Mordred  Szp8Mordred  4kdkMordred  4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

more_horiz
  Présentation de « Mordred »

.

    Identité

      N o m  : Inconnu.
      P r é n o m  : Mordred
      S u r n o m  : Jeune Druide
      Â g e  : Treize ans.
      C a m p : La Congrégation de L'Ombre.
      M o n d e d' O r i g i n e : Le Château de la Bête.
      R a c e  : Humain

    Descriptions
    P h y s i q u e  : 

      Savez-vous pourquoi les enfants sont le symbole de l'innocence ? Tout simplement parce qu'ils ne sont tachés d'aucun maux. Leurs sentiments sont purs et leur sourire ravive les cœurs de leurs parents. Ils ne connaissent rien du monde dans lequel ils vivent. Ils ne savent pas que les humains sont fourbes et malhonnête. Qu'ils ne pensent qu'à leurs intérêts, qu'ils ne font que détruire ce qu'ils touchent. Ils avaient détruit sa vie. Ils lui avaient tout pris, sauf son existence. Cette même réalité qui vous fait tant souffrir et qui en fin de compte ne vous aide pas. Tous ces maux, tous ces heurts, toute cette souffrance se marque sur un visage, laissant apparaître des cicatrices, des cernes, ou faisant disparaître totalement les émotions. Et toute personne qui a un peu vécu, montre quelques marques du passage de la vie. Du passage de l'enfance jusqu'à devenir un adulte. C'est une règle fondamentale et rien n'y échappe. Toutefois, il y a toujours une exception...

      Dans un bois, légèrement éclairé par la pleine lune, une silhouette coure, filant entre les branches, fuyant le son de ces pas qui fracassent les branches reposant au sol. L'astre lunaire ne permet de voir qu'une petite silhouette, fine et gracieuse, dissimulée par un mince morceau de tissus, ressemblant à une vieille cape usait d'un vert aussi foncé que l'herbe en été. Son visage ne peut-être vu, une capuche de la même couleur que sa cape, le dissimule dans un halo de ténèbres. Les bruits de pas s'estompent, les soldats quittent la forêt et rentre chez eux bredouille. Ils n'ont pas encore réussi... Toujours pas... La fatalité veut qu'ils tenteront une seconde fois de l'attraper. Qu'ils le chasseront comme un animal, un vulgaire morceau de viande. Et tout ceci... Toute cette scène ne peut se voir sur son visage. Il enlève sa capuche, enfin en paix pour cette fois. Il prend une grande bouffée d'air, tout en espérant que ce ne sera pas sa dernière. Il attend, il sommeille, ses yeux azur se ferme. Ses pupilles pouvant percer les secrets dissimulés au plus profond des gens s'éteignent. Son regard disparaît sous le voile de Morphée et le repos l'étreint.

      Ce n'est qu'un enfant, il n'a que treize ans. Et pourtant... On le pourchasse comme un dangereux prisonnier. Un être qui pourrait détruire un royaume. Et pourtant ce n'est qu'un enfant. Un pauvre être qui est perdu. Perdu dans une forêt, sans personne pour l'aider, seul... Si seul... Et toutefois, aucun changement dans son visage, dans son regard ne se lit rien de triste. Il a fait son deuil, il est passé à autre chose... Ses yeux sont emplis de sentiments changeant selon la personne qui lui fait face. Son regard vous percent. Vous jugent. Vous gèlent sur place si vous les fixez trop longtemps. Alors que son visage est d'une froideur faisant penser à la neige. D'un blanc presque parfait, presque sans défaut. Des lèvres finement rosées, légèrement ouverte, laissant voir une dentition blanche et éclatante. Et pour finir, un nez tout aussi blanc que son visage, sans impureté. À cela, nous pouvons ajouter un détail qui représente son passé, son présent et son futur. Un tatouage sur le côté droit de la poitrine. C'est un symbole druidique, un triskel, un tatouage en forme de spiral, à trois branches irradiant un point central.

      Le soleil se lève et réveille la forêt, la lumière perce les branches, les bruits des animaux se font entendre. Un écureuil descend de son arbre pour aller enterrer une noisette à côté du jeune garçon endormis. Un bruit de pas se fait entendre, suivi rapidement d'un reniflement. L'enfant se réveille, prend quelques secondes pour comprendre ce qui lui arrive. Ils l'ont déjà retrouvé... La chasse recommence. Il se met debout rapidement, balaie la place du haut de ses un mètre trente, regarde de tous les côtés et une fois qu'il sent la présence des gardes, il fuit, il court dans leur direction inverse. Son pendentif vole, un pendentif druidique, possédant encore la marque du triskel, en forme de triangle, ainsi qu'un second. Un simple collier avec une pierre bleu comme le ciel, comme ses pupilles. Un azur sans fond qui engloutit tout. Ses bottes marron éclaboussent son chemin et arrose son pantalon d'un belge foncé, d'un liquide boueux. La nuit a été fraiche, le ciel a pleuré. Les cieux ont versé les larmes qu'il ne pouvait verser.

