Présentation de Mizore
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- Question vis-à-vis du Physique :
Quand Mizore se bat, elle fait toujours apparaître des griffes de glace assez imposante. De ce faite, on pourrait croire qu’elle est assez douée au corps à corps mais elle n’a aucune force physique, réellement. Son truc, c’est la magie de glace qu’elle manie à merveille, elle peut absolument tout faire ou presque du moment que se soit avec de la glace. Mais comme ça reste une magie assez réduite, elle a apprit quelque tour de soutien, principalement. Elle compte sur sa vitesse pour rester éloigner de ses ennemies, en vu de sa faible constitution. Ses mouvements fluides combiner à ses sorts multiples, c’est assez dévastateur. Elle peut aussi appeler quelque monstre associé comme le Fenrir ou le Jackfrost. La plupart du temps, c’est pour combler ses lacunes au corps à corps… Mais elle peut aussi semer la confusion en créant des clones d’elle à partir de sa propre glace. Il n’y a plus grand-chose d’autre à dire, si ce n’est que ça va jeter un froid … - Question vis-à-vis du caractère :
Froide, Timide, émotive
Identité
- N o m : Shirayuki
P r é n o m : Mizore
S u r n o m : The Ice Queen
 g e : 22 ans
C a m p : Consulat
R a c e : Femme des neiges
Descriptions
P h y s i q u e :
Mizore, un jeune petit ange, un ange déchu… Pourquoi la décrire, vous le voyez bien, de quoi elle a l’air ! Ho, j’oubliais que vous étiez complètement idiot … Pourtant, elle est assez jolie, non ? Tout et relatif mais personne ne pourrait l’oublier, une telle pureté est incomparable. Vantardise ? Peut-être… Après tout, pensez se que vous pensez, ce n’est pas tellement mon problème !
Commençons, si vous le voulez bien, par la chose que l’on remarque bien évidement en premier … Non ! Pas ses courbes généreuse, bande de pervers ! Je parle, bien sur, de son visage aux airs de gentille fille, à l’air innocent, angélique ! Mais ce genre de visage ne vous sera pas réserver, surement pas. Il est très rare que l’on aperçoit, ne serait-ce qu’un bref instant, un sourire ou même juste un pincement de lèvres. Je ne vais pas entrer dans les détails, cela concerne le mental … Bien qu’elle ne sourit pas, ses joue peuvent rougir dans des ton pourpre assez étrange. Quand ça arrive, on pourrait ne plus la reconnaître, tellement elle a la peau blanche. « A un tel point qu’on pourrait voir à travers », comme disait un de ses seul et unique ami. Même le soleil éternel du désert n’arrive pas à noircir sa peau et dieu seul sait à quel point elle y a passé du temps. Ses grands yeux bleus aux reflets mauves seraient capables d’envouter le plus bourru des hommes s’ils n’étaient pas presque constamment emplis de haine. Son regard mauvais est tellement faux de se qu’elle est et pourtant, c’est l’une des seules choses que vous verrez. Elle ne serait pas si angélique, pour le peux qu’elle puise l’être déjà, sans ses divins cheveux mauves, toujours bien coiffé et sans aucun défaut, comme glacé éternellement dans son style. Tombant presque sur les épaule, ils sont disposé de sorte à se qu’une mèche principale soit dévier sur la droite et les autres tombantes sur son front. Ainsi, d’un simple coup de tête, elle peut cacher sa honte ou sa peine derrière se rideau si doux au touché, donnant un air froid et mystérieux à cette jeune femme qui l’est déjà de part nature. Puis vient le petit détail qui fait tout son charme et qui la dénature complètement sans : la fameuse et éternelle sucette dans la bouche. Elle ne peut vivre sans elle… Puisqu’elle est une femme des neiges, elle doit garder son corps à des températures extrêmement basses. Cette sucette permet de réguler sa température, une invention faite exprès pour se genre de personne.
