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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Présentation de Roméo

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    Identité

      N o m : /
      P r é n o m : Roméo
      S u r n o m : « L'amoureux » ou « Le simili voleur de coeur»
      Â g e : /
      C a m p : Errants
      M o n d e d' O r i g i n e : Cité des Rêves (Puisqu'il faut en choisir un ^^)
      R a c e : Simili

    Descriptions
    P h y s i q u e :
      Faire la description d'un être aussi pur que mon personnage est très dur, c'est un exercice compliqué, car il est dur décrire une entité sortant de l'imaginaire, j'ai une vision très abstraite de ce personnage, mal gré cela si je ne le fais pas vous n'aurez jamais une idée de la beauté, presque insolente d'un amoureux :

      Commençons par ses cheveux, mi-long, quasiment jusqu'aux oreilles, ça chevelure brille tel un buisson ardents dont les rayons de l'astre du jour viennent ravivé la couleur et ainsi lui donnait cette couleur à mi-chemin entre le blond et le marron d'une crinière de lion. Ils sont coiffés très proprement mais, tous en laissant les brindilles d'ors cachées les yeux de mon héros. En parlant des yeux, voilà le second points dont je vais vous parler, les deux émeraudes sûrement les parties du corps de Roméo qu'on voit le moins souvent et pour cause, ne dit-on pas « les yeux sont les portes du coeur » ? Pour une être qui n'en à plus c'est tous a fait logique ! Les perles sont d'une couleur verte éclatante, les pupilles sont tellement clairs que le soleil, une nouvelle fois vient jouer de ces tours sur notre pauvre personnages en lui donnant à la place de ses yeux, deux magnifique rubis qui font chavirer les coeurs ... Du moins pour ceux qui en ont, ceux-ci ont le désavantage de faire oublier complètement le reste du visage.

      Nous nous attarderons par trop sur les autres éléments d'un visage, sauf la bouche, qu'elle dramaturge oserai oublie de décrire les lèvres de son personnage, alors que ceux-ci jouent un des rôles les plus importants de la pièce, ce sont quand même les outils des relations secrètes, le plaisir défendu, l'audace extrême ! L'amoureux lui, comme son nom le laisse deviner à une bouche faite pour l'emploie, tel un prince sa dentition éclate le blanc et semble être de la porcelaine que l'on implantait directement dans la mâchoire du jeune homme. Ses lèvres, rose et fine laisse imaginer toutes les conquêtes qu'il a pus avoir, tous les baisers qu'il à pus donner, tous les au revoir qui furent ponctués par un baisers, très léger, sur les lèvres de l'autre, ceux-ci rappel les amours interdits mais, aussi sa chute ... sa mort ...

      Tout ceci donne un aspect particulier à son visage, un mélange entre la fragilité et l'expérience, un visage de dieu pour une âme damnés qui préférerait être laid ! Très pale, celui-ci tire sur le blanc lait, mais même ce bémols n'est pas une mauvaise note sur ce visage, car un blanc comme celui-ci qui donnerait chez d'autres personnes un aspect maladif, lui donne à lui un air encore plus pure, on lui donnerait son coeur sans hésiter !

      Nous en avons fini avec le visage, passons au reste, qui n'est pas aussi intéressant je le concède. Un cour très bien proportionné qui prend racine sur un torse svelte sans trop de muscle superflue, la magie du conte veut qu'aucun poil viennent tâcher cette douceur ce qui donne au jeune homme un air d'enfant. Ce tronc donne naissance à deux bras, fin et long qui donneront suite à des mains aussi fines que le reste, qu'on qualifierai de « pianiste » pour la longueur des doigts que l'on suppose être celle d'un artiste.

      Passons les détails superflue de l'entre-jambes pour passer directement aux jambes, elles ne sont pas celle d'un sportif, musclé et forte mais, plutôt celle d'un penseur, sans trop de force mais, avec beaucoup de légèreté ce qui laisse imaginer de nombreux pas de danse lors des somptueux balais donné en faveur d'un pompeux souverain régnant sur un pays qui ne veut que ça perteJe pense avoir fait le tour du corps de notre chère amie, je vais quand même faire un résumé rapide, ce corps est donc à la légèreté ce qu'est le vert à la nature, c'est naturel sans l'être, on voit qu'il y a quelque chose de différent sans pouvoir mettre la main dessus et malgré cela on aime ...Qu'on ne le veuille ou pas d'ailleurs ...

