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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Présentation de Firion

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    Identité

      N o m : Reinhardt
      P r é n o m : Firion
      S u r n o m : Le Poète
      Â g e : 26 ans.
      C a m p : Consulat, fils d'Erato
      M o n d e d' O r i g i n e : La Cité des Rêves
      R a c e : Humain

    Descriptions
    P h y s i q u e :
      Tout est si calme, si paisible... Comme je l'ai toujours rêvé. Je marche tranquillement dans la rue et malgré que je soit armé jusqu'aux dents, aucun garde ne vient me chercher des ennuis. Certains me disent même bonjour, tant il ont reconnus mon visage. Il y en a certains que je reconnais, oui, des gens contre qui je me suis battu sur le champ de bataille. La cité des Rêves est en paix, je vois mes frères marcher dans la rue, des enfants bohémiens jouer avec des parisiens.
      Tout semble allé pour le mieux et je préfère oublier toute la rancœur que j'ai en moi afin d'avancer. Certes, jamais nos souffrances ne disparaitront, mais après avoir vécu la guerre, nous préférons la paix.

      Mais je ne peux m'empêcher d'être content en entendant que Frollo est malade, dans l'incapacité de représenter le Consulat.

      C'est une ruelle plutôt tranquille et je marche au son des cloches de nôtres-dame qui résonnent à chacun de mes pas sur les pavés. Comme vous l'aurez compris, je suis un bohémien... et ca se voit. J'ai le teint mâte si typique des voyageurs, comme si je passais constamment ma vie sous un soleil de plomb. J'ai le regard dur, forgé par maintes batailles et les passants voit au fond de mes iris brunes que je n'hésiterait pas à me défendre.
      Ce n'est pas ma chevelure couleur cendre que vous regarderez le premier et ce malgré le contraste saisissant avec ma peau.
      Ce qui vous attire le plus le regard, c'est ce foulard ici orangé et là gris, aux multiples motifs et ornées de bijoux. Certains sont vrais, d'autre faux. Je ne suis que trop peu matérialiste pour songé à leurs valeurs. M'importe seulement que ceux-ci sont les cadeaux des femmes qui ont comptés pour moi, ma mère, ma grand-mère et mes sœurs. J'ai une petite pointe au cœur quand j'y repense d'ailleurs. Mon visage s'adoucit en pensant à elle, mais loin de changer radicalement, je garde mon visage fin et triangulaire.

      Je sort une rose que j'approche de mon nez aquilin. Puis je sens son parfum... La fleur sent comme elle...

      J'ai... un beau corps, je préfère le dire et ne pas jouez les faux timides. Fruit de multiples entrainements et de presque autant de combats, je suis un athlète. Je n'ai aucune once de graisse sur mon corps, tout n'étant que muscle. Je ne suis pas gras, mais en aucun cas maigre. Sec et musclé sont deux mots qui me vont à merveilles, car je suis loin d'être fin.

      Je continue d'avancer, la pluie commence à tomber alors que je suis encore loin du transports Shin-rah. Mais la pluie se fait de plus en plus battante, et je préfère m'abriter sous un balcon en bois. Je m'accoude au mur et attend que la pluie passe.

      C'est idiot mais j'ai peur qu'en marchant trop longtemps sous la pluie, mes armes rouillent. Que ce soit mon épée rougeâtres, mon arc, ma crosse, ma hache, mes dagues ou mon arc... Oui, je sais. Il existe ce qu'on apelle des poches intérieures, à la portée de premier venue mais je préfère garder mes armes sur moi. J'ai toujours imaginé un homme avec une fameuse poche intérieur et qui, au début de combat appel son arme... et là, son arme ne vient pas. J'ai peur que ca m'arrive mais surtout, j'aime trop mon arsenal pour le faire disparaitre je ne sais où.
      Je ne fait pas qu'utiliser les armes, je me bats avec elle. Il y a un lien entre elles et moi, je ne saurais l'expliquez mais sans mon équipement près de moi, je ne me sens pas bien. Je deviens paranoïaque et me retourne sans cesse. Ainsi je préfère porter mon arc en bandoulière, mon épée dans son fourreau accrocher à ma ceinture, ma crosse au niveau de la ceinture dans le dos, mes dagues aux chevilles, ma hache à l'opposé de mon épée et ma lance sur le dos. On pourrait penser que ca me gène, mais pas du tout. J'ai appris à vivre comme ça. Peut-être est-ce sans doute parce que j'ai vécu dans une période similaire à la guerre, ou la répression était constante et où il fallait rester constamment vigilent...