      Il court, fonce vers l'orée de la forêt, espérant semer ses poursuivants. Ses cheveux volent dans le vent, d'une couleur entre le châtain foncé et le noir, aux quelques reflets de lumière. Des court cheveux qui lui tombent sur son front, le dissimulant d'un brouillard noir. Quelques mèches frisent au niveau de sa nuque. Quelques épis rebellent... Et pour finir sur sa tenue, il porte un pull en coton blanc. Un pull offert par son père, l'un de ses derniers souvenirs. Mais tout ceci, il s'en fiche. Il s'en moque, ce n'est qu'un physique. Qu'une apparence. Les gens le trouvent mignon, ne se méfient pas de lui et pense qu'il est aussi doux que le laisse présager son image. C'est un enfant, certes... Et c'est peut-être pour cela qu'il se fiche de que les gens peuvent penser de son apparence. Il n'est pas riche matériellement parlant, il n'a pas vécu dans le luxe d'une belle vie, dans un château. Alors, oui, son regard azur, ses cheveux et son expression timide, abaisse la méfiance des gens à son égard.

      Il s'arrête, laisse les gardes l'entouraient... De toute façon, il avait perdu depuis le début. Il ne pouvait pas les fuir... Il était obligé de leur faire face. Les militaires prennent leurs arcs en mains, le visent et s'apprêtent à tirer... Ils vont prendre sa vie, là. Dans ce lieu où la magie fut maître autrefois. Où la nature dominait toute chose et où les humains ne l'aplatissaient pas comme une crêpe. Un cri se fait entendre. À la fois doux et fort. Un hurlement qui résonne dans les bois, qui ricochent sur les arbres. Il parle et leur demande de fuir, il ne veut pas les tuer... Sa voix est douce, elle ne tremble pas, sûr d'elle, sur de lui, sur de ses capacités. Une émotion résonne en elle, de la pitié ? Un amour pur et bénéfique ? Ou juste des phrases hypocrites. Qui sait ce qu'il pense réellement... Toutefois, il les prévient, ils ne l'écoutent pas. Ils l'ignorent, qu'est-ce qu'un petit garçon, faible comme lui pourrait bien faire ? Malheureusement pour eux, il ne faut pas juger un livre sur sa couverture. Les cordes se tendent et une vague psychique renverse les gardes, les faisant rencontrer la nature, les faisant mourir par un choc au niveau de la tête. Une personne est vivante, une personne le regarde... Elle lui demande comment il s'appelle. Le ton de sa voix ne change pas, il est moins doux, mais toujours aussi délicat. Il est plus froid, mais possède encore une certaine chaleur. Et pourtant... Aucune trace de remord ne survient en elle.

      ''-Mon nom est Mordred.''

      L'homme trépasse, tandis que Mordred quitte la forêt, quitte ce monde. Enfin... Il quitte cette prison...


      Question vis-à-vis du Physique  :

      Mordred ne se battra pas souvent. Quand on le forcera. Quand on le mettra dos au mur, ou par obligation envers ses alliés. Outre quelques petites exception, il n'affrontera personne. Il est un vent tiède et chaud, qui peut se transformer en tempête si on le force. C'est un mage. Un mage pouvant contrôler les objets par la pensée, pouvant contrôler la plupart des éléments, pouvant invoquer des créatures pour venir l'aidé, où des armes pour se battre. Il les maniera par la pensée, jamais par le contact physique. C'est un mage et non un guerrier. Il ne sait pas se battre au corps à corps, il ne possède pas une forte défense. Seul sa vitesse et sa dextérité sont élevé au même niveau que sa magie. Il n'a pas de réel élément associé, sachant maîtriser tout les sorts élémentaires au même niveau. Il a un pouvoir un peu spécial. Un pouvoir qui lui a été offert. Il peut lire dans l'esprit des gens, percer leur secrets, leur sentiments et les mettre à la lumière.


    C a r a c t è r e : 
      Question vis-à-vis du caractère :


      La lumière dans les ténèbres... Un enfant dans la solitude. N'est-ce pas la même chose ? Les mêmes sentiments glacials qui s'emparent de vous ? Tel une lame qui vous pénètre, qui vous perce, qui vous fait souffrir. Ce sentiment d'infini douleur, celui qui vous fait perdre pied, qui vous fait oublier les choses qui vous entoure pour vous plonger dans une illusion amère. Tout ceci est semblable. Une lumière dans un océan de ténèbres s'affaiblira, deviendra plus froide, mais ne s'éteindra pas. Tout comme un enfant dans un monde de solitude, son cœur se refroidit, il perd confiance dans les gens, mais il peut toujours aimer. Et c'est cela la magie de l'enfance, celle qui vous permet de ne pas juger votre prochain. Celle qui fait que vous pouvait être respecté pour cela.