Son corps est … hum, dois-je vraiment le décrire ? Vu comment vous ne faisiez pas du tout attention à la description précédente ! Soit. Oakley est une jeune femme qui mesure 1m 69. Assez petite, quoique grande pour certain sous-développé mais pour une femme, ce n’est pas très dérangeant. Au contraire, une grande avec un petit, ça a l’air con … Enfin, vous ne la toucherez pas messieurs, même si ses atouts sont à la hauteur de vos espérance. Cette petite a été gâtée par la nature : des proportions parfaites pour faire tourner l’œil à n’importe qui. Encore de la vantardise ? Possible … Ne comptez néanmoins pas sur moi pour vous dévoilez ses mensuration, ce serait vous gâté plus que vous ne l’êtes déjà. Pour ce qui est de sa tenue habituelle, on peut décrire son style comme étant celui des ados, une grande enfant ! A son cou, un pendentif en or, simple, banale, qui s’ouvre et cache un emplacement pour une photo. Cette emplacement est souvent vide car rare sont les personne qui mérite cette place prés du cœur. Pour le haut, elle porte un débardeur noir extrêmement moulant, mais personne ne le vois réellement, juste un bout, car elle porte un autre habit au dessus. Une espèce de pull avec poche ventrale, dans le style des rappeurs … Il est blanc jusqu’aux manches, à partir de là, bleu marine. Ses manches, comme le reste du vêtement en y repensant, est assez ample et cache assez bien les formes. Il n’y a plus grand-chose à dire de se coté là à part peut-être la précision que si ça cache, c’est qu’il doit y avoir quelque chose en dessous … Pour le bas, simple, voir un peu trop. Une minijupe très courte couleur kaki à carreau, mais très discret les carreaux, venez pas lui dire que c’est écossais car ça n’a pas du tout l’air. Et comme elle n’est pas pudique, vous remarquerez souvent sa petite culotte blanche et bleu ciel rayée. Et oui, âme sensible s’abstenir, votre cœur s’emballera tout de suite. On peu aussi remarqué une lanière de cuir descendre de sa jupe pour finir à une ceinture attaché à la cuisse gauche, cuisse nue en passant. Il s’agit d’une double ceinture cloutée dont celui à la taille est caché par son pull (quand je vous ais dis que ça cacher des choses). Une autre chose qui fera que vous la reconnaissiez de loin, ses longues chaussettes mauve et rose à rayure. Tellement rare chez les jeunes, c’est ce qui fait toute la beauté de la chose, surtout portée par une déesse des glaces comme elle. Chaussure ? Simple, basket blanche, faut pas cherchez plus loin. La tenue typique de l’adolescente presque délinquante.
C a r a c t è r e :
Le mental ? Beaucoup verrons de quelle bord elle est, d’autre trouverons ça juste inquiétant, d’autre mignon, dans le fond. Un regard compatissant quand vous finirez de lire cette partie, peut-être ? Ou un haussement de sourcil avant de passer à une autre page ? Enfin, essayons de voir se que cache ce stalker.
Défaut et qualité ? Je ne crois pas que c’est un bon moyen de commencer avec elle. Le commencement débute avec se que l’on voit en apparence, non ? Car si même les beaux plumages peuvent-être une cage, celle-ci s’est plutôt fait une solide carapace antisociable. La chose la plus évidente à constater est sa froideur déconcertante. Toujours un ton sec et désagréable, le regard souvent mauvais ou sans expression réel. Vous constaterez vite qu’avec cette façon de parlez et cette dégaine de débauché, ce n’est pas quelqu’un de fort sympathique ni fort aimable. Rare sont ceux qui engage une conversation avec elle au bar, et pour les autres, ils se heurtent violement contre son mur d’indifférence, de froideur et d’ignorance. Il est donc inutile de dire que les seuls amis que cette cher Mizore a su se faire n’étaient que le fruit de leur persévérance. Cela entraine donc sont coté solitaire. Je suppose que je ne doive pas éclaircir se point, tout le monde connaît la solitude, non ? Elle ne va jamais vers les autres, certes, mais lorsqu’un crime se déroule sous ses yeux, elle ne peut s’empêcher de venir y mettre un terme. Grand sens de la justice malgré tout, peut-être car elle n’a que trop vu de meurtre et de pillage pour en supporter d’avantage. Elle est aussi très vulgaire et provocatrice. En générale, si votre tronche ne lui revient pas, vous n’entendrez pas trois phrases sans qu’elle vous insulte de « minable », « connard », « chieur »… Et encore, c’est quand elle est de bonne humeur, je n’ose marquer ici les choses les plus graves. Et comme Madame est loin d’être pudique, elle n’hésitera pas à utilisé ses atouts féminin pour provoquer au juste déstabilisé l’ennemie. Oui, car elle ferait tout pour arrivé à son but. Sa devise : « Ais-je l’air de quelqu’un qui se soucis des moyens pour arriver à ses fins ? ». Ainsi, elle serait prête à séduire s’il le faut, à prendre en otage, sorte de chose. C’est un peu pour ça qu’on pourrait la qualifier de « femme méprisable». Elle est imperturbable, aucune insulte ou autre forme d’agression verbale pourrait la froissé. Telle la glace, elle a le sang froid et garde un calme incroyable bien qu’elle tente elle-même se stratagème en insultant tout le monde.
