Au jardin radieux, nul n’ignore la puissance du consulat. Puissance qui fut tel qu’ils réussirent à crée leur propre quartier général, le sommet de l’art comme on aimait bien l’appeler. Et pour diriger cette organisation, si on peut dire, il y avait les fils et fille des muses. Ils étaient les plus important dans leur groupe même si, là encore, Mizore se demandait pourquoi. Il y a quelque jour à peine, elle débarqua telle une furie avec le corps de Genesis Rhapsodos à la porte de cette immense bâtisse. Les présentations furent de courte durée, voir inexistante. Des personnes inconnues à la jeune femme s’empressèrent de l’arrêter en récupérant le consul pour l’amener à sa chambre, sans doute des gardes. Ils l’accusaient d’avoir fait du mal au fils de la tragédie. Ce n’était pas faux, même carrément vrai, mais ses gens était plus qu’étrange et parlais en terme totalement inconnu à la femme des neiges. Fils de muse, tragédie et tout un baratin qu’il serait encore impossible pour elle de répéter. Et en conclusion, elle fut emprisonnée pour avoir gravement blessé un membre important du consulat, ce qui est une punition logique, quand on y pense. Mais elle, elle ignorait elle-même qu’elle faisait en faite partie du consulat. Ce n’est qu’après quelque heure qu’elle décida de chanter pour faire passer le temps et là … Grosse panique pour à peu prés tout le monde. On la fit sortir avec des révérences et des pirouettes à tout va, comme si ils avaient compris un truc essentiel : qu’ils avaient merdé grave ! On lui fit donc remarquer qu’elle était la fille de Polymnie, la muse du chant. A y réfléchir, c’est vrai que le fantôme qui lui était apparut juste après avoir massacré le Fameux Genesis avait parlé de « l’héritage de Polymnie ». Conclusion, elle avait rencontré sa muse ! Mais une fois cette constatation faite et les excuse qui ont suivit, elle n’y pensa déjà plus en accourant vers la chambre de sa victime, situer en haut d’une interminable tour.
Voila se qu’il s’était passé quelque jour avant. Et depuis cet événement, elle était restée là, planté dans un fauteuil de la chambre du tragédien. Deux ou trois jour au chevet de celui-ci, espérant qu’il n’allait pas claquer d’un instant à l’autre. Des remords ? Un peu, oui, car on lui précisa qu’il n’était pas des plus aimé dans la région et ça expliquait pourquoi il avait tué tant de monde se jour là. Elle qui croyais défendre les innocent, elle s’en est pris au héro. Y a de quoi travailler du ciboulot. Mais pas assez pour ne pas se reposer. Les pieds croisé sur une table, son pull trainant à terre et ses basket pendante au coin de la dite table, elle dormait d’un sommeille agité, rêvant ou cauchemardant. La chaleur la travaillait sans doute, la chambre du Hérault était bien isolée et tout semblait la rapprocher de ce qu’elle craignait. Rien que le papier-peint était rouge, pour vous dire qu’elle doit veiller sur un être du feu. Et pour couronner le tout, sa sucette était tombé de sa bouche, sucette qui, rappelons le, diffuse un air frais pour la garder à basse température. C’était le calvaire d’une femme des glaces. Sa tête finit par se pencher et commençait à tanguer dangereusement sur le coté. Ça a eu pour effet de la réveiller en sursaut et en sueur. Bon dieu, ce qu’elle détestait la chaleur ! Elle regarda, toute endormie, la pièce de fond en comble, histoire de se remettre en tête l’endroit où elle était. Des bibliothèques, quelque meubles chic et bien sur le lit … Le lit où Genesis semblait dormir presque paisiblement.
