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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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  Présentation de Braska

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    Identité



      P r é n o m  :  Braska
      S u r n o m  :  L'Arme de la Paix
      Â g e  :  42 ans
      C a m p :  Errant
      M o n d e d' O r i g i n e :  Le Jardin Radieux
      R a c e  :  Humaine

    Descriptions
    P h y s i q u e  : 
      Les tenues vestimentaires. Voilà bien un sujet qui soulève des questions ou qui amène à des débats. Pourquoi nous habillons-nous ? Pour choisir ce vêtement plutôt qu'un autre ? Tellement d'autres questions existent et à chacune d'entre elles on peut y apporter ses réponses. À vrai dire, jusqu'ici je n'y avais jamais réellement porté intérêt, mais puisque l'on me pose la question. Par quoi pourrais-je commencer ? Je vais choisir de parler du fait que cela donne un certain statut à celui qui les porte ou plutôt qu'on les porte en fonction de son statut. N'avez-vous jamais remarqué qu'un homme d'affaire aurait tel style de tenue, qu'un prêtre en aura une autre ? C'est une façon de dire « moi je suis cette personne ». Beaucoup d'individus font cela pour qu'on sache d'entrée de jeu à qui l'on s'adresse. Je n'ai absolument rien contre ça, c'est parfois une bonne chose.

      Il y a aussi la richesse qui joue beaucoup. C'est désolant à dire, mais une personne pauvre n'aura que très rarement les mêmes tenues que quelqu'un de fortuné. S'afficher de la sorte est bien courant et là, par contre, c'est une chose que j'apprécie légèrement moins. Pourquoi ? Car cela peut nourrir la jalousie, l'envie d'autrui et l'avarice est quelque chose que je n'arrive pas à comprendre. Je ne dis pas être épicurien et renier les petits plaisirs de la sorte, mais si cela porte préjudice, je n'en vois définitivement pas l'intérêt. Montrer sa richesse attire trop souvent les esprits malveillant qui finisse par graviter autour de nous comme la lune tourne autour de la Terre.

      Pourtant, la lune reste nue et c'est de là qu'elle tire sa beauté. Il n'y a rien d'étonnant au fait qu'elle fascine tant de monde même si ce n'est qu'une sphère assez banale. De par sa simplicité, elle arrive toujours à m'apaiser. Je passe beaucoup de temps à l'observer et j'aspire à atteindre la même sérénité qu'elle. Si calme et pourtant si puissante qu'elle est capable de faire varier les marées à elle seule. C'est ce que j'appelle la force tranquille, user de sa force dans un calme olympien. Même si elle est prisonnière de sa trajectoire perpétuelle, de notre point de vue elle semble faire ce qui lui plait. Elle va et vient flirtant parfois avec le soleil. Elle s'amuse parfois à cacher ce dernier en pleine journée.

      Peut-être que c'est aussi ça de porter un vêtement, peut-être que c'est pour cacher quelque chose. Il doit y avoir une part de vérité là-dedans. Un homme qui est exécrable, qui n'a aucun savoir vivre, mettez-lui un costume, une cravate et vous en faites un gentleman. Bien évidemment dans les faits c'est totalement faux, mais toujours est-il qu'un homme qui entre dans une pièce, habillé de cette manière fera ressortir quelque chose. Il aura certainement plus de chance d'attirer les regards qu'une personne habillée d'une façon simple.

      On peut donc aussi parler des tenues choisies par envie. Dans ce cas, c'est souvent pour affirmer un état d'esprit voire une appartenance ethnique. Une jeune femme habillée vulgairement fera passer un certain message qu'elle aura bien pris soin d'écrire comme elle l'entend. Ce genre de personne connait parfaitement l'importance que peut jouer le physique aux yeux des autres. J'ai aussi envie de parler de ceux qui n'y font pas attention et qui prennent ce qui leur passe sous la main. Ne pas prendre la tête avec tout ceci est pour moi une bonne chose, l'habit ne fait pas le moine.

      Je vous l'avais dit, c'est un sujet qui soulève bien des questions. Mais moi alors ? Où est-ce que je me situe dans toutes ces catégories présentées ? J'aurai bien envie de vous dire que je fais partie de la toute dernière, celle regroupant ceux qui n'y font pas attention. Mais je n'ai pas réellement la tenue adéquate pour dire ceci et de plus il arrive que je me fasse une idée sur la personne en face de moi lorsque je vois sa tenue. Non, j'appartiens plus à ceux qui affichent un statu même si aujourd'hui ce n'est plus très vrai. Je suis quelqu'un de croyant même si je n'associe pas tout aux divinités. Ayant servi dans l'Église, j'ai reçu des vêtements montrant la fonction que j'occupais.

      Je suis principalement affublé de la couleur rouge que j'ai choisi moi-même. Pour moi c'est une couleur symbolisant la passion, j'aime me laisser envahir par les sentiments, par la beauté des choses. Je porte beaucoup d'attention à ce qui m'entoure quel que soit le domaine sans pour autant tout savoir ou comprendre. La passion c'est aussi ça, savourer des moments que l'on ne peut pas forcément expliquer logiquement. Cette couleur est présente sous une forme de toge qui cache la totalité de mes bras et de mes jambes en se terminant sous la forme de pétales. Cela était aussi voulu de ma part, les fleurs sont délicates, belles et douces. Je porte également du bleu autour de mon visage, cela adoucie mes traits. Une teinte très jolie, apaisante, symbole de la paix. Ce couvre chef ne laisse apparaître que mon visage qui, avec mes mains, sont les seules parties visibles de mon corps. Pour finir, ma tenue se complète avec le blanc représentant la vie que je cherche à protéger. Cette couleur se trouve près de mon cœur le faisant battre et aussi autour de mon visage pour montrer que la vie nous entoure. Vint alors la pièce finale, mon sceptre qui est mon « arme ». Je l'utilise pour appuyer mes propos, je m'en sers en tant que symbole. Ce n'est pas un objet pour se battre, c'est une arme qui montre que je ne suis pas agressif.