      Avant de fermer ce chapitre, je vais vous parler, très brièvement, de l'allure vestimentaire de notre cher ami, celui-ci se plait à s'habiller tel il le ferait dans son univers, comme un nobliau noble sang. De longue capes, de beaux costumes rappelant ce que porter les capitaines ou autres officiers ainsi que de beau et grand chapeau d'amirale. Le rouge est la couleur prédominante dans tout ce qu'il porte, autant Midas transformé tous en or, lui transforme tous ceux qui l'aime en rouge, petite anecdote amusante à ce sujet que je ne puis me retenir à l'envie de la raconter : il y a fort longtemps lors d'un banquet fait à son honneur, il fit changer tous les couverts et obligea l'hôte de la soirée à faire apporter des serviettes, des couteaux, des fourchettes, des assiettes rouges et de nouvelles nappes toutes rouges, ainsi lorsque ces hommes ne main vernirent assassiné tous les membres de l'assemblée, le sang qui coulait des cranes meurtris de ces ennemis ne faisait aucune tâche sur les tables, mieux encore, le sang rajouté une belle couleur au rouge qui déjà tous a fait beau.

      Question vis-à-vis du Physique :
      De part son sang, et donc sa famille, Roméo est un escrimeur de talent. Il se bat donc toujours avec un ou plusieurs fleurets bien aiguisés. Il n'est pas homme a utilisé la magie qu'il ne connait pas bien mal gré sa nature similique (… Je sais pas si cela se dit mais je l'invente !).
      Très agile et très rapide, il utilise ces deux qualités pour arriver à affubler son adversaire de coup, ne lui laissant pas une seul seconde pour contre attaquer. Il n'est pas spécialement fort mais à la longue ses coups fatiguent et cassent les gardes. Autre fait important à noter, Roméo devient de plus en plus rapide à chaque fois qu'il prend des coups, ceci est dut à sa folie meurtrière qui se réveil à la vue du sang ou d'une blessure.


    C a r a c t è r e :
      Question vis-à-vis du caractère :
      Amour, Traîtrise et Vendetta.

      Voilà un sujet passionnant pour ceux qui aime les personnages tourmentés par des histoires que seuls l'amour peut réparer. Ces histoires de trahison, d'amour, de baiser dans un coin sombre, tout cela Roméo connaît très bien, qu'elle illustre nom dans la tragédie amoureuse. Comment ne pas comprendre directement l'esprit dans lequel se trouve mon héros, rien que le son de son nom laisse présager les misérables petites folies qui cognent à la fois dans sa tête est dans l'emplacement vide ou, autrefois, se trouvait son coeur ! Comment, je vous pose la question, un être qui au départ semble être le plus doux, le plus aimant, le plus fidèle peut se transformer en un monstre rongé par la haine, la souffrance et la folie ? Je n'y répondrais pas, du moins pas dans cette catégorie.

      Roméo est le genre de personnage que l'on trouve seulement dans les pièces extrêmement sombres, il est à la fois banale et très intéressant, un mélange compliqué entre l'amour dans son aspect humain et la haine dans son aspect le plus meurtrière. Tourmenté, un adjectif qui revient beaucoup quand on parle de lui, personne n'est aussi, je me répète, tourmenté que lui. On sent, rien qu'en le regardant qu'il a en lui des choses qui lui sont insoutenables mais qu'il n'ose, ou qu'il ne veut pas, les sortir, car voilà un autre trait de caractère de mon personnage, il est très discret sur sa personne, dire des choses sur lui ce n'est pas dans son genre et ça même au peu de personnes avec qui il est proche

      Quand on pose ses yeux sur ça misérable personne on ne peut que comprendre sa folie qui semble meurtrière autant pour lui que pour les autres, à cause de sa discrétion on ne peut savoir d'où vient cette maladie incurable que seul les amoureux attrape, une histoire de coeur semble-t-il ...Amoureux ? Ce n'est pas, ou du moins plus, son genre, tous amour s'est envolé de lui, ces sentiments, à force de n'être plus ressenti est passé à la trappe, il ne se souvient même plus de la sensation qu'est celle d'être heureux dès le réveil quand on porte un ce sentiment exceptionnel pour une belle jeune fille. Mon héros ne se souvient plus de la douceur que l'on peut voir lorsqu'on pose son regard sur la personne qu'on aime, cette misérable petite sensation de soumission, de dévouement extrême à une seule personne, assez forte pour pouvoir se tuer pour elle. Les seules choses qu'il garde en mémoire sont le terrible déchirement que l'on éprouve lorsque l'être qui nous est chère disparaît, le cri qu'il a poussé quand il fut trahi, la longue complainte qui sortis de sa gorge lorsque celle-ci lui a pris son coeur ...

