Les jardins Radieux … Les jardins Piteux, ouai !
Le nom était prometteur, mais sans plus. Qui le lui a donné ? Car rien de vraiment radieux ici. Une ville prête à s’écrouler, où tout est en réparation, et au loin, une forteresse dans un état bien pire. Mais même si les lieux ne répondaient pas à toutes ses attentes, c’était le monde qui correspondait le plus. Une ville, en général calme, peut-être y avait-il une école, histoire de squatter. Mizore venait de débarquer du vaisseau, un humble sac à dos à l’épaule et son éternel sucette en bouche. De ce petit coin en hauteur qui servait de pseudo piste de débarquement, elle pouvait voir une place pas plus grande qu’une simple maison, avec une fontaine et deux ou trois habitant qui déambulait. Elle avait emporté le crépuscule de son ancienne citée, le soleil étant déjà planquer derrière les tours de la forteresse. Pourquoi cette femme des neiges était venue là encore ? Ha, bien sur, elle fuyait son ancien monde qui commençait à être peuplé par et que par des sans-cœur … ça ne l’a dérangeait pas trop, il suffirait de menacer un autre propriétaire pour avoir une jolie place ! Tout en se postant sur la première marche de l’escalier menant plus bas, elle jaugeait chaque habitant pour voir quel genre de personne vivait ici. Autour de la place, des petite boutique, aussi minuscule que la place, dirigeait par des … des canetons ? Des canetons, rien que ça ? Rien ne l’étonnait, en vu de ses origine monstrueuse, mais de là à voir des canard tenir une armurie. Quel étrange endroit, finalement. Elle remarqua aussi que son style vestimentaire, qui se résumait au style « Ado », était novateur ici et que donc, il serait difficile de la louper pendant un premier temps. Mais pourquoi faire attention aux autres ? Hein ? Elle qui a déjà essuyé les pires moquerie, une de plus ou de moins.
Pour commencer cette nouvelle vie, elle ne décida pas d’aller se faire des amis, ni de se renseigné à un quelconque bureau administratif. Pour débuter une vie à sa manière, il fallait terroriser un proprio, c’était limite si ça la démangeait. La jeune femme descendit enfin les marches après quelque seconde de réflexion, ne regardant aucune personne mais étant attentif au profil type d’un homme ou d’une femme assez riche pour avoir un immeuble. Mais après mure réflexion, quel immeuble ? Ce ne sont que de simple maison dont la façade allait s’écrouler à chaque instant ! Déjà qu’elle adoptait sa mine froide en toute circonstance, là, à l’idée de virer de pauvres innocents de chez eux, elle devint petit à petit rageuse. Mizore a beau ne pas être la plus clean de toute les jeunes filles, niveau justice, elle est bien remonter et faire une chose ainsi allait à l’encontre de ses principes ! Elle commençait déjà à broyer du noir, à peine passer cinq minute ici, avant de croiser un être bien singulier sur son passage. Un autre canard, bien habiller, chapeau haute forme, lunette, veston chic et avec une glace bleu à la main. Un riche ? On aurait dit, en tout cas. Alors qu’il gardait comme un trésors sa chambre froide, la jeune givrée lui piqua son chapeau en guise de bonjour, le faisant tournoyer sur son doigt alors que ce vieux grincheux sursautait comme si le diable était devant lui, en personne.
Ho, l’ancêtre palmé … T’a pas un …
Mais ?! Mais je ne vous autorise pas, mademoiselle ! Rendez moi se chapeau ! Il m’a coûté plus de dix munnies !!
Déjà, il l’a coupe, faute grave dans son état d’agacement. Puis, il se fout de sa gueule, tout ça pour un truc qui ne vaut même pas dix pièces. Enfin, elle se sentait pas de faire la peau d’un canard, se serait une grande première pour elle. Elle se contenta de le défier du regard, l’écoutant râler comme pas un alors qu’il pointait sa canne vers le nez de la jeune punk. Canne qui allait bientôt voler en mille morceaux si il ne la posait pas sagement à terre tout de suite !