      Même si ce n'est pas quelque chose de palpable, de visible, mais que l'on ressent, je vais vous parler de ma voix. Je n'ai pas un timbre fort, je parle souvent sans hausser le ton, préférant que l'on m'écoute plutôt que de forcer la main. Elle est douce tout en restant masculine, elle défini bien ma façon de penser et il y sera difficile d'en ressentir une hésitation. Étant souvent amené à dialoguer pour redonner goût à la vie, ou même pour encourager, je dois avoir l'air sûr de moi. Je suis un homme comme les autres ayant ses propres convictions et je marche ainsi sur la route de l'espoir.


    C a r a c t è r e : 
      Question vis-à-vis du caractère :
      Altruisme, foi et détermination.

      Nous venons tous au monde avec un destin dans lequel nous devons trouver un but à notre existence. Certains hommes ne trouveront jamais de réponses à leurs questions, d'autres ne chercheront pas à y répondre. D'autres encore vont vous dire que la destiné n'existe pas, que nous sommes tous maître de notre vie. Que cela soit vrai ou non, il y a une fatalité qui n'échappe à personne ; la mort. Bon nombre d'individu partent en quête de l'immortalité, mais tout cela n'est pas dans l'ordre des choses. La nature donne et tôt ou tard, il faut lui rendre que notre séjour sur terre soit bref ou non. J'ai moi aussi longtemps cherché un but à mon existence, d'abord je me suis tourné vers les dieux et la religion. J'y ai beaucoup appris comme des notions telle la tolérance, le partage. C'est un jour que je me suis réveillé en découvrant réellement qui j'étais et ce que je devais faire. Je n'insinue pas avoir de grandes réponses sur l'humanité, mais c'est en elle que j'ai posé ma foi.

      J'ai souvent observé le monde autour de moi et la nature de l'Homme est telle que la guerre fait durement partie du quotidien. Certes, j'admets que nous ne sommes pas tous comme cela, à nous déchirer sans cesse, mais nous avions besoin d'aide. J'ai alors réalisé que les dieux ne viendraient pas nous aider, qu'ils nous avaient suffisamment enseigné pour que l'on puisse faire le reste. Il suffisait d'un simple nuage pour que la pluie s'abatte, mais un peu de vent pouvait éloigner les intempéries. J'avais décidé d'être cette douce brise et d'apporter l'aide nécessaire pour qu'enfin nous puissions jouir d'une éternelle félicité.

      Seulement, un grain de sable aussi grand soit-il ne peut changer la plage à lui seule. Il me fallait trouver les moyens qui me permettraient d'agir. Cette fois encore, j'ai observé autour de moi, j'ai entendu beaucoup d'histoires, j'en ai vécu certaines et j'en ai bien plus à vous raconter. Je vais donc vous parler des différents pacifistes qui peuplent nos nations. La majorité pensent qu'il faut vaincre le mal par le mal et que pour arriver à une paix totale, il faudra d'abord passer par la guerre. Ceux-là savent que les pertes sont inévitables, mais que le sacrifice est nécessaires. Une autre partie pense que toute chose peut être réglée en utilisant les mots comme seules armes. Bien trop souvent ces derniers ne sont pas pris au sérieux. Les derniers sont las de tout cela et ne font rien même s'ils regrettent parfois de ne plus avoir la force, l'étincelle qui nous dit de changer les choses. Pour ma part et je ne parle là que de mon cas personnel, je pense qu'il y a du bon comme du mauvais dans ces deux premiers procédés. Bien sûr, je privilégie la diplomatie plutôt que les armes, mais je pense sincèrement qu'il y a des moments où il faut agir.

      Vous vous demandez alors comment savoir quelles sont les circonstances qui exigent de l'action. Là encore ce n'est pas une réponse universelle, tout peut varier selon les points de vue. Si je devais définir une condition cela serait très certainement la protection. Celle de la famille, des amis et des siens. Mais je n'aime pas vraiment ce dernier terme, si nous voulons vivre en toute quiétude les uns avec les autres, il faut cesser de dresser des barrières. La race, la nation, les clans sont autant de notions qui pour moi n'ont aucune valeur. Tous autant que nous sommes faisons partie d'un tout dans lequel même les animaux et autres créatures mystiques appartiennent. Tous ces êtres interagissent avec la nature et j'ai l'intime conviction qu'entrer en communion avec elle nous apportera ce que nous recherchons.

      Malheureusement, trop de monde ne comprennent pas la valeur de ce que j'appelle le Monde. Comparé à longévité de ce dernier, notre passage équivaut à la durée de vie d'un papillon par rapport à la nôtre. Pourtant, nous ne cessons de détruire ce qui nous entoure et pas seulement les êtres vivants. La vie qui nous a été donnée est un cadeau et le lieu où nous menons cette existence doit aussi être perçue comme tel. Je me dois de protéger cette offrande et de préserver sa beauté pour les générations futures. Même si nous ne connaissons pas la finalité de ce Monde ni la raison de notre existence, il est de notre devoir de laisser intact le sol que nous avons foulé.

