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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Présentation de Lanira

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    Identité

      N o m : Aucun
      P r é n o m : Lanira, Jubiléus de mon vrai nom
      S u r n o m : L’eau Salvatrice
      Â g e : J’existe depuis que l’eau coule dans les mondes
      C a m p : Sanctum
      M o n d e d' O r i g i n e : Là où les Eternels nichent et patientent.
      R a c e : Eternel / Nereid

    Descriptions
    Balade au pays de l'eau :


      Les rivières… Les mers … Les océans, les lacs, l’eau : Voila qui je suis réellement. Mais pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Jubiléus, l’éternel de l’eau et donc de la vie. Contes et légendes racontent que partout où il y a de l’eau, je suis présente. Contes et légendes racontent que mon corps n’est que fluide, que je suis en toute personne et en toute chose, en chaque être vivant. Ce qui est probablement le cas, peut-être ne le saurez-vous jamais. Mais depuis peu, j’ai quitté les songes, j’ai quitté l’immatériel. Je suis descendu du royaume des éternels pour prendre forme, en chair et en os, parmi les mortelles. Désormais, je ne suis plus l’eau. Mon corps est devenu belle est bien réel, palpable, mais ne ressemblant à aucune autre entité.

      Mais en ce jour où je conte ma légende et où j’essaie de redonner un peu d’espoir à mes enfants, la vie s’annonce un peu moins monotone que de là d’où je viens. Laissant vibrer mes nageoires au rythme des courants marins d’Atlantica, je découvre un peu mieux ces lieux que j’ai enfantés et que j’affectionne particulièrement. Ici, je pourrais passer inaperçu et ne pas dérangé ses être fragile et mortelle. Car mon apparence, loin d’être humaine, choque bien des hommes à la surface. A mi-chemin entre les créatures abyssales et les humain, mais encore différent des sirènes. Je me suis réincarné en ce que l’on pourrait appeler une Nereid, en hommage aux nymphes marines qui composait le cortège d’un dieu nommé Poséidon. Ma peau reste lisse et douce comme celle d’une humaine, sauf peut-être que j’adopte un ton bleuté qui va toujours si bien avec les créatures marines. Mais comme beaucoup d’être sous-marin, ma queue ainsi que mes membres sont partiellement recouvert d’écaille. Ainsi, on pourrait dire que je ne suis jamais vraiment toute nue. Mais bref, j’ai soif d’exploration et d’aventure, j’ai soif de découvrir mille et une merveilles dans ce monde que j’ai presque modelé.
      Au fil de mon excursion dans cet océan d’un bleu azur et transparent, je découvre et redécouvre les créatures qui sont nées de l’eau. Bientôt, je retrouve un bateau, l’une de ses choses que les humains ont crée pour dompter la mer. Et non loin, une lueur m’éblouis, et voila que j’aperçois un miroir, ancré dans le sable, un vestige du passage des humain. Je le déterre et le fixe d’un œil curieux. Mon reflet … Je me souviens alors de l’aspect que je me suis donné. L’apparence importe peu, lorsqu’on est Éternel, mais je prends le temps de remettre en place ma longue chevelure mauve, bien comme il faut entre mes quatre ailerons, sur mon crâne. Certain les confondent avec des cornes mais ce sont belle et bien des ailerons, un peu comme celles de requins, mais affinées. Mon visage est et restera toujours celui d’une jeune femme calme, apaisée, sereine, voir charmeur. Il est rare de voir sur ce minois un simple rictus négatif. Dans mes yeux jaune et profond, seuls quelques manants y ont vu la colère. Et sur ma joue, un symbole noir, antique, représentant parfaitement ma condition d’Eternel et pas seulement de créature marine. En y repensant, ses symboles ornes à peut prés tout mon corps, ce qui peux terrifier ou charmer les gens. Car l’eau reste un symbole de vie mais parfois aussi de mort … Mais je me surprends à me regarder dans un miroir, à croire que je suis plus facilement émerveillée que je ne le pensais. Je lâche vite cette babiole et je me remets en route pour voir ce qui pourrait occuper mon temps libre.