      "Tsss..."

      En m'accoudant au mur, j'ai réussit à faire de belle tâche sur ma cape gris-bleuté. Ça m'agace, surtout que la clarté de ma cape en fait une proie facile pour les tâches. Même si étrangement, j'évite la plupart du temps les tâches. Je pense, légèrement amusé, que si ca se trouve, ma longue queue de cheval a peut-être elle aussi des tâches.

      Le soleil reprends ses droits la pluie s'en va. Deux chevaliers passent devant moi. L'un deux me regarde et pourtant il ne fait rien. Ne montre aucun signe d'hostilité, ni ne m'arrête, ni ne m'agresse. J'ai beau eu souhaité ca depuis des lustres... Ça fait un peu bizarre. Même si c'est étrange, c'est agréable.

      Alors qu'il s'éloigne de moi, je jette un coup d'œil derrière moi. J'aperçois aux loin des chevaux montés par de 'preux' chevaliers en armure. Je n'ai jamais compris, jamais put envisager l'idée de me battre encastré dans une boite de conserve.
      Peut-être que je n'ai pas assez peur de me prendre des coups ! M'enfin... Ça doit être délicat pour eux de bouger facilement avec ca, d'esquiver ou de se mettre à couvert. En fait non, c'est impossible. Pour ma part, j'ai toujours privilégier la mobilité à la défense. Mon armure est une armure légère tout de cuir, recouverte seulement par de fines plaques de métal tout le long de mon buste est aux genoux. Soyons clair, une blessure incapacitante est vite arrivé... Un mauvais coup aux genoux et je me retrouve privé de ma mobilité, un mauvais coup à la poitrine et je meurs. Dans le même état d'esprit, je porte des épaulières.

      Rien de très lourds et je ressent, parfois violemment, les chocs, mais rare sont les lame à pouvoir me transpercer. Il faut aussi savoir que je porte des brassards très serrés au niveau du poignet, pour éviter à celui-ci de se blesser lorsque je donne un coup de poing. Je manque sans doute de fairplay, mais j'ai quelques bagues aux doigts, histoire de donner des coups qui font vraiment mal. Et tant qu'on parle d'attirail, je porte des bracelets aux tissus aux chevilles et sur ceux-ci sont accrochés quelques bijoux.

      J'aime le superflu et j'aime rajouter quelques détails, comme ceux-ci... Ça me rappellent que je ne suis pas qu'un soldat.

      Sans m'en rendre compte, je suis déjà devant le transport Shinrah... Je me retourne une dernière fois pour regarder la Cité des Rêves... Puis j'embarque pour le Jardin Radieux.

      Question vis-à-vis du Physique :
      Attention, car voici venir dans l'arène un vrai maître d'armes ! Firion est un combattant d'exception d'une polyvalence rare. Pour commencer, il faut savoir que les capacités physiques du Consuls sont tout à fait honorable. Fort et agile, un œil avisé verrat sans mal qu'il peut parfois manquer de rapidité. Peu de gens sont capables de tenir à tête à ce combattant au sol. Ce serait mentir que de dire que le poète est un combattant aérien et c'est dans les airs qu'il se révèlera le moins doué. On dit que la meilleure défense c'est l'attaque, certes. Mais encore faut-il attaquer au bon moment. Adepte de la tactique dites de la "tortue", Firion préfère la jouer défensive et attendre qu'une faille apparaisse chez l'adversaire avant de l'attaquer. Loin de ceux qui agresse sans relâche, notre maitre d'arme est un tacticien posé et réfléchit. Un guerrier reste et restera cependant toujours un guerrier, ainsi quand viendra l'heure d'attaquer, il attaquera.

