Sucre de lune
Identité
- Nom : Sucredelune
- Prénom : Oasis
- Titre : La Luxure
- Âge : Vingt-trois ans
- Camp : Coalition Noire
- Monde d'Origine : Forteresse Oubliée
- Race : Humaine... et une belle, n'est-ce pas ?
- Grade désiré : Le plus haut possible.
Physionomie et Psychologie
L'avatar est en cours de création... pour patientez, voilà l'image qui sera de toute façon utiliser...
Oasis Sucredelune… plus ou moins ravie de vous rencontrez.
Commençons donc, par le classique mais indétrônable… j’aime et je n’aime pas. J’aime la luxure, qu’elle soit faite de tendresse infinie comme la délicate caresse d’un pétale de rose… mais je l’aime surtout quand elle se fait perverse, brutale et vicié. Une femme comme moi ? Je n’ai aucun complexe, aucune gène et aucune pudeur. J’en ai vu passer, des hommes, des femmes et des créatures… différentes. J’ai beaucoup aimé Sheerwood, c’était… bestial. Agrabah m’a laissé un souvenir atrocement bon… si vous saviez les agréables horreurs qui peuvent arriver à une femme là-bas. Port Royal fleure bon le rhum, la violence et le danger… ne comptez pas sur ma gentillesse ou ma douceur.
Du haut de mes vingt-trois ans, j’ai déjà trop vécu… j’ai connu tellement de plaisirs mauvais et de sublimes douleurs… si vous saviez comme je peux me faire chier. On veut tous quelque chose… et moi je veux jouer avec des hommes mauvais et brutaux.
J’ai attrait à tout ce qui est beau… tout ce qui est sombre, dangereux… j’ai attrait au plaisir et à la mort… au luxe et aux spiritueux. J’adore les pierres précieuses… le luxe et la chaleur. Mon cœur… si vous saviez comme il est sec, je ne m’intéresse à rien sinon à ce que je peux voir, toucher, sentir, gouter, entendre et ressentir. Je ne m’intéresse qu’aux sensations… et je suis devenu insensible à tout plaisir qui n’est pas assez intense.
J’ai aussi attrait à tout ce qui est vierge et pur… j’aime salir, avilir, corrompre et abimer choses comme gens. En fait, je cours après mon propre plaisir… au détriment de la morale et des autres. L’amitié, l’amour, la charité, le respect… que de vagues abstractions comparé aux exigences de mon bas-ventre.
Une femme dangereuse, c’est tout moi… mais tout le danger que je représente n’est rien face à ce corps de rêve que je juge… sublime et parfait.
Regardez-moi, je vous ferais m’aimer… je ne suis pas fine, pas plus que je suis douce ou chaleureuse. Je regarde les hommes comme si j’allais leur marcher dessus, je les bouscule et les égratigne. Certains ne s’en remettent pas et d’autres se vengent sur mes fesses gourmandes… qui, je ne sais pas pourquoi… bouge lentement et avec fluidité… de gauche… à droite… comme le balancement obsédant d’un pendule.
Je roule du fessier et n’hésites pas à exhiber ma poitrine ferme et rebondit. Ma peau nacrée ne présente aucune ride, aucune imperfection, comme une poupée de chair… et de son, quand je commence à crier à la mort sous le coup d’un va-et-vient.
En vérité, il y a bien un type d’homme auquel je ne plais pas… les petites natures et les héros de la lumière. Puisque vous l’aurez compris… je suis une mauvaise fille. Très mauvaise puisque je suis à la Coalition Noir. Je n’ai passé aucune foutue épreuve… je n’ai pas eu à faire mes preuves ou je-ne-sais-quoi… j’ai juste fait décoller le chef des intendants au septième ciel. Et depuis que Ariez a prit connaissance de l’intérêt de mes capacités… je ne le regarde même plus.
Une fois il est venu me demander pourquoi… et c’est la dernière fois que je lui ai parlé… et la catin que je suis, lui tint à peu près ce langage.
« J’aime les hommes bien armé… tu vois ? »
Si vous saviez comme je peux être si froide après avoir été si chaude… depuis, le chef des intendants baissent les yeux chaque fois qu’il me croise. Pourtant il peut me tuer… me blesser, me violer… oui, il est puissant et influent. Malheureusement… quoiqu’il fasse, je ne l’aimerais jamais. C’est la nature après tout ? Qu’y pouvons-nous, pauvres femmes, si Mère-Nature n’a pas voulu vous gâter ? La taille ne compte pas ? Haha… C’est ça, mon pauvre chou… la taille ne suffit pas… arrêtons l’hypocrisie, la taille c’est la base sans laquelle le reste ne vaut rien. J’ai besoin de… le sentir, vraiment et sincèrement en mon être, pour moi, la taille compte. Moi j’aime les hommes pour leur chair… mais au fond je les hais pour tous ce qu’ils ont pu me faire. Je suis injuste et si j’ai l’occasion d’écraser un homme… même si ca ne me rapporte rien et que lui ne m’a rien fait… la sadique que je suis le fera.
Concernant les femmes, je suis plus douce, plus tendre… mais toujours perverse. J’ai attrait aux jeunes filles douces et peu sûre d’elle, j’aime à me faire initiatrice… à leur apprendre tout le pouvoir qu’ont leurs formes. Pourquoi les hommes se montrent si sévères ? Pourquoi n’a-t-elle pas le droit de se balader nue ou de se faire sensuelle ? Parce qu’ils ont peur… les hommes sont des bêtes et pour peu qu’on insiste, ils finissent forcément par craquer… alors c’est tout leur intérêt de dire aux filles : « Sois une fille bien et habilles-toi correctement ! Cache ce sein que je ne saurais voir et aplatis moi ce cul ! »
Je suis à la Coalition Noir et comme une certaine Ariez… je fais ce qu’il me plait. Ainsi, si je suis d’humeur à me balader nue en pleine rue… je ne m’en prive pas. Un jour je passerais dans une église, mes seins uniquement caché par mes soyeux cheveux pâles et le regard lascif je lui demanderais si… c’est assez bien cacher à son goût. Les chrétiens, je les ai en horreur… et ce serait un crime que de cacher si beau corps que le miens !
Je me la joue et me porte assez d’amour pour me passer de celui des autres… je ne suis pas cette enfant qui veut qu’on l’aime. Je suis cette femme qui veut qu’on la prenne, qu’on l’étreigne, qu’on la torde et qu’on la déforme. Je suis cette femme qui veut qu’on la baise et comme il faut, je vous prie. Tout ce que je demande à mes partenaires… c’est de savoir y faire. C’est mon seul critère…
Et de toute façon, on s’en fout, non ? Je suis la Luxure de la Coalition Noire… de par mes capacités, j’ai une place à ma part… et je suis dans ce groupe chez moi. J’ai même reçu un cadeau… un fouet noir et absolument magnifique.
Qui en veut un coup ? Voir plusieurs ? Et si personne ne veut se faire claquer la peau… alors j’irais me flageller dans l’intimité.
Je me torture moi-même pour mon propre plaisir… alors quoi ? Allez, vas-y… frappes-moi, écrases-moi, attaches-moi, tortures-moi… c’est assez compliquée de m’affronter, la douleur et la fatigue… la sueur de l’effort et les souffrances qu’on reçoit ou qu’on inflige… puis ce cœur qui bat si fort sous la peur… un bon combat peut me faire jouir plus qu’une partie de jambes en l’air moyenne !
Ce qui fait de moi une ennemie aussi dangereuse qu’acharnée, c’est avec joie que je laisse l’ennemi m’infliger un coup… pour dans un cri d’extase lui en mettre un. C’est plus fort que moi… la haine, l’indifférence, la joie, la tristesse, la violence, l’horreur, la peur, l’amour, l’incroyable et l’ennuyant… il n’y est rien que je ne puisse corrompre de ma luxure. Telle une chevalier noir, tout ce qu’on m’inflige ne peut que me renforcer et le plaisir est mon armure.
Après… je ne serais par contre une armure… mais croyez-bien qu’il est hors de question de cacher mon corps pour me protéger. Ma peau nacrée et lisse, parfaite comme seule une peau de bébé pourrait normalement l’être… ne demande rien d’autre que des hématomes et un peu de sang.
Si vous avez l’ombre d’un sentiment amoureux à mon égard… ne vous avisez pas de m’en faire part… les hommes qui m’aiment… j’ai plus ou moins tendance à les faire souffrir autant que je peux. S’ils peuvent finirent complètement désemparé et incapable de faire autre chose que me satisfaire… et bien la dominatrice que je suis le fera. Je suis extrême… tantôt volcanique, tantôt glacial…
Aaaaah…
Qui veut jouer avec moi… ? Dois-je battre des cils et montrer les milles et unes joies secrètes que cache mon regard de catin ? Allez… peu importe… je vous ferais m’aimez… vous m’aimerez… et je suis sûre que même si tu ne le sais pas… tu m’aimes déjà un peu. De toute façon j’obtiens ce que je veux… pas parce que je le mérite… mais parce que je le demande avec une voix lascive, mes lèvres pulpeuses en formes de cœurs…
Question vis-à-vis du Physique :
Oh... un homme méchant, mauvais et intéressé veut jouer... je lui laisserais me mettre des coups, aussi fort qu'il le souhaitera... puis je lui rendrais toute la douleur qu'il m'a infligé... en une fois. Je me sentirais en danger, j'imagine... et ça ne me rendra que plus sauvage. A coup de griffes, de crocs ou de fouet j'en viendrais à bout... jamais je ne perdrais face à une femme et rien ne me fera abandonner face à un homme. Les femmes faibles ? Celui qui dit ça n'a jamais rencontré une furie folle et furieuse dans mon genre...
Je suis à n'en pas douter une ennemie aussi dangereuse qu'acharnée... une ennemi qui s'abandonne et ne craint pas de se prendre des coups... qui aime ça, même. Une ennemie obsessionnelle... et si je n'arrive pas à vous tuez d'un coup bien placé... alors ce sera à l'usure.
Peu importe... je n'ai pas de style de combat, pas d'arts martiaux ou de techniques avec des armes... je suis une sadique imprévisible à l'imagination... débordante.
Histoire
Si vous saviez ce que j’ai honte de mon histoire… j’ai été brisé. Moi qui suit belle, moi qui suit femme et déterminée, sublime comme un ange, on m’a coupé les ailes. C’est une histoire classique… celle d’une femme rêveuse et naïve qui a cru en des mensonges gros comme une maison. Je serais toujours là, rien que pour toi… jamais, ô grand jamais je ne te laisserais tomber… tout simplement parce que je t’aime de tout mon cœur, Oasis… sale connard de merde ! Aujourd’hui je suis une trainée qui va d’homme en homme comme un papillon butine de fleure en fleure… et je suis retombée dans mes plus horribles penchants.
Voilà… j’habitais au Jardin Radieux, j’étais fraiche, mignonne et innocente. Un raz-de-marée de sans-cœur m’envoi jusqu’à la ville de traverse… j’y vends mon corps contre de l’argent et quand c’est devenu possible, je suis retourné au Jardin Radieux… ou je l’ai justement rencontré. Vous le connaissez, tout le monde le connait. A l’époque ce n’était pas encore le cas mais… j’étais là, comme une amante dévouée et amoureuse se doit de l’être. Oh, j’ai avalé toutes ses couleuvres…
J’ai toujours été plus ou moins féministe, sûre que je valais mieux qu’être une simple femme au foyer dans l’ombre de son homme. Pour lui, j’étais prête à le devenir… je serais devenu tellement de chose pour lui… mais il a choisit sa carrière plutôt que moi. Si facilement, sans y réfléchir, comme si tout ça allait de soit. Sa destinée et son épopée passait évidement après moi… en fait, je le ressens comme ça… l’homme de ma vie m’a chassé de cette dernière d’un revers de main plein d’aisance.
Après lui, j’ai voyagée comme une errante crasseuse…devenant suceuse à deux munies pour voyager gratuitement, pute arpenteuse de trottoir… pute un peu plus chic… pute dorée… poule de luxe… épouse infidèle et chercheuse d’or… puis Veuve Noire. Si je n’étais pas aussi dépensière – à entendre par là que j’aime prendre des bains de champagnes et allumer mes cigarettes avec des billets de banques- alors je serais au moins millionnaire !
Or j’ai vite compris… que si cet homme a fait de moi beaucoup de chose, je n’ai jamais été matérialiste… hormis quelques bijoux et vêtements aguicheurs… tout ce que j’achète ce consomme et vous embrouille l’âme.
Malgré tout… tout ce que j’ai pu faire, penser ou essayer de nier… je n’arrivais pas à fuir son souvenir… j’ai appris à mettre les hommes à mes pieds ! Pourtant… celui-là n’a jamais cessé de m’effrayer alors même que nous ne nous sommes pas vu depuis si longtemps. Quand bien même ne m’aimerait-il plus… ce que je sais être le cas… cette question me hantait… est-ce qu’il se souvient de moi ?
Que l’amour de ma vie soit finit, je peux l’admettre… mais l’idée qu’il est pu m’oublié, surtout sachant qu’il est aujourd’hui casé avec une autre, ca me… tétanisait complètement… jusqu’à ce que je la rencontre.
Lilith… qui me surprit en pleine nuit, posant une main douce et ferme sur ma bouche pour que je ne hurle pas… ses yeux m’endormaient, m’abrutissaient… et c’était agréable de ne penser à rien d’autre que son décolletée diabolique. Elle susurra à mon oreille de sublimes promesses, la promesse que mon corps sera désirable et sans égal… Lilith promit de faire de moi une femme fatale, mille fois plus que je ne l’étais déjà… à condition que je me venge… de cet homme en particulier, de tous ces hommes menteurs et joueurs.
Évidement que j’ai accepté… et pour me saluer, Lilith m’offrit une montagne de plaisir que je cherche encore aujourd’hui à égaler. Le plus beau... c'est que j'aurais peut-être d'autres cadeaux...
Questions diverses
1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Bien sûre que Oasis aime... elle aime les
2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
Une louve...
3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Absolument inexistant, Oasis ne pense jamais qu'à sa petite personne. Seulement, parfois, la catin peut se montrer solidaire avec une femme... surtout dans le but de nuire à un ou plusieurs hommes.
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Bof... Oasis est sociable, à même de tenir une conversation avec plus ou moins tout le monde... mais par nature, elle n'aime pas louer des liens de ce genre.
5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
Dans la vie tout est au rapport au sexe... sauf le sexe, puis que le sexe, c'est le pouvoir.
6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points forts et points faibles?
J'ai un bon niveau en général mais je suis... irrégulier.
7) Pourquoi incarner ce personnage ?
Et bien... que vous dire sinon que je suis un grand pervers ?