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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Bon, du calme, ce n'était quand même pas si grave, elles se faisaient passer pour nous, pas la fin du monde... Je pouvais vivre avec, sûrement, certainement, ...

- MAIS QUELLE BELLE PAIRE DE S****** ! ELLES SE PRENNENT POUR QUI CELLES LA !

Les massacrer, les plonger dans l'acide, non, mieux, je vais les ouvrir et leur retourner la peau sur le corps. Elle vont me sentir passer pour les six prochains siècles ! Ah, non, elle seront morte avant. Et ils veulent que je laisse le peuple se charger d'elles, soit, mais ils n'ont pas précisés l'état du colis à la livraison. Je suppose qu'un ou deux os en miettes sont vite arrivés lors d'une tentative de fuite... Et je dois penser à m'assurer que personne ne reprenne cette idée farfelue à l'avenir.

Je rejoignis le vaisseau qui devait m'emmener au bois au loup, le rapport faisait part d'une certaine habilité dans les poisons, je devais me méfier, j’espère que les pauvres villageois qu'elles ont rackettés ont pu s'en sortir sans trop de mal, même inoffensif un poison, laxatif par exemple, peut entraîner de sacrés désagréments. Perdue dans mes pensées, je ne vis pas le bois aux loups approcher, pas plus que je ne sentis l'atterrissage. Un toussotement me fit sortir de ma torpeur, je remerciais le pilote et sautais à bas du vaisseau. Je partis d'une petite trotte en direction des bois et escaladait le premier arbre haut qui se présenta à moi.

En restant à l’abri des cimes, je me mis à la recherche des deux garces en faisant le moins de bruit possible. Je finis par les localiser sur le côté de la forêt, elles ricanaient des mauvais tours de la journée, emplie de suffisance, elle s’entraînaient à parler comme nous. Ou du moins ce qu'elle imaginaient être comme nous. J'en aurait rendu mon déjeuner si je n'avais pas été habituée à contrôler mes réactions. Je vis un groupe de malchanceux arriver, c'était bien bête pour eux, mais cela me permettrait de voir comment elles procédaient.

Elles lancèrent des fumigènes, auxquels elles ajoutèrent une substance bleue violacée, que je reconnus comme un léger incapacitant. Que ces imposteurs ait été capable de doser précisément la quantité en fonction de leurs estimations visuelles me fit revenir sur mon premier jugement. Il devait s'agir d'herboriste, et douée au demeurant. On m'avait mise en garde mais, aveuglée par ma colère je n'en avais pas tenu compte, je ne remercierais jamais assez mon maître pour la discipline qu'il m'avait fait rentrer dans la tête, parfois à grands coups de pieds.

J'ai vu les deux femmes regarder d'un air appréciateur les hommes poser leurs armes à terre et les femmes se serrer les unes aux autres. Un coup de poing dans l'arbre le plus proche pour finaliser l’esbroufe et celle qui se faisait passer pour moi délesta tout ce beau monde de ce qu'ils portaient, excepté leurs vêtements. Je vit les victimes repartirent en hâte vers leur village, dégoûtées par ce qui venait de se passer. Quand ils passèrent au dessous de moi, je changea de position et fit craquer la branche, je m’immobilisais immédiatement mais le babillage des femmes qui se plaignaient de leurs sort avait couvert ce bruit, car à aucun moment ces femmes ne firent mine de s’intéresser à mon arbre.


Le point d'entrée était plus qu'évident, mais je devait encore mettre la main sur celui qui me ramènerait au vaisseau, donc, me placer derrière elles et puis...

- Et merde.

Elles m'avaient bien entendu finalement, et elle m'avait envoyé un petit cadeau de leur cru. Pas un grand poison, non, mais une version légèrement différente de l'incapacitant, je reconnus en plus un somnifère léger, qui n'agirait pas avant au moins une vingtaine de minutes et un autre qui avait pour but de faire souffrir le corps pour donner l'illusion de la mort. C'était bien joué, toute personne non initiée aux poisons, aurait l'impression d'avoir été gravement empoisonnée sur l'heure et de se sentir mourir. Puisque j'étais démasquée, je me laissais tomber au pied de l'arbre et vis avec satisfaction leur visages passer d'une fierté arrogante à une peur bleue quand je les mis face à mon sourire le plus mauvais.

