![Comme quoi, il ne faut pas toujours prendre de l'exotique [Mission Facile] Szp8](https://zupimages.net/up/21/40/szp8.png)
![Comme quoi, il ne faut pas toujours prendre de l'exotique [Mission Facile] 4kdk](https://zupimages.net/up/21/40/4kdk.png)
Le soleil bien haut, les senteurs marines se faisant présente naturellement et les mouettes poussant leurs cris qui rappel bien évidement le Port Royal. Le Centurio se trouvait déjà aussi bruyant qu’à l’habituel, étant en quelque sorte le lieu où on ne dort jamais à cause des poivrots qui y dort et reprennent de plus belle dès la première lueur du jour. À une chambre à l’étage, une jeune femme se leva lentement, s’étirant et essuyant ses yeux des larmes accompagnant un bâillement naturel mais doux à entendre vu la voix d’or que cette femme possédait. Habillée seulement d’une chemise et d’un sous-vêtement, elle se colla au dos de l’homme qui a accompagné sa nuit avec un sourire d’ange.
" ….S’il te plait, encore 5 minutes Luci’. "
Bell DiArmag se leva à son tour, s’asseyant et exécutant les mêmes gestes de la fameuse Lucifer à son réveille. Malgré son nom, elle était loin d’être un diable avec son invocateur qui commençait à faire souvent appelle à elle lorsqu’il ne se senti pas de passer une nuit seul. Il n’y avait presque rien de sexuel dans leur semblant de relation, juste un besoin de la part du mercenaire d’avoir quelqu’un à ses côtés, même si la beauté de la créature ne pouvait être remise en question. Cette dernière se leva avant lui, allant préparer du café qui était caché chans la chambre et pour éviter d’avoir à descendre sentir tout de suite l’odeur d’alcool trôner dans l’air. Même s’il ne pouvait admirer le teint de porcelaine de la servante de enfers, Bell l’admirait discrètement marcher en se rhabillant et regardant l’ordre de mission qu’il avait reçu la veille. Une mission assez simple en un sens et qui permettait à ce sale type de profiter de sa condition de non-humain. Il partagea un café avec Lucifer, la laissant remettre ses vêtements à son tour par la suite et partagea une dernière étreinte ainsi qu’un baisé timide avant de la renvoyer d’où elle venait et espéra déjà l'invoquer à son retour...
Atlantica, le monde aquatique dont un palais sans pareil se trouvait en ses fonds et gouverné par le façon Triton et son trident magique. Le mercenaire avait déjà entendu parlé de ce monde en écoutant sa patronne Oakley et la tête brûlée de Natsu, contant leur aventure sous marine ainsi que la forme fantastique qu’ils avait revêtu tout deux. Sur ce dernier point, le mercenaire bleu se posa des questions et se demanda ce qu’il allait se passé avec lui. Il prit un vaisseau de la compagnie Shin-Ra et regarda par un hublot les étoiles, s’imaginant finir en mollusque avec sa chance presque légendaire…
Mais, surprise, il en était rien. Arrivé dans ce monde d’eau, il avait gardé sa forme d’homme. Pas d’écailles, pas de tentacules, rien de tout ces trucs que les autres ont besoin d’avoir pour être là. Bell comprit bien vite la raison à ça, voyant avec amusement que les lois de ce monde ne comptait pas les êtres venu d’un monde qui techniquement, n’existe pas. Quel dommage, il avait fait exprès de laisser au Centurio sa cape à trésor et ses écouteurs pour pouvoir écouter un peu de musique. La chance quoi.
Ne sachant pas vraiment nager, il se laissa couler doucement jusqu’à atteindre un fond de la mer, tournant un peu sur lui-même pour admirer Altantica comme personne d’autre ne l’avait encore fait avant lui, mise à part les victimes de noyades. À part la lenteur qu’il ressentait à cause de l’eau, Bell n’avait pas de grands problèmes à se mouvoir, voir à parler et ne pu s’empêcher d’éclater de rire. Mais tout à une fin et il avait un travail à accomplir. Il invoqua une sirène guerrière armée d’une hallebarde, lui expliquant brièvement la situation et grimpa sur son dos pour aller voir le client. Ce dernier fut un peu surprit de voir un humain venir sur le dos d’une sirène mais surtout un humain à cette profondeur.
" C’est un peu long à expliquer…On peut en venir à notre affaire ? "
"O-Oui, bien sûr. Veuillez m’excuser, vous avouerez que ce n'est pas courant de voir un humain ici sans qu’il soit noyer… "
Le client poussa un long soupire, guidant le mercenaire et son invocation vers l’endroit où les Gardiens des marais s’étaient terrés, à une vingtaine de minute de la demeure du client en plus. Quelle idée d’avoir voulu faire un élevage de ces bestioles, ça aurait été évident qu’elles n’allaient pas supporter l’eau marine. À peine ils entendirent un bruit, le client s’enfuit en laissant Bell seul sur le dos de son invocation, tout deux stupéfait par ce froussard qui venait de prendre la poudre des escampettes. Un grognement attira cependant leur attention, le grognement des dix Gardiens des marais en possessions du client et qui ne semblaient pas s’être calmé depuis qu’il avait posté cette mission chez les mercenaires. Etonnement, ils fixaient non pas le mercenaire mais la sirène qui l’accompagnait. À croire que leur acuité visuelle était thermique. Une chance pour le mercenaire qui quitta de suite le dos de la sirène qui commença à s’enfuir, poursuivit par les créatures des marais.
Regardant autour de lui, Bell aperçu une étoffe de tissus sans doute perdue lors d’une tempête par des marins. Il la récupéra et siffle à la sirène de se ramener dans sa direction avant de se cacher derrière un rocher. À l’instant même où les Gardiens passèrent au-dessus de lui, le mercenaire jeta l’étoffe en espérant en attraper un ou deux, ce qui était le cas. La chance était avec lui, il se laissa porter par ces monstres en se tenant aux tissus, ces derniers suivit la bande par le flaire à priori. La sirène aperçu son invocateur et reprit confiance, s’arrêtant net pour faire tourner sur elle-même l’hallebarde et frappa une à une cinq des Gardiens des marais. Il en restait plus que deux sans compter ceux que Bell avait dans le bout de tissus. Remarquant alors les derniers monstres étaient derrière sa sirène, le mercenaire ricana un peu avant de préparer un sort de Stop en prenant pour cible les deux gardiens en sa possession.
Il attendit le bon moment, ayant fait signe à son invocation de ne bouger sous aucun prétexte. 15 mètres ; les Gardiens ouvrirent leurs gueules pour mordre la sirène. 10 mètres ; Bell avait finit de préparer son sort. 8 mètres ; la sirène ferma les yeux en ravalant un peu de salive, la peur la faisant trembler. 5 mètres ; Bell lança son Stop sur les deux Gardiens, relâchant l’étoffe et les laissa foncer en ligne droite à cause de la vitesse qu’ils avaient avant ça. 3 mètres ; le mercenaire annula l’invocation de la sirène et la renvoya chez elle. 1 mètre ; il était trop tard pour les derniers gardiens de s’arrêter, ceux ayant étés frappés par Stop se réveillant juste à temps. 0 mètre : les gardiens des marais s’assommèrent en se frappant violement dans la tête, ne bougeant plus et pouvaient enfin permettre au sale type d’empocher sa récompense. Il les mit dans l’étoffe, le trainant comme un sac jusqu’à la demeure du client avec un large sourire. Etonné, ce dernier serra les mains de Bell avec énergie, lui promettant de ramener ces montres là d’où ils venaient et de se consacrer à un élevage moins risqué. Il lui tendit deux des gardiens comme un présent, le virus les regardant comme si c’était un cadeau empoisonné mais se senti obligé de les accepter.