      Mordred est tout cela. Il est cette lumière perdue dans les ténèbres. Cette douce lumière qui était chaude et qui aimait chaque chose. Qui ne voyait que le bien, jusqu'à ce que tout ceci disparaisse dans un claquement. Et cela ne pouvait le blesser, lui enlever ce qu'il aimait, ce qu'il était. Ce ne fut pas les sans-cœurs les responsables de sa solitude. De ce sentiment de vide qui l'étreint constamment. Ce fut les humains. Des êtres cupides qui ne pensent qu'à leur richesse, qu'à leur bonheur. Qui sont terrorisés par de simples choses. Qui ferme leurs yeux à la nature, à la confiance et à l'amour et ne voit plus que le mal. Ce fut à cause d'eux que sa lumière diminua, devenant plus froide.
      Si on le compare à son passé, cette image oubliée, on le retrouve souriant, joyeux. Tout simplement heureux de vivre. Heureux de pouvoir aider son père, de pouvoir aider les druides. Une vie simple et pourtant si bonne. Il n'était qu'un simple enfant...

      Qu'est-il devenu ? Il reste un druide, une personne qui aidera son prochain, sans la juger, sans lui poser de question. Pour lui, pour le souvenir de toutes les personnes qu'il a aimées et tout simplement, parce que c'est ce qu'il est. Son visage ne souris plus. Ses traits restent neutre, pouvant s'animer devant des personnes qu'il appréciera la compagnie. Des personnes qui ne le jugent pas. Ses yeux n'ont rien perdu de leur ancien éclat, il brille toujours d'une lumière d'espoir et même si cet espoir est dans les ténèbres les plus profonds. Son apparence ne laisse rien paraître de ce qu'il pense. S'il est joyeux, on le verra, mais pour les autres sentiments, on ne verra rien. C'est un excellent comédien, il peut vous faire penser presque tout ce qu'il souhaite. Après tout... Qui se méfierait d'un gamin de treize ans ? Que peu de personnes. Surtout s'il est mignon. Après tout, c'est bien connu. Beaucoup d'individus juge sans connaître.

      Mordred a appris. Il a retenu les leçons qui se sont présentées à lui. La méfiance, il l'a apprise. Il aidera et pourtant, il n'aura pas confiance dans la personne qu'il aide, s'attendant à chaque instant à ce qu'elle lui plante un couteau en plein cœur, comme tant on déjà fait par le passé. Il guettera les bruits, ayant peur qu'on le suive, il cherchera à savoir les véritables intentions des gens, même s'il doit plonger dans leur esprit pour cela. Il est devenu vicieux, n'hésitant pas à se servir de ce qu'il apprend dans le cœur des gens contre eux. N'hésitant pas à les frapper là, où ça leur fait le plus grand mal. Pouvant les harceler, les faire cauchemarder avec cela. C'est une personne rancunière. Un mal qu'on lui a fait, ne restera pas impuni. Il se vengera, il brisera les défenses mentaux de ces ennemis. C'est les ténèbres qui sont en lui. Ces choses qui lui crient que faire confiance c'est mal. Qu'être gentil c'est mal. Ces mêmes ténèbres qui le corrompre. Le rendant manipulateur, n'hésitant pas à se faire passer pour un enfant sans défense pour qu'on l'aide, pour qu'il juge de nos capacités et de nos réactions. C'est quelqu'un de plutôt stratégique, il ne fera rien d'inconscient et s'il est en mauvaise posture, il pourra toujours utiliser ses compétences psychiques pour se sauver. Il a vécu seul, il a tout perdu. Il sait ce qu'il faut faire pour briser quelqu'un. Mieux vaut être son ami, que son ennemi. Et pour être son ami, pour qu'il abaisse toutes ces barrières et qu'il vous laisse le voir comme il est. Comme un enfant fragile, seul et perdu, la route sera longue et parsemé d'embuche. Des pièges qu'il tendra pour voir si vous êtes sincère. Et tout en sachant que lui mentir est impossible, cela devient vite un jeu dangereux que d'essayer de le tromper.