      Mais bien vite, les fonds marins n’ont plus de secret pour moi. Après tout, c’est un peu moi qui les ais crée. Alors, je me suis demandé à quoi pouvait ressembler la surface, la surface d’un monde si beau sous la mer. Grâce aux multiples nageoires sur ma queue, le trajet fut court. Me voila au bord d’une plage de sable blanc, déserte mais toujours aussi belle. S’il y aurait un quelconque humain ici présent, sans doute se serait-il demandé comment ferais-je si je voulais sortir de l’eau. Même si mes jambes se terminent en nageoire, j’ai quand même un moyen de me mouvoir sur la terre ferme. Telle ses merveilleuses créature, élégante d’attachante que sont les dauphins, je saute hors de l’eau et je me mets à léviter au-dessus de celle-ci. Sans mes pouvoirs que l’on qualifierait de psychique, l’exploration du monde des mortelles aurait vite pris court … Non loin de la plage, un village se profilait sur l’horizon. L’occasion d’observer la plus belle de mes créations, ou la plus horrible. Tout dépend du point de vue. Mais alors que je traversais un semblant de plaine, longeant un chemin de terre, un buisson se mit à bouger et derrières, on pouvait entendre des pleures, ceux d’un enfant. Un tout jeune être, si petit et fragile, seul, si loin du foyer. Comment aurais-je pu l’ignorer et continuer mon chemin ? J’ai beau être un Éternel, j’ai un cœur. J’ai frôlé ses cheveux du bout des doigts, évitant de le surprendre et je lui ais proposé de le raccompagné chez lui. Il ne semblait pas trop avoir peu, l’innocence et la pureté d’un enfant aide à accepter l’impensable. Je l’ai pris dans mes bras, essayant de ne pas trop le serrer contre ma peau constamment humide pour qu’il ne soit pas dérangé. Et une fois bien installé, il prit l’une de mes oreilles pointue dans sa petite main avec un sourire d’émerveillement. Je ne pu retenir une mimique similaire, heureuse de pouvoir rendre service et de sécher ses larmes.

      Sur la route du retour, je me suis rendu compte que ce petit bonhomme pouvait déjà parler. Il m’a demandé innocemment pourquoi j’étais bleu, avec des écailles et des dessins sur le corps. J’ai rit. Je lui ais simplement répondu que je venais d’ailleurs. Il était inutile de tracasser se petit avec l’histoire de sirène et encore moins d’Eternel. Il fallait néanmoins que je le laisse se libérer de mon étreinte car me voila déjà aux portes du village. A peine quinze minute et je m’étais déjà attaché à lui. J’étais tentée de le laissé à l’entrée, car, ignorant si ce monde avait entendu parler des Éternels, ils auraient bien pu me prendre pour un monstre voulant kidnapper un jeune bambin. Je ne leurs en voudrait pas, la peur est un sentiment tellement compréhensible, même si pour moi, cela ne veux rien dire. La peur de mourir n’existe pas pour nous, nous somme immortel. Mais quelque chose en moi me pousse à m’aventurer plus loin, un très vilain défaut qui va sans doute me causer beaucoup d’ennuie maintenant que j’ai pris forme réel. La curiosité. Je me faufile alors dans les ruelles, à la recherche des parents, sans doute affolé, en pleure. Si pas, ils ne méritaient même pas cet enfant épanouie. Mais alors que j’évitais les rues fréquentée, j’aperçue sur la place du marché, prés d’une fontaine, un couple abattu. La femme pleurait, assise sur le rebord, alors que l’homme lui tenait les épaules avec une mine de déterré, tentant de consoler une peine qu’il ressentait lui aussi. Sans même une once d’hésitation, j’ai déposé l’enfant, le tenant par la main avant de sortir de ma cachette. Nous nous somme avancé sur le marché, bientôt accompagné de gémissement de surprise et de regard méfiant, terrifié. Sans même qu’un mot plus haut que l’autre ne soit prononcé, j’ai lâché la main de l’enfant qui trottinait vers ses parents, fou de joie. Quand à eux, ils étaient partagée entre la joie de retrouvé leurs fils, l’incompréhension et la peur de voir arrivé un tel démon devant eux. Car je l’accepte, je sais que la forme que j’ai choisis était peut-être un mauvais choix mais qu’importe, c’était mon choix. Bientôt, une foule s’agglutinait autour de moi, et finalement, le premier excité cria au monstre. Ils avaient déjà mit un nom sur mon visage et je ne voulais pas les importuné. J’aurais du être plus maline mais je ne pouvais tout bonnement pas lâcher ce garçon. Ô combien ma sagesse reste dérisoire face à des choix de cœurs comme celui là. Cette escapade m’aura au moins appris que les humains reste très méfiant à tout ce qui ne leurs est pas familier. Je me retourne alors, n’adressant pas un regard au couple que j’ai sauvé des méandres de la culpabilité, flottante au dessus du sol, vers la sortie. Bien sur, je me sens un peu rejetée mais la tristesse ne m'envahie pas. Je les comprends… Non, j’essaie de les comprendre… Presque en dehors de la place, un homme impulsif se jette sur moi pour me frapper à coup de bâton. Par réflexe, j’ai su invoquer une créature devant moi pour encaisser le coup, un être liquide qu’on a tendance à appeler « Slime ». La créature dévora le bâton, laissant l’homme se vautrer à terre, sous le choque. Ceci n’était pas nécessaire, mais cela devait faire partit de la nature humaine. C’est en voyant un tel comportement que je commence à être déçue de ce que j’ai crée. Mais je ne ressens pas de haine envers cette homme, je ne suis pas en colère, ni énervée. Je suis comme ça : calme. Il est extrêmement rare que je m’emporte vraiment, car si j’étais colérique, je sais très bien que je pourrais devenir la déesse de la mort au lieu de la vie. Alors je les laisse tranquille, rappelant ma créature à moi avant de m’éclipser à la vue de tous.

      Je sortis du village pour reprendre ma route vers la mer, un tour à la cité d’Atlantica ne me fera pas de mal, ce sera toujours plus chaleureux qu’à la surface. Bien sur, il y a le domaine enchanté, où nos fidèles ont élu domicile. Mais sans étonnement, je préfère les fonds marins. Cela ne m’empêche pas d’avoir ma chambre là-bas, mais soit. Je n’ai pas le temps d’avancer très loin que j’entends des voix derrière moi. Je me retourne et je vois les deux parents avec leurs fils. Ils s’arrêtèrent prés de moi et commencèrent à me remercier de toutes les façons possibles, me demandant s’ils pouvaient faire quelque chose en retour. J’ai fait ça par pur charité, je n’ai rien besoin de leurs parts. Les voir heureux me suffit amplement. Suite à mon refus, ils m’ont demandé qui j’étais, au moins. Un sourire se dessina sur mon visage, confiant et comique. Je leurs ais simplement dit que … J’étais une Éternel.

      De retour dans les profondeurs, je me disais qu’une balade à Atlantica finirait bien cette journée. Mais à peine suis-je arrivé aux portes de la cité que quelques atlantes déjà me lorgnent. Certain d’un œil suspicieux, d’autre, admirent juste mes formes gracieuses. Je me doute qu’ils n’avaient pas l’habitude de voir des êtres comme moi, mais tant d’attention me flattait. Moi qui souffrais du mal-être, de ce manque d’amour de mes fidèles envers moi … J’avoue que cela me ravivait un temps soit-peu le cœur. Négatif ou pas, au moins, j’existais. J’essayais de me fondre dans la masse, profitant de la foule, histoire de trouver de quoi manger, un vendeur ou que sais-je ? J’ai beau être une Éternel, maintenant que j’ai pris forme vivante, je ressens la faim. Et alors que j’avais enfin trouvé en vendeur de brochette d’algue, alors qu’enfin je goutais une spécialité locale, ’entends la foule s’agiter et il y avait de quoi. Bien vite, alors que les atlantes fuyaient, trois requins fonçaient sur moi. Il en va de l’ordre naturel que ses êtres mangent pour survivre, mais pourquoi ici ? Pourquoi auprès des sirènes et tritons ? Il y avait mille poisson dans l’océan … Dans les cas normaux, je n’interférerais pas avec la nature mais je sais très bien que mes nouveaux fidèles n’aurait plus une bonne image de moi. Alors que je dégustais encore mon algue, je levai ma main et un puissant courant marin repoussa les prédateurs, jusqu’à les expulser hors d’Atlantica. Et un peu comme s’ils avaient compris qui j’étais, ils n’insistèrent pas plus et s’en allèrent chasser ailleurs.
      Les atlantes m’acclamèrent pour mon exploit, même si ce n’était pas grand-chose. Je me sentais même plus gênée qu’autre chose, et en même temps ravie. J’ai su aider et je me sens mieux en ses lieux, puisqu’ils m’accepteraient maintenant. Ses braves gens m’ont même demandé si je pouvais me joindre à leurs petites fêtes. J’ignorais qu’il y avait un festival mais dans tout les cas, j’aurais voulu m’éclipser. Et quelque part, une partie plus égoïste en moi me disait de faire la fête et de me faire idole. Car depuis toujours, on priait pour mes bonnes grâces. Et depuis, ça me manque énormément. Mais loin d’avoir une nature mauvaise, j’ai laissé parlé ma sagesse en me disant qu’un jour, je leurs parlerais des Éternels un peu plus en profondeur. Qu’un jour, j’irais voir le grand Roi Triton, histoire de nous faire, a moi et au Sanctum, de nouveaux amis. Mais je ferais ça surtout pour une chose : pour leurs laissé le choix de croire en nous, ou non …


    G r a d e . v i s é :
      Cardinal, comme toujours ...

    H i s t o i r e :


      Bien des légendes et des mythes décrivent les exploits des Éternel. Ses dieux à la base de tout ont chacun un rôle. Certain crée la vie, d'autre s'occupe de la finir. Certain font s'écouler le temps, d'autre modèle l'espace selon leurs idéal. Grâce à leurs volonté, leurs alliance, ils ont réussit à crée l'impensable: un univers entier. De leurs pouvoirs découlent les terres, les plantes, les animaux, les humains. De leurs pouvoir découlent les sentiments, les cœurs, la lumière comme les ténèbres, tout. Mais l'époque où ses dieux étaient adulé par les hommes est belle et bien finit. Plus les peuplent évoluaient, plus ils oubliaient à qui ils devaient leurs existences. Les Éternels étaient remplacés par des dieux païens, même leurs martyres ne semblaient plus croire en eux.

      Et ainsi donc, ses êtres divins éraient dans leurs mondes, pour l'éternité. Privé de la foi de leurs fidèles, privé de ce monde qu'ils avaient eu même construit, ils s'ennuyaient. Ils n'avaient plus de raison de vivre et pourtant, ils étaient immortels. Personne ne s'intéressait à eux.
      Victime de leurs propres natures, petit à petit, les Éternels cherchaient un moyen de mourir. Pour la plupart du moins. L'ennuie était devenu une telle torture. Leur vie était devenue un enfer. Ils voulaient en finir, ils voulaient… arrêter tout ça.
      C'était aussi le cas de Jubiléus, Éternel de l'eau, déesse de la vie. C'était elle qui a implanté l'eau dans les mondes, c'est elle qui avait installé le berceau de la vie. Elle était fascinée par ses créations, fascinées par leur évolution. Mais lorsque les hommes ont perdu la foi en eux, ils ne semblaient avoir … plus aucun intérêt. Cette réaction aurait pu paraitre égoïste mais même le plus bon des Éternel ressentait se manque de foi. Cet amour qu'elle ressentait, cet amour que tout ces humains lui vouait, elle l'avait perdu… Avec le temps, celle qui semblait être la plus aimante des divinités, la plus joyeuse et la plus présente sans doute, devenait un être triste et sans but. Et les autres Éternel, sans doute dans le même cas ou presque, ne pensaient qu'à trouvé un moyen de s'éteindre au lieu de trouver une solution pour qu'ils soient à nouveau adulé. Sans but, sans fin, Jubiléus sombrait.