En retournant vers la surface après avoir invoqué de nouveau la sirène, Bell se demanda sérieusement si sont client allait tenir sa promesse et se promit de refuser la prochaine mission de sa part sans une prime supérieur. C’est ainsi que le mercenaire retourna au Centurio, ne regrettant pas son court séjour à Atlantica mais avec deux Gardiens du marais dans la soute du vaisseau Shin-Ra, ne sachant vraiment pas quoi en faire de ces trucs…Faîte que Oakley ne lui fait pas d’histoire pour ça.
Mer 13 Avr 2011 - 20:32" ….S’il te plait, encore 5 minutes Luci’. "
Bell DiArmag se leva à son tour, s’asseyant et exécutant les mêmes gestes de la fameuse Lucifer à son réveille. Malgré son nom, elle était loin d’être un diable avec son invocateur qui commençait à faire souvent appelle à elle lorsqu’il ne se senti pas de passer une nuit seul. Il n’y avait presque rien de sexuel dans leur semblant de relation, juste un besoin de la part du mercenaire d’avoir quelqu’un à ses côtés, même si la beauté de la créature ne pouvait être remise en question. Cette dernière se leva avant lui, allant préparer du café qui était caché chans la chambre et pour éviter d’avoir à descendre sentir tout de suite l’odeur d’alcool trôner dans l’air. Même s’il ne pouvait admirer le teint de porcelaine de la servante de enfers, Bell l’admirait discrètement marcher en se rhabillant et regardant l’ordre de mission qu’il avait reçu la veille. Une mission assez simple en un sens et qui permettait à ce sale type de profiter de sa condition de non-humain. Il partagea un café avec Lucifer, la laissant remettre ses vêtements à son tour par la suite et partagea une dernière étreinte ainsi qu’un baisé timide avant de la renvoyer d’où elle venait et espéra déjà l'invoquer à son retour...
Atlantica, le monde aquatique dont un palais sans pareil se trouvait en ses fonds et gouverné par le façon Triton et son trident magique. Le mercenaire avait déjà entendu parlé de ce monde en écoutant sa patronne Oakley et la tête brûlée de Natsu, contant leur aventure sous marine ainsi que la forme fantastique qu’ils avait revêtu tout deux. Sur ce dernier point, le mercenaire bleu se posa des questions et se demanda ce qu’il allait se passé avec lui. Il prit un vaisseau de la compagnie Shin-Ra et regarda par un hublot les étoiles, s’imaginant finir en mollusque avec sa chance presque légendaire…
Mais, surprise, il en était rien. Arrivé dans ce monde d’eau, il avait gardé sa forme d’homme. Pas d’écailles, pas de tentacules, rien de tout ces trucs que les autres ont besoin d’avoir pour être là. Bell comprit bien vite la raison à ça, voyant avec amusement que les lois de ce monde ne comptait pas les êtres venu d’un monde qui techniquement, n’existe pas. Quel dommage, il avait fait exprès de laisser au Centurio sa cape à trésor et ses écouteurs pour pouvoir écouter un peu de musique. La chance quoi.
Ne sachant pas vraiment nager, il se laissa couler doucement jusqu’à atteindre un fond de la mer, tournant un peu sur lui-même pour admirer Altantica comme personne d’autre ne l’avait encore fait avant lui, mise à part les victimes de noyades. À part la lenteur qu’il ressentait à cause de l’eau, Bell n’avait pas de grands problèmes à se mouvoir, voir à parler et ne pu s’empêcher d’éclater de rire. Mais tout à une fin et il avait un travail à accomplir. Il invoqua une sirène guerrière armée d’une hallebarde, lui expliquant brièvement la situation et grimpa sur son dos pour aller voir le client. Ce dernier fut un peu surprit de voir un humain venir sur le dos d’une sirène mais surtout un humain à cette profondeur.