Vous, les jeunes, vous ne connaissez pas la valeurs de l’argent, c’est une honte !! Rendez moi ce Chapeau ou, paroles de Picsou, je le reprendrais de force Moi-Même ! En plus, je n’ai pas de temps à perdre, je fais des glaces de plus en plus dégoûtante, mon commerce va faire faillite si ça continu ! Et je …
Deux seconde, des glaces ?
Les glaces, l’élément comme la gourmandise, c’était son rayon ! Soudainement intéressée et voyant son ticket pour un chez soit bien pépère, elle remit le chapeau sur la tête du dénommé « picsou », l’enfonçant au point de lui cacher les yeux. Et alors qu’il se débattait dans tout les sens, lui encore bien plus hostile qu’elle, Mizore lui chipa sa glace pour la goûter sans attendre. Et encore sans attendre, elle recracha la chose. Même le mélange sucette rafraîchissante et glace sans goût ne pouvait donner une texture et une saveur aussi étrange. La femme des neiges s’empressa alors de fourrer son nez dans le frigo ouvert du canard, chopant un peu de toute les sorte de glaces avant de ressortir en constatant que son opposant eut fini de s’en sortir avec son couvre chef. Il savait peut-être y faire en commerce mais les glaces, c’est l’élémentaire de la cuisine, chez les gens de son espèce. La futur chanteuse, croisons les doigts pour elle, lui remit le bâtonnet après lui avoir souffler un air glacial dessus et lui fit signe de goûter d’un air agacée. Le vieux goutta alors, son visage rayonnant soudainement alors qu’il avalait la chose.
C’est … C’est tout bonnement … Exquis ! C’est fabuleux !! Mademoiselle, je vous en supplie, donner moi la recette !!
Si vous me trouvez un endroit où crécher, seulement … et encore, je veux le grand luxe !
Mais quand elle finit sa phrase, un crie retentit sur les hauteurs du Jardin, un crie de peur et de douleur. Quelqu’un avait un problème grave et pas qu’un peu. Vu la tonalité, on l’égorgeait ou on lui faisait tout simplement un truc atroce ! C’est dans des moments comme ça que le bon coté de Mizore ressort et l’envie irrésistible de savoir se qui se passe, ainsi que de régler le problème, se faisait sentir. Mais ce n’est pas pour autant qu’il fallait se presser, elle se mit à marcher calmement vers un rebord de balcon, montrant l’étendu de la ville plus bas. Et Picsou, dans cette affaire, sautait et plongeait sur les pied de la jeune femme des neiges, en vain, pour la retenir en sanglotant presque.
Pitié, mademoiselle ! Je vous offre un verre d’eau pour cette recette ! … Bon, d’accord, un mu- … Je monte à Deux Munnies ! Mademoiselle ! Revenez !
Le logement, elle s’en foutait royalement à se moment là. Elle distança rapidement l’avare presque en pleure, se penchant pendant quelque seconde dans le vide pour entendre un peu mieux les bruits de combat qui faisait rage. Au moins, il y avait un combat, pas comme si il y avait un pauvre type sans défense… Pour s’y rendre, elle aurait pu prendre les escalier à deux pas de là mais non, elle sauta par-dessus le muret de pierre, atterrissant quelque mettre plus bas sur le toit des chaumière. Telle une fusée, la petite athlète parcouru presque tout un pâté de maison en un temps recors, ses vêtement flottant dans le vents ainsi que ses cheveux d’un mauve envoûtant. Sautant de toit en toit, elle identifiait de mieux en mieux les sons, s’estompant peu à peu avant de n’entendre que des gémissements, le supplice des victimes. Elle commençait déjà à s’en fouloir, de n’avoir pas couru plus tôt, mais se qui est fait est fait. Mizore sauta de son perchoir pour atterrir à l’entrée d’une ruelle, au fond de celle-ci, une silhouette qui se tenait fière et droite ! L’individu semblait l’avoir déjà remarquer, et pour cette occasion, ses cheveux naturellement mauve commencèrent à se recouvrir de glace, donnant l’apparence du cristal. Dévisageant l’homme qui faisait de même, passant son bâton de sucette une fois à droite, une fois à gauche, elle se mit en marche, un air sévère au visage.