Voila l’apparence, la carapace. Mais en elle, c’est tout autre chose, une facette qu’elle ne dévoile qu’avec des amis proche et ses patrons à l’occasion. On ne la reconnaît plus, dédoublement de personnalité ! En faite, elle se révèle être extrêmement timide. Tellement que, à chaque rencontre avec une personne qui lui plait, elle se sent obligé de jouer les « Stalker ». Pour ceux qui sont trop fainéant d’aller voire se que cela veut dire, c’est juste le faite de suivre, espionner, voir tenir un carnet dans son cas sur la dite personne. A cela s’ajoute un petit coté sadique malgré tout, ou plutôt cruel. Car comme le dis sa devise, elle serait prête à tout pour avoir se qu’elle veut. Toutes les informations qu’elle pourra recueillir pourraient éventuellement lui servir pour faire du chantage. Elle se révèle aussi extrêmement gentil, toujours prête à rendre services aux potes ou juste leur remonter le morale. Enfin, vous lui décrocherez plus de sourire mais elle garde un peu de froideur, réflexe de sa « couverture ». Elle souffre, en fait, beaucoup de sa solitude et en pleure chaque nuit. Au sens propre du terme, hein ?! La tristesse est son lot quotidien mais jamais elle ne le montrera volontairement, à personne. Elle est très sensible, les remarque des autre sont futile mais de ses proche sont à peu prés l’équivalent d’un coup de couteau dans le cœur. Cela s’explique par le faite qu’avant, elle n’a jamais eu d’ami, pas vraiment de relation, elle a été privé de tout. Chaque proche est comme un trésor, si elle est rejetée, c’est un drame. Un peu poussé à l’extrême ? Peut-être … Le plus fou, c’est que, ses deux rôles totalement différents, elle les tient à merveille. Elle est affectueuse, plus que la première version d’elle du moins. Elle est capable de faire la bise, pourquoi pas, mais elle reste crispé au niveau des câlins et autre forme plus prononcer d’affection. Voila à peut prés tout. La seul chose à retenir c’est que la première facette est du à un manque de sentiment total envers les autre mais qu’elle ne peut s’empêcher d’être plus gentil avec ses frères et sœurs d’arme, amis et ect … Se qui est logique quand j’y pense, se ne serait plus des ami !
Deux trois choses à préciser qui me semble important car cela reviendra souvent. Elle déteste la chaleur. Elle la déteste à un point fou, c’est pour ça qu’elle ne lâche jamais sa sucette aux vertus rafraichissante. Elle en devient parfois même malade. Ensuite, elle ne supporte pas vraiment la foule, si elle se sent oppressée, elle peut aller jusqu’à glacer tout le monde, sans distinction. Enfin, quand elle prend quelqu’un pour cible, que se soit sur le plan émotionnelle comme une simple traque, elle ne supporte pas la concurrence et leur fera la peau sans sourciller. Voila, ça fait trois !
G r a d e . v i s é :
- commandant, mais je suis au courant de la sévérité accrue … donc …
H i s t o i r e :
Rare sont ceux qui n’ont jamais entendu parler des femmes des neige, que se soit leur histoire ou simplement de nom. Même si beaucoup de culture renie leur existence, il est impossible de n’avoir jamais entendu parlez de ses créature que l’on classe dans la catégorie des monstres. Les légendes divergent mais beaucoup raconte la même chose, un peu comme … « Les femme des neige sont des jeunes femmes apparaissant dans les villages les soirs de tempête, à la recherche d’homme à enlever pour en faire leur conjoins ». C’est à peu prés la définition de ce qu’est une femme de glace. Mais où se cachent ses créatures, lorsque le soleil est haut dans le ciel ? Où trouver ses beautés glaciales qui font rêver ou terrorise la plupart des hommes ? La réponse était tellement évidente. Dans quel monde trouve-t-on naturellement des monstres ? Dans quel monde il existe des étendu de neige et de glace à des kilomètre à la ronde ? Et bien, dans le domaine des vacances, pardi … A la frontière entre la ville d’halloween et le monde de noël, la vaste étendu de neige se situant derrière la porte d’arriver de l’atelier du père noël. Bien loin après les collines de neige et les montagnes gigantesques, un endroit couper de tout abrite le peuple des femmes des neiges.
Leur mode de vie était très dur à supporter et leur espérance de vie assez courte par rapport aux humains. Même si elles avaient su bâtir une citée entièrement faite de glace, disposant de tout le confort nécessaire à ses habitants, il n’y avait aucun homme, aucune présence masculine. Et pour cause, aucun humain ne pouvait survivre avec une femme des neige comme compagne, pas dans leur monde en tout cas. Les causes sont évidentes, pour le froid nécessaire à leur survie mais aussi pour leur violence extrême envers ceux qui refuse de leur obéir. Mais comme ses êtres sont plus qu’éphémère, il leur fallait perpétuer leur lignée… Et cette lignée se poursuivit, au sein des femmes des glace, jusqu’à la petite Mizore, celle qui voulu changer de vie pour une semblant de chimère…
Comme toutes les jeunes filles de son espèce, Mizore vivait avec sa mère, son père décédé à sa conception. Sa jeunesse se résumait au silence, il n’y avait pas grand-chose d’autre dans un décor de cristal ainsi, que trop parler pourrait faire une catastrophe que se soit niveau avalanche ou sensibilité de la glace cristalline. De tout temps et de toute âge, ce peuple, même si une communauté il y a, vivait tel des Hermite et avaient relativement peu de contacte avec l’extérieur, avec leur semblable comme avec les humains. La petite n’allait pas dans le sens contraire et suivait toujours ou presque les indications de sa mère, à savoir, perpétuer la loi de la solitude. La jeunotte comme ses consœur se demandait pourquoi elles existaient, quel était leur but finale, pourquoi vivre si c’est pour adopter un train de vie si … désolant ? Beaucoup trouvèrent la réponse et participèrent aux diverses festivités comme Halloween avec Jack ou Noel avec le dit père. Au temps des horreurs, elles allaient visiter les superstitieux pour les terroriser alors qu’à noël, et bien … On peut dire que si il n’y avait pas les femmes des neige, il n’y en aurait pas, de neige. Certaine trouvèrent leur passion à travers les crie et les pleurs, mais cela n’avait rien à voir avec ses monstre de la ville voisine. Beaucoup étaient instable et se mettait à parcourir les monde à la recherche de victime à trucider. Mizore n’avait pas de passion, rien, ni la peur ni le bonheur et encore moins le sang ne pouvait la contenter. Elle passa son enfance seule, à errer dans les étendu glaciale alentour du village. Sa mère ne semblait pas s’intéresser plus que ça à elle, comme les autres femmes des lieux. Une orpheline, elle l’a toujours été… Alors, quand même ses parents ne veulent plus vraiment de fou, au bout d’un moment, on décide, même si c’est la plus grande bêtise de sa vie, de partir pour ne plus revenir. Car elle savait que, par instinct de survie, il fallait s’en aller. Ainsi, une gamine de même pas dix ans se mit à errer sans but dans le monde des humains, le territoire de chasse de tous les monstres. Elle survivait avec un rien, parcourant un nombre incroyable de ville avant de trouver un chouette endroit qui semblait être soudain le paradis. Une plaine de jeux, toute simple, faite pour les enfants.
Ce jour là, l’endroit était plein à craquer de jeunes gens gambadant, s’amusant, se taquinant. Une chose totalement nouvelle pour elle mais qui lui semblait être son salut, son remède contre la solitude. Elle y restait jour et nuit, observant et jouant de temps à autre, divulguant ses pouvoirs glacials sous aucun prétexte. A force de côtoyer cet endroit, elle se fit un ami solide et, innocente, décida qu’il était plus que ça et assez digne de confiance pour qu’elle lui confie son secret. Mizore le prit un jour par la main pour le trainer par l’un des innombrables passages qui menait aux pays des vacances. Elle lui fit découvrir son monde glacé, Noel sous toute ses couleurs, le rêve éveillé pour tout enfant du monde. Elle ne tarda pas à l’emmener là où elle voulait, profitant de la température raisonnable du moment pour un humain. Ils débouchèrent sur un champ de fleure blanche, splendide et mystérieuse par le faite que seule ses plante survivait aux violente nuit de tempête. Elle en cueillit une et lui tendit, toute gênée. Dans leur diverse conte et légende, offrir ses fleure à son bien aimé leur promettait un mariage plein d’amour, une vision assez naïve que quelque jeune fille rêvait de voir se souhait se réaliser. Les femmes des neige se servait de l’arome particulier de la fleure des neige pour crée de quoi attirer les hommes, mais elle était trop jeune pour comprendre, et l’autre trop jeune pour en ressentir les effets. Tout en offrant cette fameuse offrande, elle lui demanda si, plus tard, ils pourraient se marier et continuer à être ensemble jusqu’à la fin des jours. Le genre de promesse que deux amis se font sans réellement comprendre le vrai sens. Elle rajouta aussi qu’elle était une femme des neige, son fameux secret. Mais cette annonce fut l’effet d’une bombe pour le jeune homme et il recula vivement, criant soudainement de peur en expliquant qu’elle allait le manger. Surement que les humain disait ça à leur enfant, que les femmes des neige mangeaient les hommes … Il décampa à une vitesse prodigieuse, retournant dans son monde, laissant Mizore seule, abandonnée à son sort. Elle se recroquevilla sur elle-même en laissant sa fleure à terre, pleurant toute les larmes de son corps face à une telle animosité … Les enfant sont si cruel …Suite à cette échec, la fragilisant mentalement, elle retourna, piteuse, dans son village où personne ne releva sa longue absence, même pas sa mère.
Elle grandit dans une espèce de déprime constante, atteignant l’adolescence et un stade de renfermement sur soit même telle qu’elle ne désirait même plus de la compagnie, craignant les mêmes réactions que le petit gamin de sa jeunesse. Mais une tradition, dans la culture monstrueuse de ses êtres, disait qu’à partir de ses seize ans, il fallait passer un an dans un monde d’humain pour trouver un homme avec qui se marier, l’espace d’une nuit... Pour des raisons qu’on ne citera pas, la majorité, chez les femmes des neiges, se situe à dix-sept ans et il fallait trouver, juste à cette période, un homme ou se serait foutu et la lignée risquait de s’éteindre… Soit, ainsi, elle migra de force mais sans opposé une quelconque résistance vers un monde d’humain, susceptible d’abriter le presque élu de son cœur. La citée du crépuscule fut le plus prometteur et peut-être le plus normal. Après un court voyage au frais des ancienne du village, toutes s’installèrent dans leur nouvelle demeure, pas seulement dans se monde. Elle du menacer un propriétaire pour qu’il lui céder un simple appartement, puis elle alla s’inscrire à l’école la plus proche, comme une ado de seize ans devait faire… Sa vit fut moins monotone que dans les champs de glaces mais un mal inconnu commençait à la ronger, un mal autre que la solitude, que la déprime. La chaleur, ennemie mortelle des monstre glacial, était bien plus intense que dans son pays natale. Elle tomba malade dés son arrivée à la cité, loupant un bon trois mois de sa vie d’étudiante avant de trouver une solution. Mizore tomba sur une de ses consœurs, plus âgées et qui s’était parfaitement adapter aux autres mondes. Elle avait inventé une sucette interminable qui libérait de l’air frais en continu dans le corps des démones de glace. Cette sucette jurait, d’ailleurs, avec les allures snob de sa détentrice, montrant que c’était bien