Me voilà donc dans un nouveau monde pour faire un massacre. Je dois tuer des paysans qui veulent se rebeller contre notre boss. Cette mission me plait, je dois en plus traverser une forêt redoutée dans cette région car il y a des loups qui y trainent. C'est très excitant, j'espère juste que le peuple de ce pays sait bien se défendre même si ils ne sont armés que de fourches ou de pioches. Peu m'importe du moment qu'ils sont assez fort pour moi m'éclater. Je dois juste faire attention à ne pas tous les tuer, je ferais en sorte de prendre le plus fort d'entre eux et de le tuer et si ils se mettent en travers de mon chemin, je les tuerais sans hésitation.
Je me mettais donc en chemin pour aller voir ces rebelles. Il me fallait d'abord trouver la forêt. Chose qui n'était pas difficile vu qu'il n'y en a qu'une. Une fois devant celle ci, je rentrais et m'avancer doucement, toujours plus profondément. Plus je m'enfonçais plus la forêt semblait humide et noire. Je rencontrais parfois quelques animaux inoffensifs mais à chaque qu'ils me voyaient, ils me fuyaient. Je continuais donc mon avancer pas à pas. Soudain j'entendis un hurlement. Je me retournais et c'était un loup qui passait par là. Je le fixais et lui me fixa. Je continuais à avancer mais il passa devant moi pour m'empêcher. Je posa alors ma main sur mon sabre, prêt à dégainer. Le loup compris alors que je n'étais pas là pour m'amuser et que je n'avais pas peur de lui. Il poussa un hurlement pour se donner du courage et me sauta au visage. Je fis un pas de coté pour l'esquiver et il revint à la charge dés qu'il posa pied au sol. Hélas pour le loup, il semblait vieux et donc moins agile. Certainement qu'il s'est fait prendre sa place de chef par un autre et qu'il voulait donc mourir. Comme je passais par là, je faisais une dernière bonne cible avant de mourir. Pauvre bête, elle ne comprend pas qu'elle ne fait pas le poids. Je dégainais alors mon sabre et attendis que le loup passe à l'action ce qui ne fut pas long à attendre. Il sortit ces crocs et dans un dernier élan me fonça dessus. Je me laissa mordre le bras et planta mon sabre dans sa tête. Le sang me gicla à la figure et ça dépouille tomba. Moi, je me remis en chemin pour aller voir où en était le peuple.
Je continuais donc mon avancée dans cette forêt qui ne laissais même plus passer un seul rayon de soleil mais il faisait tout de même chaud et humide. Je les cherchais toujours, parfois il m'arrivait de tourner en rond ou de complètement me perdre. Il me fallut tout de même quelques heures avant de voir au loin une lueur de flambeau. Je me dis alors que j'avais trouvé leur campement et je m'avança à petit pas vers cette lueur. Je mettais caché derrière un buisson pour vérifier que c'était bien l'endroit que je recherchais et en effet, il semblait que se soit le bon. Je sortis alors de ma cachette et avança dans le campement. Les gens s'étaient rassemblés autour d'un feu de camp pour discuter. Je m'avança vers eux quand un homme sortit de nulle part et posa son bras sur moi pour m'empêcher d'avancer.
Qui êtes-vous? Je ne vous connais pas, aller vous-en.
Toi dégage! Je suis ici pour tuer votre chef et mettre fin à votre rébellion mais si tu ne dégages pas je te tue aussi.
Le type sortit alors une arme et me menaça avec. Il essaya de me frapper avec une fourche mais je l'attrapais avec ma main gauche et je le propulsa lui et sa fourche dans le feu autour duquel se trouvait tout le monde. Ils se levèrent tous mais ne comprirent seulement ce qui s'était passé quand ils se retournèrent vers moi.
Je suis ici pour tuer votre chef! Ou est-il?
C'est moi le chef ici donc c'est contre moi que tu devras te battre.