      Bien que Roméo s'inscrit dans les ténèbres il n'est pas à proprement parler un méchant, il souhaite, simplement, faire souffrir tout le monde comme lui a souffert, pour que chacun sache que toute la vie n'est qu'une mascarade qu'il ne faut pas croire et voir. Il veut retirer ce qu'il y a de plus chère dans chacune des personnes, il veut ce qu'on ne peut remplacer ... L'amoureux veut le coeur des gens, savoir que des personnes peuvent encore avoir un coeur et que celui-ci chavire devant les danses frivoles de belles filles aux cheveux blond, le fait souffrir, c'est pour lui mille tortures que de penser un seul instant que des êtres peuvent être amoureux et se sentir heureux ! Il rage quand il apprend que des personnes ont ce qu'on lui a pris ! Ce n'est peut-être que de la jalousie et lui le sait très bien, mais sa folie, destructrice, ne peut pas accepter tout ça, c'est pour ça que les ténèbres, vils et sournois, ont réussi à l'attraper dans leurs filets, leurs doux chants funèbres l'on bercé lors des nuits on il ne pouvait dormir, car le rêve, ou plutôt le cauchemar de ces jours continués.

      Pour ceux qui pensent que son mal peut être soigné, passer votre chemin, plus rien ne peut le faire revenir dans le chemin lumineux, trop de choses lui ont était enlevé, cela fait bien trop longtemps qu'il a dépassé, largement, le point de non retour, à présent Roméo s'enfonce de plus en plus profond dans les ténèbres qui sont mais, tenants tout ce qu'il chérit.

      Calme, c'est aussi quelque chose qui le caractérise très bien, énormément serein, rien ne peut surprendre ce visage qui parait toujours aussi las, mélancolique. Il n'a pas l'air heureux, d'ailleurs il n'a l'air de rien ... Son visage figée tel une poupée de cire toujours à regarder dans le vide, comme ci il pensait perpétuellement à quelque chose dont il ne peut plus se souvenir. Mon personnage à un genre absent presque tout le temps, même quand on lui parle, son interlocuteur a toujours l'impression de parler à un mur, comme ci le corps de Roméo était là mais, que son esprit, lui, voguait ailleurs, dans des contrés lointaines et inconnus. Toujours « triste », quand on le regarde de plus prêt on a toujours l'impression de voir des larmes tombées des perles vertes que forme ses yeux. Il semble si seul, si triste, si désemparai qu'on souhaiterait presque le réconforté, mais attention au loup qui dort, la folie n'est jamais loin de la tristesse et gare à celui qui se laisse prendre. Mal gré le fait que tous ces sentiments sont totalement involontaires et sincère, on sait queRoméo est un personnage extrêmement intelligent, une intelligence perverti à des fins macabres parle ténèbres, grâce à celle-ci il peut vous attirai très vite dans un piège qui vous coûtera bien plus que la vie ...

      Royaliste et dévoué, il est absolument asservit à la personne qu'il prend comme maître, bien que celui-ci à une force mentale très forte, il se laisse diriger comme un pion que l'on pose sur un échiquier, si on lui demande il se suiciderai pour la personne qu'il a choisie de servir. Lisaient attentivement ce passage, je répète, c'est lui qui choisit qui sera son empereur, ne pensait pas que le premier qui a une couronne posée sur son front, sera celui qui pourra jouer de la vie de mon cher héros. Le qualifié trop vite de tel ou de tel camps serait une bien belle bêtises, l'amoureux peut tous a fait surprendre ces prétendus alliés en les trahissant ...

      A ce sujet, il me faut évoquer une des choses les plus importantes chez Roméo, il n'a aucun remords, depuis très longtemps la bonté a quittés son âme, il ne regrette aucun des gestes qu'il a fait ou qu'il fera tous simplement, car il est comme un pantin dont tous sens éthique à disparut, il est le pantin des ténèbres, il n'a pas vraiment de conscience propre, il est comme mort tous en gardant un semblant de vie.