      Chaque combattant à des cartes en main. Des cartes qui sont des techniques, capacités et autres compétences. Que serait stratège sans pléthore de cartes ? Comme je vous le disais au début, Firion est un véritable maître d'armes, capable de maitriser en tout huit armes différentes et ce, avec une grande dextérité.

      L'Épée, à même de trancher ou de percer. Sa courte portée ne permet guère d'autre approche que le corps, mais c'est une arme très polyvalente et sans doute celle avec laquelle Firion a le plus de facilité. Idéale pour tester un ennemi ou l'affronter au contact.

      Vient ensuite le bouclier accroché à son bras gauche. Certes petit, le bouclier n'en reste pas moins solidement attaché à son bras et offre une protection sans faille. Que dire du bouclier ? Il est tout simplement idéal pour bloquer et contre-attaquer. A l'occasion, il pourrait même servir à donner un coup assommant.

      Les deux dernières armes, que ce soit l'offensif épée ou le défensif bouclier ne vont guère plus loin que le corps à corps. Je vous propose de vous éloigner du contact pour atteindre la mi-distance. La lance. Longue, solide et robuste, ce serait folie que de vouloir trancher avec une telle arme, mais on ne trouvera mieux pour transpercer l'ennemi en gardant ses distances. C'est un bon compromis, lorsque l'on veut rester au contact sans trop s'approcher. En plus, cela permet de terrible attaques plongeantes dévastatrices.

      J'aimerais ensuite vous parler tout en finesse : la hache. A mi-chemin entre l'épée et la masse, arme qui ni ne frappe, ni ne tranche. La hache déchire la chair. Cependant, la hache de Firion n'est pas commune puisque la sienne est une hache de lancer qui se tient à une main. Tel un boomerang, elle est lancé avec force puis revient dans ses mains. Extrêmement efficace contre ceux qui se dissimule derrière une armure. Il s'agit de sacrifier un peu de portée et de vitesse contre plus puissance, et ce par rapport à l'arc.

      Car oui, c'est aussi un archer ! Précision, vitesse et portée. Parfait pour se battre à distance même si généralement peut efficace contre un lourd blindage.

      Quand il s'agit de se battre sans blesser, Firion utilise une crosse. Cette arme est une arme de mage et certes, Firion peut user de magie. Pour tout vous dire, cette arme est celle qu'il utilise le moins.

      En tant que maitre d'arme, jamais Firion n'aurait put négliger l'arme la plus évidente, pure et naturelle qui soit : son corps. Plus que pour frapper, son corps a été entrainé, car le corps c'est la base du combat. Pour encaisser les chocs, avoir de la force et être mobile. Le corps est le base, sans un corps performant, il n'y a pas de guerrier.

      Vient la dernière arme. Une paire de dague avec comme particularité d'avoir des cordes accroché à leurs manches. Des armes vicieuses, pleines de ruses. Ça peut servir de grappin, de poignard, les utilisations sont aussi diverses que variés.


    C a r a c t è r e :
      La vaisseau a décollé et moi je suis confortablement assis, le regard perdu dans le hublot qui donne vers le vide intersidéral. Je suis songeur et je songe à ces paroles féminines, qui me semble si lointaine et si proche. J'aurais très bien put m'imaginer ces paroles et pourtant, je me sens obligé de l'écouter, de faire ce qu'elle me dit.

      "Erato, mère de Poésie, te réclame.
      Que tous tes vers soient vifs et de toute beauté !
      Dévoile au monde la Couronne de lauriers !
      Cher poète, grave cette promesse en ton âme...
      Pour réussir, trouve ton ancien persécuteur
      Qui t'observe du ciel, perché en ces hauteurs."

      Elle n'en parle pas à un seul instant, ce n'est même pas elle qui me parle directement et pourtant... Je sens à travers ce sizain la promesse d'un monde en paix. Le Consulat... En vérité, tout ce qui est artistique, j'ai aimé, il y a longtemps. La cour des miracles est un véritable repaire d'artistes plus ou moins doués. Lorsque j'étaie encore jeune, je me voyais déjà devenir barde.
      Oui, j'étaie doué... Je faisait danser les mots et égayant la vie des gens. Puis il m'a fallut prendre les armes, mais je ne les ai pas prises en tant que guerrier... La première fois que j'ai attraper une épée je n'avais en tête que la fin du conflit, tous ce que je voulais c'était que le monde soit aussi paisible qu'un champ de fleur, et je le veux toujours ! Je me bat pour elle, pour cette femme divine et belle, malheureusement insaisissable qu'est la paix... C'est pour elle que je me suis toujours battu, et pour le quel je me battrait le restant de mes jours.