*Bon, il semble dégeler, au moins …*
Tout en se remettant plus ou moins droite dans le fauteuil, elle remarqua qu’elle n’avait plus cette gêne dans la bouche… La sucette ! Petit moment de panique, l’explication à la température infernale des lieux. Soudainement en forme, elle fouilla autour du siège et retrouva assez vite sa sucrerie. Et comme un faite exprès, elle avait roulé sous la table. Flémarde mais pas à se point, elle rampa pour aller la chercher et elle se releva. Et autant dire que se relever sous la table, ça fait un peu mal ! Le « Toc » fut suivit de quelque gémissement retenu de douleur et la pensé qu’elle avait peut-être réveillé le consul. Ce serait une chose inespéré mais en même temps, elle aurait honte de l’avoir gêné dans son sommeille. Elle sortit donc du dessous du meuble, la sucette nettoyée par le froid en bouche, observant le dormeur qui semblait ne pas avoir bougé d’un pouce. Il était encore dans le coma à voir. Et comme elle n’avait rien à faire, et surtout agacé de ne pas le voir bouger, Mizore s’approcha du lit pour le regarder de plus prés. Il était mignon en faite, même la glace ne lui avait pas arraché cette gueule d’ange. La femme des glaces finit par se mettre à genoux prés du lit, croisant les bras dessus en le fixant et en priant pour qu’il ne devienne pas un légume. Elle n’y survivrait pas. Elle l’observa longuement, soupirant mainte et mainte fois avant d’approcher sa main de son visage. Elle la posa doucement sur son front pour la déplacer avec la même douceur sur sa joue.
*C’est chaud ... j’espère vraiment qu’il va aller… *
Et comme pour répondre à son souhait, Genesis força un peu sur sa voix pour se plaindre, comme si il avait encore mal. C’était logique, après avoir reçu quelque centaine de salve de glacier, comment ne pas être courbaturer. Mais La jeune punk fut comme choqué et fut prise d’une panique mille fois plus grande que pour sa maudite sucette ! Il allait se réveiller et elle était là, une main posée sur sa joue. Non pas que c’était désagréable, loin de là, mais elle se sentait déjà gêné. Elle a beau être froide et parfois un peu salope, au fond, elle est extrêmement timide. Et si là, la personne devait être une personne importante pour elle. Après tout, comme l’a dit Polymnie, c’était un de ses frères, un frère à qui elle avait fait la peau ! Comment allait-il réagir ? Elle ne trouva qu’une chose à faire. La femme des glace cessa son contacte glacé et se releva vite et discrètement, cherchant un endroit pour se planquer. Réflexe stupide mais ses habitude de stalker n’allaient pas se perdre du jour au lendemain. Elle plongea alors vers un escalier qui menait à l’étage supérieur de la chambre alors que le blessé gigotait de plus en plus. Un fois planquée à l’étage, accroupi derrière les décorations, elle l’entendit se lever avec peine et une chose la frappa. Son pull et ses baskets ! Faute grave, on ne pouvait pas faire pire. Et pour couronner le tout, c’est vrai qu’elle s’était mise à l’aise et qu’elle se baladait dans ses appartement en débardeur, autant dire, avec pas grand-chose sur le corps.
*putain, quel cruche …*
Jeu 16 Sep 2010 - 14:24Voila se qu’il s’était passé quelque jour avant. Et depuis cet événement, elle était restée là, planté dans un fauteuil de la chambre du tragédien. Deux ou trois jour au chevet de celui-ci, espérant qu’il n’allait pas claquer d’un instant à l’autre. Des remords ? Un peu, oui, car on lui précisa qu’il n’était pas des plus aimé dans la région et ça expliquait pourquoi il avait tué tant de monde se jour là. Elle qui croyais défendre les innocent, elle s’en est pris au héro. Y a de quoi travailler du ciboulot. Mais pas assez pour ne pas se reposer. Les pieds croisé sur une table, son pull trainant à terre et ses basket pendante au coin de la dite table, elle dormait d’un sommeille agité, rêvant ou cauchemardant. La chaleur la travaillait sans doute, la chambre du Hérault était bien isolée et tout semblait la rapprocher de ce qu’elle craignait. Rien que le papier-peint était rouge, pour vous dire qu’elle doit veiller sur un être du feu. Et pour couronner le tout, sa sucette était tombé de sa bouche, sucette qui, rappelons le, diffuse un air frais pour la garder à basse température. C’était le calvaire d’une femme des glaces. Sa tête finit par se pencher et commençait à tanguer dangereusement sur le coté. Ça a eu pour effet de la réveiller en sursaut et en sueur. Bon dieu, ce qu’elle détestait la chaleur ! Elle regarda, toute endormie, la pièce de fond en comble, histoire de se remettre en tête l’endroit où elle était. Des bibliothèques, quelque meubles chic et bien sur le lit … Le lit où Genesis semblait dormir presque paisiblement.