" C’est un peu long à expliquer…On peut en venir à notre affaire ? "
"O-Oui, bien sûr. Veuillez m’excuser, vous avouerez que ce n'est pas courant de voir un humain ici sans qu’il soit noyer… "
Le client poussa un long soupire, guidant le mercenaire et son invocation vers l’endroit où les Gardiens des marais s’étaient terrés, à une vingtaine de minute de la demeure du client en plus. Quelle idée d’avoir voulu faire un élevage de ces bestioles, ça aurait été évident qu’elles n’allaient pas supporter l’eau marine. À peine ils entendirent un bruit, le client s’enfuit en laissant Bell seul sur le dos de son invocation, tout deux stupéfait par ce froussard qui venait de prendre la poudre des escampettes. Un grognement attira cependant leur attention, le grognement des dix Gardiens des marais en possessions du client et qui ne semblaient pas s’être calmé depuis qu’il avait posté cette mission chez les mercenaires. Etonnement, ils fixaient non pas le mercenaire mais la sirène qui l’accompagnait. À croire que leur acuité visuelle était thermique. Une chance pour le mercenaire qui quitta de suite le dos de la sirène qui commença à s’enfuir, poursuivit par les créatures des marais.
Regardant autour de lui, Bell aperçu une étoffe de tissus sans doute perdue lors d’une tempête par des marins. Il la récupéra et siffle à la sirène de se ramener dans sa direction avant de se cacher derrière un rocher. À l’instant même où les Gardiens passèrent au-dessus de lui, le mercenaire jeta l’étoffe en espérant en attraper un ou deux, ce qui était le cas. La chance était avec lui, il se laissa porter par ces monstres en se tenant aux tissus, ces derniers suivit la bande par le flaire à priori. La sirène aperçu son invocateur et reprit confiance, s’arrêtant net pour faire tourner sur elle-même l’hallebarde et frappa une à une cinq des Gardiens des marais. Il en restait plus que deux sans compter ceux que Bell avait dans le bout de tissus. Remarquant alors les derniers monstres étaient derrière sa sirène, le mercenaire ricana un peu avant de préparer un sort de Stop en prenant pour cible les deux gardiens en sa possession.
Il attendit le bon moment, ayant fait signe à son invocation de ne bouger sous aucun prétexte. 15 mètres ; les Gardiens ouvrirent leurs gueules pour mordre la sirène. 10 mètres ; Bell avait finit de préparer son sort. 8 mètres ; la sirène ferma les yeux en ravalant un peu de salive, la peur la faisant trembler. 5 mètres ; Bell lança son Stop sur les deux Gardiens, relâchant l’étoffe et les laissa foncer en ligne droite à cause de la vitesse qu’ils avaient avant ça. 3 mètres ; le mercenaire annula l’invocation de la sirène et la renvoya chez elle. 1 mètre ; il était trop tard pour les derniers gardiens de s’arrêter, ceux ayant étés frappés par Stop se réveillant juste à temps. 0 mètre : les gardiens des marais s’assommèrent en se frappant violement dans la tête, ne bougeant plus et pouvaient enfin permettre au sale type d’empocher sa récompense. Il les mit dans l’étoffe, le trainant comme un sac jusqu’à la demeure du client avec un large sourire. Etonné, ce dernier serra les mains de Bell avec énergie, lui promettant de ramener ces montres là d’où ils venaient et de se consacrer à un élevage moins risqué. Il lui tendit deux des gardiens comme un présent, le virus les regardant comme si c’était un cadeau empoisonné mais se senti obligé de les accepter.
En retournant vers la surface après avoir invoqué de nouveau la sirène, Bell se demanda sérieusement si sont client allait tenir sa promesse et se promit de refuser la prochaine mission de sa part sans une prime supérieur. C’est ainsi que le mercenaire retourna au Centurio, ne regrettant pas son court séjour à Atlantica mais avec deux Gardiens du marais dans la soute du vaisseau Shin-Ra, ne sachant vraiment pas quoi en faire de ces trucs…Faîte que Oakley ne lui fait pas d’histoire pour ça.