Hé ben ? Un grand garçon comme toi qui terrorise des petits … Minable …
Au plus elle avançait, au plus elle distinguait se qu’était en train de faire l’homme vêtu de rouge. Il avait une épée et il la plaquait sur la gorge d’un pauvre type. Et elle n’avait rien vu ! Chaque pas se remplissait d’un peu plus d’agacement, la glace commençant à se former brutalement après chaque contacte avec le sol, derrière elle. Et chaque avancée était une découverte, l’endroit où était ce blouson rouge était jonché de corps, certain bien ensanglanté. Il était fort, sans doute voulait-il s’amuser avec le menu fretin ou encore juste les rackettait. Con à dire mais parfois, ce n’est que pour ça. Ses mains se changèrent rapidement, soudainement en griffes de glace, ce matériau ayant les mêmes reflets que ses cheveux. Et la ruelle n’était presque plus qu’un glacier, tellement elle sentait l’énervement. La voie qui menait aux autres rues était bientôt bouchée par la glace pointue et menaçante ! Et alors qu’il semblait comprendre l’ampleur de ses pouvoirs à force de voir les cristaux jaillir du sol, elle leva le bras, une traînée de gel se formant jusqu’à lui. Une fois à ses pieds, elle referma ses griffes et l’instant suivant, la brute était piégée dans un épais bloque de glace, lui laissant juste assez de liberté pour respirer. Mizore soupira longuement, se calmant un peu sur le coup mais pris un air dégoûté en s’adressant à lui.
Les petites merdes comme toi, ça ne fait jamais long feu avec moi. Attaquer des innocents, ou des plus faible que soit, c’est écoeurant.
Innocent, elle n’en savait rien, mais tout portait à croire que ses pauvres bougre se sont fait agresser et pas qu’un peu. Elle comptait bien rendre justice, espérant le taillader, au moins, avec sa glace coupante, histoire de lui faire ressentir ce que les autres ont ressentit. Elle n’était plus qu’à quelque mètre, la jeune femme ne se pressant pas le moins du monde, laissant apprécier le bruit de la glace se former. Si elle et sa froideur naturelle l’atteignent dans cet état, il était finit ! Pas de pitié pour les ordures dans son genre.
Dim 12 Sep 2010 - 2:16Le nom était prometteur, mais sans plus. Qui le lui a donné ? Car rien de vraiment radieux ici. Une ville prête à s’écrouler, où tout est en réparation, et au loin, une forteresse dans un état bien pire. Mais même si les lieux ne répondaient pas à toutes ses attentes, c’était le monde qui correspondait le plus. Une ville, en général calme, peut-être y avait-il une école, histoire de squatter. Mizore venait de débarquer du vaisseau, un humble sac à dos à l’épaule et son éternel sucette en bouche. De ce petit coin en hauteur qui servait de pseudo piste de débarquement, elle pouvait voir une place pas plus grande qu’une simple maison, avec une fontaine et deux ou trois habitant qui déambulait. Elle avait emporté le crépuscule de son ancienne citée, le soleil étant déjà planquer derrière les tours de la forteresse. Pourquoi cette femme des neiges était venue là encore ? Ha, bien sur, elle fuyait son ancien monde qui commençait à être peuplé par et que par des sans-cœur … ça ne l’a dérangeait pas trop, il suffirait de menacer un autre propriétaire pour avoir une jolie place ! Tout en se postant sur la première marche de l’escalier menant plus bas, elle jaugeait chaque habitant pour voir quel genre de personne vivait ici. Autour de la place, des petite boutique, aussi minuscule que la place, dirigeait par des … des canetons ? Des canetons, rien que ça ? Rien ne l’étonnait, en vu de ses origine monstrueuse, mais de là à voir des canard tenir une armurie. Quel étrange endroit, finalement. Elle remarqua aussi que son style vestimentaire, qui se résumait au style « Ado », était novateur ici et que donc, il serait difficile de la louper pendant un premier temps. Mais pourquoi faire attention aux autres ? Hein ? Elle qui a déjà essuyé les pires moquerie, une de plus ou de moins.