      Je veux bien entendu répandre la paix, mais je crois que plus que réaliser le but... C'est le fait d'en avoir un et de me battre pour lui qui me plait tant. Je suis un idéaliste. Je sais très bien qu'une paix durable est impossible, moi-même qui prône l'entente et la paix je suis assoiffé de vengeance...
      Mais je me souviendrais toujours, après avoir repoussé des soldats lors d'une énième attaque... Nous savions qu'il repasserait à l'attaque. Que ce soit dans un mois ou un an, voir le lendemain. Mais nous savions qu'au moins durant la nuit personne ne nous attaquerais... Et nous avons fait la fête. Malgré nos blessures, nous avons danser et chanter. Je pourrais me battre toute une vie pour un tel moment de liesse... Quand bien même ce moment ne durerait qu'une heure.

      Malgré toute ma soif d'idéal, les combats, les peines et les souffrances ont petits à petits eut raisons de ma sensibilité, de mon coté artistique et joyeux. Une bonne partie de ma vie n'a été que combat et fuite, je n'ai pas passé mon adolescence à courir les filles et me faire des amis comme j'aurais dut. C'était différent, nous étions certes soudés mais je sens que quelques part, je me suis fermés...
      J'ai beaucoup de mal, par exemple, à parler de moi. Il parait que c'est normal, mais j'ai vu une fois un blond à la cour des miracles. Il avait une arme étrange, comme un sabre fait d'eau. Il avait une telle aisance, une telle facilité à s'ouvrir aux autres... Je me souviens même l'avoir vu aborder des filles qu'il n'avait jamais vu et croyez-moi. Lui était blonds aux yeux et nous approchaient comme si nous étions frères, au milieu d'une forte tensions. C'était une visiteur mais tout de même, il a vite eu raison de notre rancœur. Ça, c'est le genre de choses dont jamais je ne serais capable. Je ne suis pas non plus totalement fermé... Mais le fait est que je reste quelqu'un de plutôt timide.

      ...

      Nan mais écoutez-moi... Je vous parle de paix, d'idéale et de sensibilité... Je reste avant-tout un guerrier, un soldat. Je ne me suis pas seulement fermé, je me suis surtout endurcis. Je n'ai pas peur d'aller au front et de me battre. J'ai beau me battre pour la paix, j'aime les armes. J'aime les entretenir, m'entrainer avec, les toucher et surtout les utiliser. Même si je n'utilise aucune arme, je me bats avec...

      J'aime le combat, mais pas la guerre. Je suis compétitif et je suis le genre qui se donne les moyens de gagner, j'y vais à fond. Emporté par l'élan combatif, je peux même venir à provoquer mon adversaire, sans n'être jamais vexant ou blessant, ou en tout cas le moins possible.

      Je dois aussi avouer que je peux être plutôt solitaire. Agissant seul, n'ayant besoin de l'aide que de mon arsenal. L'aide des autres n'est jamais de refus, loin de là mais pourtant, je n'aime pas mêler les autres à mes histoires. J'ai du mal à accorder ma confiance à quelqu'un et rare est le fait qu'une personne couvre mes arrières sans que je ne me sente obligé de moi-même jeter un regard à mes arrières.
      Il y a aussi une autre raison, ma fierté. Je suis quelqu'un de fier. Dans ma famille, je suis le seul homme, mon père étant mort, j'ai dut prendre sa place. Bien vite, j'ai appris à me débrouiller seul, à veiller sur moi-même et les autres. Le fait qu'on m'aide... C'est comme si on remettait en cause ma capacité à veiller sur ma famille, sachant que je n'ai pas put tous les protéger, ca n'en est que plus désagréable. Je ne montre pas mes émotions, ou le moins possibles à ceux que je connais pas. Je tâche de n'afficher aucune faiblesse, et donc refuse l'aide qui m'est proposé...
      Je suis un débrouillard, j'ai été élevé à l'école des rues de paris. La rue ? Je connais et je fais reluire le pavé.