      Et dans ces ténèbres brille une lumière sans fin. Une lumière qui prend sa source dans les légendes, dans de sombres endroits. Celle d'un serpent à huit têtes. La tête représentant la lumière, l'a choisi. Renforçant cette mince flammèche qui brulait dans cet océan glacial de solitude. C'était la preuve, qu'il n'était pas seul. Que quelqu'un, même s'il était les ténèbres, avait pensé à lui. C'était une nouvelle vie qu'on lui offrait. L'occasion de se venger de tout ce qu'on lui avait fait. Un tout nouvel espoir... Envers les gens qu'il a rencontrés dans ce groupe, il leur est plutôt fidèle. Les respecte et n'hésitera pas à les aider. Toutefois, si un traitre fait son apparition dans le groupe et qu'il le remarque. Il n'aura aucune pitié pour lui.

      On peut parler aussi de sadisme. De cruauté. Ou en tout cas, ce qu'il fera en aura l'air. Il peut se montrer abjecte, ou bien adorable. Cela dépendra de ce qu'il voudra que vous fassiez. Cela dépendra de ce qu'il a prévu pour vous, lui, ou les membres de son groupe. Mordred est quelqu'un qu'on peut difficilement blesser. Il n'éprouve aucun remord, il peut tuer parce que c'était nécessaire sans que cela l'attriste, sacrifier des gens, il s'en fout. Toutes personnes contre lui, doit être châtier. Détruite. S'il ne peut changer cela, alors, pourquoi les laisser vivre, ils ne feront que l'embêter dans ses projets. Même s'il est une lumière, son âme est bien sombre.

      Et même si les ténèbres l'étouffent, il restera toujours une lumière. Son cœur est tout aussi bon, que mauvais. C'est un paradoxe à lui tout seul. Autant il peut-être quelqu'un d'adorable, autant il peut-être quelqu'un de détestable. Qui est-il réellement ? La lumière, ou les ténèbres ? Peut-être est-il un juste milieu aux deux. Marchant sur une corde en pleine équilibre. Où est-ce seulement un Druide ? Quelqu'un qui vit seul, qui peut aider les uns et blesser les autres. Après tout, la solitude prend une grande partie dans sa vie. Il a tout perdu, il a vécu seul pendant tellement longtemps pour ses courtes années.
      Il n'est plus que le ténèbres dans la lumière, ou la réciproque. Juste un simple équilibre. Seulement quelque chose de perdu entre les deux. Un paradoxe et une dualité qui n'est plus à montrer. Un adorable petit garçon pouvant devenir un enfer glacial... Tel est le résultat de cette phrase qui lui correspond totalement...

      La plus grande souffrance est de se sentir seul, sans amour, abandonné de tous.


    G r a d e . v i s é :
      Je suis du genre à viser tout en haut. Comme ça, je n'aurai pas de regret. Donc Maréchal.

    H i s t o i r e :
      Lumière... Ténèbres... Je ne connais pas cela. Je n'ai jamais appris à les différencier. Pour moi, ce sont les mêmes. Une seule chose qu'on divise en deux parties. Une âme qu'on juge. Les druides ont une règle. Ne jamais juger. Qui sommes-nous pour juger du sort d'une pauvre personne ? Nous sommes tous égaux. Si nous pouvions lui donner une autre chance, alors nous le ferons. Je ne souhaite pas le mal. Et je ne souhaite pas le bien. Je souhaite juste une chose... Une mince chose...

      Prologue : La Naissance d'un Druide.

      Ceci est mon enfance. C'était une époque bénie par les Dieux. Tout le monde était heureux, tout le monde vivait tranquillement, comme une roue bien huilait. Je vivais avec des druides et mes parents. Mon père était un homme bon et généreux. Ne refusant jamais d'aider son prochain. Tout comme ma mère était douce comme une fleur. Elle ne refusait jamais rien, aidait tout le monde. Tout notre campement était comme ça. Nous étions des gens qui se satisfaisaient d'aider les autres. C'était simple. Bien trop simple et stupide pour les villageois. Nous étions des individus dont il ne fallait pas parler. Nous n'existions pas pour eux et eux n'existaient pas pour nous. Si quelqu'un se perdait, les druides l'aidèrent. C'était simple. Et c'était notre bonheur.