Pour commencer cette nouvelle vie, elle ne décida pas d’aller se faire des amis, ni de se renseigné à un quelconque bureau administratif. Pour débuter une vie à sa manière, il fallait terroriser un proprio, c’était limite si ça la démangeait. La jeune femme descendit enfin les marches après quelque seconde de réflexion, ne regardant aucune personne mais étant attentif au profil type d’un homme ou d’une femme assez riche pour avoir un immeuble. Mais après mure réflexion, quel immeuble ? Ce ne sont que de simple maison dont la façade allait s’écrouler à chaque instant ! Déjà qu’elle adoptait sa mine froide en toute circonstance, là, à l’idée de virer de pauvres innocents de chez eux, elle devint petit à petit rageuse. Mizore a beau ne pas être la plus clean de toute les jeunes filles, niveau justice, elle est bien remonter et faire une chose ainsi allait à l’encontre de ses principes ! Elle commençait déjà à broyer du noir, à peine passer cinq minute ici, avant de croiser un être bien singulier sur son passage. Un autre canard, bien habiller, chapeau haute forme, lunette, veston chic et avec une glace bleu à la main. Un riche ? On aurait dit, en tout cas. Alors qu’il gardait comme un trésors sa chambre froide, la jeune givrée lui piqua son chapeau en guise de bonjour, le faisant tournoyer sur son doigt alors que ce vieux grincheux sursautait comme si le diable était devant lui, en personne.
Ho, l’ancêtre palmé … T’a pas un …
Mais ?! Mais je ne vous autorise pas, mademoiselle ! Rendez moi se chapeau ! Il m’a coûté plus de dix munnies !!
Déjà, il l’a coupe, faute grave dans son état d’agacement. Puis, il se fout de sa gueule, tout ça pour un truc qui ne vaut même pas dix pièces. Enfin, elle se sentait pas de faire la peau d’un canard, se serait une grande première pour elle. Elle se contenta de le défier du regard, l’écoutant râler comme pas un alors qu’il pointait sa canne vers le nez de la jeune punk. Canne qui allait bientôt voler en mille morceaux si il ne la posait pas sagement à terre tout de suite !
Vous, les jeunes, vous ne connaissez pas la valeurs de l’argent, c’est une honte !! Rendez moi ce Chapeau ou, paroles de Picsou, je le reprendrais de force Moi-Même ! En plus, je n’ai pas de temps à perdre, je fais des glaces de plus en plus dégoûtante, mon commerce va faire faillite si ça continu ! Et je …
Deux seconde, des glaces ?
Les glaces, l’élément comme la gourmandise, c’était son rayon ! Soudainement intéressée et voyant son ticket pour un chez soit bien pépère, elle remit le chapeau sur la tête du dénommé « picsou », l’enfonçant au point de lui cacher les yeux. Et alors qu’il se débattait dans tout les sens, lui encore bien plus hostile qu’elle, Mizore lui chipa sa glace pour la goûter sans attendre. Et encore sans attendre, elle recracha la chose. Même le mélange sucette rafraîchissante et glace sans goût ne pouvait donner une texture et une saveur aussi étrange. La femme des neiges s’empressa alors de fourrer son nez dans le frigo ouvert du canard, chopant un peu de toute les sorte de glaces avant de ressortir en constatant que son opposant eut fini de s’en sortir avec son couvre chef. Il savait peut-être y faire en commerce mais les glaces, c’est l’élémentaire de la cuisine, chez les gens de son espèce. La futur chanteuse, croisons les doigts pour elle, lui remit le bâtonnet après lui avoir souffler un air glacial dessus et lui fit signe de goûter d’un air agacée. Le vieux goutta alors, son visage rayonnant soudainement alors qu’il avalait la chose.
C’est … C’est tout bonnement … Exquis ! C’est fabuleux !! Mademoiselle, je vous en supplie, donner moi la recette !!
Si vous me trouvez un endroit où crécher, seulement … et encore, je veux le grand luxe !
Mais quand elle finit sa phrase, un crie retentit sur les hauteurs du Jardin, un crie de peur et de douleur. Quelqu’un avait un problème grave et pas qu’un peu. Vu la tonalité, on l’égorgeait ou on lui faisait tout simplement un truc atroce ! C’est dans des moments comme ça que le bon coté de Mizore ressort et l’envie irrésistible de savoir se qui se passe, ainsi que de régler le problème, se faisait sentir. Mais ce n’est pas pour autant qu’il fallait se presser, elle se mit à marcher calmement vers un rebord de balcon, montrant l’étendu de la ville plus bas. Et Picsou, dans cette affaire, sautait et plongeait sur les pied de la jeune femme des neiges, en vain, pour la retenir en sanglotant presque.