      Je vous conseille vivement de ne pas trop vous approcher de ce personnage si êtes, même un minimum, heureux, comme il est dit plus haut, il déteste ce trait de caractère, sa folie apparaît lorsqu'il resent un semblent d'amour entre deux personnes, un brin de joie dans les cris d'enfants où encore d'un souffle de bonté dans le bon qui donne au pauvre ... Ce n'est pas un meurtrier mais, un amoureux brisé, un être errant de terre en terre cherchant ce qu'il a perdu, pleurant toutes les larmes de son corps, craignant de n'être que ce qu'il est : une ombre. C'est d'ailleurs là ça plus grande faiblesse, il a peur de lui -même, ce qu'il est devenu le terrifie bien qu'il ne s'en rend pas compte mais, de toutes manières plus les sabliers du temps s'écoulent plus, lui, coule dans les méandres diaboliques des ténèbres qui ne souhaitent que son ...coeur ?


    G r a d e . v i s é :
      Je n'ai pas la prétention et les connaissances pour répondre objectivement à cette question.

    H i s t o i r e :
      Acte Premier

      Il était une fois, dans un monde fort lointain ou nul Sans-coeur et nul porteur de Key-Blade avait posé le pied, vivait deux maisons Les Capulet et les Montaigu, deux clans qui se vouaient, l'un contre l'autre, une haine féroce, une dégoûts des plus profond. Dans chacun des deux camps, n'osait même plus se croiser, se regarder, s'écouter ou même discuter. Cette haine de l'autre se ponctuait tous les cinq ans ou presque par des guerres sauvages et meurtrières ou aucun des deux camps ne sortait vainqueur.

      Les Montaigu, de loin les plus pacifiques, n'appréciait pas la guerre et s'intéressait plutôt à l'art, aux chants, à la danse, enfin à toutes ces choses ou l'esprit est plus fort que la brutalité. L'héritier des Montaigu, Roméo, âgée de dix-huit ans, vivait dans ce climat qui mélangeait l'hostilité à la finesse. Il n'était pas spécialement contre les Capulet mais, par tradition familiale il n'avait aucun lien avec ceux que l'ont surnommaient « Les Forts », et sans s'adonner au plaisir de la haine essayer de faire abstraction de cette partie du monde. Notre Roméo étant proche de l'âge de l'amour, était tombé fou amoureux d'une jeune fille : Rosaline. Tous les jours, le jeune prince venait à sa rencontre dans les jardins du château et lui offrait les plus belles fleurs, les plus beaux compliments qu'un gentilhomme peut donner à une demoiselle. Malgrè cela Rosaline restait inflexible au charme du beau blond et chaque jour lui jetait ces fleurs au visage et n'écoutait même pas ces compliments, elle marchait, avec dédains ne montrant pas une seconde d'attention envers l'héritier de la famille Montaigu. Tous les jours, le jeune homme se rendait au confessionnal, il ouvrait son coeur au frère Laurent, un moine franciscain.

      « Mon père mon père, si vous saviez comme je l'aime ! Elle rayonne dans mon coeur, vous la verriez mon père ! Je suis sûr que vous abandonnerez votre profession de foi pour se jeter à ces pieds ! Mon père c'est la plus belle ! ... Mais elle ne m'aime pas ... Que dois-je faire mon père ? Des pensées me hante ! Parfois j'ai envie de la prendre de force dans mes bras ... de la serrer aussi fort que je peux ... parfois, j'ai envie qu'elle meurt ... Pourquoi me faire ça ? Ne suis-je pas quelqu'un de bonne famille ? Suis-je ignoble à regarder mon père ? Pourquoi ne veut-elle pas de moi ? ... Et si elle ne veut pas de moi ... pourquoi diable dois-je rester en vie ? L'amour de ma vie me rejette ! Je ferai mieux de mourir moi ! Rejoindre le diable ... il n'y a que lui qui puisse me comprendre je pense ... je dois être maudis ... damnés ... »

      Le moine lui répondait tous les jours la même réponse, que Dieu avait un plan pour chacun de nous et que malheureusement les voies du seigneur sont impénétrables ... Jour après jour Roméoperdait goûts en la vie, bientôt, à la joie de Rosaline, il cessa d'aller à sa rencontre tous les jours et se laissa tomber dans la mélancolie la plus noire... Il continuait tous de même à se rendre au confessionnal mais, il n'avait maintenant plus aucun péché à faire pardonner ...

      Benvolio et Mercutio, les deux amis de Roméo ne purent qu'être toucher par la détresse de leurs amis et lui proposèrent de se rendre, incognito, à la fête qu'organisé les Capulet, leurs ennemies jurées, en l'honneur de la fille du souverain Capulet : Juliette. Roméo demanda de réfléchir, il n'avait aucune envie de se rendre à une fête dans son état actuel et pire encore, de se rendre dans un château ou la plupart des invités veulent sa mort. En apprenant par hasard que Rosaline, serait présente aux festivités en qualité d'amie de Juliette, Roméo décida de s'y rendre.

      Prenant des habits qui ne montrait nullement leur allégeance à la famille Montaigu, les trois amis se rendirent à la fête. Ce fut extraordinaire, une salle somptueuse décorée d'or et d'argent, un buffet gigantesque, un orchestre exceptionnel, des centaines d'invités, des hommes bedonnant, des adolescents prétentieux, des dames pomponnés et des demoiselles à la chevelures bien dressé. Tous de suite mit dans le bain, Mercutio et Benvolio abandonnèrent bien vite leur ami au profit de jolie jeune fille à la pudeur bien cachée. L'héritier des Montaigu avançait maintenant seul, dans le brouhaha ambiant et dans le hasard des conversations tomba sur un groupe composé de quatre personnes, deux hommes et deux femmes, un grand homme aux formes généreuse accompagnée de celle qui devait être sa compagne qui était une belle dame aux cheveux encore plus blonds que toutes les jeunes filles présentes dans la salle, l'homme était en pleine discussion avec un autre qui, tous aussi gros que le premier délaissai complètement son épouse qui de temps à autres, quand elle avait fini de reluquer un beau lieutenant, levée les yeux au ciel pour montrer son agacement. Les deux hommes parlaient très fort, trop fort même pour une discussion si banale, en effet ils parlaient des affrontements Montaigu/Capulet qui avait eu lieu la veille dans un parc ou deux officiers c'étaient entre tués simplement parce que l'un avait croisé le regard de l'autre.

      Alors que les deux hommes se posaient la question « Qu'allons-nous faire ? Ce combat continuera éternellement ! », Roméo répondit, presque automatiquement « La paix ». Les deux hommes se retournèrent vers le gentilhomme qu'ils n'avaient même pas remarqué depuis qu'il s'était placé prêt d'eux. Un silence régna pendant quelques secondes dans le groupe, même la femme du second détourna ses yeux du lieutenant pour les poser avec tous autant de désir sur Roméo qui se sentait bien bête d'avoir ouvert sa bouche. Après le silence, le premier homme rigola, un rire de bon coeur qui fut, à la vitesse de la lumière copié par celui de l'autre homme qui vit son regard, il voulait absolument copié le premier. Roméo pris le parti de la blague et continua d'écouter la conversation dont il faisait maintenant partie, il apprit bien vite que le premier homme était nul autre que Mon Seigneur Capulet chef de famille, accompagné de sa femme qui discutait avec son principal conseiller lui aussi accompagné de son épouse, qui d'ailleurs avait délaissé le lieutenant pour Roméo qu'elle trouvait fort à son goût

      Capulet posait beaucoup de questions à Roméo, sans d'ailleurs heureusement, lui demandait son identité. Le chef de famille trouvait Roméo extrêmement drôle par son innocence et sa manière de voir le conflit. Très vite la conversation ne se fit plus qu'avec notre cher ami, Capulet ayant totalement oublié son conseillé qui suivait la conversation de loin, car il avait enfin compris le manège de sa compagne et qu'il voulait maintenant la surveiller d'un plus prêt, d'ailleurs il avait posé sa main grasse et ferme sur la taille de cette dernière histoire de lui faire comprendre qui était l'homme, celle-ci fixait Lady Capulet avec un sourire forcé par l'enfermement de la main de son mari.

      Bien vite l'imposteur qu'était notre héros n'eut plus rien à dire, de plus sa peur d'être pris par le chef Capulet l'empêchait de réfléchir, il s'excusa et se retira, au grand malheur du souverain, vers une terrasse ou se trouvait ces deux compagnons Mercutio et Benvolio seuls à présent. Rapidement ils expliquèrent comment les jeunes filles qu'ils avaient trouvés les avaient plaqués pour deux lieutenants dont le grade élevé était en adéquation avec leurs bêtises. Lorsque Roméo fit allusion avec qui il venait de discuter, les deux autres Montaigu crièrent aux drames lui rappelant qu'il était lui aussi un Montaigu et que s'ils se faisaient prendre, c'était la guillotine qui les attendaient. Tous d'un coup, sorti de l'ombre, une silhouette que connaissaient bien tous Montaigu, Tybalt neveu de Lady Capulet, seigneur connu pour sa brutalité et sa prétention, d'un geste grossier il sortis son fleuret le brandit tel une victoire déjà acquises, les trois jeunes gens étaient découverts et en plus désarmés !

