Arthas De Menethil Szp8Arthas De Menethil 4kdkArthas De Menethil 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Présentation de « Arthas De Menethil »

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    Identité

      N o m : De Menethil
      P r é n o m : Arthas
      S u r n o m : Chevalier Déchu
      Â g e : 36 ans
      C a m p : Errant
      M o n d e d' O r i g i n e : Cité des Rêves
      R a c e : Humain

    Descriptions
    P h y s i q u e :
      Arthas est un jeune homme plein d'énergie, élevé pour servir son peuple, leur donner joie, sécurité et justice, il a un corps taillé par ses heures d'entraînements quotidiennes, une musculature impressionnante qui en dissuade plus d'un, mesurant dans le mètre quatre-vingt. Dans la fleur de l'âge notre chevalier servant possède un visage légèrement ovale, sur celui-ci, un début de barbe qui n’est là que par négligence que par réel coquetterie. De grands yeux vert-gris captivant, combien de fois les gens se sont laissé prendre par ce regard envoûtant ? Mélange de bonté et de droiture. Une fine cicatrice horizontale sur le haut du nez, blessure parmi toutes celle qui orne déjà son corps, preuve flagrante de ses actions héroïques qu’il a réalisé au cours de son existence. Des lèvres simple, qui abrite un sourire sincère et un rire tonitruant qui arrive facilement à vous emporter avec lui. De longs cheveux blond foncés qu'il laisse tout le temps détachés, il ne les attache qu'en de rares occasions, que ce soit lors d’affrontement avec l’ennemi ou pendant son bain, dans ces moments là, il se fait une rapide queue de cheval, car même si les cheveux long lui vont assez bien. Arthas les trouves toujours quelque peu « embêtant », pour ne pas dire gênant lors de combats sur le champ de bataille.

      Il porte une armure composite, dont quelques éléments sont peints en bleu, qui a été créée par l'un des plus grand maîtres forgerons du château de Disney, sur ses épaulière l'on peut voir les armoiries de sa famille (une masse en or avec sur les deux faces un grand « L » qui représente le « L » de la loi). Cette armure est bien plus qu’un simple amas de fer et d’acier ornée d’or et de saphir, pour Arthas cela représente tous ceux pour quoi il combat. Cette cuirasse a plus de valeur pour lui, que tout l’or du monde. Un livre contenant les lois de son ordre est attaché à sa ceinture, sa couverture est bleue et sertie de l'emblème de son mentor (un marteau avec deux éclairs sur le côté). Vestige d’un temps révolu et oublié, balayé par le temps.

      Notre chevalier ne part jamais au combat sans sa fidèle arme «Frostmourne », une épée bâtarde d’un mètre 20, qui lui à était donner par son mentor, Capitaine Gilles d’Erengard, ancien chevalier au service de Mukuro Rokudo qui était en ce temps là le nouveau chef de la lumière.

      Arthas n’est pas un homme difficile à trouver, sa haute stature et l’aura qui l’entoure crée autour de lui cette impression que tout est possible à ces côtés. S’efforçant sans cesse d’être à la hauteur des exigences de son peuple. Ce tenant droit, les épaules relevées, la tête haute, cet individu cherche l’admiration et le respect de ceux qui le côtoie.

      Mais cela, c'était avant qu'il ne soit transformé en cette créature sans nom, cette chose qui n'a maintenant d'humain que le nom. L'éclat dans les yeux d'Arthas s'est éteint à jamais, le rendant aveugle de toutes joies, ses yeux se sont changés en un bleu aussi claire et froid que la glace elle-même. Son regard qui était si joyeux, si chaleureux, n’est plus aujourd’hui d’un vague souvenir, mais ce qui frappe dans son nouveau regard, derrière ce regard vide, c’est cette impression de tristesse qui s'en dégage, comme-ci son âme était rongée par son passée et que malgré toutes ces tentatives pour les oublier, ses souvenirs lui reviennent, encore et toujours. Sa chevelure d'or est devenue de l'argent, semblablement horrifié par sa vie, elles ont perdu de leur panache. Un heaume imposant recouvre désormais sa tête et lui donne l’allure d’un de ces anciens rois déchut dont plus personne ne se souvient et qui pourtant en marquer l’histoire de par leurs actes ou leurs ambitions. Son armure autrefois éclatante de lumière et de vie, a perdu de son éclat, laissant place à une cuirasse terne, sans aucune couleur claire, seulement cette impression de vide et de silence. Ainsi qu'une incroyable cape d'un bleu très sombre usé par le temps, les longues marches dans les terres désolée et de ces incessants combats. Son aura de bienveillance qu’il avait par le passée et qui le rendait si ‘attirant’ n’est plus d’un lointain souvenir .Son sourire a laissé place à un visage figer, sans expression, comme la mort.