      Mais même s'il n'y a qu'une infime quantité de personnes à adhérer à ma façon de penser, je n'irai blâmer aucun être en ce monde. Je conçois parfaitement que l'on puisse avoir des avis différents, des façons d'agir différentes. Je ne veux pas réellement changer tout ça, je veux seulement faire prendre conscience aux gens des véritables maux qui les accablent. J'ai foi en l'humanité et j'ai la nette certitude qu'avec du travail et de la volonté, tout peut arriver. Voilà donc quel est le but de ma vie, voilà le chemin que j'ai choisi.

      Un voyage s'imposait alors comme une évidence même si dans le cas présent on pouvait parler d'un pèlerinage. Il peut y avoir une infinité de raisons qui poussent les hommes à voyager. Cela va du simple loisir, à l'envie de découverte en passant par la nécessité. Moi, je voulais en apprendre plus sur les mœurs de l'humanité, comprendre le fonctionnement de tout ce qui m'entourait. Avant d'utiliser les moyens qui s'offraient à moi, je devais savoir exactement ce qui devait être réparé. Agir sans savoir est la pire bêtise de l'Homme, souvent cela n'engendre que de nouveaux désagréments. Comme avant tout je préfère aider ceux qui en ont besoin, ce pèlerinage m'a permis de renforcer mes pouvoirs. Étant une personne altruiste, il devient évident que je parle de ce qui est appelé la magie blanche. Voilà le seul domaine magique dans lequel je me suis focalisé, les sorts de soin et de soutien. Je peux guérir tout type de blessure, vaincre des maladies et parfois éviter des morts certaines. Bien sûr, je n'ai pas l'antidote pour toute chose. Certains pouvoirs ou même simples maladies me sont impossible à soigner. Dans ces cas-là, je cherche une solution ne baissant jamais les bras même si cela doit prendre des années.

      Mais je ne vous ai pas encore tout révélé. Si je vous ai dit que je ne m'étais spécialisé que dans un seul type de magie, cela n'est pas réellement vrai. Je suis une personne attentive avec les autres, j'arrive à créer des liens avec beaucoup de personnes et cette symbiose m'a amené à rencontrer des êtres mystiques. Dès lors, je peux les appeler où que je sois; mais je n'appelle pas ça de la magie. Je suis seulement entré en osmose avec ces créatures appelées chimères. Elles m'aident comme j'essaye de le faire en retour aussi bien en combat que dans tout autre domaine. J'ai déjà vu d'autres personnes capables de réaliser ces prouesses, mais rares sont les fois où ce n'était pas pour les utiliser comme outils. Demandez-moi de les appeler pour votre simple plaisir et la réponse sera non. Il m'est insupportable d'opérer sans raison même si cela permet de satisfaire autrui.

      Ce qui me fait avancer, c'est la confiance, la certitude que rien n'est déjà tracé. J'ai également besoin d'amis, cela peut paraître idiot dit comme ça mais il s'agît là d'une grande force. Comme tout homme je suis parfois en proie au doute, ça ne rabaisse pas mon envie de réussir et ça n'ébranle pas non plus ma foi. Seulement, la solitude ronge et détruit sa proie, mais là encore, ce n'est pas la pire chose qui soit tant je suis déterminé. Non, pour moi le principal ennemi est sans aucun doute la tristesse. C'est ce qui nous fait baisser les bras, ce qui change notre nature pour faire de nous des monstres désespérés. Lever le voile de la tristesse est une tâche qui m'incombe. Si mes mots vous touchent, alors venez avec moi et marchons ensemble.


    G r a d e . v i s é :
      Même en ayant lu les règles, je ne saurai choisir.

    H i s t o i r e :
      Je ne suis ni un sage, ni un héros, je n'ai pas fait de grandes choses dans ma vie et beaucoup d'éléments m'échappent. Mais aussi peu importante puisse être la vie d'un homme, il est toujours bon d'écouter. Il y a toujours quelque chose que l'on peut voir différemment pas la suite, on peut apprendre des erreurs des autres. Alors, s'il vous plait, laissez vous raconter qui je suis. En réalité, je n'ai pas de souvenirs de mon enfance en tant que tel, je me rappelle seulement les histoires que l'on m'a contées à cette époque. Comme ces récits ont eu un impact sur ma vie, c'est à travers eux que vous pourrez me découvrir.

      Tout commence par ma famille, mon père et ma mère principalement. Nous vivions tous les trois au Jardin Radieux dans la paix. C'est très certainement la seule période d'accalmie que j'ai réellement connu mais j'étais hélas trop jeune pour en avoir conscience. C'était un monde comme je l'ai dit, très paisible, dirigé par une personne aimée. Son nom était Ansem si mes souvenirs sont encore bons. Toujours étant, l'entente entre les personne vivant en ce lieu créait une atmosphère très agréable. Il n'y avait aucun jugement par rapport à la classe sociale et aussi par rapport à la « race » comme le disent certaines personnes; C'est sans doute pour cela que mes parents avaient décidé de vivre ici. Mais pour moi, rien de tout ça n'a été très marquant. Je veux dire, bien sûr que j'ai eu des amis, mais ce qui me plaisait le plus à cette époque était les voyages avec ma famille. C'est très jeune que ce goût de découvrir est donc venu. Dès mon dixième anniversaire nous sommes partis visiter ce que je nomme ma première découverte.

