Je marchais de son pas lent dans le couloir, je n’étais pas pressé et bien que je doive considérer chaque situation importante j’avais déjà une petite idée sur ce qui se passait. Tic et Tac m’avait rapporté que les livres de la bibliothèque du château se comportait de manière étrange, ce qui en soit était ce qu’ils avaient vu mais pas ce qui consistait à la réalité. Les livres ne sont que des objets, ils ne changent qu’avec la manière dont les personnes les utilisent.
Un livre n’est véritablement dangereux que quand une personne l’utilise à mauvais escient, en l’utilisant ainsi ou en rédigeant un contenu ténébreux à l’intérieur. Mais ce n’était pas le contenu qui posait le problème des livres, j’en étais persuadé. J’avais longuement consulté chacun de ses ouvrages, certains conseillés ou donnés à mon jeune élève dans le temps, et à un ami par la suite. Et d’autres qui ont été apportés par les habitants de ce monde, or avec la pierre angulaire de lumière il n’y avait pas de risque qu’un tel ouvrage se trouve dans la bibliothèque. Je m’avançais alors devant la porte et l’ouvrit afin de pénétrer dans la pièce en désordre.
Tout était sans dessus dessous, beaucoup de livres trainaient simplement par terre, d’autres avaient été en partie détruits avec des pages déchirées. D’autres volaient à travers la pièce et en tout sens, sans but précis. Soudain je vis Pluto qui restait à aboyer, il protéger un os qui reposait dans sa niche. Je soupirais un instant devant cette situation, c’était évident que pour une fois je me suis trompé : c’était bien des livres qui étaient la cause des troubles ; enfin plus précisément des bouquinistes.
Des sans-cœurs qui avaient la forme d’un petit bonhomme sur un livre, ils étaient 5 dans la pièce et s’amusait à lancer des sorts dans la pièce, Pluto continuait d’aboyer et à force il allait attirer leur attention.
Ou plutôt se débarrasser d’eux, je relever un peu mes manches et lancer un sort Stop+ pour les ralentir un instant, je ne pouvais pas lancer de sort trop puissant au risque d’abimer la précieuse collection de livre que possédais le roi et ses habitants. Je devais trouver un moyen de les détruire sans abimer le décor. Pluto en profita pour s’échappait via la porte ouverte avec son os en bouche. Tandis que l’observait les bouquinistes commençaient à se mouvoir à nouveau, l’un d’eux chargeait déjà un sort brasier. Sans attendre je lançais un sort H²O pour le contrer et l’annuler.
J’avais alors une idée, je lançais le sort Aimant+ pour attirer tous ces sans-cœurs dans un recoin de la pièce où il n’y avait que très peu de livres. Je les observais être attiré dans ce recoin tandis que je préparais mon sort, un sort inoffensif pour le décor. J’abattis alors le sort FoudreX sur les sans-cœurs rassemblés qui disparurent dans les ténèbres. Je soufflais, je n’avais plus l’habitude de combattre ainsi, mon âge avancé commençait à me peser lourdement, la prochaine fois j’emploierais des sorts plus mineures pour les terrasser.
J’invoquais alors quelques balais du château pour nettoyer ce désordre, je restais à les observer puisqu’un élément m’interpeller légèrement : comment des sans-cœurs avaient put atteindre la bibliothèque aussi facilement ? Il faudra que je mène une enquête après que les balais aient finis leur travail. . .
Ven 14 Mai 2010 - 12:23Un livre n’est véritablement dangereux que quand une personne l’utilise à mauvais escient, en l’utilisant ainsi ou en rédigeant un contenu ténébreux à l’intérieur. Mais ce n’était pas le contenu qui posait le problème des livres, j’en étais persuadé. J’avais longuement consulté chacun de ses ouvrages, certains conseillés ou donnés à mon jeune élève dans le temps, et à un ami par la suite. Et d’autres qui ont été apportés par les habitants de ce monde, or avec la pierre angulaire de lumière il n’y avait pas de risque qu’un tel ouvrage se trouve dans la bibliothèque. Je m’avançais alors devant la porte et l’ouvrit afin de pénétrer dans la pièce en désordre.
Tout était sans dessus dessous, beaucoup de livres trainaient simplement par terre, d’autres avaient été en partie détruits avec des pages déchirées. D’autres volaient à travers la pièce et en tout sens, sans but précis. Soudain je vis Pluto qui restait à aboyer, il protéger un os qui reposait dans sa niche. Je soupirais un instant devant cette situation, c’était évident que pour une fois je me suis trompé : c’était bien des livres qui étaient la cause des troubles ; enfin plus précisément des bouquinistes.
Des sans-cœurs qui avaient la forme d’un petit bonhomme sur un livre, ils étaient 5 dans la pièce et s’amusait à lancer des sorts dans la pièce, Pluto continuait d’aboyer et à force il allait attirer leur attention.
Ou plutôt se débarrasser d’eux, je relever un peu mes manches et lancer un sort Stop+ pour les ralentir un instant, je ne pouvais pas lancer de sort trop puissant au risque d’abimer la précieuse collection de livre que possédais le roi et ses habitants. Je devais trouver un moyen de les détruire sans abimer le décor. Pluto en profita pour s’échappait via la porte ouverte avec son os en bouche. Tandis que l’observait les bouquinistes commençaient à se mouvoir à nouveau, l’un d’eux chargeait déjà un sort brasier. Sans attendre je lançais un sort H²O pour le contrer et l’annuler.
J’avais alors une idée, je lançais le sort Aimant+ pour attirer tous ces sans-cœurs dans un recoin de la pièce où il n’y avait que très peu de livres. Je les observais être attiré dans ce recoin tandis que je préparais mon sort, un sort inoffensif pour le décor. J’abattis alors le sort FoudreX sur les sans-cœurs rassemblés qui disparurent dans les ténèbres. Je soufflais, je n’avais plus l’habitude de combattre ainsi, mon âge avancé commençait à me peser lourdement, la prochaine fois j’emploierais des sorts plus mineures pour les terrasser.
J’invoquais alors quelques balais du château pour nettoyer ce désordre, je restais à les observer puisqu’un élément m’interpeller légèrement : comment des sans-cœurs avaient put atteindre la bibliothèque aussi facilement ? Il faudra que je mène une enquête après que les balais aient finis leur travail. . .