      Question vis-à-vis du Physique :
      Arthas est un chevalier tout ce qu’il y a de plus traditionnel, habile dans l’art de la guerre. Il connaît parfaitement la lame, le marteau et la hache de guerre. Il est rare, mais pas impossible qu’il combatte avec un bouclier pour l’aider dans ces combats. Mais toutes ces qualités le handicapent lorsqu’il s’agit de combat à distance, car l’arc n’est pas vraiment son élément. Palliant son manque de vitesse et d’agilité par une grande force et une impressionnante résistance. Sa connaissance dans le domaine de la magie n’est pas si restreinte que l’on croit, sa nouvelle vie lui à permit d’en apprendre un peu plus, surtout dans le maniement de la glace. Cet homme n’ait pas à prendre à la légère.


    C a r a c t è r e :
      Question vis-à-vis du caractère :
      Honneur, Meurtri, Désemparer.

      Ce chevalier est tout ce qu’une personne du peuple peut attendre d’un défenseur de la justice. Protecteur du plus faible, joyeux fanfaron, Guerrier aux règles d’honneur très encré en lui, homme de foi. Mais Arthas est un peu plus que cela, cet homme est un grand sentimental, et il ne le cache pas. Montrant sans retenu ces émotions, il n’est pas rare de le voir hurler sur quelque chose qui l’énerve ou au contraire pleurer devant la mort d’un compagnon. C’est aussi un joyeux fêtard, buvant sans vergogne, terminant souvent ses soirées avec un incroyable mal de crâne.

      Il ne faut cependant pas croire que notre homme est insensible à la beauté, que ce soit le paysage d’un monde inconnu, la finesse d’une armure forgé avec soins, ou encore les courbes subliment d’une femme. Pour ce dernier d’ailleurs, notre homme est un peu bancale envers la gent féminine, ne sachant pas exactement comment réagir face à elle, se laissant plutôt guider par ses émotions comme tout hommes. Ce n’est pas non plus un être solitaire, son large sourire, ses gestes un peu brusque et sa naïveté concernant les problèmes de cœur, lui donne un air d’enfant. Essayant de venir en aide à tous ceux qui l’entoure. Il n’est pas rare qu’il fasse le premier pas vers vous. Ne lui en voulait pas s’il vous semble un peu brutal lors de votre premier échange, après tout, Arthas est plus habituer à communiquer à coups de hache ou d’épée plutôt qu’avec des phrases.

      Fervent protecteur du peuple, il sera toujours le premier à venir en aide aux plus pauvres, à l’inconnue en difficulté, c’est celui qui vient en aide à la pauvre dame perdu dans les rues de la ville ou encore à aider pour terminer le chargement d’un chariot. Il ne refuse jamais lorsqu’un enfant lui demande de venir jouer avec lui, il n’est pas rare de le voir entouré de gens qui le remercie et le féliciter pour sa bienveillance, il ne passe cependant pas tout son temps à aider autrui, il fait toujours la part des choses entre son devoir et ses obligations. Mais il ne faut pas oublier qu’il est un chevalier au service de la paix, même si cela doit conduire à des atrocités digne des pires hérétiques, Arthas sera prêt à tout pour arriver à cette « fin ». Difficile d’imaginer cet homme si souriant, si avenant, si serviable. Tenir entre ses mains les pires instruments de tortures qui aient été inventés par les hommes, tout ça pour « la paix » dont tant d’homme se vantaient d’accomplir et les appliquer sur un être humain qui aurai pu être un compagnon de voyage. Une face qu’il essaye tant bien que mal de cacher à ceux envers qui il a juré sécurité et joie. N’allez pas le punir pour ses crimes qu’il commet dans le dos du peuple, il ne pense pas à mal, il cherche seulement à protéger les gens qui en sont incapable. Il n’est pas rare de le voir au confessionnal après avoir réaliser son devoir de défenseur de la paix.