indispensable pour survivre ou elle ne le ferait pas. Mais au final, elle venait de perdre trois mois sur douze pour chercher son fiancé, un retard pénalisant au plus haut point quand on sait que quelque semaine suffit aux élèves pour former des groupe et des clan soudé et bien souvent inaccessible aux autres. Et comme elle le croyait, c’était perdu d’avance … C’était la parias, celle qui arrive en cours de route, la détraquée mentale au multiple défaut dont beaucoup de chose se dit dans son dos. Elle ne s’en foutais pas, comme on aurait pu croire. Au moins, chez elle, personne ne disait du mal de personne, là, c’était un autre univers bruyant et désagréable. Elle se renferma un peu plus chaque jour, finissant par oublier son objectif pour s’apitoyer sur son sort. Le vécu de pas mal d’adolescente, quoi … C’était à un telle niveau que, quand certain garçon voulait la courtiser à cause de son apparence assez attirante, avouons le, elle les rejetait en se persuadant que c’était de la moquerie. En l’espace de quelque mois, elle avait oublié son origine monstrueuse et était devenu tout ce qu’elle n’était pas. Ce n’est que le dernier mois qu’il y eu le déclic, la chose qui lui rappela que l’objectif de sa vie filait entre ses mains.
Elle se mit soudainement à harceler tout le monde, les espionnant, récoltant toute les infos possible et inimaginable pour trouver le meilleur prétendant. Dans les derniers jours, elle était devenue une vrai Stalkeuse, remuant ciel et terre, égout, plage, école, boutique pour accomplir son objectif qu’elle prenait avec trop de rigueur. Ce genre de chose ne changeait pas d’un jour à l’autre, ce n’est pas à ses dix-sept ans que tout se finira mais pour elle, c’était tout comme. Elle finit par trouver un jeune homme sympa, craquant, gentil, attentionné, un peu le mec parfait … Comme celui-ci rédigeait le journal de l’école, elle se mit à entretenir un cahier où tout ses article y figurait, cet homme prenant soudainement une grande place dans sa vie. Elle étudia tout telle une maniaque pour saisir son caractère plus profondément et se rendit compte qu’il était, comme elle, très seule et timide. Mizore finit par l’accosté en annonçant qu’elle était fan de son travaille, elle l’emmena un peu partout, se détendre au lac, dans des parcs, tout ça sous le soleil couchant de la cité. Ils devinrent très vite amis, une étape avant l’amour, et la femme des neiges décida qu’il était grand temps ! Grace à ses pouvoirs surnaturels, elle avait congelée une des fleurs aux effets aphrodisiaques pour un tel moment de détresse. Ainsi, elle l’emmena au lac, leur rendez-vous préféré, et lui fit sa demande, la dite fleure à la main. Au début, la jeune fille froide crue que tout marchait sur des roulettes mais c’était sans compter sur la pureté du garçon. Celui-ci aimait déjà une autre et semblait être désolé pour elle, même à le demande d’un amour d’une nuit, il refusa sans discuter. Cette attitude le rendait encore plus désirable mais cela signifiait la fin de la vie de Mizore. Mais, un dernier espoir subsistait… Elle révéla sa véritable forme, glaçant le lac et emprisonnant sans avertissement son bien aimé dans la glace. Elle lui expliqua tout d’un air menaçant mais même une lame de glace au coup, il ne bronchait pas. Cet homme n’avait donc aucun défaut ? Elle fut tentée d’insisté, de le blesser mais il n’y avait rien à faire, au moment de le faire, elle ne pu. Elle ressentait, à force d’y croire, quelque chose pour lui et l’idée de le rendre malheureux lui était tout d’un coup inimaginable. Alors, torturée, elle finit par lâcher quelque larme, délaissant complètement son amoureux pour déambuler sur le lac glacé pendant un long moment, le pauvre malheureux toujours prisonnier. Mais la question n’avait pas de réponse, peu importe dans quel sens on la tournait. Les larmes devinrent des gémissements, la marche, des pas rageur à fissurer la glace. Puis elle craqua, explosa complètement. Hurlant comme une démente « Pourquoi ? », elle laissa sa magie s’échapper, le gel recouvrant quasiment tout le parc. La verdure n’avait plus sa couleur, ces lieux devenant un deuxième pays froid à lui tout seul. Suite à ses événements, on prit le jeune homme pour un fou lorsqu’il raconta qu’une jeune fille fit ça. Mizore finit par s’envoler dans la nature.