      Jusqu'au jour où … Un Éternel a osé. Barthandelus, qui semblait plus déterminé que les autres Éternels, a cherché, s’est éreinter à la tache et finalement, a trouvé ! Pour mourir, il fallait faire revenir le créateur, celui qui avait fait naitre les dieux. Et pour le faire revenir, il fallait des cœurs, beaucoup de cœur, afin d’appeler le Kingdom Heart … Qui aurait le pouvoir d’enfin les faire mourir. Personne ne l’en empêchait, certains n’y croyait pas, dans tout les cas, il était le premier Éternel à prendre forme humaine. Une fois dans le royaume des mortelles, il se fit appeler Galenth Dysley afin de crée, de recrée notre culte. Le Sanctum était né. Tout les Éternels recommençait à espérer.
      Bien vite, d’autres Éternel le rejoignit sur son monde, alors que d’autre, comme Jubiléus, restaient percher sur leurs nuages, à attendre que cela se fasse. L’espace d’un instant, celle qui se devait être la plus pur espérait à grand soupire cette instant où assez de cœur soit ramassé… L’envie, les désirs ne sont pourtant qu’éphémère, si bien que quelque chose changea la façon de voir de la divinité. Lorsqu’elle se rendit compte que les fidèles du Sanctum l’adorait, l’adulait comme au bon vieux temps… Elle se mit à réfléchir, longtemps, très longtemps. La réflexion était de mise. Est-ce qu’il fallait toujours mourir ? Ou un avenir plus radieux était possible ? Possibilité de revoir le culte des Éternels s’étendre ? Ou était-ce un groupuscule qui était destiné à s’éteindre ? En clair, il y avait-il encore de l’espoir ? Barthandelus, était-il dans le bon ? Elle se posait ses questions et bien d’autre encore. Le temps passait, toujours douteuse, et les événements se succédaient. Quelqu’un avait assassiné Dysley, le Primarque était mort… A la tête du Sanctum, c’était maintenant un certain Angeal, un fidèle qui avait la réellement foi, sinon, il n’aurait pas pris la place. L’Eternel avait échoué, quelque part, et maintenant, un humain était aux commandes. Ce qui veut dire qu’il ne voudrait pas que les Éternels meurt. Et c’est avec cette pensé que Jubiléus eu envie de les rejoindre, tous. Elle avait apporté des réponses à ses questions. Maintenant, elle voulait aider le Sanctum, maintenant, elle voulait continuer de voir ses créations grandir, s’épanouir, tel une mère veillant sur ses enfant. Elle se fit même cette réflexion et se retrouva honteuse d’avoir eu l’idée d’abandonné ses chérubins. La mort des Éternel allait devoir attendre encore un peu, attendre de voir si le Sanctum persistera.

      Mais prendre forme humaine, pour Jubiléus, n’était pas une tache facile. Dans sa logique bien à elle, elle ne voulait pas se faire humaine. Elle n’est pas humaine à la base, pourquoi s’en faire passer pour un ? Pourquoi tout simplement copier sa création ? Il n’y aurait aucun avantage à cela, aucun mérite. Et puis, elle qui aimait être reconnu, pourquoi forcément se fondre dans la masse ? Ainsi, elle se façonna à l’image des Nereid, créature aquatique apparaissant dans divers mythologie. Et que cela prenne son origine dans d’autre religion ne la perturbait pas vraiment. Et donc, un brin capricieux, elle se donna la vie dans les eaux profonde d’Atlantica, sa plus belle merveille, à ses yeux.
      Mais d’un coup, le Sanctum passait au second plan. Car, avide de découverte en tout genre, elle explora ce monde sous un œil nouveau, celui d’une mortelle, ou presque. Cet endroit la charmait tellement que l’espace d’un instant, elle se demanda si jouer aux mortelles n’était pas plus passionnant qu’autre chose. Mais plus elle s’approchait de la cité sous-marine, plus elle subissait l’effet de sa condition de Nereid. Chose jamais vu, monstre, abomination, étrangère, elle était un peu tout ça à la fois pour les Atlante, et ceux de la surface n’en penseraient surement pas moins. Sans pour autant se décourager, sa petite vie sous l’océan se fit presque en exile. Mais pourquoi partir alors qu’elle n’avait pas explorer tout les océans ? Au fur et à mesure de ses voyage, de ses aller-retour à la ville aquatique, elle se fit un nom et eu même l’autorisation de parler avec le grand Roi Triton. Jubiléus n’étais plus, elle se fit un plaisir de s’appeler Lanira …
      Une fois le peuple Atlante conquis grâce à divers esbroufe comme sauver des personnes de catastrophe naturel, le Sanctum revint petit à petit dans son cœur. Après quelques semaines, la déesse était enfin décidée à connaître un peu mieux ses fidèles, voir, à crée une belle petite famille. Car l’idée d’un tel culte, pour la Déesse de l’eau, est plutôt une famille qu’une pyramide où elle se placerait au sommet.