Pitié, mademoiselle ! Je vous offre un verre d’eau pour cette recette ! … Bon, d’accord, un mu- … Je monte à Deux Munnies ! Mademoiselle ! Revenez !
Le logement, elle s’en foutait royalement à se moment là. Elle distança rapidement l’avare presque en pleure, se penchant pendant quelque seconde dans le vide pour entendre un peu mieux les bruits de combat qui faisait rage. Au moins, il y avait un combat, pas comme si il y avait un pauvre type sans défense… Pour s’y rendre, elle aurait pu prendre les escalier à deux pas de là mais non, elle sauta par-dessus le muret de pierre, atterrissant quelque mettre plus bas sur le toit des chaumière. Telle une fusée, la petite athlète parcouru presque tout un pâté de maison en un temps recors, ses vêtement flottant dans le vents ainsi que ses cheveux d’un mauve envoûtant. Sautant de toit en toit, elle identifiait de mieux en mieux les sons, s’estompant peu à peu avant de n’entendre que des gémissements, le supplice des victimes. Elle commençait déjà à s’en fouloir, de n’avoir pas couru plus tôt, mais se qui est fait est fait. Mizore sauta de son perchoir pour atterrir à l’entrée d’une ruelle, au fond de celle-ci, une silhouette qui se tenait fière et droite ! L’individu semblait l’avoir déjà remarquer, et pour cette occasion, ses cheveux naturellement mauve commencèrent à se recouvrir de glace, donnant l’apparence du cristal. Dévisageant l’homme qui faisait de même, passant son bâton de sucette une fois à droite, une fois à gauche, elle se mit en marche, un air sévère au visage.
Hé ben ? Un grand garçon comme toi qui terrorise des petits … Minable …
Au plus elle avançait, au plus elle distinguait se qu’était en train de faire l’homme vêtu de rouge. Il avait une épée et il la plaquait sur la gorge d’un pauvre type. Et elle n’avait rien vu ! Chaque pas se remplissait d’un peu plus d’agacement, la glace commençant à se former brutalement après chaque contacte avec le sol, derrière elle. Et chaque avancée était une découverte, l’endroit où était ce blouson rouge était jonché de corps, certain bien ensanglanté. Il était fort, sans doute voulait-il s’amuser avec le menu fretin ou encore juste les rackettait. Con à dire mais parfois, ce n’est que pour ça. Ses mains se changèrent rapidement, soudainement en griffes de glace, ce matériau ayant les mêmes reflets que ses cheveux. Et la ruelle n’était presque plus qu’un glacier, tellement elle sentait l’énervement. La voie qui menait aux autres rues était bientôt bouchée par la glace pointue et menaçante ! Et alors qu’il semblait comprendre l’ampleur de ses pouvoirs à force de voir les cristaux jaillir du sol, elle leva le bras, une traînée de gel se formant jusqu’à lui. Une fois à ses pieds, elle referma ses griffes et l’instant suivant, la brute était piégée dans un épais bloque de glace, lui laissant juste assez de liberté pour respirer. Mizore soupira longuement, se calmant un peu sur le coup mais pris un air dégoûté en s’adressant à lui.
Les petites merdes comme toi, ça ne fait jamais long feu avec moi. Attaquer des innocents, ou des plus faible que soit, c’est écoeurant.
Innocent, elle n’en savait rien, mais tout portait à croire que ses pauvres bougre se sont fait agresser et pas qu’un peu. Elle comptait bien rendre justice, espérant le taillader, au moins, avec sa glace coupante, histoire de lui faire ressentir ce que les autres ont ressentit. Elle n’était plus qu’à quelque mètre, la jeune femme ne se pressant pas le moins du monde, laissant apprécier le bruit de la glace se former. Si elle et sa froideur naturelle l’atteignent dans cet état, il était finit ! Pas de pitié pour les ordures dans son genre.