C'était une homme assis qui parla. Il semblait plus jeune que moi et semblait n'avoir aucune expérience du combat bien qu'il avait une sabre lui aussi. Certainement que son père lui avait légué avant de mourir. Il se leva et les gens autour de lui s'écartèrent. Les rebelles le regardaient avec un air d'admiration. Je crois que cet adversaire va se relever meilleur que ce type qui est en train de bruler dans leur feu de camp. Je sortis mon arme de son fourreau et tous ceux autour de moi reculèrent d'un pas. Apparemment eux n'étaient de grand combattant. Ils tremblaient devant moi et leur chef. Je crois qu'ils n'ont pas vraiment voulu se rebeller mais que c'est ce type qui les a obligé. Toute façon, je m'en fiche je tue leur chef et ce sera terminé pour le reste. Sans bon chef, même si ils se rebellent, ils n'iront pas loin dans leur bataille. L'homme continua d'avancer et dégaina à son tour. Son sabre semblait neuf comparé au mien. Cela voulait donc dire qu'ils de se bat pas beaucoup et que donc ce combat ne mettra pas longtemps à se terminer. L'homme s'avança un peu plus. J'étais maintenant à la porté des ces attaques. Attaques qui ne trainèrent pas à arriver. Dés que je fus à la bonne porté, il attaqua avec un coup verticale. Je ne bougea pas et me laissa frapper. Son attaque ne fut pas meurtrière. On dirait qu'il a peur de tuer.
C'est tout ce que peut faire votre chef et bien vous n'irez pas loin dans votre rébellion. On ne doit même pas s'inquiéter. Votre chef vous enverra tous au casse pipe. MWAHAHAHA
Sur ces mots, les gens commencèrent à douter. Ils comprirent qu'ils ne pouvaient rien contre la coalition. Ils hésitèrent et certain d'entre eux commencèrent à partir. Quand leur chef vit cela, il s'énerva et essaya de me porter une autre attaque mais je l'arrêta de ma main gauche et je lui donna un coup de pied qui le fit reculer de quelques mètres avant de tomber au sol. Il savait même pas prendre un simple coup de pied. Je trouve même que le loup que j'ai tué avant de venir était plus intéressant. Au moins lui dans ces attaques, il y avait de la conviction. Quand les autres regardèrent leur boss qui était lamentablement posé au sol, ils partirent . Il ne restait plus que nous deux. Moi je rangea mon sabre et me mis en chemin pour rentrer. J'avais dissuadé le peuple, je pouvais donc rentrer. Ma mission était terminée.
CONNARD! Où tu vas? Tu crois quand même pas que je vais te laisser partir comme ça? Je vais te crever!
Ta gueule! Tu fais pas le poids et ça se voit. Ma mission est fini donc je rentre.
Sur ces mots, l'ennemi se releva avec l'épée à la main. Il me fonça dessus pour m'attaquer mais le coup que je lui avait porté lui faisait encore de l'effet apparemment car il retomba immédiatement au sol. Moi je repris mon chemin mais il n'abandonna pas. Il s'était relevé tant bien que mal et il avait la rage. Cette rage qui pouvait mettre n'importe quel adversaire dans une position dangereuse. Même moi je pouvait être en danger à ce moment. Je me retourna donc vers lui et dégaina à nouveau. La rage l'aveuglait. Il courut vers moi avec pour toutes et seules ambitions de me tuer. Ce combat devenait enfin intéressant. Il frappa et je bloqua avec mon sabre. Cet attaque, dans cet attaque j'avais ressenti toute la haine qui l'avait pour moi. Je frappa à mon tour et je le toucha à l'épaule le sang commençait à couler mais il ne ressentait rien. Il était devenu complètement fou comme moi lorsque je combat. Il commençait à se délecter de la souffrance. Mon attaque l'avait fait reculer mais il revint. Dommage, il n'avait pas d'expérience sinon ce combat aurait été magnifique. Je le frappa un bon coup avec le plat de mon sabre et il tomba au sol.
Tu n'es pas encore assez fort pour le moment mais je vais te laisser vivre et tu t'entraineras en pensant à moi pour que toute ta rage, ta haine ne se tourne plus que vers moi.
Je vais te buter, je vais te crever! FUMIER! VIENS!