      Ce jeune homme est aussi un fervent croyant, s’efforçant de faire de son mieux pour suivre les principes de Dieu à savoir, « aime l’autre comme toi-même ».

      Fière soldat au service du bien, cet homme ne cesse de surprendre ces supérieurs dans les prouesses qu’il réalise au combat. Véritable arme vivante, Arthas se laisse facilement « atteindre » par la rage et la colère lorsque le champ de bataille est abreuvé du sang des hommes et des bêtes. Ne faisant preuve d’aucune pitié envers quiconque tente de briser le paradis qu’il s’efforce de créer jours après jours. Oui, voilà ce qu’est Arthas…..Ce qu’il était plutôt.

      Le vent du destin à traverser le cœur du Chevalier, le perturbant au plus haut point. Son sourire a disparut, sa joie de vivre, son amabilité emporté par la main cruel de la vie. De son être, il ne reste que les cendres du désespoir, son sentimentalisme est toujours là, comme sa rage et son envie de paix, encré profondément en lui. Mais tous ces principes en étaient chamboulés par sa funeste histoire.


    G r a d e . v i s é :
      Commandant

    H i s t o i r e :
      Naissance

      Arthas a vu le jour un début de printemps. Tout le village avait été prévenu : une grande fête en l'honneur de la naissance du fils du comte De Menethil avait été préparée. Le compte Richard De Menethil et Adrianne De Menethil, un couple de noble apprécier par le peuple pour leur bienveillance et leur charité envers le peuple en difficulté. Des gens possédant un cœur sur la main, deux âmes charitables qui s’étaient éprise l’une de l’autre lors d’un banquet, le véritable coup de foudre.

      Le Banquet battait son plein dans la cours du château, Richard envoya une bourrade amicale à l’un de ses compagnons de bataille qui venait de se moquer de lui, puis tourna la tête, cherchant sa femme et son fils. Il les découvrit assit sous un arbre un peu à l’écart de la fête. La jeune mère regardant son enfant, lui murmurant des mots doux en le berçant doucement, isolées dans cet univers secret dont ils étaient les seuls à posséder la clef. Le cœur de Richard accéléra comme chaque fois qu’il réalisait à quel point il les aimait. Lui, si solide et si hardi, lui, si plein d’assurance qu’il s’était vu confier mainte armée contre les vagues de démons et de sans-cœurs, lui, Richard De Menethil, n’existait que parce qu’ils existaient. C’était sa force et sa faiblesse. Sa vraie force et sa seule faiblesse.

      Il avait rencontré Adrianne cinq ans plus tôt, l’avait aimée à la seconde où ses yeux s’étaient posés sur elle, l’avait courtisée comme jamais femme n’avait été courtisée, et quand enfin elle avait dit oui il s’était évanoui de bonheur. Littéralement.

      Leur fils était le seul enfant du château. Ils avaient d’abord craint que cette situation le perturbe mais avaient vite changé d’avis. Une fois son douzième anniversaire passée, il rejoindra l’Ordre de la lune d’Argent pour devenir Chevalier et ainsi perpétuer la ligner des Menethil.

      Lorsque, après la dernière chanson, les feux ne furent plus alimenté, les flammes baissèrent doucement, la nuit reprit ses droits. Pendant que le château s’endormait paisiblement, enroulés dans leurs couvertures. Sur l’un des nombreux balcons du palais, un homme se tenait seul, ses mains reposant sur la balustrade. Richard ne parvenait pas à trouver le sommeil. Il contemplait l’infinité de la voûte céleste, le cœur serré par l’insignifiance de son existence. Presque effrayé. N’était-ce pas folie que d’amener son fils dans l’Ordre ? Sera-t-il à la hauteur de leurs exigences ?

      Comme si elle avait perçu son trouble, Adrianne arriva à se moment précis, tenant dans ses bras le petit Arthas, endormit, enroulé dans ses draps, la respiration lente et régulière. S’approchant de son mari, la jeune comtesse se serra contre lui, et son angoisse se dissipa, remplacée par la chaleur d’une certitude : danger ou pas, il était heureux. Formidablement heureux.

      -Elles sont si proches, murmura Adrianne à son oreille en désignant les étoiles. On dirait qu’elles vont se poser près de nous. Tu crois que c’est possible ?
      -Les étoiles ne se posent jamais près des hommes, répondit-il dans un souffle. Sauf la plus belle d’entre elles. Celle qui est maintenant ma femme.

      Il se penchait pour l’embrasser lorsqu’un petit cri les tira de leur bulle. Faisant sourire les deux parents qui s’approchèrent l’un de l’autre pour mieux admirer leur enfant.

      Enfance

      L’enfance du jeune Arthas fut des plus banale. Enchaînant cours théorique sur l’art de la politique, des pratiques des mathématique, on lui apprit aussi à lire et écrire, mais ses journées n’étaient pas uniquement remplit de cours théorique, il y avait de la pratique avec des séances d’équitation et la l’apprentissage de la chasse. On lui apprenait aussi comment se tenir, en tant que noble, il se devait d’être toujours présentable lors de rencontre, que ce soit le roi ou les gens du peuple. Un Menethil doit toujours paraître impeccable devant les gens.

      C’est aussi à cette époque que l’air enjoué d’Arthas se développa, ses discutions avec les grandes personnes du palais, lui permettait d’en apprendre un peu plus sur le comportement des gens issu de milieux différents. Ces balades en forêt et les longue heures à regarder les étoiles pour en apprendre l’Astronomie éveillant en lui se qui sera plus tard son sentimentalisme et son envie de contempler les belles choses.

      C’est à l'âge de 12 ans Arthas fut amené dans le domaine de l'Ordre de la Lune d'Argent pour y apprendre leurs lois, leur philosophie et le maniement des armes, tout en continuant à parfaire son éducation. Il fut prit comme apprenti par le Capitaine Gilles d’Erengard, véritable légende, vivant au sein de l'Ordre. Et ancien compagnon d’armes de Richard De Menethil, qui lui avait promit de prendre son fils sous son aile pour en faire un puissant guerrier au service du bien. Arthas commença donc son long et douloureux apprentissage, car Gilles n'était pas du genre à se laisser attendrir par l'innocence d'un enfant. Pour lui seul compte la dureté de la vie, si tu es trop faible pour se monde, alors tu seras dévoré par celui-ci. C'est ainsi que pendant 7 ans, les journées de jeune Menethil furent ponctuées de course de 6 kilomètres en portant un sac de sable de plus en plus lourd au fil des années, sous un soleil ardent ou sous la pluie, par vent fort ou sous la neige. Peut importer le temps pour Gilles, car pour lui un chevalier doit être entraîné quelque soient les conditions climatiques, d’entraînement sans fin à mains nues, à l'épée et au marteau. Chaque nuit, il rentrait épuisé, mais emplit d'ondes positives. Bien sûr, ils ne passaient pas tout leur temps à s'entraîner, Gilles avait entreprit de lui apprendre les lois de l'Ordre et une discipline de fer : Arthas apprit donc à respecter ses aînés, à toujours les écouter, mais aussi et surtout à toujours faire la part des choses, entre amitié et devoir. Malgré tout ses efforts pour le rendre le plus « Chevalier » possible, Gilles ne réussit pas à enlever le sentimentalisme grandissant du jeune homme, ni son incompétence en matière de diplomatie.

      C’est ainsi qu’il vécut dans le domaine de l'Ordre, ne connaissant rien de ce qui se passait dans le royaume et dans les mondes environnant, suivant son mentor. Vers l'âge de 19 ans, jugé apte à servir la cité, il prêta allégeance à l'Ordre, jurant de suivre ses principes, « aider les pauvres et combattre les hérétiques et autres sans-cœurs ». Il s’en souvient encore, comme-ci c’était hier, c’était par une belle matinée d’automne, la fraicheur pointait enfin son nez après plusieurs mois de chaleur intensif, bien que la pluie tomber en se jour si spécial. Cela ne le rendait pas triste au contraire, cette pluie était prit comme une bénédiction de dieu pour le chevalier, car l’eau n’est t’elle pas source de vie ? Il était allé dans la salle principale du domaine, un immense hall qui était retenu par d’impressionnantes colonnes de marbre blanc, sur les murs l’on pouvait voir les statues des héros de l’Ordre, l’on pouvait y voir la statue de Richard De Menethil lorsqu’il était plus jeune, cette vision avait remplit de fierté son fils qui marcher maintenant dans les mêmes pas que son père. Tout autour de lui se trouvait ses frères d'armes ; la gorge nouée par l'émotion, il s’avança vers le petit hôtel ou l’attendait le Maitre de l’Ordre Uriel d'Apremont, chevalier de longue date et grand sage, admirer par les vétérans et servant d’exemple au plus jeune. Arthas avait reçu le titre de chevalier, sous les applaudissements de toute la salle et de son mentor Gilles, qui était à la droite du Grand Maître. C’est lui qui lui remit son épée et l'avait serré dans ces bras.

      La voie des Chevaliers

      Pour Arthas, Gilles était comme un père et inversement, même si ils n'étaient pas liés par le sang, leurs âmes elles étaient unies. Une fois la cérémonie terminée, une fête en son honneur fût organiser dans le château De Menthil, pour son entrée dans l’Ordre. Pour la première fois depuis de longues années, notre jeune Chevalier pouvait enfin revoir sa famille, car les lois de son Ordre l’obligeaient à rester enfermer dans le domaine tant que son apprentissage ne serait pas complet. C’est pendant cette festivité, alors que plusieurs amis et connaissance du Père, que son chemin croisa celui de Violette Ephelias, véritable ange descendu du ciel. De long cheveux blond ondulés, qu’elle avait remonté pour ne pas la gênait créant une coiffure indisciplinée au reflet d’or et de soleil. Elle n’était pas très grande, c’est peut être par compensation qu’elle avait un caractère si affirmé. Fine, élancée et gracieuse, elle avait des formes généreuses et rondes, une silhouette agréable à l’œil et au touché. Son parfum délicat et entêtant attirait de nombreux prétendants autour d’elle, le teint assez pâle, elle avait de grands yeux verts surplombés de sourcil fins et bien dessinés. Sa bouche était rose et pulpeuse, des lèvres charnues contrastant la couleur de son visage ovale et juvénile. Ses mains étaient fines et douces, de longs doigts aux ongles courts, habiles, ils couraient sur les cordes de sa harpe. Habillée de riches vêtures et parait de magnifique bijoux pour l’occasion. Arthas avait rarement rencontré une femme aussi belle.
      Non.
      Il n’avait jamais rencontré personne d’aussi belle. Sa réaction n’avait pas échappée à la jeune fille, qui pourtant bien entourée, vint faire le premier pas vers lui.

      Ce fût le début d’une magnifique histoire d’amour comme l’on en voit dans les livres romantiques. Le jeune Chevalier passait une grande partit de son temps libre en compagnie de Violette, apprenant doucement à la connaître. Mais une crainte grandissait dans le cœur du jeune homme, il était certain de son amour pour cette femme, mais qu’en était-t-il d’elle ? L’aimait-elle comme lui l’aimait ? Ou bien n’ait est ce que l’imagination d’un homme amoureux ? C’est alors qu’il prit la décision de lui avouer son amour. C’est dans les jardins de son château, sous le soleil d’été qu’ils s’embrassèrent pour la première fois, pour le plus grand bonheur d’un certain chevalier qui s’était sentir perdre pied lors de ce premier échange. Jamais au grand jamais, il n’avait ressentit pareille sentiment pour une femme. Leurs couple dura presque qu’une année entière, mélangeant soirée romantique au claire de lune, et de longues nuits aux courbes enchanteresses. Oui rien ne semblait pouvoir détruire leur amour qui grandissait de jours en jours.

      Déchirure.

      Mais le destin semblait en décider autrement. En effet une tragédie allait frapper ce couple pourtant si aimé. Les pires brigands de la cité des rêves avaient été libéré de leur cellules. Semant chaos et violence dans le monde. En bon chevalier, Arthas répondit présent lorsqu’on l’appela à prendre les armes pour contenir cette nouvelle force ennemis. La bataille fût sans précédant, car les voleurs et autres Truands, avaient gonflé leurs troupes en recrutant des mercenaires de tout rang. Ce n’était plus une simple troupe d’hommes que devait affronter les hommes de paix, mais une véritable armée organisé et bien équipé. Devant une telle légion de hors-la-loi, les soldats du peuple prit par surprise et mal organiser durent reculer devant tant de férocité.