*Bon, il semble dégeler, au moins …*
Tout en se remettant plus ou moins droite dans le fauteuil, elle remarqua qu’elle n’avait plus cette gêne dans la bouche… La sucette ! Petit moment de panique, l’explication à la température infernale des lieux. Soudainement en forme, elle fouilla autour du siège et retrouva assez vite sa sucrerie. Et comme un faite exprès, elle avait roulé sous la table. Flémarde mais pas à se point, elle rampa pour aller la chercher et elle se releva. Et autant dire que se relever sous la table, ça fait un peu mal ! Le « Toc » fut suivit de quelque gémissement retenu de douleur et la pensé qu’elle avait peut-être réveillé le consul. Ce serait une chose inespéré mais en même temps, elle aurait honte de l’avoir gêné dans son sommeille. Elle sortit donc du dessous du meuble, la sucette nettoyée par le froid en bouche, observant le dormeur qui semblait ne pas avoir bougé d’un pouce. Il était encore dans le coma à voir. Et comme elle n’avait rien à faire, et surtout agacé de ne pas le voir bouger, Mizore s’approcha du lit pour le regarder de plus prés. Il était mignon en faite, même la glace ne lui avait pas arraché cette gueule d’ange. La femme des glaces finit par se mettre à genoux prés du lit, croisant les bras dessus en le fixant et en priant pour qu’il ne devienne pas un légume. Elle n’y survivrait pas. Elle l’observa longuement, soupirant mainte et mainte fois avant d’approcher sa main de son visage. Elle la posa doucement sur son front pour la déplacer avec la même douceur sur sa joue.
*C’est chaud ... j’espère vraiment qu’il va aller… *
Et comme pour répondre à son souhait, Genesis força un peu sur sa voix pour se plaindre, comme si il avait encore mal. C’était logique, après avoir reçu quelque centaine de salve de glacier, comment ne pas être courbaturer. Mais La jeune punk fut comme choqué et fut prise d’une panique mille fois plus grande que pour sa maudite sucette ! Il allait se réveiller et elle était là, une main posée sur sa joue. Non pas que c’était désagréable, loin de là, mais elle se sentait déjà gêné. Elle a beau être froide et parfois un peu salope, au fond, elle est extrêmement timide. Et si là, la personne devait être une personne importante pour elle. Après tout, comme l’a dit Polymnie, c’était un de ses frères, un frère à qui elle avait fait la peau ! Comment allait-il réagir ? Elle ne trouva qu’une chose à faire. La femme des glace cessa son contacte glacé et se releva vite et discrètement, cherchant un endroit pour se planquer. Réflexe stupide mais ses habitude de stalker n’allaient pas se perdre du jour au lendemain. Elle plongea alors vers un escalier qui menait à l’étage supérieur de la chambre alors que le blessé gigotait de plus en plus. Un fois planquée à l’étage, accroupi derrière les décorations, elle l’entendit se lever avec peine et une chose la frappa. Son pull et ses baskets ! Faute grave, on ne pouvait pas faire pire. Et pour couronner le tout, c’est vrai qu’elle s’était mise à l’aise et qu’elle se baladait dans ses appartement en débardeur, autant dire, avec pas grand-chose sur le corps.
*putain, quel cruche …*