      C'était un jour spécial dans le village. Quand un enfant atteint l'âge des trois ans, il devenait un druide et on lui offrait deux choses. Et, lors de cette journée, ce fut mon tour. Je me dépêchais d'enfiler mes habits, partant rapidement de notre tente vers celle du chef. Mon père était déjà là, assis avec le chef du village. Une femme sage et respectable. Elle s'appelait Adria, elle était brune et avait de magnifiques yeux marrons. On aurait pu y voir la vie coulait en elle. Je m'assis devant elle, attendant que mon père, ou que notre chef prenne la parole. J'étais stressé et ému. J'allais enfin devenir un druide. On m'apprendrait à me servir des pouvoirs psychiques et magiques. C'était tout ce que j'attendais impatiemment... J'attendis et rien ne se passa. Nous n'avions pas bougé depuis une dizaine de minute et j'étais fatigué d'attendre. Pourtant, je ne dis rien. J'attendis, comme on me l'avait appris. Et alors que je commençais à somnoler, mon père tendit sa main vers moi. Il tenait un pendentif. Je le pris, le remerciant d'un mouvement de tête et d'un sourire avant de le mettre sur moi. J'avais vu le symbole qui y figurait. C'était une marque qui faisait de moi la preuve que j'étais un druide. Un collier pour prouver que je l'étais bien, que j'étais de ce campement-là. Adria tapa deux fois dans ses mains pour me ramener à la réalité. Ses yeux d'onyx s'enfoncèrent dans mes yeux de saphir et je sentis mon corps tomber. J'étais en train de m'endormir. J'entendis juste une parole, une simple phrase qui me porta dans un sommeil sans rêve.

      ''-L'heure est venu, Cerdan. Votre fils va renaître.''

      Ce fut une longue journée... Une journée où tout ce qu'il se passa disparut. J'étais emporté dans un tourbillon de sensations contraires. J'étais joyeux... Et j'avais mal. Une horrible douleur me brulait la poitrine. Cette douleur ne pouvait-être qu'imaginaire... Elle ne pouvait venir que d'un horrible cauchemar. Qu'elle était-elle ? À cette époque, je n'aurais pu le dire. Maintenant, je sais ce qu'elle signifie... Mon réveil se passa tout aussi douloureusement, j'étais seul, dans notre tente et comme dans mon rêve, une horrible sensation me tordait la poitrine. Je retirais la couverture qui me couvrait pour voir une marque sur ma chair. Une marque noire. Une marque qui restera à jamais gravé dans mon âme. Pour la seconde fois de ce qui semblait être la journée, notre chef me sortit de mes pensées.

      ''-Mordred... Cette marque sur ta poitrine, sera toujours là pour te rappeler en quoi nous croyons et qui nous sommes. Ne l'oublie jamais. Tu es un druide, un membre de notre tribut. Et aussi. Un membre de notre famille.''

      Elle partit sans en dire plus, me laissant mijoter avec moi-même. J'avais trois ans... Et je ne pensais qu'à m'entraîner à la magie. J'étais encore un enfant, impatient de faire ses preuves. Impatient de pouvoir contrôler les forces de la nature.

      Chapitre I : L'assaut des Ténèbres...

      Quatre années passèrent. Quatre longues années où je ne fis qu'aider, apprendre et encore aider. Ma mère m'enseignait la science des plantes, m'apprenant à différencier une fleur empoisonnée d'une espèce trouvant son nom dans une recette bénéfique à la vie. Mon père s'occupait de mes pouvoirs, m'apprenant à les contrôler et quelquefois, j'avais la joie de partir avec lui dans la forêt. Ils nous arrivaient de rencontrer des voyageurs égarés, ou des sortes de créatures noires. Ils n'étaient pas très dangereux. Grâce à nos pouvoirs, nous pouvions les repousser hors de nos terres. Je n'avais aucune idée de ce qui se trouvait après l'orée. Ils nous arrivaient de devoir envoyer quelqu'un au village, ou fait encore plus rare, de s'avancer dans le domaine de la bête... J'avais appris que nous n'étions pas les seuls habitants de la forêt. Nous devions la partager avec des loups et même si nous n'avions pas le droit de les tuer, je ne pouvais qu'espérer ne jamais en voir un. Un animal qui peut vous découper avec ses dents... J'étais terrifié étant petit par toutes ses histoires. Nous avions notre routine. Notre petit paradis. Et tout ceci se brisa...

      Mon père avait besoin de moi. Nous devions aller dans le village pour acheter divers objets. C'était une belle journée. Rien n'aurait pu prévoir ce qu'il s'y passa... Nos pas nous menèrent à l'orée de la forêt. Entre temps, nous avions pu constater que les ombres ne faisaient que se multiplier et qu'il était de plus en plus difficile de les repousser. Après une dizaine de minutes de marche, nous arrivâmes dans le village. Les habitants étaient... Joyeux ? Il semblait être heureux, il semblait fêter quelque chose, mais quoi... Mon père voyait bien dans mon regard que j'étais curieux. Il ébouriffa les cheveux pour me rappeler que nous ne devons pas nous mêler de la vie des autres mondes, des autres villages. Juste après ça, il mit sa capuche et s'avança. Je fis de même, avant de le suivre. Nos achats se firent rapidement, les gens du village nous ignorer et nous faisions de même. Nous nous apprêtions à partir, lorsqu'un homme d'une taille plutôt imposante et un corps aussi musclé que celui des hommes qui ne font que travailler leur apparence. Il criait dans tout le village qu'il était l'heure. Qu'il était temps de tuer la bête et de sauver sa future femme. Je n'ai jamais compris les villageois... Toutefois, ils étaient heureux de le suivre. Il devait avoir un charme que je ne pouvais percevoir. Les hommes armaient de trident, de fourche et de torche partirent rapidement. Ce fut mon père qui me rappela à l'ordre.