      Empruntant les moyens du bord, à savoir la compagnie Shin-ra, qui hésita d’ailleurs longtemps avant de prendre une telle chose à son bord, elle se rendit au domaine enchanté. C’était en effet dans ce monde que le Sanctum s’était développer, et qui allait donc devenir sa nouvelle maison. Mais une fois n’est pas coutume, la méfiance régnait. Ne serait-ce que dans les bois qui entourait le château du Roi Stéphane, profitant d’une baignade dans le lac, elle du subir les railleries et les menaces des passants … Quel idée de se faire Nereid. Elle avait bien le pouvoir de se camoufler en humaine mais ça, elle se le refusait. Si elle se présenterait comme ça face à ses disciples, c’est pour voir s’ils auraient la foi en elle. Mais bien sur, cela ne se passa pas comme prévu. Elle voulut intégrer l’ordre, d’abord comme simple fidèle, disons le comme ça. Mais bien vite, lorsqu’elle se déclara Éternel de l’eau, mieux encore, de la vie ! … Elle en fut presque excommunier tellement cette insulte semblait grave aux yeux de hauts dirigeants. S’annoncer Éternel ? Une nouvelle, bien que différente, vient sans invitation, presque les mains dans les poches et s’annonce comme l’une de leurs déesse ?! Bien qu’elle du prouver sa foi envers le culte, elle était devenu la paria du Sanctum. Tout le monde la regardait d’un mauvais œil, même les autres Éternel, qui eux, savait parfaitement qui elle était, semblait la laisser patauger dans les problèmes. Un peu comme si il était naturelle que tout le monde se fasse sa place. Mais en dépit de tout ça, elle gardait le sourire et restait confiante. Elle qui voulait retrouver l’amour de ses créations, se retrouve au plus bas de l’échelle morale du camp. Elle savait que la confiance d’un peuple ne s’obtenait pas avec de vaines paroles. Elle savait qu’un jour, elle leur prouverait à tous qu’elle a sa place dans cette religion qui, au fond, lui est dédié.

      Mais en attendant cette instant, Lanira se repose et guète le moment opportun pour faire un coup d’éclat magistral. Adieu, vie sous la mer, bonjour dur labeur…



    Les Questions
    Q u e s t i o n s :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
      Un Eternel n’est pas dénué d’émotion, malgré ce que l’on peut croire.

      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
      Sans doute un dauphin, calme, soucieux des autres, généreux, amical …

      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
      Je reste fidèle aux personnes qui mérite une telle considération de ma part. Et pour ce qui est de la camaraderie, il en va de même. Les plus méritants auront droit à ma sympathie.

      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
      Tout être vivant est à mes yeux un ami. Leurs actes et leurs façon de pensé détermine si ils le restent ou non.

      5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
      Aucune en particulier, si ce n’est que …
      L’eau n’est pas nécessaire à la vie, elle est la vie.

      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?
      Voir autres personnage

      7) Pourquoi incarner ce personnage ?
      Car cela faisait longtemps que je voulais incarner une sirène, encore un perso qui sort de l’ordinaire. Et puis, j’en ais marre des femmes un peu à la garçonne comme Oakley et limite Mizore. Peut-être enfin une femme qui va faire femme … femme poisson, certe, mais femme quand même.

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    Pam Pam Padoudam Padoudam Pam...

    Bonjour =)

    Un physique et un caractère subtilement mélangé. Pourquoi subtilement ? Parce que ma cote englobera le physique et le caractère d'un coup. Donc si le tout est très bien fait, la logique veut que la note soit de conséquence.

    Et justement, il est vraiment très très bien fait. Alors je ne sais pas si c'est grâce au nouveau design qui me met dans une bonne humeur. Ou alors si c'est simplement en lisant ton texte qui est très bon... Quoi qu'il en soit, je n'ai pas su lâcher ta fiche de présentation.

    Très fluide, très...

    En fait ça me fait plaisir de te revoir incarner un personnage joyeux ^^. 'Fin tu vois le genre, une femme tendre, belle, joyeuse. Comme tu l'as très bien dit : "Peut-être enfin une femme qui va faire femme … femme poisson, certe, mais femme quand même"

    Voila ^^.

    Général pour physique et caractère.

    Et dans l'ensemble, il n'y a que deux choses que je n'ai pas aimées. D'une, l'utilisation du mot "chérubin"... J'ai horreur de ce mot, c'est monstrueux ^^". Ensuite... Le fait que t'aies mis la description de combat dans tout ce qui était description. Mais c'est ma façon de voir les choses.

    Ton histoire est très bien mais elle aurait pu être mieux, c'est ce que tu m'as dit, il me semble. Globalement, elle est aussi fluide et agréable mais... Il manque d'un truc.

    Donc Commandant.

    Ca te fait un bon total d'une moyenne généreuse de Générale. Merci à toi.

    Fiche validée et toutes conneries du style.
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