      Alors que Tybalt voulut engagé le combat, une main vint attraper son bras l'empêchant à combattre... Monseigneur Capulet fixait Roméo, la main gauche tenait fermement la droite de Tybalt pour que celui-ci n'attaque pas. Dans un geste tous aussi grossier que le reste de son corps il donna l'ordre aux trois jeunes hommes de s'en aller. Sans le savoir sa discussion avec le souverain de maison avait sauvé les trois Montaigu. Capulet, de toutes manières, il ne voulait pas de scandale chez lui et voulait montrer à son neveu un peu trop arrogant qui était le chef.

      Aussi rapide que la lumière les trois jeunes gens se rendirent aux portes, lorsque en descendant les marches Roméo aperçu sur une terrasse située au second étage du château une jeune fille ...magnifique, les cheveux blonds, le teint clair, son visage brillait sous les reflets de la lune et sa robe, en soie blanche la sublimait encore plus. Ne bougeant plus devant se si merveilleux spectacle, le jeune héritier en oublié même qu'il devait partir, pousser par ces deux amis, il dut se réveiller mais, avant il leurs demanda, à eux si connaisseurs en la matière qui était la belle jeune demoiselle, ils le trouvèrent encore plus fou que d'habitude et ils répondirent : Juliette, fille de Capulet. Sur ces mots Roméo et ces deux compagnons disparurent dans la nuit.

      Accoudé à la terrasse Juliette avait remarqué se jeune garçon parlait à son père quelques minutes avant, elle l'avait trouvé extrêmement beau et avait demandé à sa nourrisse qui il était, celle-ci la regarda, avertis par Tybalt, elle répondit : Roméo, héritier des Montaigu qui s'était introduit à la fêtes. Surprise celle-ci n'y pensa plus et alla se coucher las de ces festivités dont elle n'avait pas envie de participer ...

      Acte II

      Roméo qui depuis la fête pensait sans cesse à Juliette, la fille qu'il avait aperçu à la terrasse du château Capulet, il eut envie, dans son nouveau état de joie d'aller rendre compte de son amour au confessionnal :

      « Mon père . Oh mon père ! Je l'aime ! » le moine habitué au discours répondit « Et bien mon fils...Rosaline t'a tendu la main comme je te l'avais annoncé ? » et tous de suite Roméo dit « Oh non mon père ! Juliette ! Juliette ! Oh oui c'est elle que j'aime ! Elle rayonne dans mon coeur, vous la verriez mon père ! Je suis sûr que vous abandonnerez votre profession de foi pour se jeter à ces pieds ! Mon père c'est la plus belle ! »

      La personne avait changé mais, le discours était bel et bien le même, le moine presque furieux de se changement de coeur sermonna le jeune homme sir son inconstance ! Mais Roméo en avait que faire il l'aimait ! Le soir même il s'introdui dans le château Capulet, prenant de nouveau un risque, et sous la fenêtre de Juliette, celui-ci lui cria son amour, se fichant éperdument des Capulets ! Il voulait fuir avec elle ! Il voulait l'aimer ! Juliette, qui avait passé sa tête à la fenêtre délivra un message d'amour équivalent à Roméo qui tous enthousiasmé lui promis un mariage. Celui-ci rentra chez lui et tous de suite alla voir le frère Laurent pour lui expliquer la situation et pour savoir si il voulait bien les mariés ... Celui-ci presque à contrecoeur accepta bien qu'il trouvait en se mariage quelque chose de malsain ... Roméo ... Roméo quel bêtise va-tu faire ? Ne va tu pas trop vite ? Il y a quelque chose de bizarre la dessous ... L'héritier des Montaigu n'écouta que son coeur avertit la nourrice de Juliette pour la faire venir le lendemain à l'Église avec le prétexte de se confesser pour se rendre au mariage.

      Le lendemain en toutes discrétions, le mariage fut célébré et le plan de fuite s'organisa, en effetRoméo voulait vivre son amour avec Juliette sans contrainte et voulait s'enfuir loin, très loin pour être seul avec ça bien-aimée.

      Acte III

      Le plan fut conçut avec la plus grande minutie pour être certain qu'il ne laisserait aucune trace. La complicité du Frère Laurent fut obligatoire et une fois tous organisé, les nouveaux époux décidèrent de ne plus se voir jusqu'à l'exécution de la machination qui allait les rendre heureux. Capulet avait, depuis un bon moment, décidé d'offrir la main de sa fille Juliette à Pâris un gentilhomme, le rendez-vous pour le mariage fut donc pris en début d'été à la saison des mariages. Juliette s'énervait à longueur de journée, elle criait à l'infamie, à la torture ! Jamais, plutôt mourir, disait-elle, que de se marier avec ce faux noble qu'était Pâris ! Son père bien que sensible au désir de sa fille resta inflexible et ne bougea pas la date du mariage et commença les préparatifs pour la plus grande fête que jamais personne n'aura faite pour le mariage de sa fille ! Et effet, plus la date approchait plus, au château c'était un florilège de peintres, de fleuristes, de tisseurs, d'organisateurs, de danseuses, de sculpteurs, de bouffons, de nobles, de femmes, d'enfants et d'officiers ...Tous le gratin c'était réuni au château pour assister au mariage tant attendu qui allait être l'avènement de la seconde génération Capulet. Le château était si plein que nombre de personnes durent dormir sur des lits de fortune juxtaposé les un les autres dans une grande salle du château, c'est humiliant certes mais, personne ne voulait rater la fête ...

      La veille du mariage, tous les préparatifs étaient fini, le château était lavé et doré, le jardin brossé ainsi que sculpté pour l'occasion, les meilleurs fleuriste avait travaillé dessus jours et nuits depuis l'annonce du mariage. Seul dans sa chambre Juliette souriait, un sourire bien étrange ampli d'une certaine ... méchanceté. Elle était parties voir dans la journée le frère Laurent qui lui avait remis un paquet de Roméo qui contenait une fiole qui, une fois ingurgité, donner à la personne l'apparence d'un mort. Juliette s'allongea sur son lit et but la fiole d'un trait ... Tous de suite l'effet escompté arriva, elle devait presque bleu, aucun souffle ne se montrait à l'horizon et un profond sommeil la pris. Quand sa nourrisse vint la cherché pour les lavements du soir, elle découvrit la jeune fille morte et cria de tous ces poumons ! Un drame ! La famille Capulet en deuil ! Un mariage se transforma en enterrement célébré par le frère Laurent. Le corps de Juliette fut placé, comme le voulait la tradition dans le caveau de la famille où elle put goûté au repos éternel ... Ou presque ! Le caveau n'était pas surveillé et pour cause : Il n'y avait que des morts, de plus la famille était endeuile donc personne n'osait posé le boutde son nez dehors. Roméo, comme le plan le voulait arriva dans le caveau se pencha sur ça douce Juliette, comme le voulait le sortilège lui posa un baiser très léger sur ses lèvres ce qui eut pour effet de réveiller sa bien-aimée. Roméo, toujours penché sur elle sourit et lui dis :

      « Je vous ai … »

      Couper par la douleur, Roméo ne put finit sa phrase et descendit le regard vers son torse ou un poignard tenu par la femme qu'il aimait c'était planté ... Celui-ci la regarda, fixement, dans son regard un pourquoi se dessinait, Juliette elle se levait, doucement, souriante, un sourire maléfique, démoniaque ... Roméo ne put rien dire et dut assister à l'horreur, car il était encore un peu vivant... Tirant doucement Juliette retira le coeur de Roméo de sa place et le fixant, planté la sur son poignard, elle sourit encore plus .D'un geste brutale elle poussa Roméo qui tomba, mort sur le coup ... Juliette s'enfuit, le poignard à la main, victorieuse ... Pourquoi Juliette ? Est-ce la fin ? Non ... D'une lueur macabre, les ténèbres envahirent le caveau, Roméo, allongeait, mort, ici, dont le costume blanc c'était transformé en un rouge puissant gisait avec un regard terrifié figé sur son visage. Les Ténèbress'engouffrèrent dans le trou qu'avait occasionné le retrait de son coeur et pendant quelques minutes des choses se mélangèrent dans le corps du pauvre défunt ... Son coeur ... Son âme ... Tous était mélangé ...

      Dans l'ombre du caveau un être apparaissait ... Les cheveux cachant ses yeux, un visage sans réel expression sauf se sourire, terrifiant, morbide, fou ... Roméo ! Oh Roméo ! Mais qu'es-tu devenu mon Roméo ?


    Les Questions
    Q u e s t i o n s :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ? Il est capable d'aimer, même plus : il aime. Par contre avoir une relation c'est une tous autre histoire.
      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ? J'imagine qu'il serait le Cerbère, gardien des enfers.
      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ? Mon personnage est très fidèle mais seulement à celui qui en mérite l'honneur.
      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales. Depuis sa transformation, ou renaissance en simili, Roméo n'a eut aucune relations amicales.
      5) Quelle est la devise de votre personnage ? « On m'a enlevé mon coeur ... Je vous enlèverai le vôtre »
      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles? Mes points forts sont la création de personnage et le récit des histoires ! Mon point faible par contre est l'orthographe, bien que je m'améliore de plus en plus.
      7) Pourquoi incarner ce personnage ? J'aime incarner des personnages complexes et simples en même temps, Roméo peut être très compliquer mais très simple en même temps. J'aime également incarner des personnages prenant pied dans des récits que tous le monde connait en les modifiant un peu ! (J'ai déjà fait un Faust, une Bonny et un Clide et j'ai tenté une fois un Dorian Grey).
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    Bonsoir et bienvenue, Roméo...