      ''-Tsss..''

      Il avait l'air énerver. Jamais je ne l'avais vu comme cela. Il partit presque en courant et j'eus du mal à le suivre. Nous arrivâmes rapidement au village et mon père partit directement voir notre chef. Adria sortit rapidement et demanda à tous ceux qui le pouvait, de venir avec. Mon père resta avec les quelques parents dans notre camp. J'eus beau lui demander pourquoi... Il ne me répondait pas. Il m'ignorait et cela m'énervait... J'avais l'impression d'être abandonné. C'était stupide... Il voulait juste me protéger... Le temps passa. Les secondes, les minutes, les heures... Il ne restait plus longtemps avant qu'ils ne reviennent.

      Des bruits de pas se firent entendre, je me levais brusquement, près à souhaiter la bienvenue à ma mère. Ce n'était pas elle... Ce n'était pas notre groupe... Ni les villageois. C'était des créatures aux yeux vides et jaunes. A l'apparence aussi sombre que la nuit. Les adultes se dressèrent contre eux... Mais, il était trop tard. Un hurlement retentit. Mon père m'attrapa par la main et il partit. Nous sommes partis... Comme des lâches... Abandonnant notre peuple. Je suppose qu'il pensait à mon bien et juste au mien... Je ne sais pas ce qu'il a fait. L'instant d'avant nous étions dans la forêt et maintenant, nous étions ailleurs. Dans une autre forêt, différente que la précédente et pourtant si semblable. Il tomba dans les pommes et je fis tout pour l'aider. Il était ma seule famille. Le seul lien qui me restait...

      Chapitre II : Un nuage de solitude.

      J'étais seul dans les bois. Seul... Entouré par des choses dont je ne connaissais même pas le nom. Des monstres... J'étais terrifié et maintenant, je sais que c'était juste l'effet de la peur, celle qui vous étreint le cœur quand vous perdez un être cher. Je ne sais pas pourquoi mon père était là. Au sol, si proche du sommeil et pourtant si loin. Son pouls devenait de plus en plus lent. J'avais peur... Je fis la seule chose qui me restait, je priais... J'ai prié pendant des heures, mais personne n'est venue. Non... J'étais seul... J'étais si fatigué, que je tombai moi aussi, dans les bras de Morphée. Au beau milieu de la nuit, je fus tiré de ma torpeur par un cri animal. C'était mon père, il criait. Il hurlait. Et je ne pouvais rien faire pour l'aider, rien... J'ai tout essayé, plante médicale, sortilège de soin, mais rien n'y a fait. Ceci dura deux jours. Deux longues journées. Et à la fin, alors que je n'avais même pas pu l'aider, que je n'avais rien pu faire. Il mourra. Je me suis mis contre un arbre et ai attendu. Le jour passa, tout comme la nuit. Je n'avais rien mangé, je n'avais rien bu. J'étais en train de dépérir... La mort allait me cueillir et je n'avais pas la force de lui résister. Tout était fini et sur cette unique pensée, je sombrai dans les méandres du sommeil. Dans les méandres des ténèbres...

      Une douce odeur de gibier rôti me sortit de ma rêverie. Je me levai d'un bon, mes yeux bleus s'ouvrir sur l'intérieur d'une tente. Était-ce qu'un mauvais rêve ? Un cauchemar qui se termine enfin ? C'était tout ce que je rêvais, tout ce que je voulais. Et comme un rêve se brise, mon espoir se brisa quand un homme aux cheveux blond, tenant une petite coupelle avec de la nourriture entra. C'était un bandit, le chef d'un groupe de voleur sévissant dans les mondes alentours. Il se nommait Alvarr. C'était un voleur, un guerrier et un mage. Il avait réussi à sauver bon nombre de personnes et ces individus s'étaient ralliés à sa cause. Il voulait détruire les rois, que tout le monde soit égaux. C'était un homme aux idéalismes et au charisme très puissant. Un de ceux qu'on suit parce qu'il vous offre un but. Quelqu'un qui vous arrache à la solitude. Après m'avoir servi à manger, il me demanda de lui parler de mon passé et seul mon silence lui répondit. Il dû comprendre que je n'avais pas envie de parler de ce que je venais de vivre, et partit sans attendre davantage. Une semaine après cela, Alvarr me demanda ce que je voulais faire. Moi, qui n'avait plus rien... Qui n'était plus rien... Je décidai d'être un peu égoïste et je lui répondis, que je voulais vivre avec eux.

