tous était dirigé vers cette sphère étrange qui se mit à charger un sort dévastateur, les drones qui l’accompagnaient tournait dans le sens inverse à la partie inférieur de Gaïa et l’imitaient encore. De là où il se trouvait, Bell connaissait déjà quels sorts ils allaient utiliser et réfléchit un peu à un nom pour ce duo, pour s’amuser avant de les voir prêt à tirer.

    Je sais…. Senbonzakura, les mille cerisiers. À l’instant où les cercles se dessinaient, où les combattants avaient peur d’avoir comprit l’idée du membre de la Coalition Noir et enfin, où ce dernier avait donné un nom à cette combinaison de Maelström et six Aube Rouge. À cet instant, le vent semblait avoir condamné la zone, éloignant la neige qui faisait presque office de brume pour laisser placer à une colonne au-dessus du camps, une colonne où prône la terre miniature et ses assistants. Sous le souffle de la pluie écarlate, la cape de cet homme en bleu se souleva et lui arracha de la tête son capuchon, se tenant comme il le pouvait sur son perchoir les quelques secondes de rafales magiques.

    Après cet réplique de fin d’un monde, Bell regarda le camp et sourit gentiment en voyant qu’il n’en restait rien, pas même un drapeau qui flotterait une dernière fois avec le sceau de l’empereur. Cependant, il pu tenir difficilement sur ses jambes à cause de la quantité soudaine que lui avaient demandé ses dernières invocations pour accélérer la cadence et faire feu au plus vite. D’ailleurs, seul Gaïa était présent car les drones étaient encore récent pour lui. Il renvoya cette planète de l’autre côté et invoqua rapidement un oiseau du nom de Birdon, remarqua au passage qu’ils avaient les mêmes lunettes et s’accrocha à ses pattes pour s’en servir de parachute et atteindre le sol sans encombres.

    Birdon a pu être renvoyé avant que son maître ne décide d’aller quand même voir s’il n’y avait pas de survivants, ce qui serait étonnant mais l’instinct lui dictait qu’un individu aurait pu s’en sortir. Et bingo, à peine qu’il posa un pied sur la terre calcinée qu’une masse se dégagea d’une amas de corps et se tenait à une masse dont la partie mortelle étaient enfoncée dans le sol.


    Kimay, tu as survécu alors…Ta graisse a suffit ou ces types t’ont servit de bouclier ?

    Espèce de…Comment est-ce que tu as pu nous faire ça ?! On t’a engagé pour descendre les soldats de l’empereur, pas nous avec !

    C’est là que tu fais erreur, Kimay. Bell sorti la lettre de Shan-Yu encore une fois et se mit à lire la missive du chef des Huns. Au soldat de la Coalition Noir, c’est moi, ces prochaines lignes devront être tenue secrète. La raison pour laquelle il n’y aura que des hommes en mauvais état pour vous assister dans cette mission est qu’ils me sont devenu inutile et demandent trop de soin. Le second but de votre travail sera donc de faire en sorte qu’ils meurent tous sur le champ de bataille. L’ex-mercenaire remit la lettre en place, fatigué d’en lire plus. Il m’a fait une page entière mais en gros, ça rajoute juste que t’était aussi à éliminer à cause de ton incompétence…

    Mensonge ! Tu mens ! Shun-Yu n’aurait jamais ordonné quelque chose d’aussi fou ! Kimay utilisa ses dernières forces pour lever son arme au-dessus de lui, prêt à la lancer sur Bell si ça pouvait le tuer mais un sifflement le coupa court. Une pointe en métal sorti de la gorge du colosse qui se figea avant de tourner son regard derrière lui. Bell se pencha sur le côté pour pouvoir apercevoir un Hun à cheval, un arc en main et qui souriait. Il remarqua d’ailleurs que même sans un cheveux sur le haut du crâne, il avait l’air classe. Kimay finit par s’effondrer sur le dos, sa masse tombant sur lui et finissant le travail.

    Le hun le regarda de loin, rangeant son arc avec ce même sourire narquois qu’il avait en tirant. Bell comprit alors que son travail était terminé et qu’il n’avait plus rien à faire sur ce monde. Il sorti donc une télécommande de sa veste et appela son vaisseau qui lui permit de rentrer au Château de la Bête sans encombre. L’armée de l’empereur enverra sans doute des soldats quelques jours après pour les vivres ou autre chose et découvrira alors que le camp a été rasé, la cause sera les huns et le pays les craindront d’avantage. Tout va bien dans le meilleur du monde…

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"Bell, un groupe de Huns veulent attaquer un camp de soldats de l'Empereur, aide les à détruire le camp."

C'est l'ordre de mission que tu avais, une simple phrase ! On peut pas en vouloir à Armand, donner les missions c'est mon rôle et je lui ai laissé un peu tout mon boulot d'un coup alors qu'elle était occupée de son coté, merci à Mila d'ailleurs !

'Fin bref, le fait est qu'avec un ordre de mission tout simple tu as réussis à faire quelque chose de construit et développé, j'ai beaucoup aimé et je dois avouer que je me demandais comment ca allait se finir alors qu'à la base c'était tout tracé ^^

Je suis fatiguée, désolée de pas faire plus long en commentaire : Bonus o/

20 points d'expérience + 500 munnies (200 de base+250 pour le vaisseau et enfin 50 bonus !)+ 3 PS en dex !
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