Sur ces derniers mots, je partis car il ne pouvait plus rien. Il était à bout de souffle. Il ne pouvait même plus se relever. Je lui donna mon nom et partis. J'étais heureux. Heureux de savoir que toutes sa haine était tourné vers moi maintenant. Il va s'entrainer toujours plus dur toujours plus fort et un jour, il réapparaitra et nous nous combattrons encore une fois mais à force égale
Dim 13 Mar 2011 - 7:42Je me mettais donc en chemin pour aller voir ces rebelles. Il me fallait d'abord trouver la forêt. Chose qui n'était pas difficile vu qu'il n'y en a qu'une. Une fois devant celle ci, je rentrais et m'avancer doucement, toujours plus profondément. Plus je m'enfonçais plus la forêt semblait humide et noire. Je rencontrais parfois quelques animaux inoffensifs mais à chaque qu'ils me voyaient, ils me fuyaient. Je continuais donc mon avancer pas à pas. Soudain j'entendis un hurlement. Je me retournais et c'était un loup qui passait par là. Je le fixais et lui me fixa. Je continuais à avancer mais il passa devant moi pour m'empêcher. Je posa alors ma main sur mon sabre, prêt à dégainer. Le loup compris alors que je n'étais pas là pour m'amuser et que je n'avais pas peur de lui. Il poussa un hurlement pour se donner du courage et me sauta au visage. Je fis un pas de coté pour l'esquiver et il revint à la charge dés qu'il posa pied au sol. Hélas pour le loup, il semblait vieux et donc moins agile. Certainement qu'il s'est fait prendre sa place de chef par un autre et qu'il voulait donc mourir. Comme je passais par là, je faisais une dernière bonne cible avant de mourir. Pauvre bête, elle ne comprend pas qu'elle ne fait pas le poids. Je dégainais alors mon sabre et attendis que le loup passe à l'action ce qui ne fut pas long à attendre. Il sortit ces crocs et dans un dernier élan me fonça dessus. Je me laissa mordre le bras et planta mon sabre dans sa tête. Le sang me gicla à la figure et ça dépouille tomba. Moi, je me remis en chemin pour aller voir où en était le peuple.
Je continuais donc mon avancée dans cette forêt qui ne laissais même plus passer un seul rayon de soleil mais il faisait tout de même chaud et humide. Je les cherchais toujours, parfois il m'arrivait de tourner en rond ou de complètement me perdre. Il me fallut tout de même quelques heures avant de voir au loin une lueur de flambeau. Je me dis alors que j'avais trouvé leur campement et je m'avança à petit pas vers cette lueur. Je mettais caché derrière un buisson pour vérifier que c'était bien l'endroit que je recherchais et en effet, il semblait que se soit le bon. Je sortis alors de ma cachette et avança dans le campement. Les gens s'étaient rassemblés autour d'un feu de camp pour discuter. Je m'avança vers eux quand un homme sortit de nulle part et posa son bras sur moi pour m'empêcher d'avancer.
Qui êtes-vous? Je ne vous connais pas, aller vous-en.
Toi dégage! Je suis ici pour tuer votre chef et mettre fin à votre rébellion mais si tu ne dégages pas je te tue aussi.
Le type sortit alors une arme et me menaça avec. Il essaya de me frapper avec une fourche mais je l'attrapais avec ma main gauche et je le propulsa lui et sa fourche dans le feu autour duquel se trouvait tout le monde. Ils se levèrent tous mais ne comprirent seulement ce qui s'était passé quand ils se retournèrent vers moi.
Je suis ici pour tuer votre chef! Ou est-il?
C'est moi le chef ici donc c'est contre moi que tu devras te battre.