Le temps passa, la gamine se réfugia chez elle. Chacun, dans sa solitude, cultive ses certitudes qui, par instinct de survie, conforte nos vies. Elle, elle essayait de se convaincre pendant longtemps qu’il fallait vivre pour elle, et pas pour les principes de sa mère. Et alors que le monde changeait d’une manière assez dramatique, elle, trouva une chose à faire pour essayer de lui remonter le moral. Avec la télé et la radio, elle fit une chose qu’elle n’avait jamais faite avant, son pays l’obligeant à garder le silence. Chanter … Pourquoi elle du faire taire sa voix qui était si mélodieuse et rassurante, dans un sens. Alors qu’elle apprenait les paroles d’une chanson bidon, elle se rendit compte que chanter la libérait l’espace d’un temps de tout fardeaux. Mais alors qu’elle oubliait se garçon et ses origine, la cité perdait peu à peu de sa luminosité, un groupe malfaisant prenant le contrôle. Et alors qu’elle regardait innocemment par la fenêtre, fredonnant alors comme elle ne le faisait jamais, elle aperçu d’étrange bête noir. Ses choses peuplaient déjà la ville mais il était rare qu’elle devait combattre. Là, cela prenait des proportions alarmante … Elle remit alors sa carapace de froideur, embarquant son nécessaire pour emprunter un transporteur pendant qu’il était encore temps. Mine de rien, elle avait passé un bon bout de temps, jusqu’à ses 22 ans, à la cité. La quitter ne lui faisait rien, mais où aller, où aller pour pouvoir pratiquer sa nouvelle passion ? Ce pourquoi elle allait vivre désormais, la chose qui lui raccrochait à la vie… En se rendant aux vaisseaux, elle analysa les divers mondes sur son carnet, concluant que les jardins radieux étaient encore bien sympathiques et appartenant à des fanatiques de l’art. Encore un nouveau départ pour finir sa vie beaucoup trop courte.
Les Questions
Q u e s t i o n s :
1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Oui, mais il faut savoir percée sa carapace. Soit ça, soit c’est elle qui vous prend pour cible …
2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
… je ne saurais vous dire.
3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Boarf, tout dépend de la personne. Niveau camaraderie, je peux le dire, il faut y aller pour qu’elle s’attache au point de la camaraderie ! Pis, la fidélité, tant que vous l’emmerdez pas !
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Déjà, en l’acceptant telle qu’elle est, puis, faut savoir lui tenir tête un minimum ou elle vous prendra pour de la merde jusqu’à la fin de ses jour. C’est le principale.
5) Quel niveau de rp vous semble acceptable pour votre personnage ? Croyez-vous avoir le niveau ? Si non, donnez-nous une bonne raison de vous valider. Si oui, donnez-nous la quand même…
C’est quoi cette question ? Mon Perso a mon niveau et si ça vous plait pas, je dégage et puis voila …
6) D’un point de vue objectif, qu’est-ce qui vous semble être votre point fort, votre point faible ?
A vous de me le dire …
7) Pourquoi incarner ce personnage ?
Car Mizore est ma fille préférée dans tout mes manga ou jeux video et que je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de pouvoir l’incarner quelque part. Je me suis dis qu’ici, tout était possible !