    On va commencer directement.

    Bon, j'ai un problème avec les trois parties, deux gros problèmes et un bénin.

    Bon pour le physique, c'est l'un des gros problèmes. Tu parles de ton personnage en utilisant ce que j'appelle le "sublime", c'est à dire que tu en parles un peu comme si tu l'admirais, comme une sorte de fan... Tu le décris avec tant d'amour et en le vantant tellement que perso, je trouve ça soulant, on se croit devant un personnage qui a juste un physique parfait...

    Mais il est pas parfait...

    Je suis désolé, à dix-huit ans, être imberbe aussi bien à la barbe que sur les jambes et le torse, c'est ce qui s'éloigne le plus de la perfection !

    En fait moi, faut bien savoir que mes goûts refusent catégoriquement d'aimer les textes avec du Sublime... Je déteste les personnages certains d'être au centre d'un monde de fan girls déja prêtes à enlever leur dessous...

    Soit...

    A part ça, c'est un bon physique, un beau physique. D'une respectable longueur, de beaux mots et de belles phrases, on peut dire que tu as un très beau style.

    Par contre, j'ai pu en effet constater à mon grand dam que l'orthographe ne suit pas (je me contredis sur hier)... Une phrase avec trois fautes, c'est franchement désagréable.

    Commandant.

    Bon, le caractère est clairement meilleur mais il a deux petits problèmes...

    Premièrement, c'est pas important mais bon :

    "Bien que Roméo s'inscrit dans les ténèbres il n'est pas à proprement parler un méchant, il souhaite, simplement, faire souffrir tout le monde comme lui a souffert, pour que chacun sache que toute la vie n'est qu'une mascarade qu'il ne faut pas croire et voir."

    Et à part ça, il n'est pas méchant ? On s'en fiche tout de même, des raisons qui font qu'un homme est méchant... S'il est méchant, il est méchant ^^. Dit comme ça, ça paraît crétin mais allez...
    Essayez quand vous écrivez, de placer les trucs que vous dîtes dans une conversation de tous les jours, réfléchissez avec votre conscience aussi et pas avec la culture manga... Une fille habillée comme Shura de Blue exorcist (premier exemple trouvé), est habillée comme une prostituée... Faire souffrir le monde entier, c'est être méchant ^^.

    C'est pas dans le caractère mais ça a un rapport, ta réponse à la question 1 : Oui il peut aimer. Attends mais non, si c'est un simili; il ne peut pas aimer, je regrette.

    Malgré ces quelques incohérences (car je suis du genre à détester les incohérences et les souligner plus que les vrais problèmes), ça a le niveau du physique, c'est très bien écrit, c'est beau et ton style reste excellent. Seigneur.

    Ces qualités sont aussi présentes dans l'histoire et on peut dire que tu as été très originale. C'est un beau texte qui surprend, qui choque un peu, t'attaques un peu le symbole de l'amour ^^. Et moi qui perso, ai énormément de sympathie pour le personnage de Juliette, ça déchire le coeur !
    Pourtant parce que tu choques, c'est justement vraiment bon.

    Mais le gros problème de ton histoire, c'est que... Perso voir Mercutio, Benvolio et Thybalt en simples figurants...

    D'accord, tu t'es dit "je vais pas inclure la mort de Thybalt et Mercutio, c'est pas mon sujet, je vais dire l'essentiel" mais bordel, c'est juste cruel. Moi c'est très nettement ma scène préféré de toute la pièce, la mort de Mercutio. Ses paroles sont magnifiques et remuent les tripes...

    Et ça a quand même de l'importance, n'empêche.

    ... Et que t'en parles pas, qu'ils aient un rôle si dispensable, franchement ça me laisse sur ma faim, un truc énorme... C'est aussi pour ça que je t'ai demandé à quel point tu aimais l'histoire.

    Et c'est pour ça que je donne capitaine à l'histoire.

    Ca te fait un grade de Commandant.

    Fiche validée et toutes conneries du style.


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