      Après cela, lui et le groupe de bandit devinrent ma seconde famille. Je n'étais pas d'accord avec leur méthode, ni leur but, mais je m'en foutais. Je n'étais plus seul. Je les aidais en leur disant quand les soldats arrivaient, quand les calèches passaient. J'étais leurs yeux et leurs oreilles. Et le temps passa, où rien ne changea. J'avais trouvé ma place dans ce monde.

      Chapitre III : La fin et le début.

      Un bruit... Un hurlement, un aboiement, suivit d'une dizaine d'autres... Je me réveillais en sursautant, sentant une dizaine... Non, une vingtaine, même plus qui nous entourait. Nous étions piéger. Était-ce des sans-cœurs ? Ou était-ce les gardes qui nous avaient trouvé ? Je ne savais pas... Je n'étais pas encore capable de différencier les humains des similis et autres créatures dénués de cœurs. Je sautai de ma couche improvisée et je partis dehors. Il faisait nuit, des flammes dansaient autour de nous. Ils se rapprochaient. Les bandits étaient affolés, ils tentaient de fuir, jusqu'à ce qu'ils s'aperçoivent que nous étions faits comme des rats. Nous étions encerclé. Alors que je tournais la tête, cherchant un endroit, un passage où fuir, je vis notre chef se dirigeait vers moi. Quand il fut devant moi, il s'abaissa à ma taille, plongeant son regard dans le miens, avant de m'abaisser ma capuche sur ma tête.

      ''-Mordred, nous allons faire une brèche dans leur formation, tu en profiteras pour te sauver, d'accord ?''

      J'acquiesçai d'un signe de tête, puis je partis en courant. Je passai entre les arbres, entre les branches, par un chemin guidait par la lumière de la lune. Je courrais, je courrais. M'épuisant à chaque pas, à chaque avancée, haletant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je fuyais ce lieu, cette cachette qui serait détruite. Des bruits de pas se firent soudain entendre. J'étais suivi... Avais-je fais échouer le plan d'Alvarr ? Son sacrifice aura été vain... Non... Je ne pouvais l'accepter, je ne pouvais accepter que mon la personne qui me sauva, meurt vainement... Et, fatalement, une branche se trouva dans mon passage, me faisant tomber le visage dans la boue. Un des soldats m'attrapa, avant de m'emmener avec lui... C'était un animal. Un loup. Sur le coup, je n'ai pas pensé à me sauver. J'avais bien trop peur de finir aplatit. Ce fut ce jour-ci, que ma vie, mon destin changea... 

      Le lendemain, j'étais dans une geôle, prisonnier du Shérif ou du Roi, pour des crimes que j'avais aidés à faire. La vie allait mettre ôté et mon espoir de sortir était vain. J'étais désormais seul. Seul dans un cachot humide et poisseux. C'était là, ma fin... Si je ne pouvais vivre comme je le souhaitais, je mourrais comme je le voulais. Je quitterai ce monde, sans un mot sur mes compagnons. Si quelqu'un avait réussi à s'enfuir, je ne les aiderais pas à le retrouver.

      Mais, par bonheur... Mon heure n'était pas venue... Aucun de mes amis vint me sauver. Non... Il m'avait abandonné, ce fut une voix, aussi longue et sinueuse que le sifflement d'un puissant reptile. Un son qui entre dans votre esprit et qui s'y enfonce comme un venin indélébile. Je semblais être le seul, à pouvoir l'entendre

        ''Toi qui es prisonnier de ton destin. Je t'offre un nouvel espoir. Une lumière qui dissipera ton désespoir. Ô, toi qui es perdu dans l'obscurité et dans la lumière. Je t'offre un but. Je t'offre la lumière dans les ténèbres. Accepte mon offre et sauve-toi. Cours dans la forêt, jusqu'à ce que tu sentes ma présence. Et, à ce moment-là... Ma lumière te guidera...''


      Qui était-ce ? Je ne puis le dire. Je ne le sais pas et pourtant, en ce début de nuit, je fis tout pour le trouver. Je fis tout ce qui était en mon pouvoir, pour apercevoir sa lumière et qu'elle devienne mienne. Alors, je fis ce qui me semblait le plus juste. Je fis sauter la grille, je la fis s'envoler à travers la salle. Et je partis, poursuivis par les gardes, mais j'avais l'espoir d'avoir trouvé une nouvelle famille. Un endroit où je serais chez moi. Et rien que cela, méritait que je le suive. Mon chemin, ma route, ma course pris fin au bout de deux jours. Deux jours où je fus traqué. Deux journées où, à la toute fin, ce fut eux qui moururent. Et cette simple phrase, marqua le début et la fin.