      Et ceux en qui j'ai confiance ? Ceux-là sont les gens que j'apprécie et je me dois d'être fort pour eux, ainsi je ne peux pas non plus montre de signe de faiblesse.

      De la même manière je ne parle pas non plus des mes idéaux et des mes rêves, ils les jugeraient trop enfantin, de quoi aurais-je l'air ? Je ne cherche pas forcément à plaire aux gens, mais l'image qu'ils ont de moi m'importe beaucoup.

      Un point qui peut sembler évident mais que je préféré tout de même préciser, ne sait-on jamais. Je suis quelqu'un de bien... Et j'essaye de l'être. Bien que je puisse sembler indifférent, je ne refuse pratiquement jamais de donner un coup de main. Oui, pour le coup je suis naïf et ont peut profiter de moi. Au fond, nous sommes tous égoïstes. Moi même je le suis, car si je veux que les gens autour de moi soit heureux, c'est seulement et uniquement car cela me rend moi-même heureux. Le bonheur des autres contribue à mon propre bonheur, et c'est là tout ce qui m'intéresse : le bonheur.
      Au final, ce que je fait reste une bonne chose, une chose dont je suis fier.

      Un code d'honneur ? Je ne me suis jamais posé la question mais il semble qu'instinctivement, j'en suive un. Frapper une femme ou un enfant m'est plus difficile que frapper un homme, tout comme frapper quelqu'un à terre me semble impossible. Je crois qu'on peut résumer ainsi : je fait ce qu'il me semble juste de faire. Et que dire... Je peux voir à travers le hublot le sommet des arts, ma destination. Je vais faire partit du Consulat, je le sent...

      Auparavant, je haïssait ce groupe diriger par le démoniaque Frollo. Mais forcé m'est de constater qu'ils ont apporter la paix sur mon monde. Je souris, un peu gêné en imaginant la scène... Un bohémien armé qui vient se déclarer poète. Pour me donner courage, je sort une rose que j'observe avec attention.

      De dieu... Cette rose symbolise toute ma faiblesse. Car oui, je suis faible. Le doute s'insinue souvent en moi et si parfois j'arrive à le combattre, il m'arrive de perdre courage, de perdre espoir. Puis je regarde la rose, soudain me revient la raison de mon combat, mes rêves, mes buts, mes envies. Cette rose sauvage est ce qui me motive, me guide. Elle est comme une amie, et seuls mes amis peuvent me redonner courage.

      Je l'avoue et me confesse sans remord, je suis pas la personne la plus sociable qui soit... De par la timidité dont je vous ai parlé, le fait que je soit fermé. Ça me peine, car j'aimerais être entouré d'amis, de soutiens fidèles sur qui je pourrais me reposer sans craindre qu'ils en profitent. Mes amis, sont le plus précieux de tous mes trésors. Je suis tout sauf matérialiste et rien ne me plait plus que d'être entouré des gens qui me sont chers. Pour les protéger, les garder je suis près à tout... Je me bats pour mes rêves, je me bats pour ce qui m'est cher !

      Mais je suis faible, et tous mes idéaux s'envolent quand je pense à celle qui a tuer ma bien aimée. Me vient des idées de meurtres et de vengeance. Il n'y a plus de champ de rose, reste seulement le champ de bataille ensanglantée. L'idée d'avoir perdu, de perdre et pouvoir perdre une nouvelle une personne que j'aime m'est tout bonnement insupportable.

      Je suis faible car esclaves de mes sentiments... Et sans m'en rendre compte je suis arrivé à destination.

      Je sort et j'avance, le vent me caresse, je trouve ca agréable. Je ne sais rien de ce monde alors forcément, je suis un peu méfiant. Mais à cotés, je ne peux m'empêcher d'admirer le si beau paysage et les neufs tour qui dominent ce monde... Je n'en ai que trop rarement eut l'occasion, mais j'adore les voyages... J'aime voir de nouvelle chose, de nouveau paysage. Tel un chocobo parcourant la pleine. Mais je suis comme un boomerang, aussi loin qu'on me jette, je ne peux m'empêcher de revenir là où je me sent chez moi... Que ce soit dans un appartement, dans une taverne ou bien tout simplement parmi les miens.
      Je suis curieux et je n'aime pas être enfermer. L'esprit du voyageur coule dans mes veines, je suis l'héritier de milliers d'années d'errance et de voyage.

      J'arrive et un homme m'accueille... Un corbeau au plumage rouge... Je sens quelque chose en lui, qui m'attire naturellement. Serait-ce lui mon futur chez moi ?


    G r a d e . v i s é :
      Celui qu'on me donnera.

    H i s t o i r e :
      « Je me nomme Genesis Rhapsodos… Le Tragédien… Fils de Melpomène. Et tu es ici dans le territoire du Consulat… As-tu idée de qui nous sommes, de qui nous sommes les humbles hérauts ? »

      Je suis pas idiot... Je me doute bien qu'il se méfie de moi. Je suis un bohémien, j'en ai les couloirs et les accessoires. De plus, je suis armés jusqu'aux dents. Ce n'est pas comme si le fait que Frollo soit malade est un secret. Et même si la paix règne à la cité des rêves, Frollo reste encore dans les esprits comme une incarnation du mal, un démon et sans doute que beaucoup souhaiterait sa mort...
      Et je ne le pleurerais pas. Je remarque sa rapière, de très belle facture. Mon premier réflexe c'est d'observer les armes... Tout simplement parce que j'aime les armes.

      Quand je regarde le Tragédien qui se tient devant moi, je me dis que bon dieu, j'en a fait du chemin depuis le début...

      Ma vie a commencé dans une tente au couleur chatoyantes, dans un repaire de gitans quelques part à la Citée des Rêves. Pauvrement, sans médecin, juste mes parents et la vielle grand-mère de la famille. Ça c'est fait dans les cris, dans les pleures mais malgré tout, ca c'est fait. Moi qui suit né modeste, pauvre et qui est vécu modestement une grande partie de ma vie, me voilà a demander à intégrer le Consulat, puissant groupe maitre de plusieurs mondes... Je peux pas m'empêcher d'être fier de moi quelque part, alors que je ne suis même pas encore accepté...

      « Je me nome Firion et je sais qui vous êtes. Un des vôtres s'en est longtemps pris à mon peuple, et le Consulat a apporté la paix sur notre monde... Je ne suis pas là pour m'attaquer d'une quelconque façon à ce vieux démon. Certes, j'ai passé plus de la moitié de ma vie à le haïr, le maudire et à espérer le moment où il nous quitterait pour de bon... Mais je suis là pour répandre les arts, soulever les cœurs et faire que le monde soit aussi paisible qu'un chant de fleur...

      "Erato, mère de Poésie, te réclame.
      Que tous tes vers soient vifs et de toute beauté !
      Dévoile au monde la Couronne de lauriers !
      Cher poète, grave cette promesse en ton âme...
      Pour réussir, trouve ton ancien persécuteur
      Qui t'observe du ciel, perché en ces hauteurs."»


      Frollo... Abjecte personnage que voilà. Jamais je ne saurais dire s'il a manipuler Paris ou bien s'il a seulement révéler leur vraie nature, leur véritable haine et bassesse. Mon père est mort dans une bataille avec les gardes de la ville, je n'avait que dix ans. Malgré moi je suis devenu l'homme de la famille. Je faisais tout mon possible pour que mes quatre sœurs et ma mère mangent à leurs fins. J'ai souffert. J'avais tout pour être un barde, un arlequin mais je n'eut d'autre choix que de me battre.

      Pour protéger ce qui m'est cher j'ai volé. A manger, à boire mais aussi des armes, une épée notamment, ma première arme. Lors d'un conflit, un guerrier l'a surement perdu et manque de chance, je suis passé dans cette ruelle. J'ai ramassé cette arme.
      Je me dressais contre ceux qui en voulaient à mon sang, à mes amis, à mes trésors. Les armes que je récupéraient, bien vite elles s'usaient. Mais j'en trouvais d'autre, on trouve toujours quand l'on cherche avec suffisamment de volonté. Une foultitude d'armes sont passés entre mes mains, des armes que j'ai appris à manier avec plus ou moins de facilité. Ce n'était pas seulement Frollo et ses sbires que je craignais, mais aussi les bandits, les criminels. On a beau l'appeler ville lumière, Paris possède une facette à elle bien sombre. Petit à petit, je me suis prêt de passion pour les armes.

      Ainsi j'ai grandit dans la pauvreté bien que je n'irais pas jusqu'à parler de misère. C'était la débrouille, quelques combats d'enfants, d'autres batailles plus grave. Mais si nous avions bien une richesse, c'était celle de la famille et des amis... La baguette de pain partagé en quinze suffisait à nous remplir le coeur de joie.

      Les bonheurs les plus simples, ceux qui n'ont aucune complication, ce sont eux les plus délicieux...

      Je crois d'ailleurs qu'avant ma seizième année, je n'ai jamais véritablement eut a utilisé les armes que je trouvaient et que j'usais à force d'entrainement et plus rarement de bataille. C'est à seize que ma maitrise du combat commençait à ressembler à celle d'un soldat entrainé. C'est là, que je me suis vraiment battu, mais c'est aussi là que je l'ai perdu...

      Natalia, une de mes sœurs. Je les aimait toutes autant que les autres. Elle est morte... Sa beauté lui a été fatale. Deux gardes, deux porcs frustré qui voyaient en elle que de la chair fraiche et sensuelle. Natalia tenait un magasin de fleurs, modeste certes, mais elle était habitué à vivre de peu. Les deux gardes sont arrivés avec plus d'alcool que de sang dans l'organisme. Ma sœur s'est refusés à eux et ca a dégénérés. De toute les fleurs, c'est la rose qui m'a toujours le plus émerveillé.
      La veille de sa mort, elle m'avait offert la plus belle des roses, une rose sauvage tellement belle qu'elle semblait brillé. Je la garde toujours sur moi, prêt de mon cœur.

      Regarder cette fleur me rappel sa pureté, et ca me lave de tous mes péchés, mes regrets et mes tourments. Cela m'apaise.

      Évidement, les deux gardes et même si je n'en suis pas fier, ils sont morts par ma main. Quelques semaines après, le conflit c'est intensifié. Il y a eu des morts, des tragédies. Des gens ont été blessés, certains torturées et d'autres humiliés. Des batailles ? Oui. Paris fut témoins de maintes horreurs.

      Petit à petit, l'expérience du champ de bataille s'est ajoutés à mes entrainements. Le gout que j'avais pour l'art étant enfant, je l'ai petit à petit perdu, oublié. Il y a eu la traque, des chasses et des massacres. Et au final, j'ai perdu deux autres sœurs alors que ma sœur mourut d'une mort naturelle. Fou de rage et sans plus aucun espoir, j'ai fait des choses idiotes, je me suis jeté tête baissée dans des batailles perdus d'avances, des provocations et me suit finalement retrouvés emprisonnés avec d'autre...

      Et puis ensuite, 'il' est venu. Cela vous est-il déjà arrivé ? Vous voyez quelqu'un et là vous vous dites qu'il s'appelle comme ci ou comme ca... Cet homme j'étaie persuadé qu'il s'appelait Xaldin, mais son nom s'est en révélé être Jecht. Ce nom. Il avait tout d'un bohémien mais son nom montrait qu'il venait de loin, très loin. Jecht nous a libéré, nous a remotiver. Nous sommes tous sorties des cellules avant de marcher sur la ville lumière. Nous avions l'avantage, et le démon est venu annoncé la paix.

      Foutu hypocrite. Nous n'avions qu'une envie, tous que nous soyons, le tuer... Mais la fatigue emplissait nos cœurs, et ce message de paix nous a tous ravie. On ne voulait plus se battre, nous voulions laissé les morts là où ils étaient. Nous voulions être heureux...

      Mais d'autre avaient encore en tête de se battre ! Une flèche à transpercé l'éloquent. Un bohémien fout de rage avait envoyé valser la paix... Comment pourrais-je lui en vouloir ? Mais le massacre à commencer. Nous étions fou. On se battait. Pour qui ? Pour quoi ? On se battait seulement, on voulait seulement tout foutre à sac, décharger notre haine.

      Un son s'est élevé dans les airs puis soudain... La paix, le bonheur. Je vit là sous mes yeux le pouvoirs divins des muses. Les sables du temps s'écoulèrent quand enfin, j'entendis le sizain d'Erato. La suite vous la connaissez, j'ai quitté mon monde d'origine pour aller au Jardin Radieux, une des citées dorées du Consulat.
      Genesis me sourit, c'est léger et peut-être je me trompe, mais je le sent sourire, ne serait-ce qu'intérieurement.

      « Bienvenue parmi nous, fils d'Erato. »


    Les Questions
    Q u e s t i o n s :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?

      Malheureusement oui, Firion est particulièrement prédisposé à cela.

      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?

      Une blanche colombe, symbole de paix et d'espoir.

      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?

      Firion n'est pas homme à laisser tomber ses alliés.

      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.

      Les bohémiens sont une grande famille. Firion a eu beaucoup d'amis, certains dont l'amitié était plus forte que d'autre d'ailleurs.

      5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.

      "A cœur vaillant, rien d'impossible."

      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?

      Voir la fiche d'Auron, d'Angeal et j'en passe.

      7) Pourquoi incarner ce personnage ?

      J'ai toujours eut un faible pour ce genre de perso.

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C'est, fini...
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    Bonsoir !

    Alors, le physique ^^…

    Il y a quelques détails que je vais plus souligner parce qu’ils sont dommages.

    « Je continue d'avancer, la pluie commence à tomber alors que je suis encore loin du transports Shin-rah. Mais la pluie se fait de plus en plus battante, et je préfère m'abriter sous un balcon en bois. Je m'accoude au mur et attend que la pluie passe. «

    Tu vois dans les fiches où tu mets ton personnage dans une situation, faut absolument décomposer ce qui arrive. Parce que ce style te permet de mettre en avant les émotions et les sentiments. Là le problème c’est la pluie. Il faut qu’avec ce style, dans un contexte comme celui-là, tu puisses décrire l’arrivée de la pluie. Une goutte de pluie tombe sur mon visage, ah tiens il pleut. Faire d’une goutte de pluie trois lignes pour que je ressente et que tu ressentes ce que Firion ressent quand il sent la pluie. N’oublie pas que tu parles au présent… Pas au présent accéléré. Décris ce qui arrive.
    Moi je ferais un truc du genre :

    « Je ne cesse de progresser dans les rues de la Cité. J’avance mais la compagnie des transports Shin-Ra est encore loin tandis que me faisant presque sursauter, la fraîcheur d’une goutte de pluie vient s’écraser sur ma joue. Je cligne des yeux nerveusement, levant mes yeux mi-clos vers le ciel. Il ne lui faut pas plus de quelques secondes pour s’épanouir et retomber avec plus d’insistance sur mon corps. Je vois et me dirige sous un abri en dessous d’un balcon de bois »

    Alors sinon, un léger détail. Dans un paragraphe de trois lignes, quatre fois le mot tâche. Parce que tâche en plus, c’est vraiment un mot très moche.

    Et troisième problème, relatif au premier. Fin du physique, tu te retrouves à la compagnie Shin-Ra alors que vingt lignes plus tôt, tu étais loin du bâtiment. Et entre les deux, y a une ellipse, si je puis dire d’une longue marche.

    Mise à part cela ^^. Un très bon physique. Perso j’adore quand y a un contexte, quand il se passe un truc (enfin tu sais). ‘Fin on sent que ça bouge, que c’est pas de la bête description.

    Général.

    Très bonne description du style de combat.

    Le caractère est vraiment excellent, sans aucun défaut, j'ai adoré. Maréchal.

    L'Histoire est passionnante, courte mais géniale, j'ai vraiment accroché. Général.

    Ca te fait encore une fois un grade de Général =)

    Bienvenue au Consulat ^^.

    Fiche validée et toutes conneries du style.
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