      La neige y était abondante, le froid était roi et le calme était omniprésent. Je parle bien évidemment de la Terre des Dragons, mais plus spécialement les montagnes qui s'y trouvent. Si l'on voulait découvrir le « cœur » d'un monde, il fallait quitter les tumultes de la vie citadine. C'est ce que me répétait sans cesse mon père et c'est pourquoi je n'ai encore jamais visité la Cité Interdite. C'était un voyage épuisant surtout pour moi avec mon jeune âge mais nous avions loué des chevaux pour aller plus vite. Tout était différent de ce que j'avais vu auparavant. Il y avait des arbres partout autour de nous, aucune habitation et surtout c'était la première fois que je voyais de la neige. Voir des flocons la première fois c'est comme pour des parents qui voient les tous premiers pas de leur nourrisson. C'est extrêmement difficile de décrire ce que l'on ressent, à ce moment il n'y a qu'une seule chose à faire, se laisser envoûter. Après une journée entière à dos de cheval, nous avons fait notre première rencontre en ces terres sauvages.

      Je n'avais encore jamais vu des êtres comme ceux-ci. Ils me faisaient peur, je pensais qu'ils n'étaient que des monstres, des bêtes dangereuses. C'était des bipèdes qui hormis leur couleur bleue et les attraits de lion, nous ressemblaient grandement. L'un deux est venu jusqu'à nous, se présentant sous le nom de Praki Ronso. Ronso, ce mot sonnait étrangement, c'est quelque chose que je trouvais familier. Peut-être était-ce parce que mon père m'avait raconté des histoires sur cette tribu. Les plus marquant après leur physique atypique, c'était certainement leur façon de parler. C'était souvent des personnes nobles qui parlaient comme cela, à la troisième personne. Ils avaient tous l'allure de grands guerriers, même les femmes pourtant ce peuple se voulait pacifiste au possible. Ils n'intervenaient jamais dans des conflits à moins qu'ils n'y soient directement impliqués. Même avec mon jeune âge, j'avais compris un de leur message. C'était un des jeunes de leur tribu avec qui j'avais passé tout mon temps qui m'a fait comprendre. Je n'avais vécu aucune guerre, mais eux connaissaient les maux des êtres vivants. Ils n'étaient pas croyants, mais ne rejetais pas la religion pour autant. L'enfant Ronso du même âge que moi portant le nom de Kimahri avait une façon précise d'interpréter la vie. Il trouvait que les humains se cachaient trop derrière leur Dieu n'attendant que son intervention. Mais cette divinité avait déjà donné ce qu'il y avait à offrir, tout ce qu'il fallait faire avait été dit. Dieu leur donne un destin, mais c'est à eux de le prendre en main et ne pas attendre que les problèmes se règlent d'eux-mêmes. Grâce à lui, j'ai appris à faire les choses par moi-même plutôt que d'attendre. Cette visite dans les montagnes enneigées touchaient déjà à sa fin lorsque j'ai compris cette chose, un départ bien amer.

      Pendant deux longues années, il n'y avait pas eu grand-chose d'intéressant jusqu'à ce que mes parents décident de repartir en voyage. J'étais heureux à cette idée même si ce n'était pas pour revoir les Ronsos. En réalité ce n'était pas une aventure aussi plaisante que celle de la Terre des Dragons. Mon père voulait me faire la surprise de la destination, mais en route, le vaisseau avait eu un soucis et nous avons atterris bien loin de là où c'était prévu. À cette époque, les moyens de locomotion n'étaient pas aussi courants qu'aujourd'hui, mais mon père s'y connaissait suffisamment. Ça ne devait lui prendre que quelques heures alors j'ai décidé de visiter. Tout était lugubre, un ciel noir et nuageux que l'on pouvait apercevoir entre les immeubles. Ce lieu semblait inanimé, vide comme si la vie avait décidé de partir loin. Même si tout semblait identique que je marche dix minutes ou une heure, j'ai continué d'avancer. J'ai fini par voir un homme, assis par terre. J'ai d'abord pensé qu'il était blessé, mais aucune plaie. C'était inutile alors que je lui donne de l'onguent mais j'ai tenté de lui parler. Il était sale et parlait tout seul comme s'il était... fou. J'avais beau lui parler, il ne répondait pas et répondait sans cesse la même chose. «  Jusqu'ici, tout va bien... Jusqu'ici, tout va bien... Jusqu'ici, tout va bien... Mais le plus important ce n'est pas la chute... C'est l'atterrissage. » Après dix minutes il est parti en courant sans que je ne puisse faire quoi que ce soit. J'aurais voulu l'aider, lui dire que nous avions un vaisseau avec lequel nous pourrions l'amener dans un milieu moins hostile. Nous avons dû partir par la suite, mais ce qu'il m'a dit aura été quelque chose d'utile quelques années plus tard.

      Toujours est-il que nous avions pu aller ou mon père voulait avant l'accident. Agrabah, oui cette terre qui n'est que désert était notre destination. Inutile de dire que je n'appréciais pas tellement ce monde. C'était comme une plage géante mais avec tous les inconvénients avec aucune qualités. Une chaleur harassante, l'eau qui se fait rare et surtout de l'ennui. Pour en enfant d'une douzaine d'années, ce n'était pas le voyage rêvé. Dans le fond ce n'était pas si atroce, le souk était toujours très animé, il y avait de nouvelles saveurs, de nouvelles odeurs que je découvrais. Cette fois encore, les gens étaient assez différents de nous, le teint hâlé et des accoutrements singuliers. Je me demandais comment ces personnes faisaient pour vivre dans ce milieu toute l'année. En réalité j'avais que très peu de souvenirs de mes voyages avec mes parents. C'est l'une des raisons qui fait que je parle rarement d'eux durant cette période. Ma curiosité était toujours attisée par quelque chose et c'est ça qui me marquait. C'était au souk que j'ai le plus grand souvenir même si cela semblait être un événement mineur dans ce monde. Une querelle avait lieu au souk, c'était assez violent car ils avaient des armes pour se battre. Personne ne faisait rien et même-moi je ne savais pas ce que je pouvais faire pour éviter ça. La seule chose pour laquelle j'avais été utile c'était de soigner le plus amoché après que ce soit fini. J'avais toujours sur moi des potions au cas où et il s'était vite remit sur pied. Le père de cette personne est vite arrivé et il m'a demandé de venir avec eux dans leur maison. Dans un premier temps je n'assistais seulement qu'à une leçon entre le père et le fils. Le premier disait « Ne te fâche jamais! Tu pourrais brûler en un jour le bois amassé depuis longtemps. » Une façon simple de dire que c'est en perdant son sang froid que l'on perd toute chose. Surtout que de ce que j'avais compris, ceux qui se battaient avait été amis auparavant. Je m'imaginais alors ce que ça aurait pu donner si jamais je me querellais avec des personnes proches ou avec des gens que j'avais rencontré. En aurais-je appris autant des Ronsos si je m'étais fâché avec Kimahri ? Je pense que non malheureusement. Mais ce n'est pas là la seule chose que j'ai apprise ce jour-là. Le père, du nom de Marik voulu me remercier d'avoir soigné son fils. À ce jour, c'est certainement l'un des plus beaux présents que l'on puisse m'offrir, la magie blanche. Marik me disait que pour réussir dans ce domaine, il fallait être altruiste au possible, ne pas seulement se servir de cette magie pour son seul besoin. S'il voulait m'offrir ce don c'est bien que je correspondais à ces critères. Rien que de savoir ceci me rendait heureux.

      À l'époque actuelle il n'est pas rare de voir des mages mais en devenir un n'est pas si aisé que cela. J'avais même eu beaucoup de mal au début. Pour m'aider, Marik me disait de tenir le bâton qu'il me tendait. Ce n'était qu'un simple bâton sculpté d'à peine soixante centimètre. Ce que je devais m'imaginer c'est que l'énergie de la nature devait circuler dans cet objet pour que je puisse ensuite la libérer. Pour ça, il me fallait le tendre vers le sol et d'un simple geste vers une cible la magie allait s'opérer. En d'autres termes, je servais de relais à l'énergie. Ce pouvoir était extraordinaire mais j'ai bien mis un an à le maitriser convenablement. Ce n'était pas encore puissant et même si j'en avais compris le principe, m'en servir sans le bâton m'aura toujours été impossible. On pourrait voir ça comme un placebo, inconsciemment je devais croire que sans cet objet, je n'allais pas y arriver. Cela n'avait pas de réelle importance, j'arrivais à m'en servir et donc je pouvais être utile. J'étais heureux de pouvoir montrer tout ceci à mes parents, ils semblaient fiers de moi. Ma mère m'avait apporté une explication supplémentaire. Pour mieux la maîtriser, je devais beaucoup m'entrainer mais je devais éviter d'en user si je devais partir quelque part. « La magie est comme un verre d'eau » me disait-elle, « plus tu t'en sers, moins il y en a. ». Mon père lui, m'appris les sorts de bases en magie noire. Je n'ai jamais cherché à être très fort de ce côté là, je n'aimais pas me battre mais le minimum était bon à avoir. Pour ça, j'ai dû opéré globalement de la même manière, toujours avec mon bâton. Mais cette fois-ci, mon père avait mis une allumette au bout. Je devais visualiser une énergie naturelle qui corresponde au feu pour l'allumer. Pour la glace, c'était un glaçon et si l'énergie correspondait alors il grandirait. Pour la foudre c'était une simple pile électrique puisque le type d'énergie était la même. Le plus dur était l'eau car c'était une matière assez volatile. Toujours est-il que j'ai fini par réussir, j'avais dans mon répertoire les sorts Brasier, Glacier, Foudre, H2O et Soin.

      J'ai alors passé trois ans à perfectionner mon sort de soin qui est vite devenu plus puissant. Par ailleurs, j'avais découvert en plus de ça, des magies de roches et d'air. Mais toute ma magie offensive ne sera jamais allé plus loin. J'ai commencé à apprendre de nouveaux sorts de magie blanche et à 15 ans j'avais une bonne liste qui faisait de moi une personne utile en cas de guerre. Je n'avais pas encore eu à l'utiliser dans ses conditions mais tous les mondes commençaient déjà à vivre des guerres. Je me disais que c'était une bonne chose que les voyages entre les mondes étaient aussi peu courant à cette époque. Cela n'aurait permis qu'à étendre des conflits sur d'autres territoire. De mon côté, je travaillais dans un centre de soin visant à soigner les blessées ou à aider des personnes infirme à avoir une vie la plus normale qui soit. C'était ma vocation, aider les gens et j'ai fini par me tourner vers la religion à mes seize ans. Je gardais à l'esprit ce que m'avait dis Kimahri, que l'on avait déjà les réponses mais c'était là que l'on pouvait m'écouter. Étant une personne qui travaillait beaucoup pour l'église, j'ai vite été accepté par beaucoup. Le père de l'église est alors venu jusqu'à moi, il me disait que j'étais prêt pour en savoir plus sur les créatures crées par Dieu.

      Je ne saisissais pas très bien de quoi il était question. D'après eux nous étions tous des créations d'une divinité alors allais-je en savoir plus sur l'Homme ? Je restais perplexe dans un premier temps mais déjà, j'étais heureux dès la première information. Nous devions nous rendre tous les deux dans les montagnes de la Terre des Dragons. J'allais pouvoir revoir mon ami Kimarhi dont je n'avais pas eu la moindre nouvelle depuis bien longtemps. Il avait grandi, c'était maintenant un Ronso fort comme ses frères. Par sa posture il imposait tout de suite un grand respect. Seulement l'heure n'était malheureusement pas aux bavardages et nous avons dû marcher dans la neige jusqu'à un endroit reculé. Nous sommes alors arrivés à l'entrée d'une grotte que je n'aurais jamais trouvé seul, je ne saurais même pas dire qu'elle chemin prendre pour rentrer. Nous sommes alors rentrés à l'intérieur où des torches étaient déjà allumées comme si elles brûlaient nuit et jour. À l'intérieur c'était comme un labyrinthe, tout était fait pour que cette grotte soit bien protégée. Il nous a bien fallu une heure de marche à l'intérieur pour arriver dans ce qui semblait être une pièce abritant un autel. Au centre, il y avait une sculpture faite dans le sol. J'avais la sensation qu'une personne y avait été enfermée. La sculpture représentait un homme avec des ailes. « Des êtres ont été créés par Dieu afin de nous aider dans l'élévation de notre civilisation » me disait le père de l'église tandis que Kimahri restait muet. « Il est temps pour toi de pouvoir faire appel à ses créatures. » qu'il me disait ensuite... à l'entendre on aurait dit que ce n'était que des outils mais se rappelait-il seulement que si ce sont des êtres vivants alors ils ne peuvent être utilisés comme tel sans en subir un coût à un moment donné ?

      Quoi qu'il en soit, j'avais décidé d'écouter ses paroles. Il me disait que j'étais une des personnes étant capable d'entendre ses entités. Il disait aussi que je devait rester seul jusqu'à entrer en symbiose avec elle. J'étais donc seul, face à cette pierre en face de moi. Dans un premier temps j'étais resté debout mais les minutes défilaient et j'avais du mal à tenir. Je me suis donc assis en position du lotus, fermant les yeux avec les doigts entrecroisés. Je ne sais combien des temps s'est passé avant que j'entende quelque chose. C'était comme un chant, il n'y avait personne pourtant mais j'entendais un chant. J'ai ouvert les yeux pour voir une personne flotter au-dessus de la pierre. On aurait dit un fantôme mais plus le souvenir d'une personne. Elle me parlait du monde, du chaos qui s'abat et de l'urgence de réagir. « Pour t'aider à accomplir ton but, je t'offre mes pouvoir » m'avait-il dit avant de me traverser. Je sentais quelque chose d'étrange dans mon corps, comme s'il m'avait pénétré. Il n'était plus dans la pièce, j'étais seul et les torches commençaient étrangement à faiblir. Kimahri m'attendait pas loin pour qu'il m'aide à trouver la sortie sans me perdre. Lorsque je suis sorti, nous avons directement dû quitter ce monde retourner à l'église.

      J'ai naturellement appris à appeler les entités avec lesquelles j'étais entré en osmose. À cette époque, je portais déjà les habits que j'ai aujourd'hui ainsi que le même sceptre. J'étais habitué à user de la magie maintenant mais ce n'était pas la même chose. Il est difficile de l'expliquer, je pense qu'il faut le vivre pour le comprendre. Fondamentalement, la technique n'est pas si différente sauf que j'effectuais une sorte de danse. Cela amplifiait mes mouvements et de ce fait je captais plus d'énergie autour de moi. Un sceau se dessinait sous mes pieds ensuite la chimère apparaissait de manières différentes suivant qui elle était. Pour ma part, ma première chimère est descendue du ciel lorsque quatre rayons ont touchés les nuages. C'était un genre d'oiseau, plus grand que moi. Il semblait serein, doux et amical. C'est ainsi que j'ai débuté ma vie d'invokeur ayant décidé de ne pas m'en servir comme de simples outils. Très vite je les ai considérés comme des amis et le contact s'opérait souvent très bien.

      Par la suite j'ai fais de nouvelles découvertes. Les hommes, lorsqu'ils meurent n'ont pas réellement fini de vivre. S'ils sont rongés par le remord, par la colère, une tristesse profonde ou tout autre sentiment négatif, ils peuvent se transformer en des êtres appelés sans-coeurs. Pour ne pas entrer dans les détails, je vous dirais seulement qu'en somme, ils deviennent des monstres. J'ai, de part mon apprentissage dans l'église, appris à purifier les âmes en peines avant que celles-ci ne se transforment. Ainsi l'âme est libre et jamais elle ne se transformera en monstre. Mais mon pouvoir ne s'arrêtait pas là. L'âme des chimères qui est enfermée dans une pierre y a été mise par un homme. Je peux le faire aussi mais jamais je n'ai commis cet acte. Si c'est le désir de la personne en question, je peux le faire mais je n'irai jamais à l'encontre des envies de quiconque.

      Pendant les trois années qui suivirent, j'ai dû me retirer de l'église pour être proche de mon père qui était mourant. Les maladies lui tombaient dessus comme la pluie en automne. Il n'eût aucun moment de répît durant cette période mais à aucun moment je l'ai entendu se plaindre. Il restait actif, voyait toujours tout du bon côté et gardait le sourire. Pour moi, c'est l'homme le plus fort que j'ai pu connaître. Il était réellement fort, un mental à toute épreuve comme on en voit que très peu dans notre vie. J'ai appris de lui toutes les notions de tolérance, d'aide et bien d'autres encore. Malheureusement il a fini par s'en aller dans l'au-delà, laissant ma mère seule. J'ai passé du temps à m'occuper d'elle, sa tristesse lui faisait perdre tous ses moyens. Quand son état s'est amélioré, je suis retourné à l'église. J'y ai rencontré une femme magnifique, drôle. Elle ne faisait pas partie de l'église, elle n'était que de passage mais c'était un véritable coup de foudre.

      J'avais une nouvelle fois dû quitter la religion un deux après. Pourquoi ? Car j'allais être père dont la mère était cette femme que j'avais rencontré portant le doux nom de Naomi. Nous avons alors eu une petite fille du nom de Yuna. En famille nous avons vécu ensemble pendant 10 ans. Ma femme fut victime d'un cancer foudroyant, nous ne pouvions rien faire même avec les meilleures sciences ou même avec la magie. Deux ans s'écoula de nouveau, les mondes commençaient à interagir les uns avec les autres. Des guerres faisaient même rage, les sans-coeurs étaient plus nombreux. Je me devais d'agir, j'ai alors confié Yuna à mon vieil ami Kimahri. Je suis retourné à l'église mais personne n'écoutait mes paroles. Ils pensaient que je cherchaient juste la gloire, que c'était pour ça que je ne restais jamais longtemps. J'ai décidé alors de partir en pèlerinage, comme lorsque j'étais enfant avec mes parents.

      Durant cette période, j'ai longtemps erré mais j'ai fais une grande rencontre dans la ville de Disney. C'était celle du Roi Mickey lors d'une famine meurtrière. On s'est rencontré lorsque j'aidais des médecins et des mages blancs à soigner les personnes malade pendant qu'il se chargeait d'envoyer de la nourriture. Sa Majesté était très inquiète sur l'avenir des mondes qui nous entouraient. Il pressentais un grand mal que nous devions être prêts à combattre. Nous avions pu avoir beaucoup de discussion mettant en commun notre façon de penser, des tactiques à adopter pour aider les personnes en détresse. Mais un an après, alors que je ne pouvais avoir de réelle utilité, j'ai décidé de retourner voyager afin de trouver de nouvelles réponses ou même de nouvelles questions. Telle est ma vie, certes peu passionnante mais c'est celle d'un homme transporte dans ses bagages la vie de bien d'autres hommes. Je vis pour que personne ne meurt. Ce n'est là qu'une petite partie de mes rencontres, j'en ai fais d'autres, j'en ferais d'autres.


    Les Questions
    Q u e s t i o n s  :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
      Cela est évident, c'est un mari et un père aimant.
      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
      Une colombe, symbole de la paix.
      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
      Braska est une fidélité à toute épreuve.
      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
      C'est un homme au contact facile que ce soit envers des adultes comme des enfants. Il ne fait aucune distinctions et les races. Tout ceci fait de lui un homme qui peut forger une amitié assez facilement.
      5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
      « Aie foi en moi comme j'ai foi en l'Humanité. »
      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?
      Il m'arrive souvent de ne pas assez faire attention à ce que je peux écrire, oubliant de ce fait de nombreux détails. Toutefois j'ose espérer que mon style d'écriture reste plaisant à lire.
      7) Pourquoi incarner ce personnage ?
      Pour diverses raisons. C'est un personnage qui pour moi a une très grande importance dans le jeu dont il est tiré. Il est souvent oublié pourtant c'est aussi grâce à lui que la menace de Sin n'est plus. D'autres parts, je le trouve très intéressant, c'est une bonne personne et sa confiance en lui m'inspire grandement. Toutefois il ne faut pas confondre cela avec de l'orgueil. Pour finir, j'ai vu que sur ce forum se trouvaient Jecht et Auron, il est dommage que le trio ne soit pas complet.
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J'ai enfin fini ma fiche de présentation. Désolé pour ce temps très long mais surtout pour la qualité. Je ne suis pas très fier de mon histoire mais ayant déjà mis beaucoup de temps, je préfère que ce soit fini. Le grade m'importe peu, dans le pire des cas, je pourrais faire une autre fiche pour remplacer celle-ci plus tard.

En espérant que ça reste une bonne lecture.
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    "Je vis pour que personne ne meurt. Ce n'est là qu'une petite partie de mes rencontres, j'en ai fais d'autres, j'en ferais d'autres." C'est idiot mais j'aime particulièrement cette phrase, elle termine bien la fiche ^^

    Quand je l'ai terminée je ne me suis pas rendue compte que la musique était terminée. En impression générale, dès la première fois que je l'ai lue j'en suis sortie détendue au possible, c'était une belle et agréable ballade, pratiquement sans fautes. D'abord dans l'histoire, puisque j'en sors juste, j'ai d'abord commencé par me dire "est-ce qu'il va bien adapter son personnage à KH ?" la réponse c'est oui, selon moi encore. En effet, il connaît Yuna, il connaît Khimari qui peut-être ne devraient pas si jamais ils sont pris ici, mais cela donne de la profondeur au personnage. Je me suis dit finalement "ouais, c'bien Braska :3" au moment où j'ai lu pour la première fois le mot "invokeur". Elle reste quand même d'un niveau inférieur aux deux autres points de la présentation, bien que niveau longueur elle soit belle (je ne me suis jamais départie de compter la longueur dans ma première impression des fiches, aussi horrible soit-elle, ct'impression). Je n'y ait pas retrouvé la douceur des deux autres points..

    Mais j'en retiend cette phrase : "Je ne suis ni un sage, ni un héros, je n'ai pas fait de grandes choses dans ma vie et beaucoup d'éléments m'échappent." la classe. Comme grade, j'y verrait seigneur, juste pour cette citation qui résume parfaitement le personnage.

    Le petit questionnaire a finalisé mon envie de rp avec ce personnage :3 il est agréable je dois dire

    Quant aux présentations physiques et mentales, je dois bien avouer que je les aies préférées à l'histoire. "J'avais décidé d'être cette douce brise et d'apporter l'aide nécessaire pour qu'enfin nous puissions jouir d'une éternelle félicité." tout en douceur, un personnage à la couleur du ciel, j'ai pensé. La présentation morale est douce, belle dans l'ensemble. Avec un soupçon de résolution "Nous venons tous au monde avec un destin dans lequel nous devons trouver un but à notre existence."on ne le dit jamais assez ! Commandant.

    Et pour finir, le physique, l'entrée en matière de la fiche, que j'ai adoré parce qu'il a donné le ton de la fiche entière. Bien détaillé, classieux, simple et avec une grande leçon sur les apparences qu'il faisait bon de placer là même si elle est sue pour beaucoup de monde. Ce petit côté "Tiens, je vais placer un petit bout de description là, et un autre ici, et je vais dire ça" ^^ sympathique je dois avouer. J'hésite, commandant ne serait pas assez, seigneur serait... Seigneur.

    Je te donnerais avec joie le grade de Seigneur, et plus si possible, mais ce n'est pas à moi d'en décider ^^
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    Bonsoir Braska ^^, je te souhaite la bienvenue sur le forum.

    Sache que je suis extrêmement content que tu sois des nôtres aujourd'hui. Quelques semaines avant ton inscription, j'espérais de tout coeur qu'un Braska nous rejoigne. Nous avons un excellent Jecht, un excellent Auron mais c'est surtout un trio "gâché" si je puis dire, sans le troisième membre, Braska. C'est vraiment un trio dont je suis fan.

    On va passer directement à ta fiche, si tu veux bien...

    Le physique est selon moi la meilleure partie de ta fiche, très nettement, c'est vraiment excellent... Et pourtant tu nous parles très peu de son physique et sans parler d'autres choses, tu parles du physique, de tout ce qui tourne autour du physique en général.

    Et quelque part, tu dégages un charisme particulier dans ton physique puisque perso, j'ai presque entendu tout en lisant, les paroles avec un ton de professeur ou de papa attentif. Tu vois, j'ai eu l'impression d'entendre un instituteur qui parle à ses élèves de sept ans en leur expliquant gentiment et super patiemment certaines définitions, certains concepts.
    Alors non, je ne dis pas que tu as un vocabulaire si enfantin mais j'ai trouvé ta façon d'écrire extrêmement tendre, douce, paternelle. Et le pire c'est que tu dis pas des trucs hautement philosophiques mais plutôt logiques, plutôt admis comme "l'habit peut être indice de l'état, de la richesse ou du métier de la personne" c'est des trucs que tout le monde sait mais tu le dis d'une bien belle façon ^^. Et c'est vraiment une superbe qualité qui m'a fait adorer ton physique.


    Le caractère n'avait pas le même charisme mais j'ai quand même ressenti la même chose et je trouve donc que t'as vraiment géré, dans ta façon de l'incarner. Ce qui est d'autant plus génial, c'est qu'on entre plus dans une philosophie plutôt que concrètement dans le caractère de Braska, c'est super original.

    Général pour le physique et le caractère.

    L'histoire...

    Bon écoute, j'ai vraiment pas envie de parler de déception... J'ai pas envie de dire "l'histoire m'a déçu par rapport au reste de ta fiche" parce que c'est sûr, t'as vraiment géré pour le reste mais de là à démolir l'histoire ^^.

    En fait j'ai juste envie de dire que j'ai lu toute ta fiche, le physique, le caractère et l'histoire, que le caractère et le physique avaient une très bonne qualité... L'histoire aussi, je me suis dit qu'elle était très bien mais c'est différent, c'est pas une aussi bonne qualité. C'est un moins bon niveau tout en restant très bien.

    Mais oui, y a moins de ce charisme et peut-être parce que son histoire lui donne évidemment un côté très humain, moins éthéré ^^. Enfin Braska, c'est Goldman quoi ^^, c'est un peu le mec super cool, hyper talentueux mais qu'a l'air super sympa, super humble et généreux... Alors tu l'imagines pas avoir appris, avoir été nul ^^.

    Donc difficile de t'en vouloir à ce niveau là ^^. Bon sinon...

    Les deux seuls problèmes de ta fiche sont deux incohérences... Deux erreurs.

    Pour commencer les sans-coeurs ne sont en aucun cas les âmes non libérées des défunts.

    Ensuite... Pour moi, l'idée même d'une église à la Forteresse Oubliée me paraît trop audacieuse... Evidemment les hommes ont tendance à créer quelque chose au-dessus d'eux...

    Putain et dire que je suis croyant, comment je parle, moi ? ^^

    Enfin soit, le christianisme n'a pas sa place dans la Forteresse oubliée. T'aurais du faire ça dans les mondes chrétiens.

    Ton histoire vaut commandant.

    Et ça te fait un grade de Seigneur ^^, tu ne le sais pas mais c'est un nouveau grade et tu es le premier à l'être ^^.

    Fiche validée et toutes conneries du style.
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