C'était une homme assis qui parla. Il semblait plus jeune que moi et semblait n'avoir aucune expérience du combat bien qu'il avait une sabre lui aussi. Certainement que son père lui avait légué avant de mourir. Il se leva et les gens autour de lui s'écartèrent. Les rebelles le regardaient avec un air d'admiration. Je crois que cet adversaire va se relever meilleur que ce type qui est en train de bruler dans leur feu de camp. Je sortis mon arme de son fourreau et tous ceux autour de moi reculèrent d'un pas. Apparemment eux n'étaient de grand combattant. Ils tremblaient devant moi et leur chef. Je crois qu'ils n'ont pas vraiment voulu se rebeller mais que c'est ce type qui les a obligé. Toute façon, je m'en fiche je tue leur chef et ce sera terminé pour le reste. Sans bon chef, même si ils se rebellent, ils n'iront pas loin dans leur bataille. L'homme continua d'avancer et dégaina à son tour. Son sabre semblait neuf comparé au mien. Cela voulait donc dire qu'ils de se bat pas beaucoup et que donc ce combat ne mettra pas longtemps à se terminer. L'homme s'avança un peu plus. J'étais maintenant à la porté des ces attaques. Attaques qui ne trainèrent pas à arriver. Dés que je fus à la bonne porté, il attaqua avec un coup verticale. Je ne bougea pas et me laissa frapper. Son attaque ne fut pas meurtrière. On dirait qu'il a peur de tuer.
C'est tout ce que peut faire votre chef et bien vous n'irez pas loin dans votre rébellion. On ne doit même pas s'inquiéter. Votre chef vous enverra tous au casse pipe. MWAHAHAHA
Sur ces mots, les gens commencèrent à douter. Ils comprirent qu'ils ne pouvaient rien contre la coalition. Ils hésitèrent et certain d'entre eux commencèrent à partir. Quand leur chef vit cela, il s'énerva et essaya de me porter une autre attaque mais je l'arrêta de ma main gauche et je lui donna un coup de pied qui le fit reculer de quelques mètres avant de tomber au sol. Il savait même pas prendre un simple coup de pied. Je trouve même que le loup que j'ai tué avant de venir était plus intéressant. Au moins lui dans ces attaques, il y avait de la conviction. Quand les autres regardèrent leur boss qui était lamentablement posé au sol, ils partirent . Il ne restait plus que nous deux. Moi je rangea mon sabre et me mis en chemin pour rentrer. J'avais dissuadé le peuple, je pouvais donc rentrer. Ma mission était terminée.
CONNARD! Où tu vas? Tu crois quand même pas que je vais te laisser partir comme ça? Je vais te crever!
Ta gueule! Tu fais pas le poids et ça se voit. Ma mission est fini donc je rentre.
Sur ces mots, l'ennemi se releva avec l'épée à la main. Il me fonça dessus pour m'attaquer mais le coup que je lui avait porté lui faisait encore de l'effet apparemment car il retomba immédiatement au sol. Moi je repris mon chemin mais il n'abandonna pas. Il s'était relevé tant bien que mal et il avait la rage. Cette rage qui pouvait mettre n'importe quel adversaire dans une position dangereuse. Même moi je pouvait être en danger à ce moment. Je me retourna donc vers lui et dégaina à nouveau. La rage l'aveuglait. Il courut vers moi avec pour toutes et seules ambitions de me tuer. Ce combat devenait enfin intéressant. Il frappa et je bloqua avec mon sabre. Cet attaque, dans cet attaque j'avais ressenti toute la haine qui l'avait pour moi. Je frappa à mon tour et je le toucha à l'épaule le sang commençait à couler mais il ne ressentait rien. Il était devenu complètement fou comme moi lorsque je combat. Il commençait à se délecter de la souffrance. Mon attaque l'avait fait reculer mais il revint. Dommage, il n'avait pas d'expérience sinon ce combat aurait été magnifique. Je le frappa un bon coup avec le plat de mon sabre et il tomba au sol.
Tu n'es pas encore assez fort pour le moment mais je vais te laisser vivre et tu t'entraineras en pensant à moi pour que toute ta rage, ta haine ne se tourne plus que vers moi.
Je vais te buter, je vais te crever! FUMIER! VIENS!
Sur ces derniers mots, je partis car il ne pouvait plus rien. Il était à bout de souffle. Il ne pouvait même plus se relever. Je lui donna mon nom et partis. J'étais heureux. Heureux de savoir que toutes sa haine était tourné vers moi maintenant. Il va s'entrainer toujours plus dur toujours plus fort et un jour, il réapparaitra et nous nous combattrons encore une fois mais à force égale