      La guerre fessait rage dans les villages, Arthas et ses hommes, accompagnés de son ancien Mentor Gilles D’Erengard et d’un escadron de cavaliers. Ils avaient pour mission de tenir en respect les forces ennemies le temps de laisser le général de guerre et ses commandants organiser la contre offensive qui devait permettre de mettre fin à cette guerre de non sens. Mais une nouvelle inquiétante arriva aux oreilles de jeune chef de camp, un messager vînt une nuit dans le Q.G du campement, informant Arthas que le fief Ephelias était en ce moment même envahie par l’armée adverse. Cette nouvelle prit l’homme au dépourvu, son cœur lui crier d’aller lui porter secoure mais son devoir de chevalier le maintenait pied poing lier. Ce fût pourtant le cœur qui l’emporta, c’est donc par une mâtiné fraîche, à seulement quelques heures de la contre attaque que lui et son régiment prirent la route vers le château des Ephelias. Au moment de partir l’ancien chef de camp croisa son mentor.

      - Où comptes-tu aller comme ça Jeune homme ?
      -Je pars sauver celle à qui j’ai donné mon cœur.

      Reprenant son chemin, le guerrier de la paix n’eut que pour seul souvenir de son mentor des phrases remplit d’incompréhension et d’amertume.

      -Arthas ! Reviens ici tout de suite ! Si tu quittes cette position sois certain que ta vie de chevalier sera à jamais terminée !

      Si seulement avait-il sut que se serai la dernier fois qu’ils se voyaient en temps de frère d'arme...

      Bien sur, personne dans le régiment ne savait pourquoi le commandant les envoyait autre part. Simple soldat, ils suivaient les ordres sans poser de question, se disant qu’il y avait une bonne raison à ce déplacement de troupe. Il lui fallut trois jours pour arriver dans le territoire de sa tendre aimée, ce qu’il y vit le terrifia, le château était complètement détruit, et plus aucune présence humaine au alentour. Alarmé par cette vision d’horreur, notre homme talonna son cheval et entra dans ce qui était les ruine du domaine de son amour. Les couloirs et la cours intérieur étaient couverts de corps, soldat et bandits mélangés leur sang dans une odeur de mort écœurante. Mais Arthas ne le remarquait pas, il courait, lorsque son cheval ne pouvait passer, il le laissa sur place pour continuer son chemin, vers la chambre de Violette, toutes ses pensée étaient tourné vers elle. Elle ne devait pas mourir ! Pas ici ! Pas comme ça ! Ils s’étaient jurée une vie commune, une vie de bonheur et de joie, une vie rien que tout les deux ! Arrivant devant les portes de la pièce tant convoité, il les ouvrit sans ménagement.

      -Violette !

      Renaissance

      Le palais de justice, un endroit réservé aux traîtres et aux hors-la-loi ! Dans l’une des salles d’audience ce trouvait un certain chevalier, sans armure ni arme, les mains maintenues par une paire de menotte. La salle hurlait des injures sur cet homme aux cheveux d’argent, qui aurait put imaginer que ce guerrier qui avait accumulé tant de succès, se retrouvait devant le juge, tel un bandit. Dans la salle, le peuple et les nobles lui crier dessus, le traitant de tous les noms, traître, lâche, meurtrier. Les gardes avaient bien du mal à maintenant l’ordre et le silence dans la pièce. Se tenant au centre de la pièce, dans le banc des accusées, sans avocat, pour quoi faire après tout, il était déjà jugé. Vêtu de haillon, sale et fatigué, il était difficile de reconnaître là notre si valeureux Chevalier Arthas. Les yeux baissés, le regard vide, il semblait absent.
      Le juge fini par obtenir le silence et entreprit de commençait l’application de la justice.

      -Arthas De Menethil, vous êtes appelé dans se tribunal pour répondre des accusations suivante : Désertion à l’approche d’une bataille et désobéissance d’un ordre direct de son supérieur. Que plaidez-vous ?

      L’accusé ne prit même pas la peine de relever la tête, il s’exclama faiblement.

      -Coupable….

      Cette phrase eut l’effet d’une bombe dans l’assemblée, et quelques hommes se levèrent pour lui crier dessus.

      -Silence ! Et bien Chevalier Arthas De Menethil, pour avoir enfreint les lois et pour avoir confirmé les accusations, je vous destitue de votre titre de noblesse et vous condamne à l’exil, vous n’aurez plus le droit de pénétrer dans les domaines du Consul et de la lumière et ce à jamais !

      La salle se leva pour applaudirent la sentence, affichant des sourires et hurlant que la justice à était accomplie.

      Plus tard, alors qu’Arthas avait été remit dans sa cellule en attendant son dernier voyage dans se monde. Gilles d’Erengard, s’approcha des barreaux. Aucun mot, seulement leurs regards, puis le prisonnier fini par briser le silence.

      -C’est de ma faute……J’aurai dû être là. Elle est morte par ma faute…JE N’AI PAS PU LA SAUVER !

      Il venait de hurler, et des larmes commençait à couler le long de son visage, le Capitaine de l’Ordre le regardait sans rien dire, le laissant continuer.

      -Lorsque je suis entré dans sa chambre, j’ai vu la pièce ravagée par les pillards et puis il y avait tout ce sang…

      L’homme regarda ses mains tremblante, son regard était complètement paniqué, il revoyait les images des morts, son désespoir lorsqu’il vit le corps calciné de Violette, gisant sur le lit, il se revoyait s’effondrer devant celui-ci, hurlant sa rage et son désarroi. Le choc avait été tellement fort que ses cheveux en avaient changé de couleur et que la seule chose dont il se souvint après avoir découvert le corps, s’était qu’on l’enfermait dans une cellule,
      Arthas fini par laisser ses émotions prendre le dessus et se mit à pleurer.
      Son ancien Maître, croisa les bras et le regarda sans compassion.

      -C’est moi qui ait ordonner qu’on ne t’informe pas de cette nouvelle.


      La phrase, exprimer simplement, glaça le déchu, celui-ci ne bougea plus, il leva les yeux vers celui qu’il considérait comme un père, son regard était mêler d’incompréhension et d’étonnement. Parmi toutes les questions qui lui venaient à l’esprit, il réussit à l’exprimer, sentant la colère le gagner.

      -Pourquoi ? Pourquoi ne pas me l’avoir dit ?!


      Sa phrase devint hurlement et le prisonnier se leva précipitamment pour attraper celui qui avait envoyé son aimer à la mort. Mais il ne réussit qu'à brasser l’air des ses bras puissant. Gilles plongea son regard dans celui de son élève d’autre fois et lui répondit, sa voix était dénuer de toute méchanceté, mais était remplit d’une telle froideur qu’Arthas n’en fit que plus choqué encore.

      -Je l’ai fait pour le bien de tous. Je savais que tu partirais sauver ta belle comtesse si tu l’apprenais, je tai donc intentionnellement cacher cette information. Mais il semblerait que ta petite demoiselle était assez maligne pour envoyer un messager à toi ! Tu as changé Arthas, lorsque ta vie à croisé celle de cette fille, tu n’étais plus le même, passant ton temps à te pavaner avec cette femme, plutôt que de remplir tes fonctions de chevalier ! J’espérais que tu prendrais un autre chemin que celui de ton misérable père qui a quitté ses devoirs pour aller jouer à l'amoureux avec ta mère. Je te considérais comme mon propre fil ! Et regardes comment tu me remercies pour tout ce que je t’ai offert ! Tu es partit à la première occasion pour aller sauver ton propre intérêt ! Tu as quitté ton poste et par ta faute beaucoup d’hommes sont tombés au champs d’honneur ! Nous aurions pu empêcher cela ! Soit content que le juge n’ai pas donné la peine capital pour tes crimes ! J’ai du jouer de mes relation pour empêcher cela !

      -Salopard! Mon père te considérait comme son frère!Tu aurais du me le dire ! J’aurais pu la sauver ! J’aurais du mourir à sa place !!!
      -Pour moi, tu es mort le jour tu es partit sauver une simple femme pour un désir futile et dérisoire face à la paix que je m'efforce d'exercer. Adieu Arthas, puisse Dieu avoir pitié de toi.

      Sans demander son reste, Gilles quitta le cachot, laissant un homme complètement abattu et perdu, ne sachant plus quoi faire n’y qui croire, il avait perdu la femme qu’il aimé, l’homme en qui il avait le plus confiance l’avais trahis. Que lui rester t-il ?

      Dans un vaisseau de la Shin-ra, parmi les passagers, se trouvait un certain chevalier, son armure et son épée avec lui, seul vestige de sa vie passée, que son père avait réussit à lui donner avant son dernier voyage. Qu’aller-t-il faire maintenant ? Pouvait-il encore aimer ? Serait-t-il assez fort pour commencer une nouvelle vie ?


    Les Questions
    Q u e s t i o n s :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
      Autrefois oui, il était un grand romantique, et même si aujourd’hui son cœur n’est plus que glace et solitude, son âme garde toujours l’espoir de renaître.
      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
      Un ours perdu
      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
      Elle n’est plus qu’un vague souvenir.
      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
      Arthas n’a plus d’amis si ce n’est les âmes damnés de ses fidèles soldats.
      5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
      -N’oublie pas qui tu es.
      -Peut importe ce que tu fais, ce qui compte c’est que tu y crois.
      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?
      7) Pourquoi incarner ce personnage ?
      Franchement ? J’ai toujours adoré Warcraft3 et Arthas est selon moi un héros, un vrai, qui s’est battu pour son peuple jusqu’à son dernier souffle, même si cela devait le conduire aux plus grandes atrocités qui soient.

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    Ouais c’est vrai que t’as fait des progrès de dingue !

    C’est… Mila, je crois, qui a dit ça sur la Chatbox alors bon, je me suis posé la question… Non c’est sûr que je te reconnais depuis longtemps un style vraiment unique sur le forum, inimitable. C’est assez similaire à Henri mais ça se démarque et bon, je te l’ai déjà dit, pour moi tu as inventé tout un style sur Kanak. De fait, il est très dur de ne pas aimer tes rps.

    Et donc oui, c’est vrai… Dès le physique, c’est flagrant. C’est vraiment un personnage agréable, du moins au début et on le sent agréable par un texte qui l’est tout autant. Tu décris bien, tu dis des trucs cools et sans avoir beaucoup de choses à dire sur ton physique, je l’ai vraiment bien aimé. Donc Seigneur.

    Le caractère est vraiment à l’image du physique et j’aurais donné tip top la même note si j’avais pas trouvé deux problèmes… D’une, qu’à propos de sa « post-dépression », tu ne fasses qu’un tout petit paragraphe… Autant dans le physique, ça se comprenait, autant ici c’est carrément pas normal. Enfin tu comprends bien qu’on peut se passer d’un physique détaillé et actuel plus facilement que d’un caractère. Ca m’a semblé quand même super important de mieux connaître ton personnage une fois qu’il a tout perdu !

    L’autre chose, c’est que tu suis exactement le même schéma que le physique, tu parles de son caractère avant la dépression et ensuite à la fin, du caractère après alors qu’ici, le contraire aurait été plus original et beaucoup plus classe. T’aurais fait quarante lignes sur le caractère du côté « roi-liche » et vers la fin, t’aurais fait un « mais pourtant, autrefois il avait du sex apple » et tu slam là-dessus vingt lignes. Ca aurait été parfait.
    Donc Commandant même s’il m’a beaucoup plus. (Commandant, c’est pas à vomir comme note ^^)

    Et l’histoire est géniale… Même s’il y avait un petit côté « banal », c’était très bien. Donc Général.
    Un seul problème… C’est qu’en ayant lu ta fiche avec le plastron forgé par les forgerons du château disney… Avec le maître qui était chevalier sous Mukuro…
    Bah globalement, je m’attendais à ce qu’il y ait un rapport avec la lumière dans ton histoire mais non rien, t’en parles pas du tout..
    Et j’ai eu l’impression deux trois fois que tu confondais Cité des rêves et Palais des rêves…

    Et (^^) tu aurais pu être encore plus KH que ça.

    Donc voila ! Je te donne le grade de Seigneur !!

    Fiche validée et toutes conneries du style.

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