La fausse Yoruichi fit un pas en arrière, grave erreur, la douleur eut beau contracter mon muscle comme s'il était traversé par un millier d'aiguilles, je la propulsais contre un arbre et appuyais sur deux points bien précis de sa trachée. L'effet fut instantané, elle perdit connaissance. Parfait, je m'occuperais d'elle plus tard. Me retournant pour faire face à ce qui était supposait être moi même, je sortis mon katana de ma poche intérieur, ainsi qu'une fiole d'antidote de fabrication maison qui luttait contre la plupart des nuisibles non mortels.

Mes muscles se détendirent sensiblement, constatant qu'elle venait de perdre son avantage, la femme me lança des fioles au petit bonheur la chance, enchaînant une belle pagaille avant de mettre la main sur les fumigènes. Je sortis de ma poche un kunai que je dupliquais à l'aide de la duplication moléculaire, puis j'appliquais une technique vieille comme le monde : j'ai balancé des armes dans toutes les directions aussi fort que je pouvais. Cette femme était peut être une belle arnaqueuse mais pas une professionnelle, elle ne put retenir un gémissement de douleur lorsque l'un des projectiles la touche. je concentrais tout mes tirs sur la zone tout en allant à sa rencontre.

Elle se tordait de douleur sur le sol, je l'avais touché à la jambe et au plexus, des blessures ni graves, ni mortelles, ni même paralysante, elle aurait parfaitement pu s'enfuir mais la douleur occasionnée l'avait réduite à ça, une masse gémissante qui commençait sérieusement à me casser les oreilles. Je l’amenais avec son amie et les attachaient à l'arbre avec l'un des nœuds les plus vicieux de mon répertoire, à savoir qu'il s'agissait d'un petit système qui se resserrait de lui même à mesure que la proie tentait de se libérer. Je finis mon travail au moment où la fatigue me tomba dessus, j'avais étais en mesure de neutraliser les poisons, pas le somnifère. Je m'endormis sur ce qui ne serait sûrement guère plus qu'une petite sieste.


Ouh, ma tête, que c'était il passé ? Ah, oui, ça me reviens. Sale garces, elles vont me le payer, cette fois j'en suis assurée, elle vont regretter d'avoir croiser mon putain de chemin.

Je levais la tête et vis qu'elles ne pouvaient presque plus respirer tant elles s'étaient débattue, certaines de pouvoir venir à bout de mon piège. Souriant de toutes mes dents je m'approchais d'elles et entrepris de desserrer un peu le nœud, je pris un grand plaisir à briser la cheville de la copie de Yoruichi, imaginant le bonheur que cela serait de faire de même avec l'agaçante originale.

Je les traînais derrière moi jusqu'au village le plus proche, et les déposais en plein centre de la place, conformément aux instructions reçues au manoir, laissant les gens voir mon visage, une fois n'est pas coutume, les regardant prendre conscience de mon identité, puis de celle de mes prisonnières.


- Regardais moi bien, prenez mesure de vos erreurs, comment avez vous pu confondre ces incapables pour des membres de la Coalition noire !

L'incompréhension fit place à la rage, au fur et à mesure que la lumière se faisait dans leur esprits, je reculais prudemment, voyant les dernières victimes en date s'approcher pour les rouer de coups. Un tribunal à ciel ouvert se forma soudain, et je repartis vers la forêt et le vaisseau, qui me ramena à la cité du crépuscule.

Encore légèrement crispée, je me dirigeais vers l'est jusqu'au café où Bell m'avait indiqué son campement. Je le repérais à sa table et choisis de m'y asseoir sans chichis. J'attrapais un serveur au vol et lui réclamais un café serré, histoire de me remettre des derniers effets du somnifère. Il me sourit.


- Alors ?

Je lui renvoyais un sourire mauvais.

- Mission accomplie.
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Mission accomplie oui.

Rien à redire, tu as suivit la consigne, tu en as même profité d’ailleurs.
(Petit détail inutile, je squatte un ancien café, déserté quoi. Je ne vais pas payer un serveur aussi !)

Alors…mission normale :
20 points d'expérience + 200 munnies + 3 PS (1 PS en force et 2 en défense, comme demandé.)
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