      ''-Mon nom est Mordred.''

      La vie quitta le soldat loup qui me regardait les yeux vides... Comme s'il venait de tout perdre. Un nuage glissa dans les cieux, venant jusqu'à moi et dedans, un mince pierre s'y trouvait. Une pierre aussi brillante que la lumière, je tendis ma main et je l'attrapai. Le nuage s'enfonça dans mon être et la voix ressemblant au sifflement d'un serpent. Elle me susurrait tout ce qu'elle désirait... Un sourire se dessina sur mes lèvres et je partis...

      C'était le début de ma nouvelle vie...

      Le temps passa, deux années s'écoulèrent tel le cours d'un fleuve. Deux années, où ma lumière pu percer les ténèbres des esprits. J'appris à lire dans les pensées. A voir le langage du corps et de l'âme. Ce fut deux années où je vécus dissimulé dans les ténèbres. Deux années où je ne fis rien pour apparaître. Je n'étais qu'un enfant. Et j'attendais. J'attendais une autre personne. Deux autres personnes et peut-être plus. Des individus qui auraient été élus tout comme moi. Voilà, mon histoire. Mon futur est dans les ténèbres et je l'éclairerai de ma lumière.


    Les Questions
    Q u e s t i o n s  :

      1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?

      Oui.

      2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?

      Un Hibou.

      3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?

      Il est fidèle. Pour ce qui est de l'esprit de camaraderie, il en a, il rendra les services qu'on lui a fait, et pourra se lier d'amitié avec ses collègues.

      4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.

      Pour le moment, aucune.

      5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.

      Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.

      6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?

      Je pense que c'est ma conjugaison et ma grammaire, en point faible. Et en point fort... Hum... A vrai dire, je suis pessimiste, donc bon... Non, je ne vois pas de point fort. Peut-être ma rapidité d'écriture.

      7) Pourquoi incarner ce personnage ?

      Être, ou ne pas être, telle est la question. Pour vous éviter du Hamlet, je vais passer de suite à la réponse. Si je le fais, c'est tout simplement parce que j'aime beaucoup ce type de personnage.
more_horiz
Je vais commencer par ceci :

Si tu vises le grade de Maréchal, je ne vais pas commencer à te dire que ta fiche est très bonne, que ton caractère déchire et que ton physique est parfait. C'est ce que je ferais si tu ne visais aucun grade, tu comprends ? En soi, je trouve que te dire que ta fiche est très bien et te dire "Capitaine (très bon grade)", c'est assez dégueulasse si tu vises Maréchal.

Bien ^^, tu as peut-être deviné que je n'ai pas que des bonnes nouvelles ^^.

Le Physique, rien à dire... Général.

Mais le caractère... Comment dire cela...
En général, dans l'art, on différencie l'esthétisme de la technique. On peut faire un tableau, une peinture ou une pièce de théatre d'une façon fantastique sans avoir la technique, les moyens. Et vice versa, on peut faire une pure merde, une mocheté avec une technique absolument admirable.

Non rassure-toi, ton caractère n'est pas une pure merde. Mais il manque d'esthétisme. Quand je l'ai lu, je me suis dit " C'est super, y a plein de figures de style, tout est dit de façon poétique... Par contre, on ne le lit avec aucune passion".

Et c'est peut-être le commentaire le plus global pour cette fiche (c'est assez étrange puisque d'habitude, tu as un certain équilibre entre les deux). Là, il y a trop dans la technique et trop peu dans l'esthétisme.

Bon... D'un point de vue plus subjectif (qui a dit qu'un juge devait être objectif ?), je n'aime pas ton personnage. Ou plutôt, je n'aime pas certaines parties de lui. Tu parles au début d'une innocence mais rien à voir, franchement.
Commandant.


Dernièrement, l'Histoire. Elle est très bien oui. Mais je vais aussi te donner Commandant. J'ai repensé au Caractère (rien n'arrive par hasard) et quand j'ai placé ce garçon du caractère (méfiant, parfois sadique, impitoyable) dans l'histoire...

Rien à voir...

Donc rien que pour ça, je te mets Commandant.

(Maintenant que j'ai été si cru, tu comprends pourquoi j'ai tenu à te préciser que si je suis dur dans mes mots, c'est parce que tu vises Maréchal mais le résultat aurait été le même.)

Ce qui te fait un grade de Commandant. Je te connais comme n'étant pas trop touché par ça. Tu vas pas en faire une tragédie grecque ou du moins je l'espère. Désolé en tout cas.

Fiche validée et toutes conneries du style.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum